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Raison

Des yeux d'un vert pâle, des Cheveux courts de couleur noir, des lèvres rosées. Des faucettes, une peau bronzée, une corpulence d'athlète. Toute ces traits faisaient de Will une sorte de beau gosse avec un aspect très subtil et presque inperceptible de Bad boy. Les évènements de la nuit dernière avaient permis la rencontre de tous les participants. Et après une nuit au manoir la journée commençait.

Il était 7h, le soleil venait de faire son entrée, mais le chant des coqs était absent dans cette académie presque au milieu d'une forêt. Une forêt bien sinistre, il y a avait une certaine fraîcheur très inquiétante. Et de toutes les personnes présentes, nul ne pouvait affirmer avec certitude qu'elle était naturelle. Mais bien peu pour ébranler la sérénité de délinquants.

En cette matinée tous les élèves s'étaient réunis dans la cour, enfin tous sauf, Wilfried. Qui était encore enroulé dans sa couverture. Rien ne semblait pouvoir l'y déloger, pourtant il fut bien obligé de prêter attention aux étranges bruits de la porte qui semblait se fermer puis s'ouvrir. Mais quel bruit encombrant, voilà le résultat de vivre dans une maison avec des vielles portes en bois, se disais-il. Accablé par la régularité de ce bruit il fut bien obligé de s'y intéresser. Il s'assit sur son lit tout en se mettant en colères :

_ mais ce n'est pas croyable ! Il y a des gens qui dorment putain ! articula-il tout contrarié.

Le mouvement de la porte s'arrêta un instant, puis reprit de plus belle. Plus fort, le son commençait à être insupportable pour Wilfried :

- s'il y a quelqu'un derrière cette porte, je lui conseille d'implorer la clémence du seigneur, car moi j'en aurais pas pour lui... J'arrive ! dit-il en se levant de sont lit.

Le son de ses pas était assez fort, le planché semblait ne pas être très jeune, aussi comme il était à l'étage c'était pire. Ce son n'était en effet pas très loin de celui de la porte. Il arriva devant celle ci, et Jetta un coup d'œil en dessous, histoire de voir les pieds de quelqu'un, mais rien. Wilfried se disait que celui-ci était sûrement entrain de s'échapper par les escaliers. Il s'en pressa alors d'ouvrier la porte. Mais rien. Il ne vit personne. Il se dirigea vers la balustrade et Jetta un coup d'œil en bas. Mais rien, pas un chat, et puis comment aurait t'il fait pour s'enfuir sans bruit. Il leva la tête, espérant que son regard croise une fenêtre ouverte. Sauf que, même pas une fenêtre, elles ne se trouvaient que dans les chambres. Wilfried en conclut qu'il s'en faisait un peu trop, ce n'était pas le moment d'être parano.

_ j'ai sûrement dû rêver ! Cet endroit ne me fait vraiment pas du bien! supposa-il en baillant. Mais bon, allons se coucher !

Il fit un pas en avant, quand une goutte lui tomba sur le front, puis longea ensuite son visage en passant entre ses sourcils puis par son nez et avant qu'elle ne touche ses lèvres, il l'essuya avec son pouce. Le rouge sombre de cette goutte ne laissait transparaître aucun doute quant à son origine. C'était du sang:

_ mais ! Du sang ! À qui ou à quoi cela appartient ? Que vient faire du sang ici? C'est tombé du toit! Dois-je lever la tête et voir d'où ça vient ? se dit-il, la chaire de poule l'enrôlant.

Wilfried était soudain devenu glacé, tous les poils de son corps s'étaient dressés. Une part de lui était théorisée par l'idée de lever la tête ! Mais avait-il seulement le choix, sans cette information il lui était impossible de dormir. C'est alors qu'il leva la tête très lentement. Le plafond fait de bois ne présentait aucun signe d'une quelconque souinte. Wilfried regarda une seconde fois son pouce et il vit de l'eau.

_ c'est sûr, cet endroit me rend complètement parano. Avec tout ça je n'ai même plus sommeil! Bon descendons rejoindre les autres. Ah, j'allais oublier mon collier. dit-il en fesant un pas vers sa chambre.

Une fausse alerte ; il était donc temps pour Wilfried de rejoindre les autres, toute fois pas sans son si précieux collier. Il voulut entrer dans la chambre quand la porte se ferma violemment, l'air devînt aussi froid que dans la forêt et une curieuse mélodie se mêla au trouble. Une mélodie religieuse que Wilfried connaissait bien.

_ d'où vient donc cette mélodie ? Il y a quelqu'un ? Ce n'est vraiment pas drôle !

Le son provenait de la pièce à l'opposé des escaliers. Les coordinateurs avaient affirmé qu'il s'agissait d'une ancienne cave qu'eux même n'avaient pas visité depuis qu'ils étaient là. Ils invitaient aussi tout le monde à ne surtout pas y entrer.

_ cette mélodie vient de la fameuse pièce ! Allons voir ! S'il y a un enfoiré derrière cette porte qui essaie de me faire peur, je ne donne pas cher de sa peau ! dit-il en se dirigeant vaillamment vers la fameuse porte.

La main sur la poignée, il exerçait une pression progressive. On pouvait apercevoir le fameux mouvement de la gorge doublé d'une goutte de sueur qui dessinait délicatement les courbes de son visage. Quand il voulut l'ouvrir, un vent glacial lui lécha le cou:

_ c'était quoi ça? Je commence sérieusement à flipper ma race! affirma t-il, la main caressant son cou.

_ Mort. Tu dois mourir. Chuchota une mystérieuse voix.

_ quoi??? répliqua t-il en retournant légèrement sa tête.

Il n'y avait personne. Plus de temps à perdre, Wilfried se précipita vers les escaliers et les descendit presqu'en les survolant. Il arriva en une fraction de seconde au rez de chaussée. La porte n'était plus très loin, les objets se mirent à s'affoler et cela n'était point rassurant. Bien pire on commençait à attendre un bruit très fort du planché, des bruits de pas, non pas d'un être humain mais de quelque chose de beaucoup plus grand ; le bruit en témoignait clairement :

_ mais ouvre toi putain! Ouvre toi! Ouvre toi! Mais ouvre toi merde! enchaîna t-il très rapidement en mettant toute sa force sur la poignée de la porte centrale qui était comme verrouillée.

Les bruits de pas se rapprochaient. Et Wilfried essayait d'ouvrir la porte avec tout son corps, il se mit à pousser de toutes ses forces. Puis à donner de violents coups de pieds pour enfoncer la porte.

Les meubles et les ustensiles de cuisine se mirent à léviter, le planché tremblait de plus en plus fort, comme si il y avait des petits séisme dans le sol. Les bruits de pas se rapprochaient dangereusement. Wilfried se mit à hurler donnant des coups de plus un plus fort à la porte qui semblait être insensible aux attaques physiques.

_ mais c'est quoi cette merde !? Je ne vais pas crever!? Pas maintenant ! Pas ici! Pas ici!
Hurla t-il quand la porte s'ouvrit enfin.

_ mais qu'est-ce qui te prends de hurler comme ça? Tu n'es pas bien dans ta tête ou quoi?? demanda Rob le regard plein d'incompréhension.

" Rob Anderson. Un jeune homme de 17 ans, les yeux marrons, les cheveux courts et chattins. Une corpulence normal et habituel pour un garçon de son âge. La peau mate avec une certaine préférence pour les chemises carrelés et la couleur bleu. Un garçon très méticuleux il avait toujours une solution de secours. Comme une torche dans un endroit où il faisait jour là nuit"

_ hein... dit-il encore choqué par ce qu'il semblait avoir vécu.

_ c'est moi où tu pleures !? Tu m'a forcé à me ruer vers la porte, tu est vraiment un taré! Un peu plus et tu nous la défonçait.

_ mais attends un peu, tu n'a entendu aucune musique? demanda t-il en mettant sa main sur l'épaule de Rob.

_ non, pourquoi ? renchérit t-il en quête de réponses.

_ allé réfléchis, une sorte mélodie catholique... Je ne me souviens plus du nom...

_ mais tu es vraiment barge !

_ non, regarde les meubles sont... dit-il en se retournant.

_ les meubles sont bien en ordre! Mec, tu es sûr que ça va? lâcha t-il perturbé par une légère inquiétude.

_ il a deux minutes... répliqua t-il le désespoir marqué sur son visage.

_ il y a deux minutes quoi?

_ laisse tomber je crois que j'ai juste très mal dormi !

Cauchemar doublé d'un somnambulisme, une fausse alerte semblait t-il. Ils partirent ensuite rejoindre le reste du groupe qui était dans la cour et suivaient un cour bien particulier.

_ comme je vous le disais, vous êtes libre ! Ah Wilfried ! Tu t'es enfin réveillé. Viens, viens, installe toi! affirma Albert.

" Albert Net Broow, un homme mûre dans la trentaine qui arborait déjà une belle calvaicie. Avec une carure très imposante et des yeux d'un noir menaçant. Tout cela faisait de lui une personne qu'on ne voulait pas avoir comme ennemi. Et les rides sur son front trahissait son caractère nerveux."

_ tu peux t'asseoir ici si tu veux ! signifia laura en se déplaçant légèrement sur sa gauche.

_ merci bien !

_ il y a un problème ? ajouta t-elle.

_ non pas du tout ! répondit will le regard lointain.

_ tu en es sûr !?

_ oui, j'en suis sûr. C'est rien, juste un rêve! Et lâche moi avec tes questions ! retorqua t-il agacé.

_ il devait être bien horrible pour te mettre dans un tel état!

" Laura Queen. Une belle brune aux yeux marrons clair. Un visage décoré par de belles lèvres rouges et pulpeuses. Un corps de déesse qui sublimait l'ensemble. Une bien sèduisante damoiselle qui se mêlait de tout. Elle semblait toujours s'inquiéter des autres comme si elle n'avait pas assez de problèmes. Une attitude qui pouvait être très agaçante surtout pour Wilfried qui n'aimait pas qu'on le arcelle de questions."

_ voyez vous, Wilfried qui ne c'est pas levé à l'heure ! On vous a interdit de le réveiller ! Mais pourquoi ? s'écria Albert.

_ parce qu'il faisait flipper ! répondit Franck.

_ mais un peu de sérieux garçon ! demanda Jenifer.

_ personne n'a une idée ?

_ moi oui! rajouta Franck.

_ la ferme Franck!

_ je voulais juste dire que c'est parce-que il est libre !

" Franck. Un jeune homme fort détestable. Des yeux noirs, le visage carré, nerveux et vicieux. Un égaux surdimensionné, un mépris de son prochain avec des tendances agressives. Une chose était sûr ce n'était pas un saint et encore moins une lumière. Néanmoins il avait le flaire de tous les malfrats."

_ en effet c'est ce que l'on pourrait croire au premier abord, mais être libre c'est savoir respecter les règles! J'ose donc croire que cela ne se reproduira plus ! dit-il en fixant Wilfried du regard.

_ ce que le professeur Albert essaye de vous dire est que, ce n'est que dans le respect que se trouve la véritable liberté. Le libertinage n'est en aucun cas bénéfique. Vos parents ont des règles si vous les respectez alors vous serez libre !

_ en fait, vous nous disiez qu'on à plus intérêt à respecter les règles de nos parents. Mais sommes nous vraiment libre si nous avons des restrictions ? souleva Jean, perplexe.

" Jean, un adolescent roux aux yeux verts, qui avait tendance à faire semblant d'être bien, peu importait la situation. Un fier sourire décorait toujours ses lèvres. Il se mentait continuellement à lui même, camouflant toutes formes d'émotions.

_ si tout le monde faisait ce qui lui passa par la tête, alors le monde deviendrait un sentier de guerres par ci par là. La vraie liberté ne dois pas nuire à autrui! affirma Wilfried.

_ je n'aurai pas dit mieux! ajouta Jenifer. Bon le cour reprendra tout à l'heure ! Pour passer le temps l'on va un peu vous faire visiter la forêt ; en passant voici pour vous l'arbre Cardia, il est gigantesque n'est-ce pas ! Il a environ trois mètres de diamètre et neuf mètres de haut.

" Jenifer une jeune femme blonde dans la vingtaine. Très maternelle et sociable elle faisait office de refuge. Et de confidente, rien de bien spécial dans ça personnalité. Une jeune femme correcte qui aimait cuisiner."

_ oh mon dieu! s'écria t-elle. Ce n'est pas dangereux d'avoir un tel arbre au beau milieu de la cour ! remarqua Zalia l'air stupéfaite.

" Zalia alltraford. Une blonde un peu garçon manqué. Qui toute fois pouvait séduire d'un simple regard de ces yeux d'un bleu passionné. Elle avait tendance à attacher ses cheveux en queue de cheval et à faire l'idiote pour qu'on ne se doute pas de son côté tigresse. Bien qu'elle n'existait pas à sortir les griffes lorsqu'on l'embêtait. C'était pour cela que Rob avait peur d'elle. Cette dernière pouvait passer d'etourdi à taré en une seconde."

_ mais il faut être complètement étourdi pour ne remarquer cela que maintenant ! Ça fait déjà une quarantaine de minutes qu'on est sous son ombre ! s'écria Harold.

" Harold. Très peu bavard, et très peu sociable. Lui et ces lèvres rouge n'intervenaient que très peu. Une peau couleur bronzée des yeux gris et les cheveux noirs de taille moyenne, lissés en arrière."

_ je ne sais pas vous, mais moi j'ai la dalle ! Lança Johnson.

_ désolé mais ce n'est pas encore l'heure du repas ! Soyez libre! Soyez libre ! répliqua Jenifer.

_ un peu de régime ne te ferrai pas du mal! Non mais, tu t'es regarder dans une glace! Un peu plus et tu pourrai être un sumo japonais. s'écria Tyler.

_ mais de quoi je mêle ! Espèce de cricket !

_ les garçons pas d'insultes ! Tyler fait lui tes excuses !

_ pas question !

_ c'est comme tu veux! Je vais prévenir Albert que tu est privé de repas et que tu passeras toutes les nuits à partir de maintenant dans la forêt ! Tu sais qu'il y a encore plein d'animaux sauvages à l'intérieur !

_ Johnson, je suis cincèrement désolé ! s'écria t-il de façon sournoise.

" Tyler. Un jeune garçon robuste. Ces cheveux blonds et ces yeux verts rassurait tout le monde. Il brillait par son altruisme et faisait office du grand frère même si lui aussi avait 17 ans. Aussi il se disputait sans cesse avec Johnson"

_ voilà qui est mieux ! À ton tour Johnson ! Fais lui tes excuses !

_ je suis désolé Tyler!

" Johnson un garçon plutôt en chaire. Les yeux bleus ciel et le cheveu brun, une coiffure irréprochable à la britannique. Il aimait porter des vestes et avait tout d'un gosse de riche accro à la bouffe."

Les deux garçons se lançaient des regards noirs quand soudain vint Ben et ces phobies :

_ les mecs ! Ne faites plus un pas, c'est une fourmi noir et sa morsure provoque d'horribles démangeaisons !

"Ben Uver, un adolescent au yeux bleus ciel. La boule à zéro qu'il cachait sous un bonnet noir. Une peur sans précédent de tout ce qui est vivant ajouté à une claustrophobie et bien d'autres choses. Il paniquait bien plus qu'il ne respirait, c'était drôle au début mais ça devenait chiant à la longue."

_ tu as vraiment peur de tout? Il suffit de l'écraser! répliqua Rob en écrasant la fourmi.

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