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× Chapitre 12 ×

Deval's church square

Omniscient's point of view

Aussitôt, quelques disaines de policiers sortirent du commissariat et se dirigèrent vers l'église. Watson et Dennoy seraient bientôt morts, Holmes et ses partenaires devaient agir vite.

Le détective attacha les miroirs empruntés dans son dos à l'aide de plusieurs cordes, tout cela trouver au sein du commissariat. Puis il grimpa sur le premier arbre à porter de main : un grand chêne. Il se stoppa quand il fut assez haut, testa la solidité d'une branche épaisse d'au moins cinquante centimètres et détacha son paquetage precautionneusement.

Élevant un regard au loin, il trouva enfin la forte luminosité emmagasinée par les quelques trentaines de flammes présentes dans les lampes des policiers. Ils s'étaient mis à plusieurs pour surélever la cloche afin qu'il y ait un réfléchissement entre les lampes et la matière de la cloche.

Puis, Holmes positionna les trois miroirs de quelques disaines de centimètres de largeur. Tout en criant à son ami et au commissaire de se reculer loin d'ici, il en plaça deux à chaque extrémité de ses jambes, ces dernières bien tendues, veillant aussi à ne point tomber.

Enfin, la lumière vive du sommet de l'église se refleta aux miroirs pour atterrir finalement sur la horde de morts-vivants qui fondaient sur les deux hommes en bas. Tout d'abord, les créatures s'enflammèrent, poussant des gémissements terrifiants. Puis ils tombèrent certains en poussières, d'autres calcinés.

Quand tous furent hors d'état de nuire, Holmes s'autorisa à relâcher la pression de son corps entier sur ces objets de glaces. Son corps en feu, tremblait par tant d'efforts. Jetant un coup d'œil en contrebas, il fut soulagé de trouver son meilleur ami ainsi que le commissaire, entiers.

Quelques instants après, le détective descendit lentement, accroché aux branches de l'arbre, les miroirs de nouveaux sur le dos.

—  Monsieur Holmes, allez-vous bien ? Le questionna Dennoy, avant qu'il ait posé le premier pied à terre.

—  Ma fois, malgré des membres engourdis, cela va plutôt bien ! Répondit-il en délaissant la masse lourde présente sur son dos, au sol.

—  Ce n'est point vous qui étiez aux portes de la mort ! Grommela Watson.

Holmes lui offrit un regard sous entendant : dois-je rappeler que je suis mort il y a peu ?

John blêmit et se ravisa aussitôt. Son intelligence les aura sauvé. Pourtant, il se sentait bête de ne pas y avoir songé. Cela était évident ! Pourquoi n'y a-t-il pas pensé plus tôt ?

—  Monsieur Holmes, vous auriez dû laisser tomber les miroirs ! Tenta Dennoy pour détendre l'atmosphère pesant.

—  Monsieur, je ne suis quand même point sans cœur !

—  Oh, j'en ai aurais acheté d'autres ! Rit légèrement le commissaire, quelque peu amusé.

—  Certes ! Posa Holmes. La bête ne reviendra plus de si tôt ! Assura-t-il, une pointe d'humour dans la voix, le regard soudain rivé sur la dépouille sanguilonante de l'animal hors du commun.

—  Et pour les revenants des enfers ? Cela sera la seconde fois ! Rappela un policier.

—  Ne vous inquiétez point messieurs, j'en fais mon affaire ! Termina Sherlock, les yeux fixés sur leurs cendres.

× × ×

Ce fut les employés d'entretien du village qui nettoyèrent la place de l'église. Évidemment, Holmes n'avait pas oublié de prélever un échantillon de cette cendre, ainsi qu'un morceau de peau et de poil de l'animal, qui n'en était plus vraiment un maintenant.

Puis, Holmes et Watson s'en allèrent étudier, enfin plutôt le premier, leur composition et tenter de comprendre tout cela.

Sherlock penché sur ses petites fioles, dans un bureau de fortune, attendait concentré. John, adossé à un mur, la pipe tournoyant entre ses mains habiles, observait son ami.

Plusieurs heures suivirent cette attente interminable. Holmes tentait pas tous les moyens de trouver une réponse censée.

Enfin, ce n'est point possible ! Cela est trop simple ! Il doit bien y avoir je ne sais pas, une plante ou quoi que ce soit ?! Cela n'existe pas, tout ceci, ce n'est pas possible ! S'écria-t-il pensivement.

—  Holmes, tout va bien ? S'inquieta Watson, qui s'était approché légèrement de son ami. Vous... Vous ne cessez de froncer les sourcils depuis tout à l'heure ! Reprit-il. C'est perturbant !

Ce dernier détourna son attention de ses expériences.

—  Watson ! Je me suis trompé... Souffla le brun, vexé intérieurement de sa défaite.

Le blond se positionna correctement, soudainement abasourdi et surprit par l'aveu du détective. Sherlock Holmes se tromper ? Absurde !

—  Watson... Ceci... Cette cendre et cette partie de la dépouille... Balbutia Holmes.

Il était rare de voir Sherlock Holmes aussi dépassé, dépassé par une enquête. Et c'était en train d'arriver.

—  Ce sont des cellules mortes. Finit-il, les yeux toujours rivés sur les échantillons.

Watson fronça les sourcils, étouffant une soudaine envie de rire. Cellules mortes ? Bien entendu !

—  Oui je sais ! Grogna le brun, anticipant ce qu'allait formuler son ami. Watson... Ce sont des cellules mortes... Humaines. Reprit-il. Et animales bien entendu.

—  Vous n'avez absolument rien trouvé ?! Résuma le blond.

Pour toute réponse, Holmes gesticula comme un enfant, cherchant sa position, puis s'affala à même la table, tête posé contre sa paume.

—  Comment est-ce possible ? S'enquit Watson. Enfin... Ces... Choses ne peuvent pas être revenus à la vie ?! Elles sont mortes ! S'ecria-t-il.

—  Mon cher Watson, il est temps de trouver cet individu ! Lanca finalement le brun, se redressant.

—  Toutes les pistes nous permettant de le retrouver ont disparus ! Rappela le docteur.

—  Eh bien, nous interrogerons toute la vallée s'il le faut, Watson ! Assura Holmes, en se levant de sa chaise. Je n'abandonnerai pas alors que nous sommes si prêts du but.

× × ×

Holmes et Watson retrouvèrent le Commissaire Dennoy en son lieu de travail. Assis face au bureau du chef de la police, tous deux entamèrent directement leur interrogatoire.

N'ayant plus la possibilité d'étudier les dossiers d'enquêtes passées concernant ce personnage, Dennoy tenta de son mieux de leur indiquer, les seuls indices qui pouvaient encore apparaître dans la mémoire du policier.

Pourtant cela ne leur apporta guère de l'aide. Seul le nom d'un village à dix lieux de Deval les aiderait peut être.

Aussitôt dit, aussitôt les deux braves hommes se mirent en quête de trouver ne serait-ce que le moindre indice. Ils hélèrent un fiacre et demandèrent au cocher contre une liasse de billets de les amener en Reeghton.

× × ×

Après quelques heures de routes cahoteuses et douloureuses pour leurs dos, ils arrivèrent à destination. Un petit village semblable à celui de Deval. Enfin, ils n'étaient point la pour tergiverser sur l'architecture et les paysages.

La porte du fiacre s'ouvrit. Alors que Holmes descendait les quelques marches, Watson sur les talons, son esprit divaguait déjà dans ses récents échanges, notamment avec le Commissaire Dennoy.

Flash Back

—  Enfin, Monsieur Holmes, s'il pratique la magie noire, ce qui me paraît absurde et invraisemblable, pour qu'elle raison s'encombrerait-il de plantes telles que... Hallucinogènes ? S'était enquit le chef de la police.

—  Précisément ! Bien vu, Monsieur Le Commissaire ! S'enthousiasma Sherlock. Sans doute pour son petit plaisir personnel ! Suggéra-t-il en retour. Afin d'assouvir un désir intérieur de se faire remarquer et mettre en place une petite vengeance ?

Son interlocuteur haussa les sourcils, horrifié. Sherlock, tout excité, annonça à l'homme corpulent qu'ils devaient partir. Watson avait levé les yeux vers Holmes, d'un regard d'incompréhension. Puis le blond avait comprit, Sherlock pouvait le remarquer par sa moue réprobatrice.

Pourtant, il le suivit, comme toujours, cachant son éternelle exaspération envers son ami de longue date. Holmes, tout content, avait noté la perplexité du docteur et s'en était amusé.

Fin du flash back


Les lèvres du détective s'étirèrent en un sourire discret, avançant les mains dans le dos, comme à son habitude. Une fâcheuse manie, se dit Watson, en l'observant faire.

Alors qu'ils arrivaient au centre du village, cherchant le commissariat, une ombre passa à quelques rues d'ici. Elle portait une longue et large robe noire, plutôt semblable à une cape. Son visage était dissimulé par un capuchon. Elle courrait vers une ruelle en contrebas, poursuivit par une personne en détresse : un nuage de fumée s'échappait de ses vêtements en lambeaux.

Intrigués, Watson et Holmes s'elancèrent à leur poursuite. Après plusieurs minutes, la victime carbonisée s'écroula à terre pendant que son malfaiteur continuait sa course. John se stoppa et s'agenouilla près d'elle. Sherlock s'arrêta un instant auprès d'eux.

—  Holmes, que faites-vous ? S'offusqua le blond. Nous allons le perdre, continuez à courir ! Attrapez-le ! Ordonna-t-il.

Holmes, n'ayant pas l'habitude que ce soit lui qui donne les ordres, s'elanca finalement. Tout en courant à toutes jambes, il tenta de maintenir son chapeau entre ses doigts, mais une bourrasque de vent en décida autrement. Il n'en avait cure, il devait arrêter cet individu.

Le cœur battant de cette course effrénée, il ne s'arrêta pourtant point. Mais il fut bien vite prit au dépourvu : son suspect avait disparu. Qu'il était bête ! Mais qu'il était idiot !

Passant une main sur son visage, tentant de reprendre son souffle, ses yeux se posèrent sur le sol. Un bracelet argenté, orné de petites perles scintillantes, cependant parsemés de tâches de saletés. Holmes le tourna plusieurs fois entre ses doigts, après s'en être saisis, avant de trouver des initiales : R.D. À l'intérieur, se trouvait une autre indication J. Store.

A l'évidence, les initiales du propriétaire de cet objet, acheté en boutique... J. Store... Boutique de bijoux, évidemment.

Le détective releva son regard, cherchant autour de lui une présence. Mais personne à part lui. Il se détourna finalement et rejoignit son ami. Ce dernier, avait semble-t-il terminé ses gestes de médecin sur la victime. Sans doute alertés par les plaintes sanglantes de la pauvre dame, la police du village s'était hâté de leur présence.

Watson la confia à ces hommes, leur commandant de l'amener tout de suite à l'hôpital le plus proche. Puis il se tourna vers Holmes, qui venait d'arriver.

—  Je m'apprêtais à vous demander si vous l'aviez attrapé. Commenca le docteur. Mais semble-t-il que cela n'est point le cas ?! Grommela le blond. Holmes, pourquoi n'êtes-vous pas parti à sa poursuite directement ?

—  Certes, je l'ai perdu. Avoua le brun, sous le regard désespéré du docteur. Mais, je crois bien avoir en ma possession un objet qui pourrait nous être précieux pour le retrouver. Se rattrapa-t-il en brandissant l'objet en question.

Curieux, le médecin oublia sa remontrance envers son proche ami et toisa le bracelet.

—  Regardez Watson ! Dit-il en tournant le bijou, un doigt sur la partie en relief. Des initiales, gravés à même le métal. De l'argent précisément. Ce bijou appartient à une personne, R. D. et il a été acheté à la boutique de Reeghton.

Le blond prit entre ses mains l'objet et l'observa à son tour. Il le porta à son visage.

—  Holmes... Souffla le docteur. (Sherlock savait très bien ce qu'il allait partager. Néanmoins, il laissait de temps en temps un peu la chance à son partenaire de faire ses preuves) Avez-vous senti cela ? Le questionna-t-il, sans quitter des yeux le bijou. Il me semble... Le brouillard... Dans l'air c'était...

—  La même odeur que celle du brouillard, la substance blanche de la patte et des échantillons prélevés sur les dépouilles. Termina Holmes.

Watson leva les yeux vers lui et, stupéfait, serra les dents, soudainement estomaqué.

Il le savait ! Il le savait et il ne m'a rien dit ! Le fumier ! Pesta le blond, sans prononcer la moindre parole.

—  Oui, je l'avais compris. S'amusa le détective de la tête de son ami. Watson, je suis désolé, j'allais vous laisser trouver, je vous le jure ! Promit-il.

—  Holmes, vous n'êtes qu'un... S'exclama-t-il avant de s'interrompre, un doigt pointé vers lui, légèrement remonté.

—  Une triple andouille, une fripouille sans cœur, un gamin écervelé ? Prononça le brun à sa place, faisant une moue enfantine.

Pour une fois que Holmes lui offrait le privilège de partager ses profondes pensées, il le laissa parler. Pourtant, il ne put se retenir de rire, face à cet homme.

—  C'est cela, Holmes, c'est cela ! Finit par lâcher le blond.

Les deux hommes se turent et observèrent quelques minutes le silence soudain un tant soit peu pesant. Mais, gênés l'un comme l'autre, ils se reprirent.

—  Hum... Certes, vous avez trouvé la une piste nous permettant de retrouver notre homme, s'il s'agit bien d'un homme. Reprit Watson.

—  Je devine ce que vous pensez, mon cher Watson ! Lanca Holmes, plissant les yeux. Notre individu l'a semble-t-il malencontreusement perdu, ce qui va en notre avantage. Cela est certes, une erreur de débutant, même si cela m'etonne venant d'apparemment quelqu'un d'expérimenter en la matière. Se cacher est simple pour lui.

Watson voulut prendre la parole. Holmes en décida autrement.

—  J'ai une autre découverte à vous partager : le propriétaire de ce bijou est une femme. (Watson le gratifia d'un regard partagé entre la stupéfaction et la lassitude. En effet, le docteur avait l'habitude des trouvailles de son ami. Pourtant, il était toujours aussi estomaqué par son talent de déduction et son goût pour les détails, impossibles à voir à l'œil d'un humain normal.) Comment l'ai-je deviné ? Évident ! Ce bijou était dans un sale état quand je l'ai trouvé. Pourtant sa maîtresse en prenait grand soin, comme la prunelle de ses yeux. Sans doute lui avait-il été offert par un homme. Notre malfaiteur peu ordinaire ? Balivernes ! Qui voudrait d'un servant du diable, manipulant des forces obscurs ?

—  Mais, Holmes, il porte le même parfum que la solution administrée au brouillard...

—  Sans aucun doute ! S'enflamma le détective. Cependant, nous devons nous hâter de retrouver cette femme. Et nous allons nous présenter à la boutique.

× × ×


Reeghton's Jewelry store

Holmes, Watson à sa suite, entra après avoir poussé distraitement la poignée. Ses yeux parcouraient déjà les murs et détaillaient la composition de la grande pièce. De l'or, de l'argent, des rubis, il ne fallait point qu'un brigand arrive, le commerçant serait dans de beaux draps.

Le brun fut interrompu dans son analyse : Watson venait de saluer le bijoutier.

—  Pouvez-vous nous accorder un peu de votre temps, cher Monsieur ? Questionna poliment le médecin.

—  Je n'ai personne alors ca me passera bien le temps ! Répondit-il, lassé, un chiffon abîmé entre les mains.

—  Nous avons trouvé ceci. Commença-t-il en posant le bracelet sur la table face a lui. Il appartenait visiblement à une personne, dont les initiales sont gravés ici. Reprit-il, désignant la partie concernée.

Le commerçant le prit entre ses mains, délicatement et l'observa longuement. Sherlock posa un regard perçant sur lui.

—  Ma mémoire me fait défaut... Tenta-t-il. Attendez...

Il réfléchit un instant.

—  Oui, je me souviens d'une affaire... Un assassinat mystérieux... Une femme innocente et... Elle était gentille comme y'a pas. Oui ça y'est ! Oui, elle avait acheté ce bijou chez moi. Comment se prenommait-elle déjà ? Chercha-t-il. Elle était souvent avec un homme, bizarre, sans cesse méfiant, couvert d'une cape noire. Expliqua-t-il. Ah, c'est cela : Rachel Deil. Paraît qu'il l'a tué par plaisir, vous rendez-vous compte ?

Les deux hommes se concertèrent d'un regard. Oui, c'était horrible d'entendre cela, mais ils en avaient malheureusement l'habitude.

—  Cette pauvre dame vivait dans une petite maison à quelques lieux d'ici. Après sa mort, l'habitation s'est trouvée abandonner, même prétendue hantée. Moi je dis que, c'est l'esprit de cette pauvre femme qui revient prendre sa vengeance.

—  Merci Monsieur pour votre contribution ! Termina Watson, avant de prendre congé.

—  Y'a pas de quoi ! Lâcha le commerçant en machonnant un morceau de bois.




Marchant côte à côte, Holmes et Watson avançaient sur le long chemin, à la sortie du village, comme indiqué par leur dernier échange.

Puis, après quelques minutes d'efforts, ils trouvèrent enfin les restes de la demeure supposée habitée par un esprit vengeur. Entrant en silence, Sherlock déposa directement un regard dans les moindres de recoins. Mais le temps a avalé les couleurs et la beauté du mobilier. Tout était terne et sans vie. De plus, de la cendre jonchait le sol, jusqu'aux murs. Du papier brûlé gisait sur le parquet. À l'évidence, tout avait été détruit, comme si l'on voulait effacer l'existence d'une vie entiere.

Soudain, parcourut d'un soudain frisson, il sentit comme une présence près de lui. Puis un murmure, non, plusieurs mots prononcés.

Son attention, tout comme celle de son ami, fut portée promptement vers le plafond. Son regard se stoppa sur une forme noire qui venait de passer au dehors. Qu'était-ce encore que cela ?

Un sursaut le fit brusquement perdre pied : des coups brutaux portés contre les vitres de la petite fenêtre. Horrifié, il trouva des formes sombres, coassant. Des corbeaux ?

Watson chercha le regard de Holmes et finalement, se décidèrent d'en finir avec cette bâtisse, et de trouver la source de ce manège.

Arrivés à l'extérieur, il restèrent en attente. Puis, plusieurs craquements sinistres achevèrent leur souhait de réfléchir.

Un peu plus loin, une ombre courrait déjà loin, murmurant des phrases en une langue inconnue. Vêtue de noir,  longue Capuche relevée sur son visage, elle cherchait à tout prix à s'éloigner de ses poursuivants.

Tout en enjambant de temps à autre des troncs d'arbres ou autres végétations gênantes, Watson chercha son arme et s'en saisit. Puis sans atteindre, il tira sur la silhouette qui se mouvait entre les branches et les feuilles. Après maintes reprises, l'ancien militaire parvint à toucher sa cible, qui pourtant continua sa course, même très certainement blessée.

Mais, leur si belle avancée fut de courte durée. En effet, un nuage noir fondit sur eux, coassant sans relâche, leur picorant la peau. Il perdirent bien vite la trace de leur suspect et tentèrent de se débarrasser de leurs agresseurs à plumes.

Le blond ne pouvait gaspiller les quelques balles restantes à tuer plus d'une centaine d'oiseau. Alors tous deux courrèrent sans s'arrêter, protégeant leur visage de leurs bras.

Ce fut Holmes, soulagé, qui aperçut le premier la petite cabane lugubre, entre trois immenses chênes. Des traces de sang à l'entrée confirmèrent bien sa présence.

Sans attendre, Holmes frappa la porte à coup de pied et cette dernière s'ouvrit à la volée. Le silence les accueillit alors qu'ils entraient prudemment. Watson, pistolet serré entre ses doigts tendus, Holmes avanca à pas de loup.

Leurs yeux se bloquèrent sur la silhouette noire au fond de la bâtisse. John brandit son arme sur elle et tira volontairement, mais la balle n'atteignit jamais sa cible.

Le capuchon abaissé sur le visage, il leva la tête sans pour autant dévoilé ses traits. Holmes sentit des yeux noirs le sonder.

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Bonjour, bonsoir,

Alors qu'avez-vous pensé de ce chapitre ? Je me suis arrêtée la, sinon saurait été beaucoup trop long. Puis ça amène du suspens 😇

Sherlock et John ?
Leur éternelle complicité et petites taquineries ?
La première partie, les miroirs ?
La suite, Le commissaire Dennoy ?
Le bijou ?
L'ombre noire ?

Merci à vous de me suivre et me lire ☺️
N'hésitez pas à voter et laisser un avis ! 😊

Ps : juste pour le plaisir 😉

A bientôt,
Dreamlifeix.

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