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Méprisés

Rob venait de mourir sous le chant mortuère du tonnerre, mais après avoir repris une partie de leur calme, ils se rendirent compte qu'il y avait une étrange mélodie religieuse qui se fusionnait à l'air. C'était une mélodie assez sinistre. Tout le monde pouvait désormais l'entendre, les adolescents étaient tous paniqués par les évènements qui leurs glaçaient littéralement le sang.

Ce camp de réinsertion sociale se transformait en cauchemar réel. Zalia écroulée au sol extirpait toutes les larmes de son corps. Laura, Ben et Johnson étaient harcelés par des nausées et vomissements très insistants et il ne fallut pas longtemps avant qu'ils décidèrent de vomir par dessus la balustrade. Puis le tonnerre gronda violemment une seconde fois, ce qui effraya tous ce qui étaient les plus proches de la porte. Ces derniers reculèrent ensuite vers la balustrade. Mais quelques chose venait d'attirer l'attention de tout ce qui vomissaient.

- mais attendez un peu! On est tous montez? demanda Johnson la bouche enlacée par de violents frissons.

- oui! Enfin je crois! répondit Tyler en éclairant tous les visages présents.

- alors qui est en bas ??? articula t-il la voix tremblante.

- de quoi tu parles !? répliqua Wilfried en se plaçant à son tour près de la balustrade.

Tous sauf Zalia, se penchèrent et il y avait comme une silhouette dans l'obscurité. Puis Franck rappela a tout le monde qu'il valait mieux se concentrer sur la porte qui était très proche. Après tout, ce qui avait fait ça à Rob n'était toujours pas sorti. Les autres essayaient en priorité de voir ce qui était au rez de chaussée. Le manoir s'illumina de nouveaux et l'on pouvait voir une petite fille se tenant debout avec un énorme poignard orné de sang dégoulinant.

- les gars, dites moi que j'ai alluciné! supplia Jean cherchant l'apaisement sur le visage de ces compagnons.

- la ferme, il faut s'en rassurer avant! répliqua Wilfried qui faisait mine de garder son calme mais dont les doigts faisaient presque trembler la balustrade.

- c'est moi le seul ici à penser qu'on devrait être plus attentif à la porte ! Quelque chose pourrait nous tomber dessus ! signala Franck qui était dos à la balustrade.

La lumière naturelle revînt une seconde fois, mais cette fois, il n'y avait plus de petite fille. Ils poussèrent tous un ouf de soulagement. La peur était sûrement à l'origine de cette allucination collective. Enfin tel était le mantra qu'ils se répétaient encore et encore. Quand soudain il entendirent le planché des escaliers se plaindre sous le poids de pas qui se rapprochait d'eux. La panique folle ne semblait pas vouloir prendre congé dans leurs esprits.

Où allaient-ils se réfugier. Les chambres n'étaient pas sûres et les escaliers étaient inutilisables car quelques chose approchait en montant les marches. Ils se tournèrent tous instinctivement vers la fameuse cave, où les encadreurs défendaient quiconque d'entrer. Mais avaient-ils seulement le choix, cette pièce était la seule qui leur restait et qui était à l'opposé du bruit du planché.

- allez lève toi Zalia! supplia Jean en voyant la petite fille qui venait de gravir toutes les marches.

- Rob, je suis désolé ! Tout est de ma faute ! dit-elle en se laissant porter par les bras de Jean qui la soulevaient.

- allez venez! s'écria Wilfried en jetant un rapide coup d'œil au corps sans vie de Rob.

- dépêchez vous ! Elle est de plus en plus proche de nous ! hurla Laura qui était déjà dans la fameuse pièce.

Les trois retardataires s'enpressèrent de rentrer dans la cave puis de la verrouillée à double tour. Ils se préparaient tous à ce que les choses dans séjour tentent de forcer la porte, mais rien de pareille ne se produisit. Les seuls sons étaient celui de la foudre et celui de l'eau ruisselante sur le toi du manoir.
Seul leur torche leur permettait de voir dans cette obscurité total. Et ceux qui n'étaient pas extrêmement choqués essayaient de comprendre la situation.

- puisque Rob a été tué dans la chambre, cela suppose que la petite fille n'est pas seul! signifia Will.

- oui! Donc il y aurait deux choses ultra dangereuse derrière cette porte ! Mais ce qui m'étonne c'est que Rob se soit fait massacré de la sorte en si peu de temps ! répliqua Tyler.

- Rob avait 1 mètre 76, cheveux chattins, yeux marrons, gabarit et aptitudes physiques assez faibles pour quelqu'un de 17 ans. Toute fois une petite fille ne pourrai pas le maîtriser ! Et personne n'aurait put le maîtriser aussi longtemps en le poignardant. supposa Jean qui essayait de réfléchir malgré l'empleur du choque.

- lorsque j'ai regardé le corps de Rob, j'ai remarqué que le sang sortait plus des organes vitaux. Ou du moins ceux dont un coup de couteau créerai un problème qui tuerai instantanément. reprit Will.

- où veux-tu en venir! Sois plus claire! demanda Tyler.

- que ce sont les derniers coups de couteau qui lui ont été mortelle. Entre outre, son assaillant à commencer par le poignardé les parties pas très importantes comme les bras ou les jambes. Ce qui est anormal quand on veut tuer ! renchérit t-il.

- tu veux dire que la chose qui l'a tué voulais qu'il souffre avant de mourir. Comment se fait-il qu'un monstres où autres connaisse la médecine et donc les organes vitaux. s'interrogea Jean.

- mais fermez là ! Rob est mort et tous ce dont vous parlez c'est de poignard et de sang. hurla Zalia un fleuve lui sortant des yeux.

- ton copain est mort!!! Mes condoléances mademoiselle la veuve ! Hurla Jean. Tu peux faire ce que tu veux mais moi je n'ai pas l'intention de crever ici.

Zalia se mit à le regarder froidement. Laissant transparaître de la colère dans ses yeux qui luisaient.

- oui! Regarde moi! Le seul moyen de sortir d'ici est de comprendre la situation et trouver une solution. Tu peux nous aidez ou continuer de faire la veuve pendant qu'on essaye de te sauver les fesses! hurla t-il de nouveau.

- du calme vous deux! Ce n'est vraiment pas le moment. Jean! Tu le dis toi même, une bête où un monstre ne pourrai pas connaître ça! On as donc affaire à un tueur humain.

- Tyler, pas de conclusion hâtive ! Tu connais quelqu'un qui dans ce monde qui serait capable de te maîtriser en te poignardant les orteils! signifia t-il. Normalement tu lui donnes des coups de poings ou de pieds! Pourtant Rob ne s'est pas débattu et est resté immobile sur le sol pendant qu'on l'assacinnait. Comme si il était paralysé. Car dans le cas contraire l'on aurait entendu des bruits de lute.

- donc pour toi un humain n'aurait pas pu le tuer du moins pas de cette façon. C'est vrai que si il s'était débattu on l'aurait entendu. répliqua Jean.

- vous parlez depuis d'humain et de monstre mais pas de fantômes ! remarqua Franck en frissonnant de peur. Et si c'était...

- Christa Maria... compléta Laura.

- dans tous les cas on en reparlera plus tard! Je viens de me souvenir d'une conversation entre Albert et Jenifer. Ils disaient qu'il y avait un moyen d'entrer dans l'église Cardia à partir de cette pièce. affirma Wilfried.

- mais si on va à l'intérieur comment vas t-on en ressortir. demanda Ben.

- rappelle toi ! Il y a cinq jours on a visité l'église en entrant par une grotte à l'extérieur ! Il suffira de sortir par là! renchérit Will.

Ils se mirent tous à chercher une porte cachée ou une trappe. Tout ce qui pouvait être un moyen pour se rendre dans l'église qui était sous le manoir. Mais il était difficile d'etre rapide quand il n'y avait qu'une seule source de lumière. Tous se demandaient comme faire pour être plus efficace, quand comme par miracle une ampoule qui était déjà là s'alluma pour illuminer la pièce. Mais d'où venait cette énergie ? Les encadreurs étaient ils en fait partis chercher un nouveau groupe électrogène ? Une question qui fut balayer par les anciennes réflexions sur la réalité des encadreurs et de toute façon ils n'avaient pas besoin de savoir d'où venait cette énergie mais juste d'en profiter.

20h02. Les recherches furent longues, car la pièce était très grande et qu'il y avait beaucoup de meubles qui traînaient un peu de partout. Puis après plus de quarante minutes de fouilles, ils ne les manquaient plus qu'à vérifier une pile de meubles qui était au beau milieu de la pièce. Les uns après les autres les meubles étaient enlevés. Fauteuils, chaises longues et courtes, tapis, tables, tous étaient dégagés en vitesse. Au bout de cet effort physique se trouvait une trappe qui permettait de descendre. Dans l'église où ailleurs, tous les lieux était mieux que cette cave. Ils formèrent un cercle autour de leur salut qui était fermé par une plaque de bois rectangulaire qu'il fallait coulisser pour descendre.

- bon je me dévoue ! affirma Ben.

Il commença à coulisser la plaque quand la foudre s'abatti et la lumière se mit à vaciller.

- c'était quoi ça!

- on s'en fou! Ouvre là qu'on puisse mettre les voiles ! répliqua Franck.

Ben avait déjà coulissé la moitié de la plaque que l'on devait déplacer vers la droit. Sans crier gare, la lumière s'éteignit. Comme pour annoncer une entrée des plus terrifiante.

- hum... Les gars c'est pas drôle ! répliqua Ben dont le corps était bien étrangement sensible à la fraîcheur.

- quoi! Ne me dis pas que tu as aussi peur du noir. Ce n'est vraiment pas le moment. repondit Franck qui était furax.

- oui, j'ai peur du noir ! Mais ce n'est pas le problème ! renchérit t-il.

- c'est quoi le problème ?

- hum... C'est qui, qui m'enpêche d'ouvrir la trap en mettant son ou ces pieds dessus ! questionna t-il. Vu comme c'est lourds ça dois être toi Johnson!

- non, non c'est pas moi! Je vous le jure.

- on à pas le temps pour ça! Tyler... La torche. s'écria will.

- attendez deux secondes que je l'allume !

Tyler tenta de remener de la lumière dans cette obscurité encombrante. Sauf que la fameuse ampoule le devança. Tout le monde était tout joyeux jusqu'à ce qu'ils s'apperçurent que la petite fille se tenait debout sur la trappe semi-ouverte.

Ils purent enfin la voir clairement. Une petite fille qui devait avoir entre huit et dix ans. Une peau blanche comme la neige complètement recouverte de cicatrices de la tête aux pieds, possédant des pupilles d'un bleue anormalement scintillant, décorées par de cernes noirs. Trois de ces membres n'étaient que du squelette, à savoir ces bras et sa jambe gauche, elle n'avait ni cheveux ni sourcils et était vêtu d'une robe blanche tachetée de boue et de sang. Sans oublier son poignard ensanglanté d'une trente centimètres qu'elle tenait fermement dans sa main droite.

La panique qui avait pris congé revînt troubler leurs rythmes cardiaques. Ils se mirent tous à déguerpir dans la première direction opposée à la petite fille que leur corps choisissait. Mais ils n'eurent même pas le temps de faire deux mètres que la lumière s'éteint à nouveau. Bizarrement plus personne ne bougeait. Comme si en ne bougeant pas ils pouvaient lui échapper. Bien triste nouvelle pour eux, car cela ne marcha pas le moins du monde. Dans un silence de cimétière retenti un cris accompagné pas les hurlements du tonnerre.

C'était Johnson, qui venait de se faire projeter contre le mur et poussait des hurlements. Dans la panique Tyler eut du mal à saisir la lampe torche entre ses mains grelottantes. Mais ce ne fut finalement pas nécessaire de la saisir; car l'ampoule se ralluma et l'on apercevait clairement Johnson. Collé au mur, il ne pouvait plus bouger et la petite fille armée de son couteau lui découpait les doigts en très petits morceaux.

Le sang giclait de partout, l'expression sur le visage de Johnson était indescriptible. Une expression de peur, de douleur, de supplication ou peut-être d'appel à l'aide. La seule chose donc ils étaient sûr, s'était que, cette scène, tu es horrible.

Will, Franck, Jean et Harold saisir chacun un objet pour frapper la jeune fille avec, mais son corps semblait être fait en acier, tout se brisait à son contact sans même freiner son action macabre. Ils frappaient avec tout mais Johnson continuait de se faire hacher en petits morceaux.

- arrêtez les gars vous ne voyez pas que ça ne lui fait rien du tout ! Vous voulez mourir ou quoi? s'écria Ben qui se préparait déjà à descendre par la trappe qu'il avait complètement ouverte.

- si on n'en finit pas maintenant elle nous tuera plus tard! répliqua Jean.

- mais vous êtes fous ou quoi? Je n'est pas de problème avec Johnson mais, on ne peut plus rien pour lui! Si on reste là aucun d'entre nous ne survivra. Alors que si on s'en va maintenant on a des chances de survie.

Les coups de couteau était de plus en plus rapides et le hurlements s'intensifiaient, rendant même le son des gouttes de pluie et celui du tonnerre insignifiant. Résigné, les garçons abandonnèrent en lâchant un désolé ou un pardon à Johnson. Qui les fixait les larmes ruisselantes, le visage décomposé qui tentait de faire office de bouche, suppliant les autres de ne pas l'abandonner. Ils se rapprochèrent de la trappe et commencèrent à descendre par l'échelle qui s'y trouvait. Johnson incapable de s'évanouir sous des coups aussi violent ne pouvait que souffrir. Quand la petite eut fini, elle lui trancha la tête et il prit feu, sous le regard de Will qui n'était pas complétement descendu.

"La seconde année ils lui enlevèrent toutes difformités corporelle en lui coupant les doigts et les orteils. Ils lui arrachèrent aussi toutes ses dents et tous les cheveux qu'elle avait accumulé ces 11 dernières années, vu leurs horaires de tortures ils avaient fait tout cela à un rythme lent et sinistre, on lui avait donc coupé les doigts comme si on les hachaient, millimètres après millimètres, jour après jour. La petite fille n'avait plus rien d'un enfant mignon et attirant, mais plutôt d'une bien étrange créature à la laideur incomparable."

Ils descendirent l'échelle et pénétrèrent dans un couloir sombre illuminé par la lampe torche tenue par Tyler. Les adolescents tous âgés de 17 ans tombèrent alors dans un labyrinthe, ils marchaient sans en voir le bout, empruntant de nombreux chemin au passage.

- on a beau avoir échappé à la sorcière, on est toujours pas en sécurité ! remarqua Ben las de fuir.

- tu peux t'arrêter si tu veux tu ! Je t'assure que personne ne te pleura! répliqua Franck.

- les gars, ce n'est pas le moment pour créer de la tension entre nous! On ferait mieux de chercher comment vite sortir d'ici. affirma Harold.

- une chose m'intrigue depuis !

- quoi donc Will? demanda Laura.

- si c'est la petite fille qui à tuer Rob! Pourquoi avoir créé de la distance entre nous et elle en descendant au rez de chaussée !?

- ce n'était peut-être pas elle! Il y a sûrement autre chose qui soit là! répondit Jean.

- non c'était elle, j'en suis sûr. Elle à commencer par tuer Rob puis elle a tué Johnson. Mais elle l'a fait de façon étrange ou devrais je dire conformément à la légende de Christa Maria.

- tu es en train de dire que nous sommes poursuivis par le fantôme de Christa Maria, qui veut tous nous tuer à l'image des dix années de tortures qu'elle a subit. répliqua Tyler.

Un silence s'installa comme pour dire que tout le monde le pensait mais que personne n'osait le dire à haute voix. Les visages se décomposaient et leur courage commençait à prendre des vacances.

- nous sommes en train de fuir quelque chose qui peut apparaître d'un moment à l'autre! Vous pensez vraiment qu'on a des chances de survivre ! signifia Zalia.

Cette chose ou fille avait quand même projetée Johnson qui pesait 95 kilogrammes. De race blanche et bien qu'ayant de magnifiques yeux Bleus ciel et de une coiffure irréprochable. Ils ne semblait manquer à personne. Toute fois la peur et l'envie de survivre y était pour quelque chose. Le désespoir aussi commençait visiblement à se faire une place dans leurs cœurs.

- elle a raison c'est perdu d'avance ! On va tous crever! hurla Ben.

- peut-être bien! Je ne vais pas essayer de vous convaincre du contraire car moi même je n'en suis pas convaincu. On va surement tous mourir!

- ce n'est pas le moment d'être pessimiste ! On a bien survécut jusque là, alors pourquoi devrait-on mourir maintenant ! répliqua Laura voulant rassurer tout le monde.

Ils arrivèrent une fois de plus dans un cul de sac et ils firent demi-tour. Cela durait déjà depuis un moment.

- moi j'en ai mare ! Je ne donnerai pas le plaisir de me tuer à cette chose! dit Zalia en brandissant un couteau. Rob je viens te rejoindre! murmura t-elle.

Les autres se jetèrent sur elle pour l'empêcher de se suicider. Mais elle semblait être résolu à commettre l'acte irréprochable.

- Zalia arrête ! Lâche ce couteau ! s'écria Wilfried en lui arrachant le couteau des mains.

- laisse moi tranquille Will! Rend moi ce couteau. Arrête de jouer le héro! Et avoue que tu veux en fait sauver tes fesses ! hurla t-elle.

- oui je le reconnais ! D'ailleurs je n'est jamais dit le contraire ! Mais je ne te rendrais pas ce couteau.

La panique qui avait pris congé, fit une arrivée triomphal dans les esprits présents. Tout fois elle n'était que de courte durée, du moins c'est ce qu'ils ce disaient. Lorsque Franck prit la parole il remit en doute tout cela.

- après que tu aies parlé de te suicider une idée pas du tout banale m'a traversé l'esprit. dit-il en sortant un objet de sa poche.

- quoi? qu'est-ce qui t'a traversé l'esprit ? demanda Jean.

- pourquoi elle nous tus les uns après les autres ! Elle a eu de nombreuses occasions de tous nous tuer! D'abord devant la porte puis quand on l'a frappait !

- c'est vrai qu'elle aurait pû tous nous tuer.

- en d'autre terme quand elle apparaît ce n'est pour tuer qu'un seul d'entre nous!

- oui bien-sûr ! Elle élimine une personne mais pas que ça! Elle aurait pû tuer Ben tout à l'heure mais s'est plutôt attaquée à Johnson ! remarqua Wilfried.

- tu veux dire qu'elle nous tus dans un ordre précis ! affirma Laura.

- alors qui est le prochain ? questionna Harold en dévisageant tout le monde.

- depuis le début, j'ai remarqué quelque chose de bizarre quand elle apparaît. Affirma t-il. Mais pour en être sûr quelqu'un d'autre dois mourir. pensa Wilfried.

- quoi tu as trouvé l'ordre? demanda Jean.

- non, non ce n'est rien ! Restons groupé et avançons. Et toi lève toi, ce n'est pas en te suicidant que tu vas résoudre le problème.

Tout semblait allé pour le mieux quand le chemin s'illumina grâces à des ampoules que personne n'avait remarqué jusque là ; mais qui leurs étaient bien utiles. Tyler qui était à la tête et Jean qui était à l'arrière de la fille.

- c'est moi où il n'y avait pas cette table ici! remarqua jean.

- ce n'est pas le moment d'être parano. répliqua Harold qui était juste devant lui.

- je suis le seul à sentir un courant d'air froid de plus en plus fort! ajouta Jean.

Ils se retourna mécaniquement, une goutte de sueur lui jonchant le visage. Au fond de lui il avait plus peur de se retourner que de continuer à avancer sans rien savoir. Ils se retourna mais ne vit rien et poussa un ouf de soulagement. Soudain lorsqu'il fit un pas en avant le tonnerre gronda et la mélodie reprit de plus belle. Affolés, ils se mirent tous à courir en poussant des hurlements que l'écho ne manqua pas de leur renvoyer.
Des larmes coulaient des yeux de la moitié des personnes en fuite. Ils avaient bien raison car quand Jean se retourna rapidement dans sa course et aperçu la jeune fille qui approchait en même temps que l'obscurité.

Ils tombèrent ensuite sur une porte en bois qu'ils refermèrent après l'avoir franchi. Cette dernière donnait sur un grand escalier descendant, qui les conduisit dans l'ancienne église. Ils arrivèrent directement sur le podium ou le pasteur de l'histoire était sensé avoir donné ses messes.

- c'était donc là! dit Wilfried en essayant de regarder au tour de lui malgré l'obscurité.

Tyler avançait en tête vu qu'il possède la lumière et les autres le suivaient en fille indienne. Tout semblait allé pour le mieux, ce n'était qu'une église. Pas de virages, pas d'obstacles, il leurs suffisait d'avancer rapidement en se dirigeant vers la porte qui menait à la sortie.

Quand soudain la mélodie qui s'était arrêtée, se fit entendre de nouveau. Et du milieu du rang s'éleva quelqu'un comme porté pas des anges aux ailles noirs. Tout comme Johnson il furent plaqué au mur sauf que lui fit projeté sur la statue du Christ qui ornait l'église.

"La troisième année il commencèrent par la violer pendant six mois et six autres ils passèrent leur temps à la crucifier encore et encore, elle finit par avoir un trou béant dans sa paume de main."



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