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Tu te rends compte de tes sentiments (Pt 2)

Mon premier imagine devrait normalement sortir d'ici peu, alors voici cette partie pour vous faire patienter ^^ 

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Jim :

Tu frémis au contact d'un rayon de soleil brûlant sur ta peau. Depuis combien de temps n'avais-tu pas vu la lumière du jour ? Hallelujah ! (NB : ceci est une référence à OrelSan xD) Tu te redressas péniblement sur tes pieds. Les sirènes de police se faisaient de plus en plus fortes à chaque seconde. "Que-Que se passe-t-il ?", demandas-tu d'une voix enrouée, tandis que ton ravisseur, Jim Moriarty, apparaissait dans la pièce. 

Il ne daigna pas répondre à ta question, et te libéra de tes chaînes. Durant une fraction de secondes, vos mains se frôlèrent, et tu constatas un phénomène étrange : il avait les mains moites et tremblantes. C'était très étrange comme sensation, parce que tu n'arrivais pas bien à dissocier tes mains de celles de Moriarty. 

" Il semblerait qu'ils aient gagné, cette fois...", dit-il avec un sourire cynique. En guise de réponse, tu levas sur lui un regard inquiet et confus. Il soupira :

" Non ce n'est rien, que diable suis-je en train de raconter ?! Bien sûr que j'ai gagné ! Sherlock Holmes est à portée de main !" Tu te contentas de garder le silence. 

Finalement, la porte en taule céda, et Gregory Lestrade, ainsi qu'une armada, fit son entrée dans la pièce. "Les mains bien évidence !" Jim jeta son arme au sol. Tandis que les policiers t'escortaient hors de la salle, ton cœur commença à s'emballer. Prise d'une crise de panique, tu te mis à chercher Jim des yeux. Tout devint flou, comme dans un cauchemar. La dernière chose dont tu te souvins fut la voix cassée du criminel :

" Ne t'en fais pas, je reviendrai te chercher !" 


Irène : 

Après l'incident avec ton ex, Irène et toi êtes rapidement devenues amies. Elle t'avait défendu et tu lui en étais extrêmement reconnaissante. Malgré tout, votre relation restait assez... étrange. Vous pouviez discuter de tout et de rien autour d'un thé/café/ce que tu veux comme si vous vous connaissiez depuis toujours et ne plus vous donner de nouvelles pendant des jours voire des semaines entières par la suite. 

Irène était une femme indépendante, et tu le savais bien, mais ce mode de vie t'embêtait quand même un peu. Avec elle, pas moyen de savoir sur quel pied danser ! 

Un jour, alors que tu ne l'avais pas vu depuis presque deux mois, tu te décida à lui passer un coup de fil. Or, le téléphone semblait sonner dans le vide. Lui était-il arrivé quelque chose ? Ou alors ne voulait-elle plus te parler ? 

Allô ? Irène, c'est moi. Euh, je me demandais... Je m'inquiète pour toi. Rappelle-moi au plus vite, d'accord...? 

Avec un soupir, tu raccrochas le combiné et attendis une dizaine de minutes. Comme il n'y avait toujours pas de réponse, tu pris la décision d'aller voir ce qu'il se passait par toi-même. 

***Time Skip*** 

En sueur, tu arrivas sur le seuil. Tu avais l'impression d'avoir couru un marathon. Quelle idiote, j'aurais dû prendre un taxi !, te maudis-tu en silence tandis que tu sonnais à l'interphone. 

Personne ne répondit. 

Morte d'inquiétude, tu saisis ton courage à deux mains et cherchas de l'aide auprès de Sherlock Holmes. 

Au bout d'un moment d'explications, le détective se leva. "La dernière fois que j'ai vu votre amie, c'était au Pakistan. Un peu de plus, et elle n'aurait plus de tête." Cette phrase te laissa perplexe. Tu vis son assistant, John Watson, faire les gros yeux et lui mettre un coup de coude.

"Voyons, Sherlock !

- Quoi ? Je ne fais qu'exposer la vérité.

- Fais preuve d'un peu plus de délicatesse, nom d'un chien !"

Son ami se contenta de hausser les épaules et, sirotant son thé, il sourit :

"Vos yeux sont étrangement dilatés, ce qui est en général le signe d'un attachement très fort. En résumé, vous êtes amoureuse."


Greg : 

"Alors vous allez me laisser ici ?", questionnas-tu en baissant la tête. Depuis tout ce temps passé à voler, c'était la première fois que tu te faisais prendre. La première fois que tu allais en prison.

" Je suis désolé, répondit gentiment l'inspecteur qui t'avait arrêtée il y a quelques jours de cela. C'est la loi.

- La loi, la loi ! Mais je m'en fiche de la loi !, crias-tu au bord des larmes. Comment vais-je subvenir aux besoins de ma famille maintenant ? Je vous en prie, essayez de comprendre ! Ma famille est pauvre ! Ma mère est morte quand j'étais petite et mon père nous a abandonné ! Je suis seule avec mes grands-parents et ma petite sœur ! Ils ne vont jamais s'en sortir tous seuls ! Je vous en supplie, je veux revoir ma famille !!!"

Voyant combien tu étais désespérée, Greg esquissa le geste de poser une main sur ton épaule pour te réconforter, mais tu le poussas violemment. 

" Ne me touchez pas !!! Vous m'avez empêché de mourir, tout ça pour me jeter en prison ?! Je pensais que vous comprendriez !!!

- Y/N, votre cas me touche, croyez-moi. Seulement, je ne peux pas...

- Stop !, dis-tu faiblement en faisant un geste de la main. C'est bon, arrêtez !"

Tandis que tu te dirigeais vers ta cellule, les images des jours précédents défilèrent dans ta mémoire. Pendant tout ton rétablissement, Greg Lestrade n'avait cessé d'être auprès de toi. A la façon dont vous parliez et riiez ensemble, tu pensais que vous étiez devenu amis. Quelle naïve j'ai été, pensas-tu tristement. Moi qui croyais que j'avais enfin trouvé quelqu'un qui comprenais ma situation, quelle idiote ! 

"Je passerai te voir, Y/N."

Tiens, il me tutoie maintenant ? Quelle ironie ! Inspirant profondément, tu ne répondis pas immédiatement. Une sensation bizarre au creux de ton ventre t'empêchait de te rebeller alors qu'un gardien fermait à double tour la porte de ta cage. 

Les yeux rouges, tu te retournas pour faire face à ton interlocuteur.

" Greg... Prenez bien soin de ma famille"


Molly : 

Molly était ton amie d'enfance. Depuis le fameux épisode de la balançoire, vous ne vous quittiez quasiment pas d'une semelle. En plus, vous étiez dans la même classe à l'école, ce qui vous enchantait ! 

Inséparables, vous aviez même décidé d'être colocataires tandis qu'elle suivait un cursus à la fac de médecine et toi, à [insérer les études de ton choix]. 

Puis le jour fatidique de la remise des diplômes arriva, et Molly obtint une des meilleures notes de son institut, ce qui signifiait q'elle allait pouvoir exercer le métier de ses rêves, à savoir médecin légiste. Quand à toi, malheureusement, tu avais échoué... :/

"Ne t'en fais pas, je te téléphonerai tous les jours !", ton amie avait tenté de te consoler. Tu ne supportais pas de savoir Molly loin de toi, vous vous étiez promis de toujours rester ensemble. Mais bon, tu n'avais pas le choix. C'était la vie...

"Je ne veux pas que tu partes... Je... Je t'aime.

- Moi aussi je t'aime, Y/N ! Tu es ma meilleure amie ! ^_^Je ne t'oublierai pas !

- Tu ne comprends pas..., dis-tu en soupirant... Ce n'est pas ce que je voulais dire. Je..." Incapable d'avouer tes sentiments, tu baissas la tête et te mis à pleurer. Molly te réconfortas du mieux qu'elle le put, mais la frustration ne fit qu'empirer les choses. 

Les jours passèrent, et tu déprimais de voir la personne qui comptait le plus à tes yeux faire ses bagages. 

Aussi, lors de son départ, tu décidas de ne pas l'accompagner à la gare. Tu passas le reste de la journée au lit avec une migraine atroce et de terribles cauchemars.

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Je suis vraiment désolée ;-; 

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