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Nouveau projet ???

Hello mes petits chéris :) 

J'avais pas écrit ici depuis longtemps ! Désolée pour la redite, mais c'est le dernier message que j'ai posté sur Facebook :) : 

Il y a quelques mois de ça, j'avais commencé à écrire pour Fyctia une *New Romance Masculine*, mais n'ayant ni le temps ni la foi pour la terminer à temps pour le concours, je l'ai laissée tomber. Je pense que je la reprendrais quand j'aurais fini d'écrire Senior Year.

Mais j'aimerai bien avoir votre avis avant : est-ce que vous pensez que cette histoire vaudrait le coup ? Je vous mets le prologue à suivre pour que vous me disiez ce que vous en pensez ! Par contre je tiens à préciser que je n'ai pas touché à cette histoire depuis l'instant où je l'ai écrite.Du coup... il est fort probable qu'il reste des fautes d'orthographe, grammaire etc.. Désolée pour ça.

Titre non définitif : *La colocation*

"Je ne savais pas vraiment comment je m'étais retrouvé là, assis entre la fille que j'aimais et la cousine de la première, dans un pick-up nous menant à Paris. J'avais l'impression d'avoir la tête dans les nuages et les pieds dans la boue en même temps. C'était perturbant. Je levai les yeux au ciel. Il faisait très chaud pour un mois de mai, il n'y avait pas un nuage à l'horizon.
— Markus ! À quoi tu penses ?
Léna me fixait de son regard doux qui pouvait faire craquer n'importe quelle personne, dont moi. Quatre ans. Ça faisait quatre ans que je la connaissais et quatre ans que j'étais amoureux d'elle. Quatre ans que je n'arrivais pas à lui dire ce que j'avais sur l'âme.
Elle était arrivée dans mon lycée quand j'avais 17 ans, lors de mon année de terminale. La première fois que je l'avais vue, j'avais su ce qu'était l'amour, le vrai, le passionné, celui dont mes sœurs me rabattaient les oreilles depuis l'enfance. Elle ne ressemblait à aucune autre et dans son sillage, un parfum de liberté flottait dans l'air. Il m'avait fallu un regard posé sur elle pour en tomber amoureux et il lui avait fallu un regard posé sur moi pour devenir mon amie.
C'était probablement ça le problème. J'avais été Friendzoné avant même d'avoir eu le temps de faire un geste. Elle était venue s'asseoir près de moi et m'avait raconté sa vie. Nous avions sympathisé dans l'heure et par la suite... J'avais été le témoin de tous ses émois amoureux. De la façon dont Michel l'avait largué pour sortir avec Camille à la perte de sa virginité avec James, en passant par sa brève mais intense liaison avec le capitaine de l'équipe de volley du lycée public d'en face. Et tout ça parce qu'elle était persuadée que j'étais gay. « Mon gaydar ne se trompe jamais, tu n'en as juste pas conscience, c'est tout. ». C'était son leitmotiv et je devais avouer qu'au début, ça m'avait gêné. Vraiment gêné. Mais j'avais commencé à m'y faire, surtout quand elle se promenait à demie-nue dans mon petit studio étudiant, juste avant nos fêtes étudiantes. Cette fille était la perfection et elle m'adorait.

— Je pense qu'on est des dingues de faire ça. Mais.. j'ai hâte, répondis-je pour ne pas qu'elle remarque que toutes mes pensées étaient tournées vers elle.
— Des dingues ? Oui c'est vrai. Mais nos parents seront fiers de nous quand ils apprendront qu'on a été pris en Master dans une grande école, tu ne crois pas ?
J'hochai la tête d'un air perplexe et elle sentit le besoin de s'expliquer.
— C'est vrai qu'on a quitté notre ville sur un coup de tête mais.. on va habiter ensemble tous les trois !!! Ce sera mortel une colocation ! Mon meilleur ami et ma cousine aka sista !!
Elles se tapèrent dans la main. Oui, j'étais son meilleur ami et le pire c'était qu'elle était ma meilleure amie. Je ne pouvais plus me passer d'elle que ce soit en amitié ou en amour. Et merde. La seule chose positive c'était que j'avais perdu ma virginité avant qu'elle me connaisse. Maintenant, ramener une fille chez moi serait beaucoup plus difficile. Est-ce que j'avais l'impression de lui faire une infidélité en couchant avec d'autres filles ? Pas vraiment. Je ne le faisais que pendant les périodes où elle était en couple, parce qu'on ne savait jamais. C'était ce que ma mère m'avait appris, la prévoyance. Penser à elle, me fit froncer les sourcils et je détournai le regard.
— Markus ? Oh merde, je n'aurais pas dû te parler des parents.. je suis désolée, j'avais oublié.
— Ce n'est rien.
Je ne voulais pas lui faire de peine. Je ne voulais pas qu'elle s'en veuille d'avoir parlé de la mère que j'avais tué.
— En fait, il s'est passé quoi avec tes parents ? Parait que c'est le sujet tabou mais bon, on va vivre ensemble alors...
Je n'aimais pas du tout cette fille, Gaëlle. Elle me regardait de haut depuis des mois et s'était incrustée dans notre projet de vie commune avec Léna.
— J'étais avec..
— Arrête Mark. T'es vraiment con Gaëlle, il n'a pas envie d'en parler, okay ? Alors lâche-le.
Je le remerciai du regard. Non, je n'avais pas envie d'en parler. Mais pas du tout. Repenser à la douleur ? Très peu pour moi. Je n'étais pas un sadique. J'en portais déjà les stigmates sur moi, je ne voulais pas non plus y penser encore et encore. Je ne méritais pas ça. Mes sœurs m'en voulaient suffisamment. Quant à mon père... ça lui avait juste permis d'aller voir ailleurs plus facilement sans culpabiliser. Il avait fallu d'une nuit pour détruire ma vie et celle de ma famille. Une seule nuit. Mais Léna avait été là comme un rayon de soleil dans mon obscurité. Et alors que je me terrais dans mon studio, elle était restée avec moi. Cette fille était un être de lumière. C'était ça. Et moi... Je voulais être avec elle, je voulais profiter de son aura et de son éclat. Elle m'avait tendu la main pour ne pas que je me noie dans mes ténèbres. Mais... C'était chose impossible. Elle me maintenait la tête hors de l'eau mais dès qu'elle me laissait, j'avais l'impression d'aller à la dérive dans une mer de sombres pensées et de culpabilité.

Notre arrivée à la gare me permit de sortir de mes abysses mentales. Nous remerciâmes l'homme qui nous avait conduit si gentiment et j'aidais les filles à descendre à l'arrière. Il nous restait quelques heures de train avant de rejoindre la gare Montparnasse. Dans quelques heures, j'y serai. Dans quelques heures, ma nouvelle vie débuterait. Moi, Markus, 21 ans, j'allais habiter à Paris, la ville-lumière, où je n'avais jamais mis les pieds avec l'amour de ma vie qui pensait que j'étais homosexuel, sa cousine détestable et mon chat, Alfredo. J'allais poursuivre l'un de plus prestigieux master en droit et rien ne pourrait m'arrêter.

Du moins... c'était ce que je pensais. Mais j'avais oublié que rien ne se déroulait comme prévu dans la vie et que la malédiction des Crawford me poursuivrait toute ma vie. "

Alors verdict ? Je la continue ou pas ? 

*Oui, continue, quelle question ! 

*Bof, j'ai pas d'avis.

*Non mais ça va pas la tête ? Tu as vu toutes les histoires que tu as ? Grande Malade, va.


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