× Chapitre 9 ×
Previously on Sherlock Holmes
Adele's house
Omniscient's point of view
Watson posa délicatement la jeune femme inconsciente sur une chaise. Holmes, sans quitter l'abomination des yeux, le front luisant de sueur, le cœur battant à tout rompre, il chercha à tatons le fusil. Ce fut Watson qui retira la sécurité, après l'avoir saisit entre ses mains tremblantes.
Tous deux fixèrent les yeux noirs et vides comme un gouffre sans fond de cette erreur de la nature, fusil braqué sur elle.
× × ×
Holmes jeta un regard de biais vers son ami alors que la créature qui n'avait pas bouger, se mit à frapper vigoureusement le verre. Le détective accourut auprès de Watson alors que la porte fenêtre éclatait en morceaux.
Sans attendre, John appuya sur la gâchette et la balle perfora le crâne du cadavre vivant. Rien n'y fit, il était toujours debout, l'expression parfaite du mort-vivant sur le visage, enfin si l'on pouvait qualifier cela comme tel.
— Watson, que fait-on ? Cria Holmes.
Ce dernier estimant que toutes les possibilités s'amenuisaient, il décida d'opter pour la seule possible.
— Battons-nous ! Répondit Watson d'un sérieux déroutant.
Holmes attrapa sa canne d'une main et de l'autre extirpa sa lame. Watson en fit de même, également armé du fusil. Mais ce dernier lanca son pistolet que son meilleur ami intercepta de sa main libre.
Un premier monstre s'attaqua à Holmes, qui l'evita et lui trancha la gorge d'un coup de lame. Il s'effondra au sol, gigotant comme une anguille. Il lui transperca le dos de son arme puis planta son épée dans le cou d'une autre de ces créatures, après l'avoir retiré du premier.
Du coin de l'œil, il trouva Watson occupé à poignardé sans relâche ses trois assaillants peu ordinaires. Ils s'ecroulèrent en même temps, empalés sur sa lame. Puis il la retira, les trois corps ne bougèrent plus.
Une nouvelle vague de ces monstres arriva vers eux. D'où venaient-ils, si nombreux ? Les deux hommes n'en croyaient toujours pas leurs yeux.
Sherlock laissa tomber sa lame ainsi que son arme, tout comme Watson, car tout cela ne servait à rien, ils étaient déjà morts. En effet, tous ceux qu'ils avaient réussi à avoir, se levèrent comme ressuscités.
John se demanda où était la jeune Adele puis il la trouva toujours inconsciente sur la chaise. Il se décida à la porter à l'étage, laissant son ami quelques secondes, se disant que tout irait bien. Il savait se battre.
Pendant ce temps, Holmes tentait par tous les moyens de les faire s'en aller. Alors il sortit de la maison, les monstres le suivant comme des chiens enragés coursant un pauvre petit animal.
— Oui suivez-moi erreurs de la nature ! Grogna sauvagement Sherlock.
Puis il arriva près d'un amas de bois, regroupés ensemble. Il en prit par poignées et les lanca sur ces atrocités. Certains tombèrent en braillant comme des chiens enragés, d'autres furent désarticulés tellement leur corps ne tenait qu'à un fil.
Dérouté par le reste du groupe qui s'approchait de plus en plus de lui, il se baissa, attrapant de grosses pierres pour ensuite les balancer sur eux.
Mais il n'y eut guère de résultat. Alors Sherlock continua du mieux qu'il put à les éloigner.
Il était trop tard, il allait mourir là, dévoré par des mort-vivants ? Éventré ? Déchiqueté ?
Il entendit au loin un cri familier. Mais il n'eut pas le temps de réagir : une de ces créatures se jetait sur lui et planta ses doigts crasseux et déchiquetés sur le visage et le cou du détective. Envahi par la terreur, il tenta de se débattre mais il y avait deux monstres sur lui dorénavant. Un l'attaquant au visage et l'autre mordant sa jambe.
Un coup de feu suivit de nombreuses déflagrations achevèrent les créatures de la mort. Holmes releva la tête et croisa le regard effaré de son ami. Il mitrallait les corps, les siens s'ecroulèrent inertes et le brun s'en debarassa en les repoussant, répugné.
Watson le rejoignit et lui tendit une main, qu'il saisit bien volontiers. Aussitôt le médecin s'inquièta fortement pour son ami.
— Holmes vous... Vous saignez au visage et au cou.
— Je ne m'inquiète pas... Assura le brun, en se relevant difficilement. J'ai un médecin comme ami.
— Vous boitez ? Reprit Watson en baissant son regard.
Il ouvrit de grands yeux. Sherlock les baissa et en fit de même.
— Il vous faut être soigné, avant que cela ne s'infecte ! Annonça Watson avant de le prendre par le bras pour l'aider.
Tous deux rentrèrent au domicile d'Adele, alors que les rayons du soleil commençaient à s'insinuer entre les arbres. Sherlock jeta un regard en arrière : les corps décapités étaient en train de brûler par le soleil.
Watson fit entrer son ami et l'installa sur une chaise. Au même moment, la jeune femme descendait les escaliers, massant douloureusement son cou.
— Que s'est-il passé ? Grommela-t-elle la voix enrouée. Je me souviens de personnes aux regards noirs et...
— Pardonnez-moi de vous interrompre mais pourriez-vous m'apporter de l'eau par n'importe quel moyen !? S'exclama le médecin, s'apparentant davantage à un ordre qu'une demande.
Elle se précipita en cuisine et revint avec l'eau dans une carafe. Watson s'attelait à soigner les plaies profondes et sanguilonantes de son ami. Ce dernier ne bronchait pas mais son expression en disait long.
Le plus fâcheux fut sa jambe. John fut obligé d'ouvrir avec un couteau délicatement le contour de la plaie, collée au tissu. Il pressa un tissu epais sur la plaie pour arrêter le saignement.
— Je me vois désolé d'avoir sali votre belle maison, Madame. Lanca le brun, sous les yeux exorbités d'Adele.
Watson retira le tissu quand il fut certain que cela ne saignerait plus. Puis il fit un garot pour bien faire tenir le tout. Mais il s'inquiétait fortement pour son ami. En effet, les bords de la blessure et donc de sa peau commençait à prendre une couleur sombre.
— Mon ami, vous sentez-vous bien ? Demanda-t-il sérieusement.
— Cela me brûle un peu, mais cela va plutôt bien. Repondit Sherlock.
Watson opina mais parut tout de même inquiet, il ne fit néanmoins aucun commentaire quant à sa découverte sur la plaie.
× × ×
Les deux hommes mangeaient tranquillement, avec leur hôte, comme ces derniers jours. Sherlock ne dit rien car il ne voulait pas inquiéter son ami tout comme sa logeuse, puisqu'il était là pour enquêter.
Mangeant lentement, serviette enfouie dans sa chemise, il sentait à peine la fièvre qui commençait à monter dans son corps. Cela ne se voyait guère encore, son teint n'était pas pâle du moins pour le moment.
Watson lui jetait de temps en temps des regards inquiets. Il savait que cela ne durerait pas.
Quand ils eurent finis leur repas, on frappa à la porte. Ce fut Adele qui se leva et ouvrit la porte.
— Oh, Commissaire Denoy ! S'exclama la jeune femme.
— Bonjour Madame ! Pardonnez moi du dérangement mais je viens pour un nouvel assassinat. Expliqua-t-il.
— Bon sang ! Cela ne finira jamais ? Soupira-t-elle.
Le chef de la brigade du village haussa les épaules. Adele se tourna vers ses deux invités et les en informa. Holmes accepta sans hésiter l'enquête, Watson quant à lui, ne se souciait que de l'état, qui semblait s'aggraver, de son ami.
— Watson, m'accompagnerez-vous ? Prononça le brun, avec une légère difficulté dans l'élocution.
— Je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée...
— Nous aurons peut être un nouvel indice quant à ce casse-tête interminable ! Émit-il.
Le médecin soupira et finit par accepter. Tous deux s'en allèrent, suivant de près le Commissaire.
Arrivant sur les lieux, nos deux hommes avaient l'impression de revivre le même moment, ressemblant aux jours précédents.
En effet, un nouveau meurtre avait été commis dans la nuit, après l'apparition de la bête et des créatures de la mort. Décidément, cette vallée était maudite.
Sherlock se pencha sur le corps mais fut rapidement prit d'un violent vertige. Watson le rattrapa avant qu'il ne s'écroule. Le détective se repositionna sur ses pieds et passa ses mains sur son visage. Son proche ami ne cessait de le fixer d'un regard inquiet.
Cette fois, Sherlock s'agenouilla directement et posa ses mains sur la peau de la victime. Mais sa vue était comme floue, il ne parvenait plus à distinguer les alentours. Il sentait à peine son front luisant de sueur, quant à sa jambe, il en était de même.
Il n'arrivait plus à penser et réfléchir rationnellement. Pourquoi son état empirait-il aussi vite ? Il n'y avait même pas une heure, il allait très bien.
Soudain, son corps tomba en arrière, il enleva son chapeau, ouvrit sa veste et deboutonna une partie de sa chemise.
— Retirez moi ces vêtements ! S'écria le brun.
John avait vu juste, il n'allait pas bien du tout. Il posa genoux à terre et posa doucement sa paume sur le front de son ami. Alarmé par sa soudaine montée de fièvre, il s'empressa de lui retirer sa veste et d'ouvrir à demi sa chemise, déjà collée à son torse.
— Aidez-moi à le remettre debout ! Demanda l'ancien médecin au Commissaire.
Ce dernier l'aida comme souhaité, Sherlock chancelant dangereusement. Il bredouillait des paroles incompréhensibles.
— Eh... Pas qu... Oi... Eh... Enqu...ete... Eh... Mons...monstre...
— Pourquoi est-il comme ça ? Se questionna l'un des officiers /policiers sous les ordres du chef.
— La morsure de l'une de ces abominations. L'informa Watson. Il devait porter un virus, une bactérie, une maladie, je ne sais pas. Reprit-il davantage pour lui-même.
Ils le ramenèrent à la maison de leur hôte et le montèrent directement dans son lit actuel. Holmes délirait, sa fièvre montant en flèche. Si rien n'était fait, il allait mourir dans les heures qui suivraient.
Adele s'affairait à faire chauffer une préparation à base de tilleul, camomille et thym. Quelques minutes plus tard, elle arriva, un bol remplit d'eau chaude infusé aux plantes.
— Il doit boire cela, sa fièvre baissera petit à petit et il dormira, cela lui fera du bien.
Watson tenta de redresser le buste de son ami mais ce dernier n'en avait plus la force, il était déjà inconscient. Pourquoi ne l'avait-il pas écouté plus tôt ?
Adele s'assit au bord du lit, passa un bras derrière sa tête et doucement la releva pour éviter qu'il ne s'étouffe.
Elle le fit boire la moitié du bol, estimant nécessaire d'observer d'abord l'évolution de son état.
Watson, désemparé, s'assit brusquement sur la chaise présente dans la chambre et le fixa longuement.
— Monsieur Watson, Madame, je pense m'occuper personnellement de cette enquête, le temps que l'état de santé de Monsieur Holmes s'améliore ! Annonça le Commissaire en se dirigeant vers la sortie.
Le médecin par intérim le remercia d'un signe de tête puis reporta son attention sur Sherlock. Cet homme lui en aura fait vivre des aventures, parfois frôlant la mort de près, d'autres situations plus rocambolesques que ses activités personnelles à Londres.
Cette fripouille le rendait fou à jouer avec le feu. Détective privé mais il restait un humain avec ses limites. Aujourd'hui, il était à nouveau aux portes de la mort. Et il ne pouvait l'accepter, il était son ami.
Mais à cette heure précise, il était trop tôt pour s'attrister sur son possible sort final. Watson ne voulait même pas y songer.
× × ×
Four hours later
L'état de Sherlock ne s'était clairement pas amélioré. Certes, il avait dormi et sa fièvre avait très légèrement baissée. Mais le plus inquiétant était les battements de son coeur, se faisant de plus en plus lents.
Watson sur le qui vive, ne cessait de prendre le pouls de son ami, tremblant de peur de le voir mourir sans rien pouvoir faire.
— Il doit bien y avoir une solution ? S'écria John, résonnant dans toute la maison.
Adele voulut lui répondre mais cela ne servait à rien. Il était trop tard, le mal était fait. La morsure s'était infectée, devenant noire. Holmes n'en avait plus pour longtemps. Pourtant John ne pouvait l'accepter, pas comme ça, pas lui, pas son ami qu'il venait à peine de retrouver.
Le médecin se leva et avertit son hôte de sa sortie à l'extérieur. S'appuyant contre un muret, il fuma sa pipe et souffla longuement. Watson ne réalisait pas que la vie de son ami ne tenait maintenant qu'à un fil. Seulement par une morsure d'une erreur de la nature. Comme une chose pareil pouvait arriver ?
Soudain, son attention se porta sur un cheval venant de nul part, passant au galop, son cavalier jetant quelque chose à terre, au loin.
Un instant, le blond crut voir des cheveux blonds noués en tresses à l'arrière du crâne de la personne. Ce devait être une femme. Lâchant sa pipe, il se hâta de rejoindre l'endroit où elle y était un instant plus tôt.
D'abord il examina le sol rocailleux du chemin. Puis ses yeux trouvèrent enfin ce qu'il — ne savait même pas ce qu'il cherchait — tentait de trouver. Un petit flacon, contenant un liquide bleuâtre.
Il fut interrompu dans sa réflexion par un cri venant de la maison. Il se pressa à l'entrée alors qu'Adele l'appelait : le cœur de Sherlock venait d'arrêter de battre.
Aussitôt, il monta prestement et s'accroupit au dessus du torse inerte de son ami. Les yeux exorbités il reprit cependant son sang-froid et commenca un massage cardiaque.
Posant les paumes sur sa poitrine, il pratiqua les gestes pour ramener son cœur à battre. Une première tentative sans succès, en amena une autre, en vain. Non, il ne pouvait mourir comme ça, pas maintenant.
Watson tomba à genoux et prit ses mains dans les siennes, impuissant.
Il sentit des bras le tirer en arrière, alors que son regard s'embuait par les larmes. Adele le retourna vers elle et le rassura car elle était la pour l'aider à faire son deuil.
Puis il se rappela de la petite fiole. Aussitôt, sans réfléchir, il la retira de sa poche et chercha une seringue dans son sac à bandoulière.
Puis il ouvrit délicatement mais rapidement le flacon, déposant le bouchon et entra l'aiguille dans le contenant, aspirant le contenu à l'aide de la petite poignée.
Il testa la conformité et sans attendre, la planta directement dans sa poitrine. Tout d'abord, il ne bougea pas. John le fixait, serrant la seringue dans ses mains qu'il voulait y croire.
Quelques secondes suivirent son réveil brutal. Il tomba du lit, son regard bloqué en une expression horrifiante. Watson le prit aussitôt dans ses bras.
— Holmes...
Ce dernier parcourut la pièce d'un regard quelque peu absent et porta une main à sa poitrine.
— Que... Que s'est-il passé ? S'enquit le brun, tentant de reprendre son souffle. Pourquoi ma poitrine me brûle ?
— Vous avez été gravement malade. Vous rappelez-vous ? Une de ces créatures de la nuit, vous a mordu. D'ailleurs un mystérieux cavalier aux cheveux dorés vous a sauvé.
Soudain, tout ce qu'il s'était passé apparut dans l'esprit de Sherlock. L'attaque des deux monstres, la morsure, l'enquête, son malaise, la douleur, les frissons, les hallucinations.
Le brun se sentait sale et poisseux. Mais il était en vie, grâce à Watson. Des cheveux blonds... Sherlock pencha sa tête de côté un instant et tenta de se rappeler. Puis des souvenirs entrecoupés de cette nuit s'insinua dans son esprit encore embrumé. Cette femme aux cheveux d'or... L'avait-elle sauvé ? Cela en avait tout l'air.
— Holmes, que vous a-t-il prit ? Le questionna Watson, avec un tel calme. Sherlock, vous m'avez fait peur ! S'il vous plaît, la prochaine fois, écoutez-moi ! Ne faites pas comme si votre corps était immortel ! Hurla-t-il.
Holmes savait que son meilleur ami était en colère, ne l'ayant jamais vu comme cela.
— Vous n'êtes qu'un abruti ! Heureusement que vous m'avez comme ami ! Parfois, j'ai envie de vous laisser seul avec vos folies. Continua-t-il. Mais vous êtes comme un frère pour moi. Alors Sherlock, je vous en conjure, ne me faites plus jamais mourir de peur !
Holmes resta silencieux durant tout son monologue, remuant son cœur. Quand il eut finit, Sherlock hésita à le prendre dans ses bras mais ce fut John qui l'attira à lui, le serrant très fort.
Ils restèrent longtemps comme cela. Un frère, un ami. Ces mots prononcés par Watson résonnaient forts dans son crâne, se fondant dans son cerveau et toutes ses terminaisons nerveuses.
Il avait été seul, puis un ami s'initiait dans sa vie et maintenant un frère. À cette pensée, il resserra son étreinte autour du torse de John.
Ils entendirent derrière eux de nombreux reniflements et des sanglots. Décidant de terminer cette accolade voire plutôt un véritable geste d'amour fraternel, ils se tournèrent en se mettant sur leurs deux jambes. Leurs regards rencontrèrent celui, larmoyant, de la jeune femme.
— J'ai rarement vu pareil spectacle ! Prononça-t-elle simplement, avant d'étouffer un léger éclat de rire, posant la main sur sa bouche.
Tous deux se jetèrent un regard gêné et complice, avant d'eux mêmes laisser la tension accumulée en eux, les nerfs à vifs, soupirant l'un après l'autre.
— Mon cher ami, je vous suggère de prendre un bain, vous ne sentez pas la rose ! S'esclaffa le blond, néanmoins légèrement réservé sur ses dires.
— Watson, je suis blessé de vos propos face à une demoiselle, elle ne pourrait pas vouloir de moi maintenant. Avoua-t-il un sourire en coin.
— Cela venait du cœur, mon bon ami ! Et dois-je vous rappelez que votre cœur s'est déjà épris d'une femme ? Lâcha le blond, levant la tête, un petit sourire sur le visage.
Sherlock baissa les yeux, les joues se teintant de rougeurs. Il sentait le regard de leur hôte sur lui.
— Vous m'avez percé à jour, vieille bique ! Piqua-t-il un nouveau sourire au coin des lèvres.
— Et vous vous êtes une fripouille ! Je vous connais par cœur !
Tous deux inerrompirent leur intempistive riposte, Sherlock vaquant à ses occupations : prendre un bon bain qui retirerait cette sensation de saleté et de peur. Quant à Watson, il descendit aux côtés de la jeune femme et s'offrir une bonne tasse de thé.
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Bonjour, bonsoir,
Vous m'en voyez désolée 😅 je vous ai fait passé de la peur à l'angoisse et de la tristesse à la tendresse 😂
Qu'avez vous pensé de ce nouveau chapitre ? Certes, rempli d'émotions 😅
Les morts-vivants ? Je ne trouvais guère comment les qualifier 😅
Sherlock proche de la mort ?
John qui s'est inquieté pour lui ?
Cette fin sur une note de tendresse ?
N'hésitez pas à voter et laisser un avis ! J'ai particulièrement aimer écrire ce chapitre !
PS: juste pour le plaisir
A bientôt, bon courage à vous.
Dreamlifeix.
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