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...logue

Suite de épi...

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Je suis allé chez lui en priant fort de ne pas croiser Poulméra... Mais elle était là malheureusement. Elle était surprise de me voir. Elle s'est levée subitement et m'a demandé :

- Qu'es... Qu'est-ce que tu fais là ?

- Je suis venu voir ton père. Il m'a appelé.

- Mignane ?

- Oui.

- Peut-on discuter avant ?

- Quand j'aurai fini de parler à ton père, oui.

- D'accord il est dans le salon.

Il était visiblement content de me voir lui. Il m'a salué genre 5 fois. Je voulais juste qu'on en finisse moi pour que je puisse rentrer.

- J'imagine que tu as une idée de pourquoi je t'ai appelé.

- Pas vraiment.

- Je veux savoir pourquoi tu ne veux pas reprendre ma fille en tant qu'épouse ? Vous avez un enfant ensemble, il mérite de grandir dans un foyer avec ses deux parents. Tu ne viens même pas voir ton fils. Tu trouves celà bien? Le petit Séga ne te connaît même pas et vous vous ressemblez tellement.

C'est justement celà qui me fait mal. Partout, tout le temps on me dit que je ressemble à ce petit. Je n'en peux plus ! Le vieux poursuit.

- Un père ne devrait pas agir ainsi. Cet enfant pourrait garder une rancœur contre toi en grandissant et tu es bien placé pour le comprendre.

- Effectivement. Rassurez-vous je sais très bien ce qu'on peut ressentir quand on grandit loin d'un père. Je veillerai à être plus présent pour lui et à ce qu'il ne manque rien.

- Ça me rassure.

- Je ferai un effort.

- Et pour Poulméra ?

- Je suis désolé mais c'est vraiment fini entre elle et moi et pour de bon.

- Après tout ce que vous avez fait depuis le collège pour votre amour, après tout ce que tu as fait pour qu'elle devienne ta femme, après tout ce que vous avez vécu ?

- Oui après tout ça. Nous sommes séparés pour une bonne raison que je ne tiens pas à vous dire par respect.

- Quoiqu'il en soit je te demande d'y réfléchir s'il te plaît parce que je ne reconnais plus ma fille depuis son divorce. Elle ne va vraiment pas bien.

- D'accord je vais y réfléchir dis-je pour écourter la discussion.

- Merci d'être venu.

- C'est moi.

Poulméra m'attendait devant sa chambre.

- il faut qu'on parle Mignane.

- Je t'écoute.

- Allons dans la chambre.

- Non ici c'est...

- S'il te plaît, s'il te plaît Mignane.

Je la suis.

Un pied dans la chambre et elle me prend dans ses bras.

Je ne m'y attendais pas et donc je ne réponds pas à son étreinte.

Elle s'éloigne.

- Tu ne m'as jamais refusé un câlin me dit-elle. Pourquoi tu ne me serre pas dans tes bras ?

- Dis ce que tu as à dire.

- Je voudrais de vive voix te demander pardon. Je sais que j'ai déconné. Mignane tu ne sais pas à quel point tout ceci me pèse. Ma vie est un enfer. Je regrette tellement et j'aimerai tellement que tu me pardonne.

- Tu es pardonné ça va ?

- ...

- C'est bon t'es contente ?

- Mignane. Je ne sais pas quoi dire.

- Tu n'es pas obligé de dire quelque chose. Bon, je vais y aller.

Je lui remet de l'argent.

- C'est pour le petit. Désormais, je t'enverrai de l'argent pour lui. Prenez soin de vous.

Elle se mit à pleurer en serrant les billets dans ses mains. Je hâte le pas dehors et retourne à ma solitude.

Je discute en appel vidéo groupé avec mes deux sœurs et ça me remonte le moral.

Suis-je condamné à avoir mal toute ma vie ? Parce que je ne sais pas si un jour j'arriverai à oublier ce que Poulméra m'a fait et plus j'y pense, plus j'ai mal.

On toque à la porte. Je sais déjà que c'est Omar.

Mais à ma grande surprise ce n'était pas lui.

C'était une surprise. Une grande.

- Salut Mignane.

- ...

- Mon visage ne te dit rien ?

- Je me souviens de toi.

- Tu dois te demander ce que je fais ici ?

- Naturellement.

L'homme qui l'accompagne s'approche.

- Est-ce qu'on peut entrer ?

J'hésite un peu. Réticent.

- S'il te plaît. Nous devons discuter.

Je me dégage de la porte et les laissent pénétrer dans ma modeste demeure.

- C'est beau chez toi, très sobre dit l'homme.

- Vous êtes qui vous dis-je.

- Mignane, je te présente Kabir, c'est mon frère ...

- Ton frère ?

- Où devrais-je dire notre frère.

- Comment ça ?

- Moi je suis ta sœur ça tu le sais déjà. On s'est déjà rencontré à plusieurs meetings de mon père. Si tu te rappelles j'avais passé un message à mon père pour toi concernant une certaine Sountou, qui je suppose est ta mère.

- Pardon ? Je...

Ça fait trop d'informations d'un coup.

Je saisis une chaise et me laisse tomber dessus.

Eux, finissent par prendre place à côté de moi.

Ensemble nous gardons le silence.

Dans ma tête , je me souviens de ce jour où j'étais au meeting du ministre quand une fille m'a demandé si j'étais envoyé par l'opposition pour espionner son père. Elle m'avait même menacée d'appeler la sécurité.

C'était la dernière fois que je l'avais vu d'ailleurs et aujourd'hui elle est chez moi avec un gars qui est censé être son frère.

Notre frère !

Je ne comprends plus rien.

- Mignane tu sais comment je m'appelle au-moins dit-elle.

Je cherche dans ma tête.

- Fama ?

- Oui c'est ça.

- Ton père m'avait déjà dit. Mais il avait dit que tu es sa seule enfant dis-je.

- Et bien il t'a menti dit-elle tranquillement comme si elle y était habituée.

- Ah ça c'est pas nouveau, notre père est un sacré menteur ajoute Kabir lui aussi en toute aisance.

- Tu n'es pas sa seule enfant ?

- Alors Mignane, il faut que je t'explique. Kabir vient juste après toi, il a un petit frère et moi je viens juste après et pour terminer tout les 4 nous avons une petite sœur qui étudie le droit à l'Université de Saint Louis.

- Il a 4 autre enfant dis-je choqué !

Mais qui est Séga en fin de compte ?

- La mère de Fama est la seule qu'il a épousé. Nous autres sommes les enfants qu'il a eu par-ci par-là, toi t'es le fils de la bonne, moi de la lingière, Abdel notre petit frère il l'a eu avec sa petite amie d'alors une française qui travaillait à la Croix-Rouge pendant la guerre. Tu peux le croire toi ? Le mec il est en guerre mais il a le temps de se taper une infirmière de la croix rouge.

- Ce n'est pas possible, ce n'est pas vrai. Nous parlons bien de Séga Diouf ?

- Tu n'as encore rien entendu me dit Fama.

Kabir reprend :

- Ensuite il a épousé la mère de Fama mais n'a pas pu s'empêcher de lui faire un enfant dans le dos qu'il a quand-même reconnue cette fois, il l'a appelé Sountou, notre petite sœur à tous.

- Il a osé lui donner le prénom de ma mère ?

- Faut croire que c'est le grand amour de sa vie précise Fama. C'est d'ailleurs ce qui a retenu mon attention quand on s'est rencontré pour la première fois et que tu as dit '' le fils de Sountou ''. Je me suis dit qu'il y avait quelque chose que je devais savoir. J'ai fait mes recherches et je suis allée parler à mon père quand j'ai senti que mes recherches ne me menaient nulle part. Il a fini par tout m'avouer et m'a même dit qu'il a rencontré ton épouse, ça m'a fait plaisir. Je sais qu...qu'il fait des conneries mais moi je tiens à réparer tout ce que je peux. Je me sens quelque fois responsable du mal qu'il fait. C'est pourquoi j'ai pensé qu'il serait bien qu'on se connaisse tous. Fin' tu vois termine t'elle.

- Si tu n'y vois pas d'inconvénients bien-sûr ajoute Kabir.

Je filtrais et digérais lentement tout ce flot d'information.

Sacré Séga !

J'avais... J'étais énervé mais je ne savais pas contre qui.

J'étais en colère et très mal de l'intérieur.

Je me suis retiré un moment pour prendre un verre d'eau comme si ce liquide pouvait éteindre les flammes infernales qui jaillissaient en moi.

Deux verres d'eau et j'étais toujours aussi énervé.

Je me met à tenter de réguler ma respiration.

Je ne peux pas me permettre de pleurer devant ma petite sœur.

Bon Dieu ! J'ai dit ça ? Ma petite sœur.

Je me reprend peu à peu et vais les rejoindre.

- Excusez mon absence.

- Est-ce que tout va bien ? Demande Fama.

- Oui ça va.

- Est-ce qu'on a bien fait de venir te voir ou aurais-tu préféré qu'on ne le fasse pas ? Tu peux nous dire, tu sais. On ne force rien et on respectera ta décision peu importe.

Très diplomate ce Kabir.

- Ça ne me dérange pas bien au contraire. Je suis juste surpris. Vous pouvez le comprendre ?

- C'est normal j'ai eu la même réaction quand Fama est venu me voir. Moi j'ai engagé un détective qui n'a pas cherché loin avant de me dire que mon père est le politicien que je vois souvent à la télévision. Je suis allé le voir pour juste arrêter de me l'imaginer.

- Toi aussi il ne t'a pas reconnu?

- Vers mes 20 ans si, il a proposé de m'aider dans mon cheminement professionnel histoire de s'excuser, mais je lui ai clairement montré que je n'avais pas besoin de lui dans ma vie. Ma mère a été un excellent père en plus d'être une maman formidable.

- Je ne crois toujours pas que j'ai des frères et sœurs que je n'ai jamais connu. Je suis dépassé.

- Rien ne nous dit que nous sommes les seuls hein. Notre père a peut-être des enfants cachés quelque part dit Fama. Je ne sais jamais à quoi m'attendre avec lui mais je sais que si j'insiste il finit toujours par me dire la vérité. Je suis un peu son talon d'Achille. Il me dira si notre fratrie devait s'agrandir.

- Oui dis-je en pensant au petit Séga. Lui aussi est l'un de nos frères désormais.

Mais ça j'ai décidé que je ne le dirai jamais à personne.

- Essayons de garder le contact Mignane si tu veux bien.

- Oui bien-sûr.

- Abdel est un casque bleu de l'ONU mais c'est un pur toubab, il réside en Suède actuellement avec sa femme. Il sera là pour les vacances, on essaiera de faire un truc ensemble. En attendant on va créer un groupe WhatsApp pour faire connaissance.

- Ça me va dis-je.

Dans ce groupe WhatsApp j'ai appris que tout ce que Séga nous a laissé de positif est '' le don de soi ''.

Nous (les hommes) sommes tous des soldats, tous avons servi dans l'armée et naturellement nos discussions portaient sur les mêmes sujets.

Nous parlions beaucoup d'arme à feu dans un sous-groupe que nous avons créé rien que pour nous. Des photos de nos armes, des photos de nous avec nos armes.

Je me demande ce que penserait les filles de ça.

Abdel a dit qu'il se sentait nu sans son arme, je me rappelle toujours du fou rire que m'a procuré cette phrase.

Kabir que je croyais banquier vu sa mise bien soignée est en réalité un haut gradé de la gendarmerie nationale, moi je grimpe les échelons à la police et vais finalement intégrer la brigade anti drogue comme je l'ai toujours souhaité.

Fama est juriste et Sountou remportait tout les concours de débat de son université et prévoyait de passer le barreau.

Entre nous, au fil des discussions, du temps, le courant est vite passé.

On s'entend très bien sans parler de notre père.

Je me rappelle le jour la fête des pères, personne n'avait communiqué dans le groupe ni dans le sous-groupe des hommes. C'était silence total jusqu'au lendemain.

Au passage notre groupe WhatsApp s'appelle '' les fruits de Séga ''. Bizzare !

C'est Sountou qui a choisi le nom.

Nous y avons partagé beaucoup d'amour et de soutien.

Je pense que c'est la bouffée d'air frais qui manquait à ma vie.

Ça m'a aidé à me sentir mieux.

Fama et Sountou me mettaient ce pendant la pression pour que je sorte de mon célibat.

Fama m'a même présenté une de ses collègues, j'ai commencé à lui parler. Elle s'appelle Missira. Pour le moment tout va bien avec elle et je compte l'inviter à prendre un verre bientôt.

Téréna et Yandé étaient ravies que j'aie enfin quelq'un dans ma vie.

(...)

J'étais en mission dans la sous-région quand Abdel et Sountou ont pris leur vacances. Je n'ai donc pu les voir que vers la fin de leur vacances mais ça m'a quand-même fait plaisir. C'était très émouvant de voir à quel point on se ressemble.

Nous avons grandi séparément mais avons tous la même répugnance contre l'injustice et la propension à aider autrui.

Le jour de nos derniers retrouvailles, nous étions tout les 5 chez moi, Kabir, Abdel, Fama, Sountou et moi. Nous avions cuisiné ensemble et nettoyé.

Sountou apprenait à Abdel à parler wolof par la force c'était à mourir de rire.

C'est dans ce fou rire qu'est arrivé Poulméra avec à sa main un petit garçon, Séga.

Mes invités savaient clairement qu'il se passait quelque chose et pour être plus suspect, le garçon me ressemblait terriblement, nous ressemblait je dois dire.

J'invite Poulméra dans ma chambre, nous laissons le petit avec l'assemblée.

- Poulméra mais qu'est-ce qui t'a pris de débarquer chez moi comme ça ? Tu es folle ?

- Je n'arrivais plus à te joindre. C'est Omar qui m'a dit où t'habite. Je n'ai pas cessé de le harceler. Pourquoi tu ne veux plus me parler.

- Parce que je ne veux plus te parler c'est simple. Dois-je te rapeller que nous sommes divorcés ?

- Écoute Mignane. Je ne peux plus accepter de vivre loin de toi. Ne me dis pas que tu m'as oublié, j'ai été le seul amour de ta vie.

- Assieds-toi Poulméra et attends moi ici.

J'ai compris que c'était le moment d'être honnête avec elle une bonne fois. Je suis allé prévenir les autres de mon absence puis je suis revenu vers elle.

- Tu vois les gens dans le salon, ils sont tous des enfants de Séga Diouf.

- comment ça ? C'est ton père qui a,...

- Il est mon père, c'est biologique. Mais j'ai cessé de le considérer comme tel.

- Je suis désolée Mignane. Pardonne moi.

- Je t'ai pardonné Poulméra. Rassure toi. J'ai fait la paix avec hier et tu fais désormais partie d'hier. Je ne t'aime plus Poulméra et je le pense vraiment. Je ne veux pas être méchant avec toi mais il me faut être honnête. J'ai cessé de t'aimer, le jour où j'ai vu une photo de toi, ma chère épouse toute nue sur la poitrine nue de mon propre père. C'est de ma faute certe. Je m'en veux mais même si j'avais manqué de lucidité, tu aurais pu garder un minimum de dignité, de fidélité après tout ce que nous avons braver pour être ensemble. C'est tout ce que j'attendais de toi. Je te comprends s'il a pu t'offrir ce que moi je n'ai pas pu t'offrir, si le matériel est si important pour toi mais comprend moi quand moi aussi je te dis que nous n'avons plus d'avenir ensemble, que mon frère ne sera jamais mon fils et que je ne pourrai jamais passer sur une femme sur qui mon père est déjà passé. Quand tu auras compris ça, nous pourrons enfin vivre en paix. Je te supplie d'essayer de comprendre pourquoi mes sentiments se sont comme effondrés d'un coup malgré leur force d'avant, essaie s'il te plaît.

- ...

Elle pleurait.

- Je regrette tellement. C'est tout ce qu'elle réussit à dire.

- Je sais mais c'est trop tard. Tu mérite d'être heureuse malgré tout.

- Comment je pourrai ? Tu te rend compte de ce que j'ai fait ?

- Ça restera notre petit secret.

- J'aurai ça éternellement sur la conscience.

- C'est pourquoi il faut passer à autre chose. Moi aussi j'ai eu mal mais grâce à la famille aujourd'hui tout va bien. J'ai même rencontré une fille et c'est sérieux entre elle et moi. Fais de même s'il te plaît Poulméra. Je n'aime pas te voir comme ça.

Je la prend dans mes bras, elle y reste longtemps avant de prendre congés. Elle avait l'air soulagée et j'ai dit aux autres qu'il s'agissait de mon ex femme.

Je n'avais jamais rien dit à qui que ce soit concernant la raison de notre séparation, pas même à ma femme un an plus tard. Missira ma salvatrice.

Nous attendons un enfant et c'est une fille, je compte l'appeler Fama.

Entre temps Séga Diouf est décédé suite à un arrêt cardiaque. Avant de partir Fama nous a tous convaincu d'aller le voir une dernière fois, il était alité. Nous avons tous refusé alors finalement il a pris la peine de nous appeler mais moi et Abdel on avait dit non. Nous ne voulions pas le voir. Fama a dit qu'elle allait couper les ponts avec nous si on ne vient pas, alors nous sommes allés ensemble lui rendre visite à l'hôpital. Il nous a demandé pardon des centaines de fois, on a dit ce qu'il voulait entendre mais chacun avait sa rancune dans son cœur. Moi je lui ai pardonné et quelques jours après il est mort.

La surprise c'est que dans son testament, il laisse tout son argent à ses différents enfants et même le petit Séga est concerné. Mais sur les papiers il l'a déclaré comme son petit fils. J'ai apprécié.

Poulméra et moi avions gardé des relations cordiales et saines sans plus.

Mes sœurs sont aujourd'hui toutes mariées sauf Sountou, elle attend l'homme parfait.

Mes frères et moi continuons de partager nos passions et d'évoluer positivement.

Mon frère Matar est quant à lui hors circuit, j'entend dire qu'il est en Europe. Tant qu'il va bien...

Que dire ? Le reste de ma famille... Nos relations se sont améliorées et en grande partie c'est grâce à Missira. Elle me réconcilie avec tout le monde, ma rancune décroît lentement mais sûrement. Elle m'a forcé à renouer avec mes tantes et le reste de la famille de ma mère restée au village.

Aujourd'hui je connais même mes tantes paternelles grâce à Fama. Elle nous a complètement dévoilé.

Résultats j'ai aujourd'hui des oncles et des tantes dont j'aurai très bien pu me passer. Mais c'est la famille.

Ils sont tous venus assister au baptême de ma fille Fama.

Mon premier vrai enfant si vous voyez ce que je veux dire.

Le bon Dieu a récompensé ma patience. Je me sens tellement chanceux.

Quoiqu'il arrive dans la vie, soyez honnête avec vous-même et sachez gardez un secret.

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# ReBbeiL
12 Juillet 2019 - 00:35

Merci à tous, pour tout.

On se retrouve très tard pour des choses plus importantes ailleurs qu'ici. L'aventure est fini sur Wattpad in Shaa Allah.

Je n'écris désormais plus que sur mon blog : https://maislismesmots.wordpress.com/

Vous pouvez aussi trouver le lien sur mon profil Wattpad, rejoignez moi.

J'espère que pour une fois de votre vie de lecteur ou lectrice, vous êtes satisfait de moi.

Voilà.

Je vous ai déjà dit merci ?

Ah oui c'est fait. Ok .

Mais je vous le répète quand-même.

Merciiiiii.

😍😗😙😚😘


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