Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

BAD OMENS



stray kids

one-sided love

trigger warnings : aucun




La chaleur cuisante du mois de juillet transformait les appartements de la capitale sud-coréenne en de véritables fours et celui de Chan n'était pas une heureuse exception fraiche. L'atmosphère lourde rendait sa peau moite et irritait sa gorge alors qu'il pestait contre sa flemme de réparer la climatisation de la pièce qui lui servait de chambre, de salon et de cuisine. Les membres étendus sur son lit, le corps habillé du sous-vêtement le plus léger du tiroir où il les rangeait tous dans l'espoir de faire baisser la température de son corps et les yeux rivés sur la lumière grésillant juste au-dessus de sa tête — encore une chose qu'il avait oublié de réparer tant ses mouvements lui arrachaient des litres de transpiration — le jeune homme pestait contre la canicule persistante. Il donnerait tout pour qu'un orage éclate dans la nuit et rafraichisse enfin l'air lourd.


Mais ses prières se retrouvaient toutes ignorées et il passait ses journées à ne rien faire entre son lit et sa douche pour ne pas dépenser trop d'énergie. Ses vacances ne se présentaient pas comme amusantes ou socialement acceptables. Il aurait aimé se perdre dans les rues de la capitale avec Jeongin comme ils en avaient pris l'habitude au cours des dernières années, mais le moindre mouvement lui arrachait des geignements de douleur. Ils avaient fini par décréter qu'ils abandonnaient les excursions nocturnes tant que l'air ne deviendrait pas respirable. Cela faisait presque deux semaines et Chan s'ennuyait comme un rat mort depuis.


« Je donnerais tout pour un peu d'animation. »


Sa prière se retrouva exaucée quelques minutes plus tard lorsque la sonnerie stridente retentit dans la minuscule pièce de l'appartement. Son cœur manqua un battement et un sursaut agita son corps. Ses yeux se dirigèrent vers le battement de la porte dont le mouvement provoqua le froncement de ses sourcils. Rares étaient les personnes connaissant le code de son appartement. Elles se comptaient sur les doigts de sa main et il n'attendait personne. Ses proches se confinaient probablement chez eux pour éviter de cuire dans les rues de Séoul. Chan en était persuadé. Qui aurait risqué une escapade sous une telle chaleur ?


Ce fut certainement à cause de ce premier choc qu'il n'amorça pas le moindre mouvement lorsqu'une silhouette en larmes se dessina dans son champ de vision. Il fallut quelques secondes à son cerveau pour reconnaître les mèches châtains tombant sur ce front familier et les lèvres tremblantes sous le coup de l'émotion. De tous ses amis, Lee Minho restait celui qui s'invitait le moins souvent chez lui. Il s'annonçait toujours avant de passer.


Chan trouva l'énergie de se précipiter vers son meilleur ami dans ses dernières ressources lorsque ses jambes flanchèrent sous le coup de l'ouragan d'émotions qui s'emparait de lui. Le corps agité par ses sanglots, Minho peinait à respirer. Son souffle se bloquait dans sa gorge à chacune de ses inspirations. Perdu dans ce tourbillon de peine, il se laissa entraîner dans les bras de Chan sans émettre la moindre complainte. Il n'avait pas hésité une seule seconde à l'accueillir contre son torse même si la simple idée de sentir une source de chaleur contre son corps lui donnait des sueurs froides.


Au diable les températures insupportables ! Son meilleur ami avait besoin de lui. Il se refusait de l'abandonner à une telle détresse. Les doigts de Minho s'enroulèrent autour de ses épaules et ses ongles se plantèrent dans sa chaire. La douleur lui arracha une grimace, mais il n'émit pas une seule plainte. Minho avait besoin de le sentir contre lui. Il avait besoin de ce point d'ancrage qui l'empêchait de couler dans la marée noire des émotions se propageant dans son corps.


« Je suis là, lui assura-t-il dans un murmure. Tout va bien, Minho. Je suis là. »


Chan répéta cette litanie rassurante au creux de son oreille jusqu'à ce que les pleurs de son meilleur ami se tarissent ; abandonnant des sillons creusés par le sel sur ses pommettes et des yeux gonflés par les larmes. Minho lui adressa un sourire maladroit duquel sa peine se dévoilait à ceux qui le connaissaient. Et Chan le connaissait mieux que quiconque. Il sentit son cœur se briser face à la mine attristée de son meilleur ami. Il ne méritait pas de ressentir de telles émotions. Le plus vieux se redressa avant de tendre une main en direction de son ami pour l'aider à tenir sur ses jambes flageolantes.


« Je suis vraiment désolé de débarquer à l'improviste, s'excusa Minho d'une voix enrouée, mais j'avais vraiment besoin de te voir.

— Tu sais que tu peux venir ici quand tu veux, lui sourit-il. Tu veux boire un truc ? Je peux te proposer de l'eau ou de l'eau avec des glaçons ? Il fait trop chaud pour faire des courses, expliqua-t-il en croisant le regard circonspect de son meilleur ami.

— Je veux bien de l'eau avec des glaçons alors. »


Chan observa les mouvements de son invité du coin de l'œil alors qu'il sortait les verres les plus larges en sa possession de son placard. Minho avait retrouvé son souffle, mais ses muscles se mouvaient toujours avec cette lenteur inquiétante ; comme s'ils étaient ankylosés par ses propres émotions. Il traîna des pieds jusqu'au matelas et s'adossa contre le mur dans un geignement plaintif. Son bras recouvrit ses yeux, camouflant la désagréable ampoule clignotant au-dessus de sa tête. Il paraissait exténué. Chan ouvrit le robinet sans le quitter du regard, remplit les verres d'une eau qu'il espérait plus froide que tiède, ferma le robinet et fit tomber quatre glaçons dans chaque récipient avant de rejoindre son meilleur ami. Il attira son attention en déposant la base froide contre la joue de Minho, lui arrachant un grognement d'inconfort. Son bras se souleva pour récupérer le verre alors que ses prunelles rouges rencontraient les siens. Chan le rejoignit au milieu du matelas et il lui offrit un sourire rassurant.


« Il faut que tu changes d'ampoule, remarqua Minho.

— Et que je change ma clim, ajouta Chan dans un soupir désespéré avant de porter son verre à ses lèvres. Ça commence à devenir invivable. »


Le silence les étreignit dans ses bras réconfortants et Chan se focalisa sur la respiration de son meilleur ami. Leurs épaules se frôlaient à chacune de leurs inspirations et la chaleur de son corps se propageait autour de lui, créant une fine pellicule de sueur sur la peau de Chan. Son souffle régulier et ses déglutitions après chaque gorgée glissant le long de son œsophage sonnèrent comme une mélodie rassurante aux oreilles du locataire des lieux. Ses larmes ressemblaient à un vestige ancien que la chaleur cuisante avait asséché.


Lorsque la tête de son meilleur ami tomba sur son épaule dans un soupir à fendre son âme, Chan risqua une œillade vers sa silhouette. Ses cheveux camouflaient la majeure partie de son visage et ils ne restaient que ses lèvres tremblantes. Le cœur de Chan se serra douloureusement à la vision de la détresse de Minho. Une de ses mains se perdit dans son dos, traçant les motifs que son imagination lui dictait, dans l'espoir de calmer les aléas de son esprit.


« Tu n'imagines même pas à quel point je me sens con, murmura Minho du bout des lèvres. Il m'arrive toujours la même chose et je réagis toujours de la même façon. Je sais que je vais souffrir, mais je fonce à pieds joints dans ce qui va me rendre malheureux.

— C'est à propos de Jisung ? le questionna-t-il et son corps se figea dans une réponse silencieuse. Tu veux me raconter ?

— Tu me promets de ne pas me juger ? renchérit-il.

— Je te le promets. »


Minho se redressa, glissant contre le mur pour récupérer sa position initiale et approchant ses genoux contre son torse, et il plongea ses prunelles dans les siennes à la recherche de la moindre trace de mauvaises intentions. Chan su qu'il ne lirait pas de malveillance dans ses yeux. Il ne souhaitait que le réconforter. Il avait besoin de vider son sac et de prononcer toutes ces choses qui pesaient sur son cœur. Prenant une longue inspiration pour se donner du courage, Minho lui offrit un sourire maladroit avant d'ouvrir la bouche.


« Il se passe toujours la même chose, commença-t-il. Je crois que j'étais en train de bosser un truc que je dois rendre pour les cours. Je pestais contre moi-même parce que j'avais complètement oublié l'existence de ce truc. C'est un peu comme si j'avais marché sur une écharde et que je bataillais comme un con pour la sortir de mon pied sans aucune pince à épiler.

— Le genre de truc dont on se passerait bien, commenta Chan en portant son verre à ses lèvres.

— Mais je venais d'écrire une phrase ultra stylée donc j'étais un peu fier de moi. C'était une seule phrase, mais elle me paraissait pertinente pour le sujet. Je faisais ma petite danse de la victoire sous les yeux curieux de mes chats quand la sonnerie de mon appart a sonné. J'ai eu un peu peur sur le coup parce que personne ne devait venir. Je crois que j'ai crié comme un idiot et les chats se sont carapatés sous mon lit ou dans la salle de bain. Ils font toujours ça. Quand les battements de son cœur se sont calmés, je me suis demandé qui ça pouvait bien être. Personne ne sort de chez lui alors que la température monte à quarante degrés dehors.

» J'ai traîné des pieds jusqu'à ma porte. J'avais un peu la flemme d'ouvrir alors que je ressemblais à un sac. Regarde mes fringues ; il désigna ses vêtements amples d'un geste de la main. Mais on s'acharnait sur ma sonnette. J'ai d'abord pensé que ma voisine voulait encore me taxer de la farine parce qu'elle n'avait pas eu le temps de faire les courses. Tu sais comment elle est. Elle adore préparer des gâteaux et elle m'en donne toujours un peu. Je ne peux vraiment pas la laisser en plan. Elle savait que j'étais chez moi en plus. Je l'ai croisé en allant chercher mon courrier et on a discuté quelques minutes de son petit cousin. Je t'en ai déjà parlé. C'est un gosse adorable et il adore venir chez elle parce qu'elle cuisine ultra bien.

— Je suppose que c'était pas elle.

— Non, souffla-t-il. Je suis tombé nez à nez avec Jisung. Ça faisait facilement un mois qu'on ne s'était pas vu plus de trente secondes. On avait trop de trucs à faire de notre côté alors nos interactions se résumaient à des bonjours de loin dans les couloirs de l'université. Donc quand je l'ai vu sur le seuil de ma porte, je n'ai pas pu m'empêcher d'être content. Puis j'ai remarqué son état. Il paraissait mal en point. Il portait une casquette qui camouflait ses yeux, mais je savais qu'il pleurait. C'est le genre de truc que je devine tout le temps avec lui. Je suis passé de la joie à l'inquiétude si rapidement.

» J'ai senti que mon sourire disparaissait alors qu'il fonçait dans mes bras. Mon cœur battait à tout rompre dans ma poitrine. Ses battements me rendaient sourd à tout ce qui m'entourait. L'effet de son parfum sur moi me rend totalement dingue. J'adore sentir cette odeur et sa peau contre la mienne. Ça m'avait tellement manqué de le sentir contre moi alors que je m'étais promis de ne plus me sentir aussi... Comment dire ? Mordu ? Amoureux ?

» Amoureux, répéta-t-il. Je crois que c'est le bon mot et ce n'est plus un secret depuis longtemps. Tout le monde sait plus ou moins que je suis amoureux de Jisung. J'ai parfois l'impression qu'il est le seul à ne pas être au courant. Puis il vient toujours me voir quand il se sent mal. Apparemment je suis une oreille attentive. Un peu comme toi, le complimenta-t-il dans un sourire.

» On est resté dans la même position quelques minutes. J'étais en train de mourir de chaud, mais je refusais qu'il quitte mes bras. Je ressentais le besoin de le sentir contre moi et de sentir que je comptais toujours pour lui. Même si on n'a jamais été ensemble.

» Ses larmes ont fini par sécher sous ses yeux et il m'a offert le sourire le plus triste que je n'ai jamais vu sur son visage. Mon cœur s'affolait sous ma cage thoracique et je me suis demandé s'il ne pouvait pas entendre ses battements dans tout l'appartement. J'ai toujours l'impression d'être un adolescent qui découvre le visage de son crush pour la première fois. On s'est traîné jusqu'au canapé dans une position ultra bizarre. Il refusait de quitter mes bras donc on s'est déplacé à l'aveugle. On a failli tomber plusieurs fois dans — il calcula la distance avec ses bras — les trois mètres qui séparent mon entrée du canapé.

» Puis il a commencé à me raconter toute l'histoire et je pense que j'aurai préféré ne rien entendre. Ça m'a détruit d'entendre ses mots. C'était comme si on m'enfonçait un pieu en plein cœur. Il s'est disputé avec Hyunjin. Ils ont tous les deux le sang chaud et ils ont tendance à s'emporter pour un rien. Ils se disputent souvent et ce n'est pas la première fois que Jisung vient chez moi. J'ai écouté chacun de ses mots sans lui avouer une seule seconde que ses mots me détruisaient. Ils étaient tous plus douloureux les uns que les autres.

» Mais je suis resté silencieux et je l'ai écouté me raconter sa dispute en détail. Ils ont été horribles l'un envers l'autre pour un truc si bête. Ils se sont mal compris sur un sujet et c'est tout. Ça a créé un gros quiproquo. Le genre de quiproquo que tu ne vois que dans les comédies romantiques pour construire un peu de drame dans un scénario qui se terminerait de la même façon sans ça. Ils se sont insultés durant de longues minutes, incapables de s'arrêter une seule seconde. Leurs mots ont fini par dépasser leurs pensées.

— Tu sais ce qu'ils se sont raconté ? l'interrompit Chan.

— Pas vraiment, souffla-t-il. Jisung s'est mis à pleurer avant de pouvoir les prononcer. Je ne savais pas comment réagir. Je ne sais jamais comment réagir dans ce genre de situation. Je me suis contenté de le serrer dans mes bras pour calmer ses pleurs. Je n'ai pas pu m'empêcher de penser que jamais je n'aurais fait pleurer Jisung si j'avais eu la chance d'être à la place de Hyunjin. Et ça m'a fait me sentir horrible, Chan. Ce sont mes amis tous les deux. Est-ce que ça me rend affreux ? Je me sens affreux.

— Tu ne l'es pas, tenta-t-il de le rassurer.

— Je suis raide dingue de lui et je me suis dit que j'étais une meilleure personne pour lui. Je me suis imaginé l'embrasser durant des heures alors qu'il pleurait dans mes bras. Il est en couple avec un de mes meilleurs amis et je me suis imaginé à sa place. C'était comme si je me transformais en ce que je détestais. Mon égoïsme me pousse à le vouloir contre moi pour qu'il comble cet espace dans mon cœur qui n'existe que pour lui. Hyunjin est... Il est aussi amoureux de Jisung. Ils s'aiment. Et moi, je... »


Un sanglot déchirant ses cordes vocales, Minho s'étouffa sans qu'il n'eût la possibilité de terminer sa phrase. Ses lèvres tremblantes cherchèrent à articuler quelques mots entre ses pleurs, des larmes roulèrent le long de ses pommettes et son corps s'agita contre le sien. Chan sentit son cœur se serrer alors que la douleur de son meilleur ami irradiait de chacun de ses pores. Il se transformait en éponge. Il absorbait chacune des émotions négatives qui tiraillaient son esprit. Les doigts de Chan se remirent à dessiner des formes abstraites à la naissance de sa nuque pour calmer les tourments de son esprit.


« Tu peux t'arrêter là si tu ne te sens pas capable de continuer, lui assura-t-il.

— Je veux continuer, articula Minho entre deux sanglots. J'ai besoin de continuer.

— Prends ton temps, lui sourit-il en posant sa joue au sommet de son crâne. Je ne vais nulle part. »


Les larmes de son meilleur ami s'échouèrent sur ses épaules et elles glissèrent sur ses bras avant de disparaître dans le creux de son coude. Le corps du locataire se tendit à chacun de ses sanglots. Il se sentit en colère contre le monde entier. Minho souffrait de ses propres émotions et il ne méritait pas tout cela. La tête enfouie dans le creux de sa nuque, à cet endroit où Chan ne pouvait pas voir ses larmes couler contre ses joues, le jeune homme renifla. Ses cheveux châtain chatouillèrent son menton dans ses soubresauts et Chan glissa ses mains dans ses cheveux.


« Je veux continuer, souffla-t-il lorsque ses sanglots se calmèrent.

— Il s'est passé quoi ?

— Les larmes de Jisung ont fini par s'arrêter après quelques minutes. Il m'a demandé des conseils et je me suis senti incapable de lui répondre. J'aurais voulu lui hurler de quitter Hyunjin pour rester avec moi. C'est ce que je voulais au plus profond de moi, mais je ne pouvais pas lui dire tout ça. Parce qu'ils s'aiment. Ils sont raides dingues de l'autre et ils ne peuvent pas survivre s'ils ne sont pas ensemble. Leur couple est une évidence même si ça me rend malheureux. Je souffre le martyre.

» J'ai pris sur moi, Chan. Je me suis forcé à ne pas lui hurler d'abandonner Hyunjin pour moi. Je lui ai dit de regagner ses bras même si mon cœur me suppliait de tout lui avouer. Mais je ne peux pas faire ça. Ils doivent rester ensemble.

» Jisung s'est redressé. Ses yeux brillaient encore des larmes qui avaient roulé sur ses pommettes. J'ai eu l'impression qu'il me hurlait de le retenir. Je sais que mon cerveau se fait des films là-dessus. C'est évident. Il a cherché à voir ce que mon cœur souhaitait trouver dans ses prunelles : son amour. Mais ça ne fonctionne pas comme ça. Jisung ne peut pas l'oublier. Il ne peut pas oublier Hyunjin, sa belle gueule, son rire communicatif et sa gentillesse. Ses yeux pétillaient sous la force des sentiments qu'il ressent pour lui. Et je ne peux pas faire le poids. Je ne peux pas m'immiscer entre eux. Ils restent mes potes. Je veux les voir heureux et ils sont heureux ensemble.

» Alors je l'ai regardé partir de chez moi. Je me suis effondré dès que la porte s'est fermée derrière son dos. Je me suis mis à pleurer toutes les larmes de mon corps parce que c'est la seule chose qu'il me reste. Et tu connais la suite. Je me suis précipité chez toi. »


Le silence reprit son trône dans l'appartement. Seuls les reniflements irréguliers de Minho le brisèrent durant les minutes qui suivirent. Chan se redressa, plongea ses prunelles dans celles embuées de celui qu'il considérait comme un petit frère, et il lui offrit un sourire rassurant. Il quitta le confort du lit pour parcourir la distance qui le séparait du minuscule réfrigérateur de son appartement sous les yeux de son meilleur ami. Il ouvrit la porte et un sourire naquit sur ses lèvres lorsqu'il découvrit deux bières dans le bac à légumes. Les deux dernières. Il les décapsula d'un geste expert et regagna sa place auprès de Minho.


« J'ai un peu mieux que de l'eau au final, sourit-il en tendant une bière fraiche à son invité.

— Tellement mieux que de l'eau, rit-il en portant le goulot à ses lèvres.

— Pourquoi tu t'attaches tant à ce que tu ressens pour Jisung ? osa-t-il après avoir bu quelques gorgées.

— Je suis amoureux de lui depuis si longtemps, soupira-t-il. Je ne sais plus qui je suis si je ne suis pas raide dingue de lui.

— Mais tu le laisses partir dans les bras de Hyunjin à chaque fois.

— Je veux son bonheur et son bonheur est aux côtés de lui. Il n'est pas à mes côtés. »



I cried in your dark brown eyes

For the thousandth time

Cause you love somebody

I died when you left that night

For the thousandth time

Causeyou love somebody else




mon premier os sur stray kids est un peu particulier. le scénario n'est pas trop original donc j'ai voulu tenter un truc avec la narration. je me suis beaucoup amusé à l'écrire (même si l'histoire n'est pas très drôle). j'avais envie de tenter un truc et c'est ce que j'ai fait. je ne sais pas du tout si ça rend bien. 

j'espère que vous avez quand même apprécié votre lecture.

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro