-Ouvre les jambes et détends toi , d'accord? Et je t'interdis de retenir tes délicieux petits gémissements.

Il ne s'avait définitivement pas comment il avait finit ainsi.

Ils venaient tout juste de se réconcilier et s'étaient échangés des étreintes longues et chaleureuses, et puis... ensuite les câlins avaient laissés place à de doux baisers innocents qui, sans qu'il ne s'en rende vraiment compte, s'était tout doucement transformé en une danse endiablé de leurs trois langues qui valsait dans le théâtre qu'était leurs cavité buccales.

Ce qu'ils avaient entrepris la fois d'avant avait réussi à rendre le plus jeune bien plus à l'aise dans ce genre de situations alors ils avaient laissés les mains baladeuses de ses petits amis se faufiler en dessous de ses vêtements, leur donnant toute la liberté de se balader sur le terrain de jeu qu'était son corps .Ce n'était pas comme si lui même avait fait preuve d'une quelconque retenue, ses doigts avaient bougés d'eux mêmes afin de rejoindre les boutons de chairs de Sanador d'un coté, et les abdominaux divinement sculpté d'Alzen qui fondaient tout deux sous son toucher maladroit. 

Et puis, une chose en menant à une autre, aucun d'entre eux n'avaient su s'arrêter, ou du moins, aucun n'en avait ressenti l'envie, même pas le jeune humain. Ce dernier demeurait catégorique, il voulait continuer.

Son cœur battait à mille à l'heure, il avait encore un peu de mal à réaliser que, doucement mais sûrement, il s'apprêtait à franchir un cap qui, il n'y de cela que quelques semaines, lui paraissait totalement infranchissable. était-il anxieux malgré tout? Terriblement. Mais à ses yeux, il n'y avait plus de doutes à avoir. Il se sentait prêt. Il voulait offrir sa première fois à ses amants.

Et ça, plongé tout deux dans les pensées de leur partenaires, ils l'avaient entendus très clairement.

C'était d'ailleurs bien une chose de plus qui aidait fortement à le rassurer. Il n'avait même pas à formuler sa pensée, si il finissait par vouloir s'arrêter ou si il avait trop mal, eh bien, les deux plus âgés seraient aux premières loges pour le constater, tout comme, à toute réflexion négative sur son propre physique, ils venaient immédiatement la contester, surtout que, lui également pouvait écouter leurs voix intérieurs qui s'éxprimaient de la manière la plus sincère qui soit.

-Anh~...

Un gémissement fébrile s'était échappé de sa gorge en sentant ce qu'il devinait être la langue chaude et humide de l'un de ses amoureux.

En baissant les yeux sur son entre jambe, il pu alors confirmer l'identité de celui qui était responsable de l'état second dans lequel il avait été plongé,  et les sensations qui s'en suivirent furent complètement déconcertante.

Au delà du plaisir que lui procurait le muscle mobile  appartenant à Alazen qui titillait son orifice anal, il pouvait également entendre chacune des pensés qui lui traversaient l'esprit pendant qu'il s'occupait de lui, et si ça n'était pas suffisant à lui faire perdre la tête, il était en plus spectateur de chaque scène obscène dans laquelle il l'imaginait; à quatre pattes, sur le dos les jambes positionné sur ses épaules musclés, au dessus de lui à faire entrer et sortir son membre au rythme du mouvement de ses hanches et puis.... Ne faisant plus qu'un avec ses  deux amants, en même temps.

Eiki ne comprenait même pas comment cela pourrait-il être possible, son anus était si serré et étroit qu'il n'était même pas sûr de pouvoir ne recevoir ne serait-ce qu'un seul pénis, alors comment diable pourrait-il en avoir deux?  Il n'en avait aucune idée et, à vrai dire, il n'était absolument pas à même de réfléchir. Il fallait avouer qu'avec une langue à l'intérieur de lui et une autre sur son téton, trouver un raisonnement logique n'était jamais une prioritée, il avait tant mieux à faire, comme par exemple, gémir les prénoms de ses bienfaiteurs.

Malheureusement, l'homme au teint ébène s'était reculé bien trop rapidement à son goût afin d'humidifier ses propres doigts, tout comme il avait vu Sanador le faire lors de leur tout premier rapport intime. Il pu alors facilement deviner la suite des événements et, appréhendant la douleur qui risquait de suivre, son  souffle se coupa malgré lui, tendant chaque muscle de son corps, mais ses partenaires étaient si attentifs qu'ils semblèrent s'en rendre instantanément compte.

-Doucement mon cœur,comment pourrait-on te faire grimper au rideau si tu reste aussi tendus, hm?Inspire, lentement...

Accompagnant ses mots, le châtain lui montra l'exemple en suivant ses propres directifs alors qu'il approchait lentement son visage de celui de son cadet.

-Puis expire, lentement... 

En relâchant l'air contenu dans ses poumons, le plus âgé avait laissé échappé prés de son oreille un faible geignement qui fit frissonner Eiki de tout son être. Rien qu'avec sa douce voix cristalline, il avait réussit à le bercer à nouveau dans l'aise dans laquelle in flottait il n'y a de cela que quelques instants, et, doucement mais sûrement, il voyait le majeur d'Alazen se rapprocher dangereusement de son entre.

"Bravo mon cœur, tu te débrouille à merveille, tu sais? Si désirable....Si baisable..."

Le timbre grave et sensuel de son aîné allait réellement avoir raison de lui et son membre gorgé de sang qui le tiraillait ne faisait que lui rappeler la puissance de son désir charnelle auquel il s'abandonnait de plus en plus.

Il s'impatientait et, un sourire accroché aux commissures de ses lèvres,  le télépathe ne le fit attendre d'avantage. 

D'une grande douceur, il enfonçait une première phalange dans l'anneau de chair serré de son protégé, tandis que, allongé prés de lui, Sanador lui murmurait des mots doux à l'oreille en caressant du bout des doigts le bas du ventre du plus jeune sans jamais pour autant allé aussi loin que ce dernier le désirait.

Les tactiques de l'enchanteur fonctionnérènt d'ailleurs à merveille, il en avait presque oublié la douleur et l'inconfort qu'il ressentait plus bas, même lorsque un second doigt vint se joindre au premier à l'intérieur de sa chair qui se contractait autour de ces derniers, les  enveloppant de toute sa chaleur et son humidité,les aspirant telle une supplication .

Et quand finalement, son corps accepta cette présence inconnue en lui, il sentit cette dernière glisser lentement hors de lui alors que quelque chose de plus gros et dur vint se frotter à lui.

Il déglutit.  Il était fiévreux rien qu'en imaginant ce qui allait se passer.

Une seconde fois, il suivit les exercices de respirations guidées par le plus âgé du trouple afin de garder son corps et son système nerveux le plus calme possible aloRs que, d'un accord tacite, il donna le feu vert à Alazen.

" étrange..."

Était tout ce qu'il eût  en tête  tandis qu'il sentit la verge de son amoureux pénétrer ce qu'il avait de plus intime. Être nu devant quelqu'un, s'exposer entièrement à ses mirettes et à son jugement,  c'était déjà quelque chose de très fort,  mais avoir ainsi l'impression de ne faire plus qu'un, détruire entièrement cette barrière séparant votre personne de celle de quelqu'un d'autre était quelque chose qu'il ne saurait expliquer.

Ce fut à l'aide de langoureux baisers dérobés tantôt par l'un, tantôt par l'autre qu'il pu patienter jusqu'à ce que la brûlure de son orifice ne se dissipe, laissant alors enfin, une première vague de plaisir l'éléctrifier , encourageant de par son soupir d'aise Alazen à donner un premier coup de bassin, très vite suivit par un second et ainsi de suite, jusqu'à ce que toute la pièce,  et même la maison entière, ne soit animée par ses gémissements.

- oh mon joli blondinet, comment peux tu être si mignon dans un moment pareil ? Murmura Sanador en léchant de sa langue les filets de bave que son cadet peinait à ravaler et qui s'échappait de sa boucher.

- sana...sana... marmonnait Eiki d'un ton suppliant tandis qu'il agrippait la nuque du châtain afin de lui voler un énième baiser amoureux.

Alors que leurs lippes se mouvaient, se frottant les unes contres les autres, le surnommé Sanador s'empara de le seconde main du plus jeune, jusque là occupé à serré de toute sa force les draps blancs déjà bien souillés de leurs fluides corporelles, et  la glissa le long de son corps avant de lui faire empoigner son sexe torturé par la frustration.

" rester ainsi près de toi fut un honneur princesse, mais je pense que le temps est venu pour moi de trouver  une solution à mon petit problème " dit il sans séparer leurs lèvres.

Malgré ses dires,  aucun des deux ne pu se résoudre à rompre le baiser tout de suite . Ce ne fut qu'un bon petit moment après qu'ils se séparèrent enfin. Eiki s'apprêta alors à demander au plus âgé ce qu'il avait en-tête pour ce soulager mais, le concerné s'était déjà levé et s'était rapidement dirigé vers Alazen afin de se positionner derrière lui.

" Oh" pensa-t-il, les yeux tout ronds alors qu'il réalisait ce que son aîné comptait faire.

Sans sourciller, le brun laissa Sanador le lubrifier à l'aide de crachats alors qu'Il continuait de pilonner son orifice si sensible. Il finit tout de même par s'arrêter quand il le pénétra afin de ne pas non plus trop souffrir du manque de préparation.

Les deux amants aimaient généralement prendre leur temps et faire durer les préliminaires pour deux fois plus de plaisir mais, ils avaient également pris l'habitude de se prendre sans préparations de temps à temps.ils avaient beau être  des adeptes de la douceur, ils n'étaient pas contre un peu de brutalité pour épicer les choses.

De sa main, Sanador poussa son cadet afin qu'il baisse le haut de son corps, exposant davantage son anus alors qu'il pu enfin se laisser aller dans les bras frêles, mais pas moins confortables, du plus petit des trois. Il pu alors faire passer la douleur de la pénétration avec les douces caresses de ses amants.

Sentir les parrois de chairs d'Eiki se modeler afin de l'épouser dans toutes ses courbes, tout en ayant la sensation d'être entièrement remplie était tout nouveau pour le télépathe et il fallait dire qu'il n'avait jamais rien ressenti de tel. Le plaisir était tant qu'il se sentait prêt à rejoindre l'empyrée, là, tout de suite, mais, la partie n'était pas finie et il était bien décidé à profiter de ce moment si spécial au maximum.

Réunissant ses forces afin de pouvoir reprendre les mouvements de bassin qu'il assénait à son cadet, Alazen profita au passage de leur proximité afin de pouvoir profiter à son tour des doux baisers du blondinet, bien  que leurs cris de plaisirs rendaient les mouvement de leurs croissants de chair plus lents et moues. Le brun dû tout de même bien assez rapidement rompre l'échange quand il sentit subitement la main de Sanador s'abattre avec force sur ses fesses,geste auquel il ne pu réagir que par un cri qui demeura bloqué au fond de sa gorge.

-Regarde comme tu m'accueille si bien en toi...C'est comme si tu t'était complétèment adapté à moi, à la forme de mon pénis, hm?   

L'enchanteur était douée avec les mots. C'était le moins qu'on puisse dire.

Le blondinet n'aurait jamais soupçonné que de simples  paroles puissent avoir une telle puissance pendant un rapport mais, il devait se l'avouer, ses mots obscènes qui roulait si  facilement sur les lèvres rosées de son bien aimé  l'enflammaient entièrement , et en vu de l'état d'Alazen à l'entente de ses propos, il en était de même pour lui.

Voyant les jambes de son partenaire trembler au fur et à mesure qu'il accélerait ses vas et viens en lui, Sanador agrippa fermement ses hanches, les doigts enfoncés au creux de ses reins, les empoignant davantage afin de pouvoir mettre plus de force dans ses mouvements, guidant alors simultanément ceux de l'homme au teint ébène .

Bien vite, la pièce ne fut plus qu'un chant de sons plus sensuelles et pornographiques dont l'air lourd et parfumé de leurs odeurs corporelles transpirait la luxure . L'un des acteurs de ce numéro grossier n'avait d'ailleurs eût besoin que de quelques minutes de plus avant d'atteindre la fin de son script improvisé, déversant sa semence entre son torse et celui d'Alazen qui vint se coller au sien en recevant un énième coup de butoir.

Les deux plus âgés marquèrent ainsi une légère pause afin  de laisser au garçon moins expérimenté le temps de reprendre son souffle. Il en profita alors pour dégager les mèches blondes platines collés à son front à cause de la sueur alors qu'il tentait de rendre plus régulière sa respiration haletante.

Et dès qu'ils virent leur cadet redescendre de son nuage,  ils reprirent leurs mouvements,  moins bourrins afin de ne pas le sur-stimuler, mais juste assez afin de lui faire perdre la tête nouveau.

Voir le blondinet s'époumoner sous lui , le minois complètement rougie par leurs ébats, les lèvres enflées et luisantes de salives dû à leurs baisers passionnés, ses tétons dans le même états dû à l'attention particulier qu'on leur avaient accordé, ils profitaient de chaque détail de cette scène qui se jouait devant eux, se délectant de chaque son, chaque micro-expression qui nourrissait  leur propre plaisir.

Un frisson électrisant  lui parcourra le corps quand il sentit le membre d'Alazen se frotter contre un point sensible dont il ignorait l'existence, ce dernier pu d'ailleurs facilement le deviner en voyant la mine choquée de son amoureux et il se positiona de façon à l'atteindre,  encore et encore, jusqu'à l'en faire pleurer de plaisir.

Grâce à leur lien télépathique, le brun pouvait être certain  que ça n'était ni des larmes de douleur, ni des larmes de détresse alors il ne s'était guère inquiété, et Sanador non plus d'ailleurs,  bien que lui, en revanche, était surtout très occupé à marteler l'anus de son cadet qui ne faisait que se contracter et se resserrer sur son sexe.

-oh putain Al, je vais jouir...tu es  tellement  serré-

il n'eût le temps de poursuivre  qu'il fut coupé par les lèvres pulpeuses de son bien aimé qui frémissait sous son toucher, et soupirait sous ses lippes.

Et cette fois ci, ce fut au tour d'Eiki de pouvoir admirer le spéctale tandis que l'enchanteur s'amusait à tripoter son cadet, tantôt jouant avec ses pectoraux bombés, tantôt pinçant et caressant ses boutons de chair alors qu'il suçotait sa lèvre inférieur puis sa langue qu'il accueilli volontier dans sa bouche.

Cela fut plus que suffisant pour le faire jouir une seconde fois, alors que quelques minutes par la suite, ses deux partenaires finirent par venir à leur tour après une série de grognemens et de geints incessants.

Ainsi, là,  dans les draps souillés de leur impudeur, ils avaient finit l'un dans les bras de l'autre à se remettre de ce sport effréné auquel ils avaient volontiers prit part.