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Bizarre.

L'ambiance était tout bonnement bizarre au sein du petit habitacle en bois.

Après cette soudaine douceur qu'ils avaient eu l'un envers l'autre, leur relation avait indéniablement basculée et, aucun des deux ne savaient comment agir à présent. Chaque geste leur était étrange et timide. Fay n'osait plus taquiner Olinar et Olinar... Disons qu'il était occupé à faire totalement autre chose...

Lors de leur première rencontre, la première chose qui l'avais laissé sans voix était la beauté du jeune homme.  et lorsque ce dernier avait finit par ouvrir la bouche et qu'il s'était tout de suite mit à le détester, il en avait complètement fait abstraction, dès qu'il le voyais, il  était aveuglé par  une forte envie de lui mettre une claque !

Mais, maintenant que les paramètres avaient changés, qu'il avait vu une partie plus douce, plus vulnérable de l'épéiste et qu'il ne le détestais plus tellement, quand ses mirettes se posaient sur son jolie minois, il ne pensais plus à son mauvais caractère et, disons qu'il se perdait plutôt dans la contemplation de ses traits harmonieux.

Il n'en était bien évidement pas fier, et, il essayait réellement d'arrêter! que son aîné s'en aperçoive et qu'il se moque deux fois plus de lui était certainement la dernière chose qu'il voulait mais bon, la situation, ou plutôt la vue qui s'offrait à lui, n'aidaient vraiment pas.

Tout comme Fay l'avais dit, ils étaient rentrés et avaient dû se déshabiller afin de laisser leurs vêtements sécher au soleil pendant qu'ils se faisaient à manger. Ce qui voulait dire que, devant ses yeux ébahis, se trouvait Fay, nu comme un ver, occupé à faire griller quelques poiscailles qu'il avait réussi à pêcher.

Inutile de dire qu'il faisait des efforts monstres pour ne pas laisser son regard descendre plus bas que ses hanches, bien que, ses larges épaules, sa fine taille et ses bras finement dessinés étaient loin de n'avoir aucun effet sur lui.

Pourquoi diable un tel énergumène devait-il être si attirant ? Il avait le physique de l'homme de ses rêves, alors il ne pouvait que s'attrister devant ce mauvais caractère qui le rapprochait plus de statut d'ennemi jurée que d'époux.

- hé Ho? On rêvasse?

La voix de Fay le tira de ses songes, ainsi que de sa contemplation, tandis qu'il secouait devant ses yeux la tête grillée d'un des poissons qui allait leur servir de festin.

De suite, le rouquin eu un mouvement de recul, une moue peinte de dégoût. Il eu une seconde surprise en découvrant le visage de son aîné proche du sien, bien trop à son goût, sauf que cette fois-ci, il n'eu pas l'espace requis afin de pouvoir reculer sur le rondin de bois sur lequel il était installé  et il finit donc fesses premières sur le sol boueux.

- mais ça va pas la tête ?!  C'est dégoûtant ! S'époumona  le cadet.

- dégoûtant ? Tu te faisait un plaisir de manger ces pauvres animaux de tes sièges en velours avec tes couverts en or,pourtant.

- mais c'était différent! On les décortiquaient pour moi... Avoua-t-il honteusement.

Il ne manqua pas le sourire moqueur qui étira les lippes du jeune homme, mais, étrangement, ce dernier n'en dis pas plus, il l'aida simplement à se relever avant de s'asseoir près de lui.

Son souffle s'était coupé à l'instant même où, dû à leur proximité, leurs cuisses s'étaient touchés.

" oh... Pour un homme aux airs de vagabond, sa peau est étrangement douce... "

Elle l'étais; étrangement douce, mais... Plus les secondes passaient et... Plus il avait l'impression que sa peau prenait feu.

Les sourcils froncés et la respiration irrégulière, il regarda son guide décortiquer de ses gestes habille le poisson, le débarrassant de sa tête, de ses nageoires avant de finir par  sa moelle épinière.

Une fois la chirurgie terminé, il le lui tendit en lui adressant un geste de tête afin de lui intimer de commencer à manger.

L'aspect n'était toujours pas bien ragoutant, les yeux gisant maintenant au sol semblaient le supplier de ne pas dévorer la carcasse qu'était rendue son corps, mais il n'allait tout de même pas refuser d'en manger. Il n'avait pas mangé depuis la veille, durant le déjeuner qu'ils avaient partagés juste avant leur dispute alors, dire qu'il avait faim serait un euphémisme. Et puis, son acolyte l'avais gentiment péché, cuisiné puis décortiqué pour lui.

- quoi encore, maintenant ?souffla Fay en remarquant le regard abattu que le plus jeune avait sur la pauvre bête : va falloir t'y habituer, la vie d'un aventurier ça ressemble à ça. Ça ne va certainement pas ravir ton palet de bourgeois mais, ton corps est mis à rude épreuve et, lui en tout cas  sera bien ravi d'avoir de quoi puiser de l'énergie. Tu... Tu peux voir ça comme un pas de plus vers tes retrouvailles avec ton ami.

- hm...tu dois sûrement avoir raison....merci, fay... J'apprécie que t'essaye de me réconforter...

- hm ouais ouais. Manges le vite ou c'est moi qui vais m'en occuper.

Il n'en fallut pas plus au jeune homme pour qu'il plante les crocs dans l'animal. Il en prit une bouchée et macha lentement sa nourriture...

Ça manquait cruellement d'assaisonnements mais, ça n'était pas aussi terrible qu'il se l'imaginait, au final, vraiment pas mauvais, même...

Ni une ni deux, il replongea dans son repas, le dévorant à une vitesse qui fit bien ricaner son spectateur.

- tu te caches devant tes bonnes manières mais t'es un petit cochon.hm... Quoi que tu aimes apparemment te balader en forêt alors tu es sûrement un sanglier, un mignon petit sanglier.

La bouche remplie, il ne pouvait se permettre de s'indigner, et, quand il sentit sa main se poser sur ses cheveux afin de les lui caresser, il ne pu que se secouer de gauche à droite afin de tenter de le repousser, bien  que, bon, il savait parfaitement que ça n'était qu'une question d'ego car, en vérité, il adorait les caresses sur la tête.

- je te hais. Cracha finalement Olinar une fois sa nourriture avalée.

- oh mon mignon petit sanglier, pas la peine de tenir une seconde fois cette conversation, je sais très bien que tu mens.

Pour accompagner ses dires, il glissa son index le long du nez rond de son cadet.

- ne me pousse pas à me retrancher.

- hm... Si je te propose de se r'habiller et d'aller voir les deux sorcières maintenant, je serai pardonné ?

- on verra ça. Juste, par pitié, rhabille toi vite où je vais finir par vomir...

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