Je cours. Dans la nuit de samedi à dimanche. Je cours. J'aimerais que l'on me donne une dernière chance.

Je veux vivre ! Rien ne m'en empêche et pourtant j'encaisse. Chaque seconde est un fardeau. Connaît tu ce moment où tout fout le camp ? Où tu n'es plus capable de continuer ? Plus capable d'avancer...
Je cours pour oublier ma l'acheté. Je fuit ma vie, je créer des ennuies et je déçoit mes amis.

Je n'ai plus ma place. Ni dans la vie ni dans la mort. Je veux me réfugier là où personne ne pourra me juger.

Je m'enfonce dans la nuit à la recherche d'un point de repère. Je cours pour oublier... je voudrais tout abandonner. Je ne me rend pas compte d'où je suis... je suis ailleurs. Hors de mon corps, loin de mon être, mon esprit reste obscurci. Je me trouve sur une route, celle de ma maison je n'ai plus qu'un rêve ... m'endormir et ne plus jamais me réveiller.

Le noir m'enveloppe doucement.... c'est agréable d'avoir la tête légère. Je m'envole ainsi transportée par une douce folie la concience endormie. Les minutes ont passé ainsi que les messages se sont accumulés mais je ne les lirai pas ce soir. Cette nuit m'est réservée, la lune pour seule confidente je pleure et je me lamente.
 

Cet ''épisode'' d'un soir n'est pas à réaliser et encore moins dans le noir. Comme dit je n'ai pas réfléchi... et se fu une belle connerie...même à bout... même tout au bout... n'oubliez pas que derrière nous des gens nous aime malgré tout.