Yo !

J'ai pu enfin finir ce chapitre !

Les cours me prennent tellement de temps... Je fini tout les jours à 18h et j'ai que le mercredi et le week-end pour écrire ! Et là actuellement je suis malade donc c'est encore plus galère.

Bref ce chapitre est assez... On va dire qu'il peut choquer certaines personnes. Dans ses cas là, je suis désolée.

AUSSI !

Ce message concerne QUE pour ceux qui suivent la fic sur Wattpad :

Arrêter TOUT DE SUITE les commentaires à chaque phrases/paragraphes/mots de mes fics, TOUTES. C'est SUPER RELOU. Surtout avec des commentaires du genre " mdrr ". Tu veux que je réponde quoi à ton " mdrr " ? Je m'en fiche ! Je préfère ne pas avoir de commentaire qu'avoir ce genre de débilité. Je vais finir par arrêter de vous répondre -or mis mes amies-. Et je ne parle pas que de moi, y aussi d'autres personnes que je connais qui en ont marres de ça, mais certains continue leur spam. Vous vous rendez pas compte que c'est ÉPUISANT. J'aimerai avoir des commentaires aussi constructifs que je reçois sur ...

Bref, c'était la parenthèse et j'espère que j'ai rien oublié et que vous comprenez.

Aller place au chapitre !

PLUS ULTRA !

...

" Dite madame... Shouto va-t-il s'en sortir ? "

Fuyumi ?

" Oui, ne te t'inquiéte pas. "

" Alors pourquoi il ne se réveille pas ? "

Natsuo ?

" Il est encore inconscient, mais il devrait se réveiller dans moins d'une semaine. "

Pourquoi il fait si sombre..?

" Touya, ça veut dire quoi inconscient ? "

" C'est comme si tu dormais. "

Touya ?

J'ai peur...

Il fait sombre ici...

Maman...

...

" Je suis muette. "

" Je suis muette. "

Les mots de Shouto avaient été entendu par toute la classe. Tous étaient sous le choque, jusqu'à ce que Momo se remette à bouger ses mains. En voyant le visages confus de ses camarades, le bicolore savait qu'il était devenu traducteur. Ce qui l'énervait un peu...

" S'il vous plaît, ne me traiter pas différemment d'un autre élève juste parce que j'ai un handicape... " traduit Todoroki.

Au fond de lui, Shouto était un peu touché. La brune avait fait cette demande si simplement... Lui n'avait jamais eu le courage avant, alors Shouto avait été délaissé par ses camarades jusqu'à ce que Izuku force à être son "ami". Malgré ça, il restait toujours seul...

Yaoyorozu avait l'air d'être une personne gentille et agréable à vivre malgré son silence, alors pourquoi avait-il cette douleur dans la poitrine ?

Ses camarades de classe -surtout les filles- commençaient à parler à Momo de manière si... normal. Comme si cette dernière n'était pas muette. Alors que Shouto commença à retourner à sa place, il fut arrêté par Mina.

" Hey Todoroki, tu crois que tu pourrais nous traduire ce que Yaomomo nous dit ? " lui demanda-t-elle avec innocence.

Todoroki se sentit irrité par ses mots. Mais il se calma quand la muette prit le relais.

Elle chercha dans son sac pour y récupérer un tableau blanc et un feutre. Elle y écrit : Pas besoin de Todoroki-san déranger pour si peu, Ashido-san.

Il était surpris. Il aurait pensé qu'elle l'aurait utilisé comme traducteur, mais non. Mina se retourna vers lui pour s'excuser, ce dernier ne répondit qu'avec un hochement de la tête. Shouto se retourna vers Yaoyorozu pour lui exprimer sa gratitude mais elle avait déjà lever ses mains pour lui parler.

" Merci beaucoup. " lui disait Momo avec le sourire.

Il ne comprenait pas pourquoi elle le remerciait, mais il n'y fit pas attention. Du moins, pas maintenant.

" De rien, je suppose ? " répondit Shouto avec ses mains. Sa réponse avait tiré un petit rire silencieux à Momo.

Elle avait l'air mignonne comme ça.

Non. Il n'éprouvait pas ce sentiment comme dans toutes ces histoires d'amours clichés.

Oui. Il était juste honnête.

Ce serait mentir si on ne trouvait pas Momo Yaoyorozu mignonne, voir magnifiquement belle. Non, en faite il n'y avait de mots pour décrire sa beauté. Il le savait. Alors autant être honnête avec sois-même comme on dit, non ?

Quand la sonnerie retentit, les élèves retournèrent à leur place respective pour attendre le professeure Midnight qui allait faire son cours.

...

Alors que le professeur Midnith posait une question, Shouto regarda discrètement sur son côté gauche pour voir que Momo levait la main. Midnight l'interrogea. La fille à la queue de cheval leva alors son tableau blanc avec la réponse écrit dessus.

Le professeure approuva et Momo lâcha un petit sourire.

Shouto était de plus en plus curieux à son sujet...

...

C'était l'heure du repas. Izuku, Tenya et lui se dirigèrent vers la cantine. Ochaco devait manger avec eux mais elle avait préféré manger avec la muette.

Todoroki trouvait cela suspect.

Pourquoi ?

Pourquoi cette fille muette l'intriguait autant ?

Pourquoi ?

Était-il jaloux d'elle ? Non... Alors pourquoi...?

Pendant sa jeunesse, juste après son accident qui l'a rendu malentendant, les enfants de son école ont commencé à l'évité. De ce qu'il avait entendu, les enfants disaient que c'était inutile de jouer avec quelqu'un qui entend même pas ce que l'on lui dit.

Shouto se souvient que le soir, en rentrant chez lui, il avait pleuré dans les bras de sa sœur.

Au fur et à mesure où il grandissait, le bicolore trouvait de plus en plus qu'il était stupide d'avoir des amis. Surtout avec un handicape comme le sien.

Izuku et Tenya ? Le bicolore ne savait même pas comment les définir...

Des amis ?

Des camarades ?

Des connaissances ?

Shouto n'en savait rien.

Une fois leur repas pris, les jeunes lycéens se mirent en quête d'une table pour manger et une fois installé, ils se mirent tous les trois à manger tranquillement. Izuku et Tenya parlaient fluidement pendant que Shouto les écoutait difficilement, ne faisant des interventions que quand ce dernier le jugeait nécessaire.

Et le repas de midi passa tranquillement, sauf pour certains...

...

Elle était parti subitement. Il l'avait vu.

Le bicolore avait vu Yaoyorozu partir en courant après la fin de leur dernière heure de cours. Elle avait un air paniqué à ce moment là.

Enfin, Todoroki n'y faisait pas attention.

Une fois de plus...

Tant dis qu'il s'apprêtait à partir, il remarqua que la muette avait laissé son téléphone sur son bureau. Il le ramassa.

Je devrais peut être le lui rendre demain ? se dit-il.

Alors le bicolore mis le téléphone dans sa poche puis sorti de la salle de classe.

...

Il marchait dans les rues, la tête remplie de pensées :

Sa vie.

Son accident.

Sa famille.

Son accident.

Sa mère.

Son accident.

Son accident.

Ça le hantait. Il pensait jour et nuit à cet accident qui l'a rendu sourd. Pourquoi était-il sorti ? Il se le demande encore...

C'était pour aller la chercher, il lui semble.

Enfin, maintenant cela n'a plus d'importance.

Shouto était tellement dans ses pensées qu'il n'a pas remarquer le sac à dos qui était sur le trottoir, et il est tombé.

Comme certains disent : il s'est vautré.

Alors qu'il jura dans sa barbe, il se releva et chercha ce qui l'a fait tomber. Quand il vit le sac, il ne pouvait penser qu'il l'avait déjà vu... C'est pourquoi il fouilla un peu dedans. Sa soeur lui à dit que c'était mauvais d'être curieux. Comme dit le proverbe :

La curiosité à tué le chat.

Mais plus tard, on pourrait dire plutôt cela :

La curiosité à sauvé le chat.

En fouillant dans le sac mystérieusement familier, il trouva un cahier avec écrit dessus :

Momo Yaoyorozu.

C'est à Yaoyorozu ? Mais pourquoi son sac est-il par terre ? se questionna le bicolore.

Shouto regarda les alentours. Il n'y avait aucunes traces de la fille. Il demanda à des pensant si ils avaient vu la fille mais la plupart répondirent négativement.

Tant pis, je lui rendrais ses affaires demain... pensa-t-il.

Alors que Todoroki commençait à abandonner, ses yeux se dirigèrent vers un bruit venant d'une ruelle. Un chat peut-être ? Shouto Todoroki adore les chats, alors, il se dirigea vers le bruit, mais ce qu'il vu n'était pas du tout ce petit animal mignon et adorable.

Il y trouva plutôt un homme, plutôt quelqu'un qu'il voudrait éviter, avec une jeune femme. Cette dernière était familière à Shouto.

Le bicolore continuait d'observer la scène quand il comprit ce qu'il se passait :

L'homme essayait d'enlever la chemise de la femme, qui, avait l'air de se débattre pour l'en empêcher mais cela n'arrêta pas l'homme qui avait finalement fini par ouvrir la chemise de la fille, sa poitrine maintenant à la vue de tous. L'homme se mit à tripoter les seins de la jeune fille tout en lui mordant le cou. Cette dernière tourna sa tête vers Shouto, elle avait les larmes aux yeux, appelant silencieusement de l'aide. Le bicolore pouvait clairement voir qui était cette femme et surtout qu'elle essayait de repousser l'homme qui était littéralement entrain de l'agresser sexuellement.

C'était Yaoyorozu.

...

Waaah...

Je suis surprise par moi-même sur ce chapitre...

Bref !

Le prochain chapitre arrivera surement dans un moment mais si j'ai de la chance, je pourrais écrire vite !

Teyola à choper la crève.