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[Lesson 22] J'espère que ta copine aime la fraise ?

Coucou, comment allez-vous ? Comment a été votre semaine ? Moi merdique, bon après NORMAL, c'est l'école quoi. Bref. Comme j'ai des fk,fkz,dkz,dzmd de contrôles à réviser, j'ai préférée publier le chapitre aujourd'hui plutôt que demain !

Pour pas vous gâcher la suspense, je tiens juste à vous rappeler que cette fiction est HUMORISTIQUE. Si vous riez pas c'est que je suis une grosse merde et que je ne suis pas faite pour être clown (il faut dire ce qui est hein) par contre, si vous riez, je vais peut-être penser à faire carrière.

Non ? NON.
Ok, je sors tout de suite dans ce cas =>

Bientôt les vacances alors tenez bon, FIGHTING !

Ps : FOUR ,pxpx;px;p^c,copncpoceopcoc,z^c,c,c, (bon j'arrête, j'ai trop fangirler dans Michael's assistant, tellement que j'ai mal aux doigts MDR)

__________________

« Hé, Hemmo ! » M'interpella-t-on à travers le couloir. « Attends-moi ! » Je stoppai les mouvements de mes pas, tournai des talons pour voir Calum trottiner jusqu'à moi pour me rattraper. « Tu tombes bien, champion. J'ai un message d'Ashton à te faire passer. » Il entoura son bras autour de mon cou, m'accompagnant ainsi jusqu'à ma classe. « Il est coincé dans les bouchons en ce moment, donc il arrivera sûrement dans les alentours de neuf heure trente. » Je hochai simplement la tête.

« Salut, Cal ! » S'écria une jolie brune lorsqu'on passa à côté d'elle. « Je ne t'ai pas vu à ma petite fête d'anniversaire hier soir alors que t'a promis de passer ! »

« Hé, Cal ! Ta encore 'oublié' de m'appeler l'autre jour ! » S'écria une autre, gagnant de la part de Calum une moue - que je savais - faussement désolée.

« Vraiment vraiment désolé, les filles. Avec les répètes du groupe et tous ça, ça m'est complètement sorti de la tête ! » Rétorqua-t-il sur un ton toujours aussi confiant et assuré. « C'est promis, j'essayerai de me rattraper la fois prochaine. D'ailleurs, qu'est-ce que je ne ferais pas pour vos beaux yeux ? »

« Awwwwn. » Il me gratifia d'un clin d'oeil, tandis que je secouai désespérément mon visage, comprenant que chez lui tout marchait dans l'art de la manipulation verbale et gestuelle.

« Caloulou ! » Jeta dans un cri une étudiante aux mèches vert citron à travers les couloirs.



Caloulou ?

Je ne pus m'empêcher de pouffer face à ce ridicule surnom, chose qui ne semblait pas plaire à Calum, qui me gratifia d'un petit coup de coude contre mes côtes. Ce surnom était encore plus horrible que celle que maman m'a donné - ce qui au fond de moi - je l'admets, me rassura. Je grimaçai de douleur, mais ce n'est pas pour autant que mes éclats de rire ont cessé. Je ne sais pas pourquoi, mais ce surnom me faisait étrangement penser à...



« Caloulou câlinou ! » Oui, c'était exactement à ça que je pensai. « Caloulou câlinou ! » Elle sautilla sur place, agitant sa main dans tous les sens pour capter l'attention du concerné.

« Oh, seigneur. » Sacra d'une voix blasée, Calum en se cachant derrière son livre de Maths.

« Hé, youhou ! Mais je suis là ! » S'écria-t-elle cette fois d'une voix outrée. « Calou.... »

« Cette fille est un véritable pot de colle. » Grogna-t-il en me saisissant par le bras et me tira aussi loin qu'il pouvait d'elle.

« Salut, Hemmings. »



Calum et moi redressons nos têtes pour faire face à Alison Garner, soit pour être un peu plus précis, la concurrente directe des garçons dans ce concours de jeune talent, organisé par le café de mon employeur.

Les bras croisaient fermement contre sa poitrine, Alison n'hésita pas à nous examiner de la tête au pied. Elle finit par incliner son visage sur le côté, esquissant un petit sourire au coin, plongeant ces prunelles dont la couleur est contraste aux miens, droit dans les miennes. Après s'être échangé un bref regard, Calum et moi imitons Alison, bien que la façon dont-elle s'est habillée ou bien même coiffée ne m'intéressait pas plus que ça.

« Sa-Salut. »

« Hood. » Salua-t-elle finalement mon camarade.

« Garner. » Fit-il de même dans un mouvement de la tête.

« Surveille tes arrières. » Commence-t-elle en passant à côté de lui. « Car.. » Elle pivota sur elle-même, marchant à reculons. « Je. connais. ton. secret. »



Alison avait pris soin d'articuler chaque syllabe.

Je fronçai les sourcils, ne comprenant absolument rien à ce qu'elle venait de dire. Elle venait de me laisser complètement dans le néant. Par contre Calum, lui, semblait parfaitement saisir le message.



« Oublie ce qu'elle a dit, Hem. » Me conseilla-t-il bien que ça sonner plus comme à un ordre. « N'oublie pas que c'est notre rivale et qu'elle fera absolument tous pour nous déstabiliser. » Je hochai la tête, la sonnerie qui indiquait notre premier cours venait de retentir. « Dis-moi, quand est-ce que tu as monsieur Sharps ? »

« E-euh.. Maintenant ? » Bredouillai-je en passant brièvement mes doigts dans mes cheveux.

« Parfait ! Le message d'Ashton dit que Sharps lui a envoyé un mail comme quoi il voulait des explications sur votre vente de tablette de chocolat. » Et c'est quoi qu'il trouve de 'parfait' là-dedans ? « Il trouve ça suspect que vous avez vendu aussi vite vos cartons, connaissant.. » Il me pointa du doigt. « Ton caractère et le sien. Il veut s'assurer qu'Ash ne t'a pas fait de chantage ou quoi que ce soit d'autre. Et comme, il n'est pas là pour embobiner Sharps, c'est toi qui va le faire. »

« Q-quoi ? » J'agitai ma tête de gauche à droite. « Je ne peux pas ! Je ne sais pas faire ça ! »

« Oh, que si tu sais le faire ! Et tu vas le faire ! » J'eus un hoquet de surprise quand il plaqua chacune de ces mains de chaque côté de mes épaules. « Sois confiant, créatif et crédible. Montre aux gars et moi que tu en vaux la peine et que tu sais appliquer tes leçons. Et surtout.. » Il me fit marcher à reculons, puis me gratifia d'un clin d'oeil, alors que j'agitai mes épaules comme un asticot de sorte à lui faire comprendre de retirer ces mains. « Rends-moi fier. »



Il me poussa brutalement à l'intérieur de ma salle de classe, me prenant complètement à dépourvu. Je tombai violemment sur mes fesses sur le carrelage, faisant de cette entrée spectaculaire, provoquant les éclats de rire de mes camarades. Je pouvais déjà imaginer l'expression blasé que mon professeur pouvait tenir à cet instant.



« Bonjour à vous aussi, monsieur Hemmings. » Je frissonnai d'horreur en entendant la voix de monsieur Sharps. « Moi aussi, je suis heureux de vous voir en cette si belle matinée. » Je me servis de l'angle d'une table d'un de mes camarades comme appui, pour me redresser sur mes longues jambes.

« B-bon.. » Je sentis mes joues chauffaient de gêne, dépoussiérant brièvement mon pantalon. « Bonjour. » Bredouillai-je timidement en me dirigeant jusqu'à ma place.

« Awn. » Entendis-je discrètement les filles de la ranger du milieu pouffer avec ce que je pense être un minimum d'empathie.

**

« Où est Irwin ? » Grogna agacé monsieur Sharps en survolant la salle, comme s'il attendait qu'Ashton face soudainement apparition. « Évidemment, il est jamais là quand on besoin de lui celui-là ! » Rouspéta-t-il désespérément.

« E-euh.. Il est pris par les embouteillages. » Répondis-je en son nom, gagnant un froncement de sourcil de la part de l'enseignant.

« Oh ? »



Je pinçai distraitement ma lèvre, m'adossai un peu plus que je ne l'étais déjà contre le dossier de ma chaise, pour pouvoir voir l'écran de mon cellulaire : aucun message ou appel d'Ashton. Alors que de mon côté, j'ai dû lui en envoyer au moins quatorze messages, pour savoir où est-ce qu'il était. S'il était - réellement - coincé dans les embouteillages, il aurait tout le temps devant lui pour répondre à mes messages textes, non ?

Oh non.

Je venais de comprendre.

Ne me dîtes pas qu'il était en train de me tester ?



« Hemmings ! » J'eus un sursaut, manquant presque de faire tomber mon téléphone. « Tes camarades ici présent.. » Dit-il en les désignant d'un mouvement de la main. « On énormément de mal à vendre leur tablette de chocolat. » Pitié, qu'il ne me demande pas ce que je pense en tête. « Et je me disais que ça serait sympa qu'Irwin et toi leur donnent quelques petits conseils sur votre manière de procéder. Mais comme il n'est pas là.. » Il avait dit sur un ton las, massant brièvement ces tempes. « C'est toi qui t'en chargeras ! »



Aw, non je le savais !

Je rangeai mon cellulaire dans la poche de mon pantalon, raclai légèrement ma gorge, voir même exagérément, quand tous les regards se tournèrent sur moi. Je sentis mes joues s'empourpraient de gêne, n'ayant pas l'habitude d'obtenir autant d'attention. Au loin, je pouvais percevoir George qui se trouvait au premier rang de la classe. Son regard démontrait clairement sa déception face à ma 'nouvelle' image, mais également son anxiété, connaissant mon mal aise de parler en public.



« E-et b-bien, j-je.. » Bégayai-je.

« Au tableau ! » Me coupa soudainement mon professeur en me désignant le centre du tableau. « Même 'ça' il faut que je le précise. Décidément, il faut tous leur dire à ces jeunes. » Souffla-t-il clairement ennuyé.



Je roulai des yeux.

J'inspirai profondément une grande bouffée d'air frais, que j'expirai et me levai doucement de ma chaise. Je traînai le plus possible mes pieds jusqu'au tableau, essayant de me mettre à la place d'Ashton, Calum ou encore de Michael, si jamais ce genre de situation devait un jour leur arrivait. Je n'allais tout de même pas leur avouer qu'en réalité, Ashton a usé de ces charmes pour vendre ces maudites tablette, qui plus est, au centre commercial en plus au lieu de faire du porte-à-porte !

Et je ne vous parle même pas des marges qu'il s'est...

On s'est fait derrière le dos de monsieur Sharps.

S'il venait à apprendre tous ça, il risquerait de nous sanctionner sévèrement et nous mettre un blâme sur notre dossier scolaire. Immédiatement, je chassai ces horreurs de mon esprit, retournant à ma réflexion de nous sortir de ce pétrin. Arrivé devant la classe, j'essayai de fixer le fond de la salle, où se trouver une ranger vide, pour éviter de stresser. La seule solution à mon problème était qu'Ashton et moi avons appliqué, la méthode de l'expérience de consommation, étudiée en cours de merca.....

Oh seigneur galactique !

Pourquoi ne l'ai-je donc pas pensée plus tôt ?

« Af.. » Je ne pus m'empêcher de sourire bêtement, fier de ma solution trouvée. « Afin de pouvoir vendre nos tablettes de chocolat, Ashton et moi avons appliqué la méthode de l'expérience de consommation, étudié en cours de mercatique. »



Les chuchotements de mes camarades m'indiquèrent qu'ils étaient tous impressionnés, que j'ai trouvé un moyen de m'échapper de cette impasse. La plupart d'entre eux avaient aperçu la vraie méthode d'Ashton au centre commerciale, et pourtant, ils n'ont rien fait pour le nuire. Et j'étais sûr que monsieur Sharps l'a vu également, d'où cette petite mise en scène. Ces traits faciaux contractés ne faisaient que confirmer mes dires.

Il était clair qu'il ne s'attendait pas à un mensonge aussi crédible.

Et moi non plus.

Sauf que contrairement à mes camarades, moi, j'apprenais mes leçons.

Et non pas uniquement celle de séduction.



« Cette méthode consiste à comprendre ce que l'individu ressent à travers son expérience de consommation. Or, dans ce cas-là, ce sont les tablettes de chocolat. Elle se déroule exactement en trois phases. » Expliquai-je confiant et sûr de moi, chose que j'étais toujours quand il s'agissait des cours. « Premièrement, nous avons éveillé le besoin du client, en leur expliquant tout d'abord qu'en plus d'acheter le produit pour une bonne cause, ils bénéficient de la qualité de celle-ci. Deuxièmement, nous avons pas hésité à changer les conditionnements, voir même leur faire goûter un carré de chocolat pour prouver notre bonne foi. »



Wow, c'est bien la première fois que je paraissais si confiant !

Un vrai baratineur.

C'est bien, Lucas, continue ! Prends tous ton temps et évite surtout de regarder tes camarades. Il faut que tu continues à fixer la ranger vide et faire comme si tu étais tout seul.



« Et enfin, notre bonne foi a porté ces fruits et nos clients n'ont pas hésité à parler de nos chocolats à leur voisin et ainsi de suite. » Je me tournai face à mon professeur, le gratifiant d'un adorable sourire.

« Je savais bien que cette vente n'était pas un travail d'équipe, mais individuel. » Conclus l'enseignant. « Beau travail, monsieur Hemmings, je savais que vous réussirez un jour à surpasser votre timidité ! Oh, et faite passer le message à monsieur Irwin, qu'il viendra en retenue pendant quatre heures. » Et mon sourire se fane aussitôt.

« Pou.. Pourquoi ? » Il gribouilla quelque chose sur son bloc-notes.

« Car je ne supporte pas qu'on se fiche de moi. »



Uh oh.

Sauf que je venais juste de le faire.

Mais ça, il ne le saura probablement jamais.

**

- à l'écoute - Fitz and the Tantrums - Spark.

Après avoir éteins les robinets de ma cabine de douche, je sortis de celle-ci, me séchai à l'aide d'une serviette chaude, que j'entourai ensuite autour de ma taille. C'est dans le rythme de Fitz and the Tantrums que je chantonnai joyeusement, remuai ma tête et mon corps à travers ma salle de bain, jusqu'à ma chambre, où mes vêtements pour mon rendez-vous avec ma belle Tara était déjà prêt sur ma couette.

Lorsque je pivotai sur moi-même, un cri perçant s'extirpa intentionnellement d'entre mes lèvres. Oh seigneur, j'ai bien cru frôler la crise cardiaque en voyant maman se tenir à l'encadrement de la porte ! Ces yeux brillaient de joie à la vue du mien, ces mains ce sont portés à sa poitrine, émue que j'ai - ou plutôt Ashton a - réussi à obtenir mon tout premier rendez-vous avec une fille.



« Maman ne refais plus jamais ça ! » M'écriai-je, choqué, en portant ma main contre mon coeur. « Il manquerait plus que j'ai une crise cardiaque, tiens ! »

« Je suis désolée, Lulu. C'est juste que.. » Aw non et la voilà en train d'essuyer une minuscule larme au coin de son oeil. « Ton père serait tellement fier de toi. » Je souris doucement, enfilant un t-shirt à l'effigie des Sum 41. « Oh, attends laisse-moi t'aider ! » Mes yeux s'entrouvrent en deux grosses soucoupes quand je l'entendis s'avancer.

« Maman, non ! » Gémis-je comme un enfant en tapant des pieds, elle stoppa ces pas au milieu de la pièce, levant innocemment ces mains en l'air.

« Oups, c'est vrai que j'ai tendance à oublier que tu n'es plus un enfant. »



Bah, voyons !

Si elle ne m'avait pas fait la remarque jamais je ne l'aurais deviné ça.

Ironiquement parlant, bien sûr.



« Laisse-moi m'habiller tranquille ! » Grognai-je, ce qui la fit éclater de rire.

« Je m'éclipse, je m'éclipse. » Dit-elle en marchant à reculons avant de brusquement s'arrêter. « Oh, j'ai faillis oublier ! » Je rougis furieusement quand elle déposa un préservatif sur mon matelas. « La sécurité d'abord. » Elle me lança un clin d'oeil.

« Maman ! » M'écriai-je.

« J'y vais, j'y vais ! » Se défendit-elle en éclatant de rire.



Non de dieu !

Je laissai échapper un soupir de soulagement quand j'entendis la porte de ma chambre claquer derrière elle. Rapidement, je retirai ma serviette autour de ma taille pour pouvoir enfiler mon boxer, puis un jean slim brute. Quand je m'apprêtai à emboîter le pas jusqu'à mon tiroir, j'eus un hoquet de surprise quand j'entendis une fois encore le son de la voix de maman.



« Oh, j'ai oublié ! » Elle entrouvre juste assez la porte pour pouvoir faire passer sa tête. « J'ignorai quelle taille tu faisais, alors je me suis basé sur ta taille physique. J'ai pris du 'M' j'espère que.. » Et là, je sentis mes joues brûlaient fiévreusement.

« Maman, arrête ça ! C'est.. » Je grimaçai de dégoût. « C'est em-embarrassant ! » Balbutiai-je, ne sachant vraiment plus où me mettre.

« Désolée, désolée ! »



Quand elle referma une fois encore la porte derrière elle, j'hésitai vraiment à bondir dessus pour pouvoir la fermer à clé afin qu'elle ne puisse plus me déranger. Mais, connaissant maman, je savais qu'elle se ferait un sang d'encre et qu'elle n'hésiterait pas à appeler les pompiers pour me sortir d'ici, sachant que je ne verrouillais jamais ma porte.

Voilà les inconvénients d'avoir une mère sur-protectrice.

Voir, une mère poule.



« J'ai encore oublié ! » Et pour énième fois de la soirée, mon corps fut parcouru d'un soubresaut à cause des mille interventions de maman dans ma chambre. « J'espère que ta copine aime la fraise ? » Je levai un sourcil, ne comprenant pas où elle voulait en venir. « Parce qu'il ne restait plus que ce parfum à la pharmacie. » Et je n'ai pas eu besoin de plus d'indice, quand elle m'indiqua du regard qu'elle parlait encore - et toujours - de ce maudit préservatif qu'elle a gentiment posé sur mon matelas.



Oh. mon. dieu.

Est-ce qu'elle a pris de la drogue ?

Qu'ai-je donc fait pour avoir une mère pareille ?

_____________

Pour en revenir à ma petite note du début, nous sommes d'accord qu'une mère ne ferait jamais ça, hein ? HEIN ?! Perso, ma mère dirait plutôt un truc du genre à mon frère => "Tu me ramène une de tes nd,o,ddopnfezifn en cloque, je te coupe l'aigle royale et te la fait bouffer, ok?" et ajouter ça avec le mode super vénère è.é

Je sais qu'il n'y a pas grand chose dans ce chapitre, mais le but ici, était de vous faire voir qu'après 20 Chapitres, Lukey a enfin comprit l'art du baratinage (je ne sais pas si ça s'est vu....).

Et puis, je vous rappelle que je prends tout mon temps pour faire avancer cette histoire. Mon but premier est de vous faire découvrir l'évolution de Luke et non qu'il soit immédiatement mis en couple avec la première fille qu'il rencontre et basta.

Et voilou !
Passez une bonne semaine et si vous avez des questions n'hésitez pas !

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