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Chapitre 7

Pdv d’Eskamis :

La mort est à la porte de chacun.

Depuis cette acte sinistre déjà trois jours c’étaient écoulés. Personne n’en parlait, tout le monde était troublé.

Karmailla restait enfermée, je peux même pas dire que c’était pour pleurer je ne l’entendait pas. Peut être s'en voulait-elle de rien avoir pu faire.

Aujourd’hui on se rend au tribunal collectif où femme et homme peuvent y assister, mais ils sont bien évidemment séparer. Il est au premier, et dernier étage du même bâtiment où le G.C se déroule. Ce premier procès serai là pour déterminer les réelles attentions de l'accusé.

La salle était vraiment magnifique faite de gravure et de dorure sur le plafond, il a tellement d’élément splendide et même  si on en rajoutait  le tribunal paraîtra tout aussi beau. Le plafond est tellement haut que comparaît à la superficie de la pièce on y paraît tout petit. Mais où on t-il trouver tout cette argent pour pouvoir financer cette splendeur, je n’en vois pas spécialement l’intérêt mais je ne m’en plaindrai pas. Ce que j'aimais le plus c'était la statue à moitié homme et à moitié femme tenant une balance dans une main et une épée dans l'autre.

Je m’assoie sur un banc entourée de ma mère et Anira. Mon aîné était devant pour pouvoir dire ce qu’elle a vu, elle n’a rien dis pour le moment même aux personnes chargés de l’enquête. Je ne pense pas qu’elle va supporter qu’on la submerge de question.

Pour le moment, vas savoir pourquoi, mes pensés sont dirigés vers Félix je me demande si il c’est fait prendre. Je le cherche du regard, il se situe près de l’aller des hommes. (Nous sommes séparés par une sorte de petit muré).

Je le fixe un petit moment, au départ sans m’en rendre compte. Son visage est assez neutre, il ne laisse pas transparaître ses émotions. Mais parfois j’arrive à distinguer des petits pincements de lèvre, peut être a t’il  peur ?

Je ne sais en aucun cas qu’elle est cette personne qui a était arrêtée mais cela doit être surement un homme, vus que le jurai en est essentiellement composé. Il n'y a qu'une femme pour avoir un avis extérieure et de mon point de vu beacoup plus rationnelle.

Je me rend compte que Félix aussi maintenant me regard. Il essai de me sourire mais  sans succès, puis me fait un petit signe de la tête pour me dire qu'il descend.

Je vois où il veut en venir mais je pense que tous les moindres recoins du bâtiment sont surveillés. Je me dirige quand même au rechaussée, pour me rendre au toilette, en espérant que se sois bien à ça qu’il est pensé.

Je fouille dans mon sac pour voir si j’ai toujours les téléphones (j’ai eu le temps de changer le système du troisième).

Arrivée en bas je me rend compte que deux vigiles se tiennent devant, un homme et une femme. Cette dame me dis que les trois premières cabines sont pour les filles et les trois autres pour les garçons, j’acquise et me dirige vers l’une d’elle qui se situe au milieu (d’un côté une pour homme de l’autre une pour femme).

Quelqu’un pénètre dans une autre, pendant que je range dans ma poche un des  téléphone et que je dépose l’autre par terre, j’entend des bruits puis mon nom je m’abaisse et reconnais tout de suite son visage.

Il me met sa main sur ma bouche et me fais signe de rien dire je lui passe le téléphone. Il regarde d’un air satisfait et me remercie d’un hochement de tête. Je lui avait déjà dis que je lui en passerai un, si on se revoyait.

La garde vient toquer à la porte me disant de sortir car le jugement aller commencer. Je sors puis me lave les mains.

Souris une dernière fois à Félix avant de repartir m’assoir. (Je croix que ça ce voit que j’ai étais bouleversé par la mort de Claire dans mon langage mais je ne pas redevenir moi-même après un si grand choque enfin pas pour l’instemps).

Pdv de Karmailla :

Flashback :

Claire me racontait donc ce qui c’était passé le jour où je l’avais quitté :

« Alors humhum, je m’éclairci la voie pour le moment de monopolisation de la discussion. 
-Aller vas-y je veux tout savoir comment ça c’est passé ce que j’ai raté quoi.

J’étais un peu excité oui, je supporte mal le café que l’on vient de boire… Enfin la cafetière entière plutôt .

-Patience petit scarabée. Pour te punir de ton agitation je vais reprendre depuis le début.  Alors… quand nous sommes arrivées, on sortit les bagages de la voitures et Laetitia se pris un sac dans la tête quand Karmailla prit le sien…
-Non c’est vrai mais je savais pas ! Vas y continue ! (ironie) Je repris une gorgée de café et croqua dans un cookie.
- Ne m’interrompez pas s’il vous plait très chère.  Donc après Laetitia sortit son oreiller et boum dans la tête de Cassandra au lieu de celle de Kakaille, et ça a dégénéré en bataille de coussins.

Quand la nuit tomba nous fîmes un feu pour faire cuire du poisson pêcher une heure avant. Et pour le dessert des fruits des bois avec de la vodka, et de la bière, et  pleins d’autres petites choses qui te donne une de ces migraines au réveille. Pris la veille dans le bureau de notre mentor bien évidemment.

À la fin du repas nous fîmes un jeu que j’appel le « je n’ai jamais… ». Une personne dois  dire ce qu’elle n’a jamais fait et toute les filles qui l’on déjà fait doivent boire un verre. Donc à la fin on s’endormie toute bourrée.

Le lendemain des klaxons nous réveillèrent pour ramener (elle me regarda et sourit) ce truc (je lui tapa doucement la tête).  On nous prévient que l’on devait être de retour avant 16 heures pour faire d’autres exercices. Pris de tournis et de mal de tête ou bien de nausée pour la plupart, la majorité d’entre nous se rendormirent et se réveillèrent vers quinze heures.

Nous cherchâmes la carte et la boussole que l’on nous avait donné mais elles étaient introuvables, nous avions ravagé le camp pour les retrouver mais sans succès. Mais Laetitia nous fîmes  remarquer que tout le matériels étaient dans le sac de (autre regard) toi (bravo pour la formulation de la phrase hein).

Et que tu l’avais pris en partant. Du coup on attendis qu’ils viennent nous chercher. On se fit engueuler comme pas possible mais notre surveillante à eu pitié de nous et nous renvoya chez nous enfin après la corvée de nettoyage… Voilà mon histoire t’a plu ?

-Mais mais mais, alors vous avez pas fait la de réalité virtuelle en cas d’attentat ??
-Non ils nous on trouvé pitoyable et nous on dit que sans toi on était…rien.
-Bas ils ont pas tort je suis votre chef en quelque sorte.
-Et les chevilles ca va ?
-Arrête de te cacher la vérité tu sais que c’est vrai !
-La modestie c’est pas ton truc…
-Mais je rigole c’est bon ! (En vrai c’est vrai qu’elles sont vraiment nuls.) Mais de toute façon j’ai rien manqué donc c’et pas grave !
-Ouais ! Dans un mois on dois choisir notre orientation je stresse !
-Calme demande à faire des stages ça ira mieux après …
-Non c’est pas ça le problème je sais ce que je veux faire mais ma mère veut que je prenne le relais pour la boutique.
-Mais tu veux faire quoi au juste ?
-Bas… Je voulais faire parti des ingénieurs qui créer les nouveaux nés.
-Quoi mais attend tu étais pas intéressée par l’esthétisme la mode ect…
-Non c’est que que je fais croire aux gens, tout le monde veut que je sois comme ma mère mais ça m’intéresse pas… Je suis sur que tu trouve ça totalement débile que j’en suis pas capable mais je suis motivé pour le faire tu vois !
-Mais il suffit pas que d’être motivé…
-Je savais que tu comprendrai pas de toute façon tu me croix incapable en tout !
-J’ai pas dis ça invente pas ! Je veux juste que tu puisse t’épanouir dans ce que tu veux faire rien d’autre, tu en est capable il faut juste que tu travail un peut c’est tout.
-Mais c’est trop gentil ce que tu me dis !! »

Elle me fit un câlin avant de me prévenir qu’il fallait qu’elle rentre. Pendant qu’elle mettait sa veste je me demandais si Malcolm était de l’autre côté non en vrai j’espère qu’il s’est fait prendre. Je ne l’aime pas vraiment mais…non enfaite rien.

On sorti elle me refit un câlin, elle avait peur de plus me revoir pendant un bon moment. Je sentais mon t-shirt se mouiller petit à petit Claire devait être en train de pleurer mais je n’en connaissais pas la raison.

Puis un bruit se fit entendre un coup de feux plus exactement, je me mis a saigné au niveau des cotes mais ma blessure n’étais que superficiel.

Pour moi c’était un acte politique comme je fais parti du GC et  des personne catégoriquement contre la réunification de nos parties. Et ils avaient ratés leur coup.

Quand je voulu lâcher Claire elle me retomba dessus, se n’étais pas moi qui étais visé mais elle. Son cœur avait était touché, je l’allongea par terre enleva ma veste pour j’essayé de stopper l’hémorragie mais de toute façon quand un organe vitale est touché on peut intervenir mais que dans la dizaine de minutes qui suis.

J’hurlai pour que quelqu’un vienne m’aider je ne voyais au loin que une personne au cheveux roux qui partait en courant peut être pour prévenir des gens.

Les larmes ruisselaient sur mes joues, Claire me pris ma main et me chuchota ces dernières paroles avant de m’abandonner définitivement.

J’hurlai je ne pouvais y croire une fille normal sans problème venais d’être lâchement assassinée.

Je ne voulais pas... non...ma vu se troubler petit à petit causé par ce liquide qui provenait de mes yeux.

Des personnes, des véhicules arrivaient, on essayait de me retirer Claire mais je ne lâcher pas je ne l’abandonnera jamais.

Fin du Flashback:

« Karmailla, Karmailla, ma chérie, me dit ma mère.  Tu es appelée à la barre.

-… »

Je me leva puis tomba prise de fatigue et car je n’avais pas mangé depuis ce drame.

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Coucou les petits loups ! Voilà le chapitre 7 j'espère qu'il vous plaira !❤ Votez commentez ça me ferrai plaisir de connaître vos avis !
Biz !

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