Luke Hemmings

Luke  est un des personnages les plus appréciés de Simulations, mais aussi celui qui a été presque détesté dès le départ. Il est âgé de dix-sept ans et aura une année de plus à son compteur très bientôt.

Il participe (en espérant vraiment ressortir gagnant) afin de gagner l'argent nécessaire pour payer les médicaments et les soins de sa sœur afin de ralentir sa maladie.

Il est grand, blond, et peu bronzé. Il possède des yeux bleus tantôt froids, tantôt doux.

Son défaut ? Il tire ses conclusions un peu trop vite et n'hésitera pas à ruser en oubliant qu'il se met lui aussi en danger. Il est aussi beaucoup manipulateur, comme beaucoup d'autres joueurs et n'hésiterait pas à tendre un piège à un adversaire pour sauver sa peau.

Cependant, il peut aussi se montrer gentil et bienveillant. Quand on sait creuser, on trouve un Luke qui se bat seulement pour sauver sa sœur.

*

Chapitre 23

ÉVOLUTION (LUKE)

Plus je regardais Sawyer, plus la différence avec June se créait. Elles n'étaient plus vraiment similaires. Même si Sawyer et elle avaient les mêmes yeux, elles n'avaient pas le même regard. C'était pourquoi je m'étais autorisé à l'apprécier. Un peu, cela dit. J'apprenais doucement à penser que Sawyer Hawkins, la sœur du premier gagnant des Simulations, était différente de l'idée que je m'étais fait d'elle.

Peut-être que la sauver était la pire idée que j'avais pu avoir. Peut-être que j'aurais dû la laisser mourir dans sa cellule, la laisser recommencer pour être certain de garder une bonne avance. Mais au lieu d'agir comme je le faisais d'habitude, j'avais pris soin de déverrouiller la porte de sa cellule avec un badge que j'avais trouvé. Mais c'était simplement parce qu'elle m'avait aidé auparavant, dans les souterrains. C'était à ce moment précis qu'un changement avait opéré dans mon esprit. Echo avait dépassé l'image de la Sawyer type que j'avais imaginée jusqu'alors. Elle n'était plus la sœur du gagnant, ou bien alors mon ennemie jurée. C'était juste Sawyer. Elle restait une adversaire, mais au même titre que les autres.

C'était pourquoi j'avais attrapé son poignet lorsqu'elle avait voulu monter les escaliers. Je plongeai immédiatement dans l'océan de ses yeux qui me fixaient à nouveau. Elle attendait que je parle. Il me fut alors difficile de dire ce que j'avais en tête. Parce que je n'étais même plus sûr de le penser. Son regard me transforma en statue de cire durant quelques secondes, et c'était comme si ses iris m'imploraient de ne pas dire ce que je m'apprêtais à annoncer. Comme si elle lisait dans mes pensées. Mais je ne devais pas me laisser berner. Elle restait une adversaire et comme tous les autres, elle était potentiellement dangereuse.

— On est quitte.

C'était comme si j'avais commencé à bâtir un mur entre nous. J'établissais une distance pour maintenir notre relation à celle de deux simples adversaires.

— On est quittes, répéta-t-elle en baissant les yeux.

Je ne voulais pas qu'elle croit que la sauver signifiait que je lui faisais confiance. Je lui devais quelque chose suite au niveau des souterrains, alors j'avais simplement effacé ma dette. C'était la solution la plus raisonnable, la plus simple surtout.

Maintenant, s'il arrivait quelque chose, c'était : courir ou mourir. Nous n'avions plus le temps de penser aux autres.

Nous montâmes les escaliers rapidement, puis nous ouvrîmes la porte grâce au badge de Joshua Edderson. Je fus désolé de penser que c'était presque une bonne chose qu'il fût mort. Sans lui, comment aurions-nous fait pour accéder au rez-de-chaussée ?

La porte s'ouvrit en se scindant en deux, nous dévoilant un autre couloir. Et accessoirement, un réel massacre. Sawyer se tourna vers moi, s'assurant sûrement que je voyais la même chose qu'elle. Malheureusement, c'était le cas.

Du sang tapissait les murs et recouvrait le sol. Quelques scientifiques étaient là, allongés, morts, comme Edderson. Je devinai qu'ils n'avaient pas eu le temps d'atteindre la sortie. Quelque chose les avait déchiquetés... et ils avaient souffert. Sawyer avança prudemment jusqu'à un premier corps et mit sa main sur ses lèvres, dégoûtée. Le regard plein d'effroi, elle parcourut le couloir des yeux avant de se baisser. Elle s'aida de ses deux mains pour retourner le corps. Comme moi, elle voulait voir l'ampleur des blessures pour mesurer le danger auquel nous faisions face.

— Des lacérations profondes, nota-t-elle d'une voix blanche.

Elle posa sa main sur le torse de l'homme et suivit les marques à l'aide de sa main.

Je vis en même temps qu'elle que les marques étaient importantes, énormes, monstrueuses.

— Ce quelque chose qui les a tués... ça pourrait être n'importe quoi... dis-je à voix basse.

Je contournai Sawyer et passai une main dans mes cheveux : je devais me détendre. Paniquer nous ferait perdre. Pour le moment, nous étions hors de danger ; nous n'avions qu'à rester prudents et tout irait bien.

Quelque chose attira soudain mon attention.

— Sawyer...

Je la sentis arriver derrière moi après que je me sois baissé devant un autre corps. Elle me surplombait puisque j'étais accroupi et quelques gouttes d'eau tombèrent sur mes bras. Ses cheveux noirs étaient encore trempés, ce qui rendait sa peau encore plus pâle que d'habitude. Comme si elle était déjà morte. Ne pense pas à ça, me réprimendai-je. Ce n'était pas comme si nous allions subir le même sort.

— Echo, pas Sawyer, rétorqua-t-elle comme l'aurait fait ma sœur quand je m'amusais à l'embêter.

— Tu crois vraiment que c'est le moment ? sifflai-je en songeant à quel point elle pouvait se montrer immature.

Elle ignora ma remarque et s'abaissa à son tour de manière à ce qu'elle fût à ma gauche. Son genou droit touchait le mien.

— Bref, tu vois ça ?

Elle hocha la tête. Je ne savais pas ce qui était pire entre les lacérations multiples et ce liquide noir visqueux. Et visiblement, elle non plus.

— Un moyen de défense avant une attaque ? avança Sawyer en avançant sa main, souhaitant sûrement toucher la matière inconnue.

Elle grimaça avant même d'avoir trempé un seul doigt dedans. Cependant je la comprenais, moi-même je n'aurais pas essayé de toucher. C'était peut-être dangereux. Sûrement, d'ailleurs.

— Et si c'était un liquide paralysant ?

Elle recula instinctivement son index. Une question devait sûrement se poser dans son esprit : était-il sage de toucher l'étrange liquide visqueux ?

— Ça ressemble au truc que laissent les escargots derrière eux, dit-elle. Tu vois, ce qui marque leur passage. Ici, c'est collant mais noir. C'est peut-être tout aussi inoffensif. Comme une trace de son passage.

Du passage de quoi ? C'était aussi ça le problème. On ne savait pas ce qui était sortis des enclos.

— Mais on en sait rien, rétorquai-je.

— Voilà pourquoi il faut essayer. Et puis... je ne vais pas mourir... m'assura-t-elle.

— Mais t'en sais rien non plus ! Écoute, cet homme est peut-être mort à cause de ça ?

J'avais l'impression de jouer au grand frère, comme si Sawyer était ma sœur.

Alors que la distinction se faisait de plus en plus marquée entre elle et June, mon comportement me faisait comprendre que je ne l'avais pas encore assez assimilé. Ou alors... c'était autre chose. Peut-être que la raison était des plus simples. Peut-être que je voulais simplement qu'Echo ne soit pas blessée. Echo... ou Sawyer ? Non, je devais arrêter de me poser cette question ou encore simplement de l'appeler Sawyer. Continuer de l'ennuyer avec ça montrait que j'étais aussi immature qu'elle.

— De toute façon, il faut savoir.

Son doigt plongea dans le liquide noir présent sur la blouse du scientifique et elle grimaça une nouvelle fois.

Elle émit un petit couinement presque imperceptible.

— Quoi ? fis-je trop rapidement en fronçant les sourcils.

— C'est juste chaud... et dégoutant !

Je souris bien malgré moi.

— Bon, au moins on sait que ce n'est pas aussi mortel que ça en a l'air.

Après quelques secondes, nous décidâmes de continuer de marcher. Il fallait atteindre le toit au plus vite avant de finir bons derniers.

— Tu veux savoir quelque chose ? dis-je quand j'éteignis le plan de ma montre.

— Pourquoi pas ! Tu vas me raconter des anecdotes sur ta vie, c'est ça ?

Je fis semblant de rire.

— Non, nous ne sommes pas assez proches pour ça. Mais si tu y tiens, en voilà une : j'ai l'habitude de tricher pour arriver à mes fins. Même avec Michael. Tu pourras lui demander à l'occasion.

— D'accord, mais comment tu pourrais tricher dans une Simulation ?

— Un vrai tricheur ne dévoile pas ses secrets, désolé, susurrai-je. En fait, non, je ne suis pas désolé.

Echo passa devant moi. Elle était si petite, menue et fragile qu'elle donnait l'impression d'être faite de porcelaine et qu'elle pouvait se briser au moindre choc, à tout moment. C'était comme voir ma petite sœur dans les Simulations. Elle avait aussi ce regard profond qui m'avait tant rappelé celui de June. Et bien trop souvent, elle arborait cet air de défi sur son visage, comme si elle pouvait me battre ou me surprendre. Oh, elle allait sûrement me surprendre par la suite, même si elle ne semblait pas trop dangereuse. Mais c'était ça le truc, elle jouait avec deux identités. Echo et Sawyer. La première avait l'air inoffensive tandis que la deuxième semblait plus dangereuse que n'importe qui. Cependant, je commençais à croire que Samuel ne lui avait jamais rien dit et qu'elle participait aux Simulations au même titre que n'importe qui.

— Tu ne me détestes pas, hein ? s'enquit Echo, me prenant ainsi par surprise.

— Pourquoi tu me demandes ça ?

— C'est l'impression que j'ai toujours eue. Michael n'a jamais voulu me dire pourquoi tu ne m'aimais pas. Il m'a dit que ça te passera. Je sais qu'on ne peut pas apprécier tout le monde, mais dès le départ tu as semblé me haïr... C'est juste que je ne comprends pas. Ai-je fait quelque chose de mal ? Ou est-ce que j'ai dit quelque chose ?

Elle savait très bien que c'était faux.

— Et aujourd'hui, ça a l'air différent. Avant, tu ne m'aurais jamais aidée. Tu m'aurais laissée, et je me serais noyée.

Ce qu'elle disait était vrai. Avant, j'aurais tout fait pour l'éliminer.

Je pris alors conscience que ça l'avait réellement affectée. Qu'aurais-je ressenti à sa place ? Qu'aurais-je fait à sa place ? Sans Michael ? Sans repère ?

— Tu n'as rien fait. Tu es juste la sœur du premier gagnant.

Malheureusement.

— Alors tout se rapporte à lui ? Je n'existe que parce qu'il est ressorti vainqueur de la première édition ? Je suis Sawyer, la sœur du premier gagnant...

Sa voix se fit de plus en plus faible jusqu'à devenir inaudible. Je ne savais pas ce que c'était que d'être jugé au premier regard et par plusieurs personnes, ni d'être détesté sans raison, mais je me sentis désolé. J'imaginais que ça pouvait être dur à supporter.

— Attends, dis-je. Tu n'es pas que Sawyer, la sœur du premier gagnant. Tu es aussi Echo.

Maintenait, du moins, elle l'était à mes yeux.

— Comme dirait Michael, tu as juste à le montrer. C'est à toi de choisir qui tu veux être, et d'agir selon ce que tu penses être bon ou pas. Si tu veux être Echo, sois-juste toi-même.

Me voilà presque philosophique, en face de celle qui était sur ma liste noire dès le départ. Peu importait qu'elle fût Echo ou Sawyer, elle pouvait tout aussi bien être les deux.

— Est-ce que je suis Echo à tes yeux ?

— À toi de le deviner, Hawkins.

J'allais peut-être regretter tout ça, regretter les bons moments avec cette fille, qui nous rapprochaient vraiment rapidement. Elle allait sûrement m'écarter de ce pourquoi je participais aux Simulations. Elle allait sûrement m'empêcher de gagner. Le pouvait-elle vraiment ? Le ferait-elle ? Je n'avais aucune réponse à ces questions.

Néanmoins, j'avais une solution pour écarter tous les risques : lui parler de June, de son état, du temps qui lui restait à vivre. Jouerait-elle pour gagner l'argent nécessaire à ses soins, pour la guérir de cette maladie dégénérative, comme Michael ? Oui, peut-être ! Mais ce ne serait plus pareil, si c'était elle qui gagnait. Elle aiderait ma sœur, pas moi. Elle la sauverait peut-être, pas moi. Enfin... maintenant je savais que la sauver était impossible. Nous ne pouvions que retarder l'inévitable. Et c'était déjà beaucoup.

J'avais donc le choix : faire une alliance ou non.

— Tu as entendu ça ? s'enquit-elle en se rapprochant de moi, me sortant de mes pensées.

— Quoi ? Non, je n'ai rien entendu.

La discussion était désormais close. Nous devions nous reconcentrer sur le niveau.

* * *

Nous n'avions pas encore aperçu ce qui avait tué les scientifiques. Nous ne savions pas à quoi ressemblait ce qui s'était échappé des enclos. Nous ne savions toujours pas à quoi nous allions faire face ou contre quoi nous allions devoir nous battre. Ce serait mentir si je disais que je n'étais pas aussi angoissé qu'Echo à l'heure qu'il était. Son anxiété était si contagieuse que je tremblais presque autant qu'elle.

Nous n'avions croisé aucun autre joueur et l'ambiance était pesante. Echo et moi avions arrêté de parler pour ne pas faire trop de bruit. Heureusement que nos chaussures ne couinaient pas à cause de l'eau parce que rien que le bruit de nos pas semblait crier : « Venez nous manger ! On est là ! ». J'avais cette terrible impression que nos semelles martelaient le sol et que cela pouvait résonner jusqu'à l'animal.

— C'est trop silencieux. J'aime pas ça, lançai-je à voix basse tout en me retournant pour m'assurer que rien ni personne ne nous suivait.

— C'est marrant, dès que quelqu'un dit cette phrase dans un film, il finit par se faire bouffer.

— Je sais, je l'ai repris d'un vieux classique, l'informai-je.

— Je m'en doutais... même si je ne regarde pas ce genre de trucs.

— Pourquoi participer aux Simulations, alors ? C'est comme être dans un film. Surtout que là ça ressemble à des films d'horreur... Je vois pas pourquoi tu participes si tu n'aimes pas ça.

— Pas mon choix, dit-elle avant de s'arrêter devant moi.

Pas son choix ? Qu'est-ce qu'elle entendait par là ? J'allais demander des explications quand elle me fit signe de ne rien dire et de rester totalement immobile. J'haussai les épaules et jetai un œil par-dessus la tête à Echo : rien. Les couloirs semblaient déserts.

Puis un étrange cri me parvint à l'oreille. Il n'avait rien d'humain. Je le connaissais cependant, je l'avais déjà entendu quelque part. Mais quand ? Et où ? Je n'arrivais pas à remettre un nom dessus.

Echo m'intima silencieusement de reculer, ce que je fis rapidement sans me faire prier. Ses mains tremblaient légèrement. Elle avait vu quelque chose !

— C'était quoi, bordel ?

— Y avait quelque chose... mais j'ai mal vu... Un animal ? Il semblait grand... avec une queue. Mais une longue queue.

— Il nous a vus ?

— Non, il regardait autre chose.

Peut-être un autre joueur.

— Et ce truc ne te dit rien ?

— De loin, c'est vague.

Un autre cri se fit entendre et il paraissait assez proche. Trop proche. Je nous voyais déjà recommencer.

Un rapide coup d'œil me permit de voir qu'il nous était possible de nous cacher dans une pièce. Il suffisait d'ouvrir la porte grâce au badge. Mais pour cela, il fallait traverser le couloir, et prendre le risque que la chose nous voit. Je fis signe à Echo que nous pouvions nous cacher et elle hocha la tête. De toute façon, il ne nous restait plus beaucoup de temps.

— Tu es prête ?

Je ne pus m'empêcher de penser que mine de rien, je tenais à ce qu'elle me suive. Je tenais à ce qu'elle continue les Simulations.

— Un... deux... trois... cours !

Tout se passa en quelques secondes. Mon cœur battait si vite que je pensais qu'il finirait par exploser.

Je tournai la tête sans m'en rendre compte quand je me trouvais au milieu du couloir, et m'immobilisai pour apercevoir une masse sombre un peu plus loin. Assez grande, il était certain que la bête faisait au moins la taille d'Echo. Ses yeux me scrutaient fixement, comme si elle me jaugeait. Elle se redressa et sembla élever son buste. Elle lança un cri, puis un deuxième, puis un troisième. C'était quoi ? Et soudain elle s'élança.

— Luke ! Bouge !

Je sortis de ma torpeur et quelques enjambées suffirent à atteindre la porte qui s'ouvrit rapidement après avoir scanné le badge. Elle se referma derrière nous tout aussi vite et j'étais certain que si une seconde de plus s'était écoulée, l'animal m'aurait suivi à l'intérieur.

La pièce était complètement baignée dans l'obscurité, et lorsque je me tournai vers la porte afin de lui faire face, je remarquai qu'une sorte de vitre nous permettait de voir ce qu'il y avait à l'extérieur.

Je sursautai lorsque la tête de la bête apparut. Son œil de couleur entre le jaune et le vert nous fixait. Sa pupille ressemblait à celle d'un reptile. D'ailleurs, on pouvait discerner des écailles et non de la peau, ou encore des poils. Des écailles. Bordel, je ne demandais même pas s'il ne valait mieux pas ne pas savoir ce que c'était. La bête cligna de l'œil et j'avais l'impression qu'elle réfléchissait à comment entrer ici.

— On est en sécurité ici ? me demanda Echo.

— J'en sais rien... j'aimerais l'espérer. Le problème, c'est qu'on ne peut plus sortir. À moins qu'on trouve une autre sortie ?

Puis l'animal leva la tête comme s'il allait se remettre à crier. La vitre dévoila alors deux rangées de dents fines.

Un cri, deux cris, trois cris... C'était un appel.

— Oh merde ! Je crois savoir ce que c'est !

* 

A vous de deviner : c'est quoi l'animal ? 

Le duo Luke/Echo (va falloir leur trouver un nom de 'couple' au fait. Il y a déjà Lecho, d'autres propositions ?)

Luke commence doucement à changer d'avis sur Echo héhé, ça s'annonce bien pour la suite ! 

Et comme promis le quiz pour savoir à quel personnage vous ressemblez est en ligne ! 

Pour y accéder, vous cliquez sur le lien externe présent à la fin de cette partie, ou sur mon dernier post sur mon profil, ou dans les commentaires :) 

Surtout, mettez en commentaire quel personnage vous êtes !

A très vite pour la suite ♡