Chap6-Tyron
J'ai passé le reste de ma soirée d'hier à baiser. Après les cours, j'ai d'abord essayé avec la pute au décolleté du cours de philo mais, il savère que la meuf portait une culotte trouée quand j'ai eu l'image de son sous-vêtement baissé devant moi avec un trou assez large au milieu, je suis tout simplement sorti du local de rangement du concierge et l'ai laissé seule avec sa culotte destroy. Elle allume les mecs mais elle n'est pas foutue d'être présentable. À ma grande joie, j'ai trouvé une autre meuf, je me suis juste approché d'elle devant son casier et lui ai demandé simplement si elle voulait me tailler une pipe. En bonne pouf, elle a répondu oui et on s'est exécuté dans les vestiaires des meufs celles les moins fréquentées donc par chance il n'y a eu personne. Je continue de garder espoir sur le fait que toutes les filles de ce bahut ne soient pas des écarteuses de jambes pro, quoi disons un pourcents doivent être encore vierges.
Je sors de mes divagations quand je m'aperçois que l'on a rallumé la lumière dans la salle, le film est fini et je n'ai rien suivi j'ai seulement pu distinguer un arbre qui ressemble assez à celui sous lequel la pleurnicharde m'a laissé en plan hier après cette épisode, j'ai réfléchi toute la nuit à son sujet. Je ne veux pas avoir avec qu'elle une quelconque relation que ce soit en amitié ou encore... qu'est ce que je raconte Tyron Tep ne sort et ne tombe amoureux de personne donc l'obtion "en amour" n'est même pas envisageable. Il faut que je sache qu'elle est la cause de cette absence d'humanité dans son regard. À vrai dire que j'ai toujours éprouvé un plaisir à observer les humains, deviner leurs pensées, déceler leurs plus grands vices et imaginer les choses qui pourraient tout simplement les brisés. Avec elle c'est tout autre chose, c'est plus dur, oui je n'arrive pas à lire en elle, donc ce serait intéressant de faire d'elle mon expérience humaine. Dit comme ça j'ai l'air d'un psychopathe qui vient d'une autre planète. Peut être j'en suis un de psychopathe mais, j'en ai rien à branler je veux connaitre son histoire comprendre pourquoi nos regards sont similaires et pour cela je vais dégainer toutes mes cartes.
Ce cours d'art cinématographique aurai pu être intéressant si j'avais été attentif. C'est la seule matière à laquelle je suis vraiment passionné. Il y a quelques années, je prévoyais devenir réalisateur de films mais, la vie m'a bien enculé et a raccourci ma durée de vie...
Lorsque je marche dans les couloirs en direction de la cafet, je remarque la pleurnicharde accompagnée de quatre autres filles. Elles rient comment font-elles pour ne pas remarquer que son rire est faux? En même temps elle joue tellement bien la comédie...
Et là, la suceuse d'hier se plante devant moi.
-Eh salut, c'était bien hier ça te dit qu'on le refasse un de ces quatre?
me propose-t-elle en caressant mon torse.
Cette fille parle de ça comme si sucer des gens était un passe-temps pour elle.
D'un coup je suis pris de nausées.
-Non.
Après ce non sec, je me dirige vers les toilettes et me revoilà entrain de recracher tout mon repas d'hier dans l'une des cuvettes des toilettes pour mecs.
Ces derniers temps, c'est de plus en plus fréquent. Je devrais arrêter de prendre ces anti-douleur à la con. Quand je suis sûr d'avoir tout lâché, je tire la chasse et sort de la cabine. Je sens que mon estomac est vide.
-Eh ça va?
J'arrête de me toiser dans le miroir et dévisage le mec qui est au lavabo à côté de moi.
Il a dû suivre les doux sons de moi gerbant. Super...
-De quoi je me mêle.
je lui réponds le ton dégaigneux.
C'était ça ou un va te faire foutre bien placé.
À peine sorti des toilettes que la sonnerie résonne. Me voilà parti pour deux heures de langue vivante qui pour moi est le Grec.
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Chapitre assez banal...
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