Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

× Chapitre 7 ×

/!\ ATTENTION SCENES SENSIBLES !

L E M O N

/!\ /!\ /!\

__________________________________

Deval's center

Omniscient's point of view

Qui était l'assassin de cette personne ? L'instituteur ? L'un des parents ? La première option ne pouvait être possible : imaginer un maître d'école tuer alors qu'il apprenait bon nombres de savoirs à des enfants... C'est ça, imaginer un instituteur, tous les jours avec de jeunes garçons et jeunes filles, qu'il pourrait les tuer...

Mais cela pouvait être possible. Comme cela pouvait l'être également pour les parents du petit défunt. Un casse-tête pour notre détective, qui pourtant elucidait n'importe qu'elle énigme, ou devrait-on dire, enquête.

Il y avait de quoi avoir le tournis : les meurtres qui ne cessaient avant son arrivée et cela ne se calmait pas depuis l'arrivée des deux hommes.

Watson, en très bon acolyte, qui continuait de sermonner son très cher ami, n'était point là pour suivre les morts et invoquer les esprits. Holmes avait indiqué qu'il ne s'agissait pas d'entrer en contact avec les morts mais de résoudre les meurtres qui ne s'arrêtaient pas un seul jour.

L'esprit de Sherlock était en apothéose. Leur hôte, agressée par le fils du forgeron, le père lui-même assassiné. Le petit James Calls, poignardé à plusieurs reprises dans la cour de son école. Puis ce nouveau meurtre, commis en la maison du petit... Un souvenir s'initia dans son esprit : le visage sans vie du jeune garçon. Puis, s'ensuivit celui du garçon s'arrêtant brutalement à l'entrée du domicile de leur hôte.

Mais bien sûr ! Pensa le détective. Arthur ! James Arthur Calls ! Arthur, le petit garçon de huit ans, mort assassiné.

Sherlock se passa la main sur le visage, soupirant longuement. Certes, il ne connaissait pas le garçon, mais, si peu l'a-t-il vu, il semblait gentil et affectueux. Un pauvre enfant qui n'avait rien demandé.

Sherlock passa ses mains sur son visage en soupirant. Pour la première fois, depuis l'une de ses enquêtes où il se souvint s'être trompé - ce qui avait engendré la mort de nombreuses personnes hautement placées au ministère de Londres - aujourd'hui il se sentait perdu et il n'aimait pas cela.

- Holmes ? Entendit le concerné, tout près de lui.

Ce dernier releva la tête et ancra son regard dans celui de son ami, dont il avait bien entendu reconnu la voix.

- Tout va bien, mon ami ? Reprit le blond.

- Eh bien... Que diriez-vous de faire une pause ? Avec tout cela, cela nous ferait le plus bien. Proposa le brun.

- Comment pourrais-je refuser ? Peut être vous trouverais-je un petit amuse-bouche pour le reste de la soirée. Taquina John.

Le crépuscule était encore loin mais le soir ne tarderait pas à arriver. Alors les deux amis se dirigèrent vers le bar du village. Le propriétaire insista de leur offrir leur première boisson, car oui, la soirée s'annonçait être longue et remplie de plaisanteries et de ragots autour d'un verre. Cela avait manqué à Holmes comme à Watson.

× × ×

Four hours later

- Eh ! Eh ! Appela Holmes, réclamant l'attention. (Son verre levé, il bougeait maladroitement sur sa chaise. Bien pris par l'alcool, tout comme son ami, il s'amusait à raconter des blagues avec les autres présents dans le bar) J'en... J'en aiiii une ! Annonca-t-il.

Tous les hommes, y compris Watson, le devisagèrent, comme pendus à ses lèvres. Le maître des lieux, ayant l'habitude, n'emit aucun commentaire et ne dissimula point son sourire en coin.

- Comment divertir un pharaon qui s'ennuie ? Posa aussitôt Sherlock, tentant de prendre son sérieux.

Ses amis de beuverie prirent tous la demande au sérieux, que l'un d'entre eux en tomba à terre, ivre mort, mais vraisemblablement seulement endormi. Watson lui, afficha une mine boudeuse, on ne savait pourquoi.

- Tu fais voguer sur le Nil un bateau ayant pour toute cargaison de jeunes femmes simplement vêtues de filets de pêche et tu presses le pharaon d'aller à la pêche. Expliqua Holmes avec un grand sourire idiot.

Tous, à la fin de sa phrase, se plièrent en deux, riant à gorges déployées. Meme Watson, qui en fin de compte, faisait simplement le pitre.

- A moi ! À moi ! Lanca un autre homme, comme un enfant impatient.
Qu'est-ce qui pend sur la cuisse d'un homme et aime à pénétrer dans un trou dans lequel il a l'habitude de pénétrer ?

- Henry, tout de même ! S'offusqua le propriétaire des lieux.

- Jack, ça va on se détend ! Grommela sereinement le concerné.

- Une clé. Répondit Holmes.

Tous se turent et le fixèrent.

- Comment as-tu su ? S'enquit l'homme de la blague.

- Il ne faut pas être ignorent pour l'avoir compris. Répondit Sherlock.

- Qu'insinues-tu ? Reprit le même homme se levant, menaçant.

- Absolument rien. Et cessez de me manquer de respect ! S'exaspera mais fermement le brun.

L' homme s'approcha dangereusement du détective, qui tituba sur le côté avant de se mettre maladroitement debout.

Tous deux se fixèrent sans bouger avant que l'autre ne le pousse.

- Cela suffit ! Cria le bar-Man. Soit vous sortez d'ici soit vous vous tenez tranquille !

Après quelques secondes, il s'en détourna et s'assit à nouveau, délaissant Holmes. Ce dernier se rassit également, attrapant son verre pour le boire d'une traite.

× × ×


Notre détective n'avait plus vraiment la notion du temps. Ayant ingurgité bon nombre de boissons alcoolisées, heureusement qu'il était assit, il se serait depuis longtemps retrouvé à terre s'il en avait été autrement.

Tenant un énième verre dans sa main, il le porta à ses lèvres et le but à nouveau d'une traite. Il n'avait aucunement remarqué la délicate petite main féminine se glisser discrètement derriere le comptoir, tandis que le propriétaire était tourné. Cette dernière avait laissé le produit se fondre dans l'alcool pour celui qu'elle devait suivre.

Tout d'abord, il ne fut pas tellement étourdi, simplement un peu... Nauséeux. Puis la tête lui tourna et se leva. Il annonça à son ami qu'il rentrait seul à la maison de cette chère femme qui les hébergeait.

Se dirigeant d'un pas peu assuré, il chercha, les yeux à demi-ouverts, son chemin vers la maison. Pourtant, il n'atteignit jamais sa destination : des bras le tirèrent dans l'ombre.

Il atterrit contre un corps chaud et doux, sa peau en contact également avec quelque chose de rugueux. De la paille ? Du foin ? L'esprit embrumé, il ne discernait qu'à moitié les sons et ses yeux le trahissaient.

Peu rassuré mais trop vaseux, il se laissa faire quand de douces caresses l'enveloppèrent dans un cocon de chaleur. Poussant un grognement rauque, il se pressa ouvertement contre ce corps si doux et si... Sa peau touchait une autre peau, puis des cheveux, que ses yeux purent distinguer être... Dorés ? Il n'était pas sûr. Ce n'était pas important.

Une main frola son visage et le tira par la nuque plus proche de cette peau et ces cheveux. Ses yeux se rouvrirent et crus reconnaître ce visage qui n'était qu'à quelques centimètres du sien.

Son cœur tambourinait violemment contre sa poitrine. Des cheveux longs, dorés, des yeux marrons, un visage beau et doux. Une femme. Il la connaissait. Il en était sûr. Il voulait parler, lui parler. Mais cela lui était impossible. Comme dans un rêve, où l'on est témoin fantomatique.

Contre son corps, ses mains posées sur sa peau, la tête posée également contre sa poitrine, il entendait sensiblement son rythme cardiaque accéléré. Pourquoi diable ne parvenait-il à réagir ? Que se passait-il ? Qui était-elle ? Qui lui voulait-elle ?

Watson ! Il devait partir le chercher. L'appeler, l'implorer. Mais impossible de prononcer la moindre parole ni de bouger, comme si ses membres n'étaient plus commandables par son cerveau.

Tendrement, elle porta ses deux mains au visage du détective, le souleva délicatement et posa ses lèvres sucrées sur celles du brun. Aussitôt, la chaleur envahit son corps. Il répondit difficilement et mollement à ce baiser d'une douceur infinie et brûlant. Il revoyait le visage impassible, dissimulant un sourire en coin. Il se souvenait de son cœur battant à tour rompre. De son désir de connaître la couleur de ses yeux. Ils étaient marrons, tout comme les siens.

Elle l'attira contre elle et pressa davantage sa bouche contre la sienne, glissant une langue chaude et délicate sur l'épiderme entrouverte de l'homme dont elle était tombée sous le charme. Elle savait qu'elle n'avait pas le droit, pourtant elle croyait bien être tombée amoureuse. Et cela en avait tout l'air d'être réciproque, puisqu'il lui avait courru après l'autre jour.

Elle savait qu'elle abusait de cet homme, l'ayant drogué pour réussir à l'éloigner un instant de son ami et l'avoir rien que pour elle. Mais il avait l'air d'aimer cela. Meme si c'était plutôt maladroit, elle sentait contre son corps, le cœur de l'homme battre à une vitesse effrénée, tout comme le sien. Elle savait qu'elle risquait gros si son employeur l'apprenait. Elle s'en moquait, voulant profiter de l'instant.

Holmes quant à lui, était parti dans un autre monde. Totalement abandonné entre ces mains expertes, il savoura toute la douceur qu'elle lui offrait. Inconsciemment, il avait attendu ce moment comme dans ses rêves.

Elle se détacha de ses lèvres, tandis qu'il soufflait un grognement, faisant sourire grandement la jeune femme. Cette dernière glissa sur le côté, écartant doucement l'homme de son corps. Il s'effondra lourdement au sol, un filet de bave au coin de la bouche. Elle se pencha et passa délicatement ses bras sous son corps et le souleva contre elle. D'ordinaire, l'homme portait la femme. Elle secoua la tête à cette pensée, non sans avoir passer un revers de manche au coin de la bouche de son amant d'un soir.

Puis, Sherlock Holmes contre son torse, tête posée sur son épaule, à moitié endormi, elle jeta un coup d'œil pour vérifier que la voix était libre. Enfin, elle put rejoindre sa chambre, réservée dans une maison éloignée du village.

Docile et grande, elle parvenait bien à porter cet homme. Arrivant à l'entrée, elle monta jusqu'à sa chambre et le posa sur le lit, étirant longuement ses membres. Pas gros, il était tout de même un homme. Elle se pencha au dessus de lui et posa une main sur son front puis dans ses cheveux en bataille. Il était tellement bel homme.

Le voir vulnérable comme cela, allongé face à elle, comme un enfant, l'excitait. Alors, remontant sa robe à ses genoux, elle se positionna à califourchon sur le brun et fit glisser sa veste le long de son torse. Puis deboutonna sa chemise, après avoir déroulé la petite écharpe autour de son cou. Se trouvant torse nu, elle se pencha sur lui et déposa quelques baisers sur sa peau brûlante. Il gémit sans bouger.

Remontant le long de sa nuque puis son menton, jusqu'à sa bouche, elle mordillât sa lèvre inférieure. Une de ses mains caressa son torse au niveau de son cœur, frappant contre sa cage thoracique. Les lèvres de Sherlock s'entrouvrirent et la jeune blonde profita de presser sa bouche sur la sienne, glissant son muscle humide au coin de ses lèvres. Il rencontra celui de son amant et dansèrent ensemble.

Elle s'en voulait qu'il ne puisse profiter lui aussi de ce moment, mais elle avait été obligée. Pourtant, des mains montèrent faiblement sur elle, une glissant sous la robe, la faisant frissonner et l'autre contre son épaule dénudée. Une des mains de la jeune femme monta dans ses cheveux et l'autre défit le haut du pantalon du brun.

Comprenant ce que voulait Holmes, elle fit glisser sa robe le long de son buste, dévoilant sa poitrine volumineuse. Les yeux, quelque peu endormis de l'homme, pétillèrent légèrement. Cette dernière laissa son corps s'allonger sur le côté, posant la tête sur l'oreiller, mordillant ses lèvres, le dévorant d'un regard brûlant.

Sherlock avait tourné la tête lentement vers elle et entrouvrit de nouveau sa bouche, passant doucement sa langue sur sa lèvre inférieure. Elle approcha son visage du sien et mordillât sa mâchoire, sa joue avant de descendre jusqu'à son cou. Il posa une main chaude sur son épiderme frissonnante et se pressa de la seule force qu'il trouva en lui, contre elle. Elle embrassa avidemment la peau de sa nuque et son cou, jusqu'à remonter à sa bouche.

D'une main, elle baissa le pantalon et serra une jambe entre les siennes. Elle l'embrassa sauvagement, glissant une nouvelle fois sa langue entre ses lèvres chaudes. La légère barbe lui chatouillait le menton et les joues, mais elle continuait. Des mains firent monter la robe le long de son buste.

Seulement, l'esprit de Sherlock commençait à s'assombrir, comme happer par les ténèbres, ses yeux se fermèrent doucement. Ses mains relachèrent leur prise sur le corps de la jeune femme et il s'endormit petit à petit, dans les doux bras de Morphée.

Ce que redoutait la blonde était arrivé, elle soupira longuement et décida de le laisser tranquille, estimant qu'il n'était point juste de jouer avec un homme endormi. Pourtant, elle voulut une dernière fois le dévorer entièrement.

Elle se pressa contre lui, caressant son torse et déposa de nombreux baisers sur la peau de chaque partie de son corps. Il était tellement mignon, posé comme cela. Elle se souvint d'un homme excentrique, drôle et énigmatique. Et pourtant un enfant dans l'âme. Elle remonta à son visage et prit possession de ses lèvres qui l'appelaient.

Enfin, elle se posa une dernière fois, l'observant dormir paisiblement.


Puis, elle le délaissa, l'embrassant une dernière fois au bord des lèvres.

× × ×

Holmes s'éveilla d'abord doucement, l'espace d'un instant il ne sentait plus son corps, seulement léger comme une plume. Il avait l'impression d'être sortie du paradis, toujours l'esprit un peu embrumé. Pourtant il était tout à fait lucide. Était-ce l'amour ? Il se souvenait vaguement de la veille. Simplement d'avoir dormi et rêvé du paradis incarné. Une femme, de la douceur, de la chaleur, de l'amour à l'état pur.

Il ne se souvenait cependant pas de ses traits, comme si sa mémoire l'avait effacé à son plus grand désarroi.

Sentant de la chaleur sur son épiderme, il ouvrit à demi les yeux et découvrit une chambre somptueuse, pareille à celle de la Reine de France, durant l'année mille sept cent quatre-vingt-neuf. Une partie de sa peau frissonnait alors qu'il sentait la chaleur, il fronça les sourcils.

Quelle ne fut pas la surprise quand il se découvrit être nu, les jambes pliées en deux, un coussin dissimulant sa virilité. Il sentit quelque chose de dur et froid au contact de ses poignets : des menottes. Il arqua un sourcil alors qu'une porte s'ouvrit. Instantanément, il tourna la tête et trouva au pas de la porte une femme de ménage.


Il grimaca, ne pouvant porter ses mains à ses oreilles, quand elle leva les yeux et découvrit avec stupeur l'homme nu, menotté aux bord du lit. Elle partit en courant, laissant Sherlock seul. Il soupira longuement. Ce n'était pas un rêve, cela était bel et bien arrivé. Il en était sûr, cette femme l'avait enlevé contre son gré, où plutôt l'avait drogué. Mais il lui était reconnaissant, elle lui avait offerte la plus belle nuit de sa vie.

Alors qu'il commençait à avoir froid, le soleil ayant avancé dans sa trajectoire, la porte s'ouvrit à nouveau. Aussitôt, le visage de notre détective devint cramoisi. Watson se trouvait en ces lieux. La même femme de ménage à deux pas derrière lui, marmonnant des paroles inaudibles, traçant d'une main la croix divine sur sa poitrine.

- Il paraîtrait que cette femme ait trouvé l'homme que je cherche depuis hier. Commenca John, n'ayant pas encore aperçu son ami.

Holmes tenta tout pour serrer le coussin contre son entre jambe et ne parvint pas à baisser la chaleur de son visage.

- Je vais vérifier par...

Il ne termina pas sa phrase, ses yeux se posant sur le lit. Holmes quant à lui, le fuyait du regard, honteux. Watson voulut prendre la parole mais ne parvint jamais à prononcer le moindre mot, à part bafouiller.

- Ne dites rien, Watson ! Lâcha Holmes, extrêmement gêné. Je me suis fait avoir. Et oui, vous avez raison, je crois être amoureux.

Il savait le regard de son ami sur lui, il savait que ce dernier était ahuri. Il s'étonnait lui-même, de s'être si facilement fait berné. Mais elle avait trouvé son point faible. Elle l'avait hameçoné et il avait mordu. Elle faisait battre son cœur. Il voulait la revoir à n'importe quel prix. Pourtant il devait faire attention, de ne pas mourir ou tomber dans un piège.

Voilà pourquoi il ne voulait pas tomber amoureux ou même penser s'intéresser à une femme. D'ailleurs, il n'aurait jamais pensé qu'un jour cela puisse arriver. Et cela était le cas aujourd'hui.

Finalement, le blond aida son ami en le délivrant et en lui apportant des vêtements fourni par la dame de maison. Holmes partit se vêtir puis les rejoignit et les suivit sans un mot à l'extérieur.

En arrivant dehors, un objet coupa sa vision un instant. Le vent avait fait volé en sa direction un petit paquet. Ignorant les paroles de son ami, Sherlock le prit en main et découvrit un petit paquet, soigneusement empaqueté par un ruban rouge bordeaux.

Il s'éloigna, fixant intensément sa nouvelle trouvaille dans sa paume, oubliant tout autour de lui. Puis il s'assit sur une pierre, caché dans un coin et défit le ruban délicatement. Le tissu était doux comme de la soie et et blanc comme la neige, un petit papier, plié en quatre en son centre. D'une main il saisit le trésor, de l'autre il rangea dans une poche le mouchoir.


Délicatement, il deplia le papier et en prit connaissance.

<<
Vous êtes la rose, je suis le pétale .
La rose fleurie, le pétale grandit.
Le pétale fane, la fleur meurt.

Mais si la fleur renaît, le pétale aussi.
L'un comme l'autre se retrouveront toujours.

Je vous retrouverai toujours, petite fleur. L'abeille sème le pollen, je reviens comme le printemps.

Ne cherchez pas, je serai toujours cachée. Ne cherchez pas, je resterai à vos côtés. Ne cherchez pas, vous ne serez jamais seul. Ne cherchez pas, nous serons réunis, comme la fleur et le pétale à l'aube de la floraison.

E. T.

>>

_____________________________________

Bonjour, bonsoir,

Nouveau chapitre plus long que le précédent. Qu'en avez-vous pensé ? J'avoue que j'ai aimé l'écrire 😏

Sherlock ? Watson ? LA jeune femme ? La lettre ? 😏

Je précise que le gif où Robert/Sherlock dort j'ai mis une belle décennie à le trouver 😂

N'hésitez pas à voter et laisser un avis !

Merci à vous de me lire !
De me suivre 😘

Petite pensée
#Anoshérosduquotidien 👨‍🔬👨‍🚒🏨🏥🚑

La bise de loin 😘
Dreamlifeix

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro