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Chapitre 6 : Explosion

" Si vous n'êtes pas prêt à risquer vos habitudes et routines bien rôdées, vous vous assurez la médiocrité mais aussi la discrètion " 

                                                                   Drina lagoon

Le reste de la journée se passe en douceur, si l’on peut dire. J’ai beaucoup de cours communs avec Lydia qui meuble le plus grand de la conversation ce qui m’arrange. Je n’aime pas beaucoup parler, j’aime entendre et analyser. Je déteste devoir dire quelque chose en retour et je ne peux définitivement pas révéler un de mes secrets sauf si je veux me faire tuer.

En cours de mythologie, j’apprends de nouveaux noms et de nouvelles histoires. Mrs. Histoly  est une femme charmante qui parle avec fluidité et efficacité. Je l’aime d’ors-et-déjà d’autant plus qu’elle a réussi à rendre l’une des matières les plus ennuyeuses en quelque chose d’amusant et d’intéressant. Elle nous a fait monter sur l’estrade devant la classe pour parler du dieu de l’olympe que nous voudrions être. Ça m’a fait plutôt plaisir et tout le monde est passé de bonne foi.

Lydia me parle de tout et de rien après le cours. Elle vient de Californie, ce qui explique son teint légèrement brun. Elle a vécu avec ses parents adoptifs et ses pouvoirs se sont révélés quelques mois plutôt. Elle avait postulé pour cette école dés qu’elles avaient remarqué les anomalies dans son comportement.

Elle me regarde, attendant surement que je lui livre ma version de l’histoire, mais le risque est trop grand. Je me fais confiance, mais je ne fais pas confiance à mes lèvres qui on tendance à articuler avant que j’ai correctement réfléchi. Je détourne donc le regard et lui demande si elle a faim ce à quoi elle me répond :

- J’ai une faim de  loup. Elle rigola à sa propre blague parce que c’était un loup-garou. Une Upsilon plus précisément si je lisais bien.

Bientôt dix heures du soir. Enfin, le dîner.

Mon ventre a fait des siennes durant toute la journée, m’empêchant de me concentrer comme je le voudrais. En fait, tout depuis mon arrivée est fait pour me faire déguerpir à la vitesse d’un flash.

Tout d’abord, Blaze.

En suite ma coloc’ qui est une martienne, pas de doute là-dessus.

Le contrôle que j’ai foiré comme il se doit.

Un Reed qui me « Veut ». Je ne sais pas encore ce que ça implique exactement mais je sais que ça implique à un certain niveau, des activités physiques salissantes.

Je m’assois à ma place habituelle. Le brouhaha des conversations ne s’arrête pas et Lydia non-plus. Elle parle trop pour une personne normale.

- Qu’est-ce que tu fais là lydiote, cet endroit est interdit aux trolls. Dit une fille en passant à côté de nous.

Elle était grande, taille de rêve, lèvres rapprochées à un point extrême comme si elle allait exploser.

Lèvres-pincées fixe Lydia d’un regard sévère et plein de dégout.

Pour qui se prend-elle exactement ?

- Je… Commence lydia. Je devine déjà qu’elle va essayer de s’excuser, mais de quoi ? Il en est tout simplement hors de question. Et puis, j’ai bien envie de me défouler, et avec cette journée paradisiaque, je suis une bombe à retardement qui n’attend qu’un effleurement pour tout détruire.

- Tu as dit interdit aux Trolls. Qu’est-ce que tu fais là alors ? Je demande en me retournant dans un geste lent et calculé. Oh, je vais m’amuser. Il ne fallait pas me chercher, pas aujourd’hui en tout cas.

Lèvres-pincées ose enfin jeter son regard sur moi. Elle m’inspecte comme une sorte de larve à quatre queues particulièrement dégoutante. Je la regarde et je sais par expérience, que mon mes yeux noirs au reflet presque inexistant sont troublants et que mon regard quand je suis dans un état de colère, est meurtrier.

Miss-monde fait une moue dépréciative avant de demander :

- Qui es-tu, créature de basse-classe, pour me parler sur ce ton ?

J’ai envie d’éclater de rire. Créature ? Vraiment ? Elle me provoque et elle n’a surement aucune idée des conséquences de ses actes

- Je suis celle qui fera de ta vie un enfer si tu ne dégage pas tout de suite. Je réplique, ma voix aussi calme qu’une eau stagnante et aussi froide qu’un bloc de glace.

-  Tu crois me faire peur ?  Je n’ai pas peur des espèces inferieures comme toi.

Je claque de la langue. Elle m’énerve et quand je m’énerve, j’ai tendance à laisser mes pouvoirs prendre le contrôle. Je dois éviter toutes les émotions trop extrêmes.

- Tu devrais. Si tu as de la matière grise dans ton cerveau, tu devrais t’en aller. A moins que tes cheveux trop longs soient un obstacle à ta compréhension, là,  je peux te garantir que tu ne t’en sortiras pas indemne.

Elle me fixe comme si elle n’en croyait pas un traitre mot. Je ne peux pas m’en empêcher, c’est plus fort que moi. Toute la magie de la salle afflue dans l’air qui m’entoure. Mes cheveux ne tiennent plus en place. 

- Fais ce qu’elle te dit, Isabelle. Dit une voix que je reconnus presque immédiatement.

C’est Blaze.

Il regarde lèvre-pincées, elle s’appelle donc isabelle ?

- Blaze ! Je sais que tu t’inquiètes pour moi mais je peux la battre sans même lever le petit doigt.

Et pouf ! ça me revient. Je savais que son visage était familier. C’était la fille que j’avais surprise avec Blaze. La fille qu’il avait mordue devant moi.

Sa réponse me donne l’envie de lui donner un coup de poing chargé d’électricité qui l’enverra tout droit à l’enfer où elle est destinée à aller. Qui a donc un égo aussi surdimensionné ? Ne lui a-t-on jamais appris à ne pas sous-estimer l’adversaire ?

Je serre les poings, et la magie tournoie autour de moi. Je ne peux pas la voir car elle est invisible mais je peux la sentir dans chaque fibre de mon corps, autour de moi, comme une poussière qui s’épaissit de plus en plus. Il ne me restera plus qu’à prononcer le sort que je veux lui jeter, et basta.

- Isabelle. Fiche.le.camps. Tu ne vois pas que c’est un foutu trou-noir à magie et qu’elle a surement accumulé assez de magie pour te finir ?

- Mais…

- Va-t’en. Répète Blaze.

 Isabelle me regarde et écarquille les yeux comme si elle me voyait pour la première fois. Oh comme j’ai envie de lui montrer ce dont je suis capable en ce moment. Elle fait volte fasse et décampe comme un voleur surpris par la police.

Je me relaxe. Mes cheveux cessent doucement de voler dans les airs. La magie cesse de devenir aussi suffocante. Tout le monde retient son souffle jusqu’à ce que je me sente de nouveau normale.

Je regarde autour de moi. Tout le monde me fixe.

Je prends une grande inspiration. Je n’en peux plus de toute cette attention. Qu’est-il advenu du plan discrétion ? Je n’en ai aucune idée.

- Le spectacle est fini ! Dit quelqu’un derrière moi. C’est Eva-étrange et sa voix montée de plusieurs octaves fait sursauter tous le monde dont la plupart se retournent et cessent de me regarder comme une bête de cirque.

On vous a jamais appris que fixer c’est malpoli ?

Bande de ploucs.

Je prends un muffin et me dirige vers ma chambre en m’insultant de tous les mots.

J’arrive dans la chambre et me laisse tomber sur le lit. Quelque chose me dérange et me fait mal au dos, je me lève pour trouver un enveloppe  assez solide que j’ouvre.

« Méfie-toi héroïne.

Tout homme est ‘dangereux’ quand il est contre  les choses établies.

Tout ce qui ne tue pas, te laisse sur tes gardes.

Ne fais pas confiance, les apparences sont trompeuses.

Vigilante, toujours car ici, celui à qui tu fais confiance n’hésitera pas à te poignarder. Un sourire aux lèvres.

Rien n'est sûr, il ny'a pas de noir où de blanc. Le gris est la seule couleur traitresse qui en advient, souviens-toi bien.

 Les rêves reflètent souvent ce que l’on voit déjà. Mais les miracles existent, les choses arrivent et tu as été choisie. Ne l’oublie pas. »

 Ma respiration s’accélère. Quelqu’un sait.

Quelqu’un sait ce que je suis.

             Je cache la lettre sous mon oreiller.

Merde, merde, merde.

Je regarde le plafond, complètement paniquée. Puis, j'entend la sonnerie de mon téléphone et je décroche la seconde qui suit :

- Arya ? Qu'est-ce quise passe ? Demande mon jumeaux d'une voix inquiète.

 Nous avons ce lien bizarre entre nous qui nous préviens quand l'un d'entre nous demande de l'aide où est en danger.

- Quelqu'un sait. Quelqu'un sait que je suis... Je m'interromps, je voulant pas dévoiler trop d'informations dans une chambre dont je ne connais pas le sureté exacte.

- Tu es sûre ? Ce n'est pas une sorte de mauvais blague ? Me demande-t-il aprés un moment.

- Non, j'en suis sûre C'est venu dans ne foutue lettre et c'est écrit en grand.

Je l'entend soupirer à l'autre out du fil.

- Le mieux, c'est que tu fasse comme si ça ne t'affecte pas. Tu va devoir jouer la comédie pendant quelques temps, pour faire douter. Mais on le saura tôt où tard. Appelles-moi si tu as un problème d'accord ? 

Je prend une grande inspiration. Je suis plus grande que lui, de quelques secondes.

Mais je suis plus grande que lui quand même.

J'ai toujours eut l'habitude de voir Harry comme étant le plus mature. Un casanova de première classe, mais mature quand même. Sauf pour nos tatouages.

Je n'en ai que deux. Une plume noire sur mon épaule gauche et des arabesques abstraites sur ma hanche.

Lui, il en a partout. Sur le torse, les bras, les mains, le dos. Une vraie oeuvre d'art qui a faillit faire une crise cardiaque à ma mère.

- Ouais.

Je raccroche. Les formules de politesse et tout ça, laissez-ça pour les gens qui en ont quelque chose à faire, moi je vais droit au but.

Je me change et met mon pyjama confortable. Je me brosse les dents et me met sous la couverture et attend que le sommeil me rattrape.

" Je suis encore dans ce couloir sombre et je me dirige vers la porte rouge. Je l'ouvre et cette fois -ci, je vois quelque chose. Quelque chose d'étalé par-terre.

Un corps sans vie.

Mes jambes sont lourdes et engourdies et j'ai du mal à approcher. Quand enfin je regarde de plus prés, je reconnais les traits et le visage de la jeune fille devant moi. Morte, glacée, rigide et immobile. à côté d'elle, le nombre "3" est inversé sur un petite pancarte.

Elle ne bouge pas. Une dague de dix centimètres est plantée dans son ventre.

 Sans aucun doute, cette fille, C'est moi."

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HEYYYYYAAA !

Voilà le chapitre six ! Qu'est-ce que vous en pensez ?

Commentez :))))

J'adore lire vos commentaire, ça me fait du bien et ça me fait sourire la plupart du temps. C'est toujours bon de savoir que son propre travail est aimé, que les efforts qu'on y met de sont pas vains et inutiles.

Véritablement, ce ne sont pas les votes qui m'inspirent où qui m'encouragent. Mais ce que vous dites, vos messages, vos critiques. Tout ça me permet d'avancer. à quoi bon avoir des votes si ce qui nous intéresse c'est ce que les autres en pensent ?

Je vous aimes, PETITS MONSTRES ! 

Vote&COMMENT.

Prochain chapitre à 8 commentaires ;)

Love yaaaaaaaaaaaaaa !

Drina xx

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