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× Chapitre 5 ×

Hostel's Deval

Omniscient's point of view

Sherlock n'avait jamais aussi bien dormi, installé sur un lit moelleux à souhait. En ouvrant les yeux, ces derniers se posèrent naturellement sur le côté, découvrant sur la table de chevet, une tasse de thé fumante et une petite assiette de gourmandises.

Tenté par leur odeur, il s'assit lentement, pour ne pas avoir de vertige et prit en main la tasse ainsi qu'un petit gâteau.

En s'eveillant, son estomac criait déjà famine, comme si son corps avait suivi son cerveau : détendu et calme. Alors il mangea sans perdre de temps, comme s'il eut peur qu'on lui retire tout ceci.

Après avoir terminé ce trésor, il s'étira en grognant longuement, comme pour détendre ses cordes vocales, il trouva cette dernière pensée ridicule. Sa réflexion intérieure ne dura guère longtemps : la porte s'ouvrit grandement, après que l'on ai frappé soigneusement.

—  Monsieur Holmes, vous êtes réveillé ! Émit la femme se trouvant sur le palier. Une femme vous attend en bas. Reprit-elle.

—  Avant de satisfaire cette requête, est-il possible de prendre un bain ? J'ai grand besoin de faire un brin de toilette.

—  Bien entendu ! Répondit l'hôte. En sortant de cette chambre, c'est la porte au bout du couloir, sur la gauche.

—  Très bien, merci pour votre gentillesse et votre accueil. Termina le détective, en se penchant vers sa valise, afin de préparer son nécessaire de toilette.

× × ×

Holmes descendit l'escalier de l'auberge pour rejoindre l'espace de restauration, les cheveux encore mouillés, mais propre et habillé convenablement.

Il s'assit simplement sur le banc en bois d'une table également en bois et attendis. Des voix étouffées lui parvenaient, alors poussé par la curiosité, il se tourna afin de porter un regard global sur la salle. Quelle ne fut pas la surprise de tomber sur la femme qui le suivait.

Son cerveau lui intimait violemment de poser les yeux ailleurs et ne pas se faire repérer, mais c'était plus fort que lui. Cette femme l'attirait, son visage réchauffait son cœur et ses yeux, il mourrait d'envie de connaître leur couleur. Chaque fois trop loin, il n'avait jamais pu lui parler ou l'approcher. Elle s'enfuyait sans donner son reste.

Sherlock sursauta brusquement quand une main frappa durement le bois. Manquant de s'écrouler à terre, le brun reporta son attention devant lui. Il dut se résoudre à tirer un trait sur cette femme, car s'il continuait comme cela a être distrait, cela courrait à sa perte.

À quelques centimètres de son visage, se trouvait celui d'une femme, brune, vêtue d'une robe sombre et quelque peu decrepie.

—  Monsieur Holmes ? Demanda la femme, méfiante.

L'intéressé leva les sourcils à l'entente de son nom. Pourquoi était-elle si hésitante ? Comme si elle avait peur qu'un individu surgisse et l'egorge violemment.

—  Je suis la femme de la lettre. Chuchota-t-elle.

Holmes opina enfin et s'éloigna légèrement de cette femme, les jugeant bien trop proches.

—  Je m'appelle Adele Colksman. Et j'ai besoin de vous. Annonça-t-elle. En réalité, c'est toute la vallée qui a besoin de vous.

—  Pouvez-vous m'expliquer ce qu'il se passe et depuis quand ? Lanca le brun en croisant à nouveau les mains devant lui.

—  Comme vous avez pu le lire, cela dure depuis plusieurs mois. Disparitions inexpliquées, meurtres, assassinats. Nous avons également trouvés des âmes errantes dans plusieurs villages. Ces personnes étaient vides de vie, ils marchaient sans but et attaquaient qui se trouvait sur leur passage. Nous vivons dans la terreur de mourir ou de se faire égorger depuis si longtemps.

Elle marqua une pause, Sherlock pouvait voir la peur dans son regard. Un frisson lui parcourut l'échine. Un type de mystère qu'il n'avait guère l'habitude de résoudre. Mais un peu changement ne ferait pas de mal. Cependant, enquêter sur cela allait être long et difficile. Il espéra intérieurement que son proche ami le rejoigne, qu'ils enquêtent ensemble.

—  Je vous en prie, aidez-nous ! Gemit-elle en attrapant brusquement la main du brun. Vous êtes notre seul espoir.

Holmes posa les yeux sur leur deux mains et la retira doucement, pour ne pas l'offenser, mais gêné par tant de proximité, il n'avait point l'habitude.

—  Je suis venu pour vous aider. Alors je vous suis ! Affirma le détective.

Adele soupira de soulagement et se leva.

—  Puis-je vous proposer de venir chez moi, en attendant de résoudre ce mystère ?

Sherlock resta fixé sur elle, sans savoir quoi répondre. Il n'avait pas l'habitude de parler avec des femmes comme cela, encore moins d'entrer dans leur maison et d'y dormir. Que devait-il faire ?

—  Vous serez bien mieux, et...

Son expression voulait clairement dire : "Vous pourrez me protéger". Aussitôt, notre détective tourna son visage, cachant la soudaine rougeur qui embrasait ses joues. Il n'était clairement pas doué avec les femmes. De plus, il n'était point policier, simplement détective. Un petit rire étouffé fit trembler sa cage thoracique : c'était tout comme en fin de compte.

—  Très bien ! J'accepte. Finit-il par dire.

—  Fort bien ! S'exclama-t-elle. Hm... Je... Vous pouvez me suivre des maintenant, pour vous installer ?! Reprit-elle en baissant la voix, gênée.

Sherlock ascquieca et se leva afin de partir chercher ses bagages.


Quelques minutes plus tard, le détective se trouvait de nouveau au rez-de-chaussée, valises en mains. Adele s'approcha de lui et porta ses mains aux siennes afin de s'en saisir.

—  Laissez-moi vous aider ! Se proposa-t-elle.

—  C'est très gentil à vous, mademoiselle, mais je n'en ai pas besoin ! Refusa-t-il poliment.

Elle retira ses mains des siennes, stoppant les nombreux courants électriques qu'il avait ressenti. Il croisa le regard de la jeune femme et le devia aussitôt, pour s'échapper vers la sortie. Elle le suivit, tandis qu'il jetait un dernier coup d'œil vers les tables. Elle n'était plus là. Un léger pincement au cœur le fit s'arrêter.

Miss Colksman entra violemment dans son dos, le faisant basculer en avant. Elle s'excusa précipitamment, alors que Sherlock se retourna.

—  Pardonnez-moi, c'est moi qui... J'étais ailleurs ! S'excusa Holmes à son tour. Je vous suis ! Reprit-il pour stopper ce malaise entre eux.

Elle hocha la tête, les joues écarlates, et se hâta en dehors du bâtiment. Puis le détective la suivit jusqu'à son domicile.

Que se passait-il décidément chez lui ? Tout se passait très bien, quand il était encore à Londres. Et voilà, qu'arrivant ici, tout se chamboulait. Et cette femme, elle le suivait toujours. C'est elle qui déclenchait le trouble en lui. Point cette Adele.



Les songes de Sherlock Holmes s'estompèrent car un bruit sourd venait de couper court à l'étrange ambiance qui s'était installée.

Sherlock laissa tomber ses affaires et se tourna vivement vers la source du bruit. Un homme corpulent, vêtu de vêtements éventrés, fondait déjà sur les deux personnes ici présentes.

Holmes eut juste le temps d'apercevoir un pistolet dans une des mains de l'intrus. Le détective se jeta sur Adele et tous deux glissèrent derrière une partie de l'habitation afin de se protéger : la séparation murale entre le salon et la cuisine.

Le brun se dégagea doucement du corps de la femme pour ne pas lui faire mal. Ses yeux s'ouvrirent, secouée de tremblements. Il tenta de la rassurer, mais il dût se baisser, entraînant son hôte, attrapant son buste contre lui. Il tourna légèrement son visage et découvrit un trou dans ce qui les protégeait de leur assaillant.

La tête de l'homme passa au dessus du demi-mur et baissa les yeux pour rencontrer ceux du détective. Le cri de la jeune femme lui vrilla les tympans et n'eut point le temps de l'arrêter : la main de l'individu aggripa Adele par le col de sa robe et la tira en l'air. Ni une ni deux, Sherlock fut sur ses deux jambes, contourna la partie murale et assena un violent coup de canne au visage de l'agresseur.

Ce dernier lâcha la femme, qui s'écroula à terre, trop assommée par le choc. Holmes lui cria de se cacher, ce qu'elle fit comme happer par une soudaine poussée d'adrénaline.

Prenant ses jambes à son coup, le détective se retrouva seul face à cet homme. N'ayant pas le moins du monde une once de peur, Sherlock fondit sur lui, canne brandit en l'air. Sa tentative fut un échec puisqu'il tomba fesses contre terre. Ignorant la soudaine douleur, il se releva et fit glisser hâtivement sa lame le long de sa canne.

—  T'es un maulasson ou quoi ? Grommela l'individu.

—  Tu vas voir de quoi je suis capable ! S'écria le brun en le menaçant.

Il s'esclaffa dans sa barbe et, sans lui laisser le temps de réagir, frappa son buste. Holmes bascula en arrière. Quelque peu sonné, il se remit néanmoins bien vite sur pied et se jeta  à nouveau sur lui. Deux mains le soulevèrent et le projetèrent contre un mur, faisant tomber tout ce qui se trouvait sur sa trajectoire.

A terre pendant quelques secondes, il reprenait ses esprits, en ébullition. Puis, se remettant lentement sur pied, il parcourai la pièce des yeux : il n'y avait personne. Il ne perdit point de temps et se pressa de les retrouver.

Marchant lentement, il tendit l'oreille afin de capter le moindre bruit. Il s'arrêta quand il entendit une respiration saccadée. Rejoignant la source du bruit, il trouva l'homme debout, stoppé et observant la pièce : un bureau, un armoire et une fenêtre. Des étagères remplis de dossiers, livres et journaux étaient collés aux murs. Au fond, sous le bureau, Sherlock remarqua deux chaussures contre le sol : Adele se cachait la.

L'homme corpulent s'avanca et contourna le bureau jusqu'à pousser un grognement. Aussitôt, un cri hystérique retentit, laissant Holmes sauter sur le dos du gigantesque individu.

Ce dernier, d'abord concentré à attraper la femme, tendit ensuite ses mains derrière sa tête. Sherlock attrapa ses doigts et mordillât son poignet. L'homme lâcha prise et Holmes passa ses bras autour de son cou et tenta de l'étrangler. Le corps s'effondra à terre, entraînant Holmes dans sa chute. Mais, il n'était pas mort, au contraire, il avait fait exprès de se laisser tomber.

L'homme de grande taille se tourna sur le dos, écrasant par la même occasion notre détective, qui gémit pour se frayer un chemin afin de respirer. Alors que Sherlock se débattait de toutes ses forces pour s'en dégager, écrasé de tout le poids de cette brute, un grognement rugit.

Sherlock leva des yeux exorbités, le visage blanc comme un linge et croisa le regard de la femme. Cette dernière frappa violemment l'homme à la tête, à l'aide d'un gros bouquin. Il perdit connaissance, laissant un Sherlock Holmes à bout de souffle mais toujours opprimé.

—  Je vais vous aider ! Annonça Adele en arrivant derrière lui.

Sherlock sentit le poids lourd avachi sur lui, se dégager peu à peu, il tenta d'ailleurs d'aider comme il put, laissant enfin l'oxygène affluer jusqu'à ses poumons. Il reprit des couleurs et se leva à l'aide de son hôte.

—  Qui est-ce ? Que vous voulait-il ? Demanda sans attendre le détective.

—  C'est difficile à expliquer... Il me suit depuis quelques temps. Et...

Elle ne put terminer sa phrase car l'homme s'éveilla dans un grognement et empoigna la cheville de la jeune femme. Holmes alerté, se pencha sur lui et le frappa au visage puis lui donna un coup de pied. Il s'évanouit dans l'instant.

—  Nous serons plus tranquille. Reprit Sherlock. Nous allons descendre, je reviendrai le chercher avec d'autres personnes, pour l'amener... Avez-vous un lieu où je pourrai l'amener ?

—  Hm... Au... commissariat.

—  Allons, ne restons pas la ! Intima-t-il en invitant la demoiselle à passer devant.

Tous deux descendirent au rez-de-chaussé et s'arrêterent au salon. Holmes l'invita à s'expliquer.

—  Cet homme me suit depuis quelques temps. Je ne sais pas qui il est. Je sais simplement qu'il vient du village voisin, qui a été dévasté par la malédiction.

—  Qu'elle malédiction ? S'enquit le détective.

—  Les morts envahissent les villages voisins. Des enfants disparaissent. Certains disent avoir vu des morts marcher à la tombée de la nuit dans les rues de leur village. Et cet homme, était le fils du forgeron du village. Ce dernier est mort mystérieusement. Son fils croit que c'est mon père qui l'a tué. Il est d'ailleurs parti car il était appelé à travailler hors du village. C'est sur moi qu'est retombé sa vengeance.

Sherlock l'ecouta jusqu'au bout et s'appreta à prendre la parole, mais n'en fit rien. Son expression indiquait clairement la peur et ses yeux fixaient le vide derrière lui. Curieux de savoir ce qui l'effreyait, il se tourna et croisa le regard rageur de leur agresseur.

N'était-il pas évanoui celui la ? Le détective se leva brusquement, après s'être assit avec son hôte. Il tira la femme derrière lui afin de la protéger. L'individu braquait sur eux un fusil de chasse. La jeune femme tremblait derrière lui, il le sentait car elle avait posé ses mains moites sur ses épaules.

—  Je veux la femme c'est tout ! Cria-t-il.

—  Tu ne la tueras pas ! S'écria le brun en le fixant.

C'est à ce moment là que Sherlock se maudissait, il avait oublié son arme à feu. Pestant intérieurement, il n'entendit pas la détonation qui fit vibrer l'air. Il reporta son attention devant lui et trouva la brute, allongée à terre.

Il fronça les sourcils et se tourna pour faire face à la jeune femme. Il aperçut une silhouette sur le pas de la porte, tenant un pistolet dans une main. Sherlock crut reconnaître la voix.

—  Que se passe-t-il ici ? J'ai entendu un coup de feu et...

La personne s'arrêta et leva les yeux. Sherlock croisa le regard de son meilleur ami. Watson était bien devant lui. Il oublia l'homme inconscient et Adele, et se jeta dans les bras de son ami.

—  Pourquoi diable n'avez-vous point pris votre pistolet ? S'enerva légèrement Watson, serrant son ami contre lui.

—  Je l'ai oublié ! Lanca le brun amusé, se reculant de lui.

—  Vous pouvez me remercier mon cher ! Je vous ai encore sauvé la vie ! S'esclaffa le blond.

—  Watson ! Mais... Que faites-vous la ? Demanda Holmes avec un grand sourire non dissimulé.

—  Eh bien, je voulais vous rendre visite et... Ne vous trouvant point à Londres, après avoir discuté avec Mme Hudson, je me suis hâté de vous rejoindre. S'expliqua John.

—  Et... Mary ? Ajouta Holmes.

—  Elle est à Brighton, pour une affaire importante. Mais qu'avez-vous fait durant tout ce temps, Holmes ?

Sherlock, tout chamboulé, ne sut quoi répondre.

—  N'avez-vous encore trouvé la femme de votre vie ? Reprit le blond.

Son ami afficha un visage déconfit et se racla la gorge, gêné. Puis il fit remarquer et rappeler la présence d'une femme en ce moment.

—  Oh ! Lâcha le blond. Nous reprendrons cette discussion mon cher ami, soyez-en certain ! Remarqua-t-il avant de se tourner vers Adele.

> >  Docteur John Watson, je suis médecin, un grand ami de ce cher Monsieur Holmes ici présent. Se présenta le blond.

—  Adele Colksman, je vis à Deval, avec mon père, qui en ce moment est parti pour son travail.

—  Alors que faites-vous la mon cher Holmes, à l'autre bout de l'Angleterre ? S'enquit curieusement le blond.

—  Eh bien, cher Docteur, votre ami est la pour nous aider à stopper le sort maléfique qui s'est abattu sur notre vallée. S'expliqua la brune.

Sherlock sentit le regard insistant de son ami sur lui.

—  Pourquoi ne me sens-je point surpris ? Souffla ce dernier.

Le détective tourna son visage vers lui et lui offris un sourire désolé.

—  Sherlock, vous avez le don de m'amener à vous, alors que vous savez très bien que je suis pris ailleurs. Soupira-t-il.

—  Oui mais vous ne m'auriez pas retrouvé ! Remarqua le brun, gêné.

—  Je pourrais vous montrer ce que j'ai trouvé d'intéressant. Suggéra Adele.

—  C'est gentil à vous mais je ne suis la  que temporairement, venu rendre visite à un proche ami, affirma Watson en insistant sur la fin, jetant un regard vers Holmes.

—  Cela pourrait m'être très utile, un mystère comme celui là ! Lanca Sherlock.

John froudoya son ami du regard et reporta son attention sur la jeune femme, gêné. Cette dernière continuait de le regarder un sourire d'espoir naissant sur ses lèvres.


Watson finit par accepter, non sans jeter des regards envers son ami. Ce dernier se fit tout petit, cependant amusé par la situation. Il retrouvait les vieilles habitudes : les petites disputes et taquineries entre son ami et lui.

—  Fort bien ! Émit-elle joyeuse. Je vais vous montrer où vous pourrez dormir.


×  ×  ×


Nos deux amis s'installèrent après que la jeune femme les ai laissé dans la chambre d'ami. Ils n'avaient osé prononcer la moindre parole, hormis la remercier. Mais ce qu'elle ne savait pas, concernant les deux compères, étaient extrêmement gênés. En effet, en entrant dans la pièce, qu'elle n'avait pas été la surprise, découvrant un lit deux places au milieu de la chambre.

Aussitôt, ces deux là se sont jetés furtivement des regards sans émettre le moindre son. Adele leur fit visiter l'étage, montrant la petite salle de bain attenante à cette pièce. Sherlock déjà bien gêné au moment où elle lui avait proposé de s'installer chez elle, devint d'autant plus embarrassé, en sachant qu'il allait passé plusieurs nuits dans la même chambre que son meilleur ami.

Ils avaient pourtant été colocataires, mais jamais dormis ensemble. Cette idée ne l'horripilait point, simplement ils étaient amis, cela devenait absurde.

Et du côté de Watson, cela avait l'air tout aussi difficile à gérer. Enfin, ils avaient connus bien pire comme situation. Alors il ne fallait pas s'abattre sur leur sort, simplement s'adapter.

L'un comme l'autre se décida qu'à la tombée de la nuit, il irait à l'étage du dessous pour dormir dans le salon. Seul problème : ne point se faire prendre par Adele. Puis, ils décideraient le moment venu finalement.

En attendant, les deux amis rejoignirent leur hôte, qui leur avait proposé un thé de bienvenue. Ne voulant aucunement refuser, ils s'assirent à table et discutèrent ensuite de leur voyage respectif pour rejoindre cette partie reculée du pays.

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Bonjour, bonsoir,

Nouveau chapitre. Qui a failli être court, mais j'ai eu une soudaine inspiration et du coup il est un peu plus court que les 2 précédents mais assez long.

Qu'en avez-vous pensé ?

Adele et Sherlock ?

La femme mystérieuse qui le suit toujours ?

Sherlock lui même ?

L'arrivée de Watson ?

La fin ?

N'hésitez pas à voter et laisser un avis !

Ca fait plaisir de connaître l'avis des lecteurs. Yen a encore qui lisent simplement mais ne partagent pas ce qu'ils en pensent. Pas forcément qu'ici d'ailleurs.

Merci à vous, à ceux qui me lisent. Merci pour votre soutien.

A bientôt
Dreamlifeix

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