Haïr
- une légende très populaire parle d'une petite fille du nom de Christa Maria !
- oui, j'en ai attendu parler, il paraît que... répliqua Tyler.
- chut, c'est moi qui raconte! Christa était une petite fille de 10 ans, qui vivaient dans l'ancienne église Cardia avec son père, qui était un pasteur et sa mère qui était une ancienne esclave ! Sa vie était plutôt normal jusqu'au jour où ces parents voulurent monter au paradis ! reprit Franck.
- quoi! Monter au paradis ? questionna Laura qui était choquée.
- très exactement ! Mais comment pouvait-il avoir la certitude de monter au paradis après leur mort ? Il fallait tout simplement qu'un être pure monte avant eux pour prier pour leurs péchés !
- ils n'étaient pas un peu tarés ! signifia Ben.
- un peu! Mais laisse moi finir!
Christa avait dix ans, était gentille et très aimable mais cela ne voulais en aucun cas dire qu'elle était pure. Il commencèrent à réfléchir, puis tomba sur une idée insoupçonnable. Et si leur fille devenait le Christ. C'était une idée qu'ils avaient en fuis au fond d'eux, une idée cachée dans leur inconscient et pour le prouver il suffisait de remarquer les ressemblances entre Christ et Christa; entre Marie et Maria.
Puis ils s'interrogerent. Comment devenir le Christ ? La réponse leur apparut comme une évidence qu'ils prétendaient avoir reçu d'un ange. Pour devenir le Christ, il fallait souffrir énormément et emporter les péchés des autres dans la mort.
C'est ainsi qu'ils commençèrent par mettre en place une série de tortures s'étalant sur dix ans, en prenant bien soin d'affecter à chaque année une torture différente. La torture annuelle était prévue chaque jour; elle commençait toujours à 3h et se terminait à 6h. L'église étant reculer dans la forêt et le fait que leurs fidèles arrivaient toujours à 8h leurs donnaient tout le temps d'exécuter sans encombres leurs multiples tortures.
La première année, ils l'attachèrent à l'arbre principal qui se trouvait au milieu de leur cour et installèrent un récipient en dessous d'elle, pour recueillir le sang qui s'échapperai de son corps, sang qu'ils comptaient boire plus tard. Le Christ ne brillait pas par sa beauté, alors ils commençèrent par lui mutiler le visage, puis les plantes des pieds, ensuite les pommes et le reste du corps. Trois blaisure faite au couteau toujours accompagnées de longues prières. À la fin de cette année la petite fille était complètement défigurée, pas un seul centimètres de sa peau ne portait pas de sicatrices. Elle était devenue ideuse et répugnante à tel point qu'elle donnait la nosé à quiconque la regarderait, même une fraction de seconde. On aurait dit qu'elle cachait sous sa peau de nombreuses chenilles qui semblait se mouvoir sans cesse.
La seconde année ils lui en levèrent toute difformité corporelle en lui coupant les doigts et les orteils. Ils lui arrachèrent aussi toutes ses dents et tous les cheveux qu'elle avait accumulé ces 11 dernières années, vu leurs horaires de tortures ils avaient fait tout cela à un rythme lent et sinistre. On lui avait donc coupé les doigts comme si on les hachaient, millimètres après millimètres, jours après jours. La petite fille n'avait plus rien d'un enfant mignon et attirant, mais plutôt d'une bien étrange créature à la laideur incomparable.
La troisième année il commencèrent par la violer pendant six mois et six autres ils passèrent leur temps à la crucifier encore et encore, elle finit par avoir un trou béant dans sa paume de main.
La quatrième année on lui pognarda les jambes et les Bras. Ce qui leurs donna de nouvelles formes car ils étaient comme cassés et déboités. Elle ne pouvait même plus s'en servir.
La cinquième année il l'a fit mordre par de nombreuses espèces animales du coin, des cobra, des loups, et ils alla jusqu'à la donner à un ours.
Les années qui suivirent les tortures étaient toutes doublées de viole continu dans le but de satisfaire les tendances pédophiles de son pasteur de père. Ces années firent les pires, car elle perdirent la vu, le goût, l'ouïe et trois de ces membres. Il ne lui restait alors qu'une seule jambe.
La dernière année elle profita d'un manque d'attention de ses bourreaux pour s'enfuir...
Franck se fit interrompre dans son récit par les vomissements de Ben et Laura. Qui pleurait en s'imaginant les scènes.
- mais c'était horrible ! affirma Laura. Comment des parents peuvent-ils faire preuve d'une telle cruoté envers leur propre sang.
- cette histoire est vraiment terrifiante ! Et dire qu'on n'est juste au dessus de cette église ! rajouta Ben aux propos de Laura.
La pièce devînt silencieuse, on pouvait presque entendre une mouche voler. Tous se regardèrent mutuellement sans dire un mot. L'inquiétude commença à s'installer dans les cœurs les plus fragiles !
- Hey, les gars! Cette église n'est pas hantée!? N'est-ce pas ?
- Ben, tu sais que je ne te porte pas dans mon cœur et d'ailleurs aucun d'entre vous. Mais je dois t'avertir que cette ancienne église est hantée depuis des centaines d'années. Les plus téméraires qui en sont revenu avaient tous perdu la raison !
- non tu plaisantes ! Tu plaisantes ! Dit moi que tu plaisantes ! articula t-il, comme recouvert par des vêtements vibrants.
- je n'ai rien dit jusque là, mais je crois que cette sinistre église est hantée ! affirma t-il en scannant les visages de tout le monde.
Ben, Laura, Rob et Jean commençait à ressentir des sueurs froides, Quand Wilfried se leva et en une seule phrase fit trembler tous les autres.
- j'hésitais à en parler, car jusque ici je me disais que j'avais des allucinations !
- mais de quoi parles-tu ? questionna Zalia.
- puisqu'on en est là, il vaut mieux que...
- il vaut mieux quoi? Allez, tu as commencé alors parles! insista Harold.
- le lendemain de notre arrivée ici... Il s'est produit quelque chose d'étrange... Il y avait quelqu'un ou bien plutôt quelque chose dans ce manoir!
Ils leur expliqua ensuite tout ce qui c'était passé dans les moindres détails. Et le témoignage de Rob comme quoi il était très affolé quand la porte fut ouverte, venait semer le doute dans l'esprit des plus courageux d'entre eux. Une réelle peur s'installa.
- mais pour qui tu nous prends! Tu crois que l'on va gobber ça! Comme quoi il y aurait un esprit tourmenté dans cette maison.
Non mais faites moi rire. s'écria Tyler, avec une expression faciale qui montrait qu'il n'était lui même pas convaincu par ses propres dires.
Le silence qui avait pris congé revînt s'associer au tonnerre dans l'unique but de perturber les rythmes cardiaques des adolescents. Les sueurs décoratrices furent de plus en plus nombreuses.
- mais qu'est-ce que vous êtes con! s'écria t-il en se tordant de rire.
- j'en étais sûr! Ça ne vas pas bien dans vos têtes pour faire des blagues pareilles! s'écria Laura. Ce qui m'étonne plus que tout c'est que, toi Will tu étais dans le coup. Il faut croire que je ne te connais pas suffisamment. ajouta t-elle la déception lui sortant par les ports .
- mais qu'est-ce que vous pouvez être crédule ! Même si je dois avouer que Will m'a beaucoup aidé! Je ne m'attendais vraiment pas à ça venant de toi! On pourrait peut-être bien s'entendre toi et moi.
- pour Franck je comprends, mais toi Will ! Je n'est pas les mots. affirma Harold.
- oui je suis dessus par toi Will! Tu joues les gars aimable mais enfaite tu es un trou du... rajouta Tyler.
Wilfried ne répondait à aucun de ces blâmes, comme si son esprit se trouvait ailleurs. Il chuchotait des mots inaudibles. Et semblait se parler à lui même. Puis il décida de répondre à ces compagnons.
- tout ce que je vous ai dit était vrai!
- mais qu'es que tu racontes ! Ça ne prend plus ! Affirma Johnson.
- tout ce que j'ai dit était vrai, cela c'est vraiment produits. N'est-ce pas Rob.
- oui, je ne sais pas vraiment ce qui a pu se passer quand Will était à l'intérieur ! Mais je peux vous assurer qu'il donnait l'impression de fuir quelque chose.
- vous cherchez à nous faire flipper notre race ou quoi! Bien essayé mais ils on compris le truc ! Et ça ne marche plus sur personne. répliqua Franck.
- vous faire peur! Non mais vous croyez que je n'ai que ça à faire ! Je ne sais pas vous mais depuis que j'ai su que j'allais me pointer ici, mon quotidien est devenu énigmatique et effrayant.
Ça fait un moment que les encadreurs sont partis ! Pour ramasser du bois il ne faut pas une éternité.
- tu veux dire qu'il leur est peut-être arrivé quelque chose !
- peut-être bien Laura! affirma t-il en se tenant le menton.
Suite à cela will, Tyler et Franck décidèrent de sortir pour aller voir. Le tonnerre qui avait commencé à gronder s'intensifiait de plus en plus. Cela avait pour effet de ne rassurer personne. Mais il en fallait plus pour décourager des gros dure comme ces trois là. Toute fois la porte n'avait que faire de leur statut.
- la porte est fermée !?
- comment ça elle est fermée !? Attends que j'essaie ! dit-il en mettant sa main sur la poignée. Je confirme elle est fermée !
- Will, Franck, vous êtes sûr d'avoir vraiment essayer ? demanda Tyler.
- tu peux essayer toi même si tu doutes. En attendant quelqu'un a fermé ou entendu la porte se fermer ? Il n'y même pas de vase ici pour que l'on puisse chercher des clefs de secours ! affirma Wilfried.
Ils se dévisageait tous mais personne ne semblait être impliqué dans cette situation. Quelques secondes après la question, une réponse non rassurant vint bousculer le sérénité déjà au bord du gouffre.
- j'ai moi même accompagné Jenifer et Albert jusqu'à la porte et je peux vous assurer que personne ne l'a fermé. signala Zalia.
Ils n'eurent même pas le temps de se poser de questions, car le feu s'était éteint brusquement plongeant ainsi le manoir dans l'obscurité totale. Ils se demandaient tous qui avait éteint le feu, car personne n'avait d'eau et il n'y avait pas de fenêtre aux alentours de la cheminée. qui pouvait bien avoir éteint le feu de la cheminée ? Cette interrogation sans réponse fit naître la panique. Tous commençaient à se poser des milliers de questions, mais un tel comportement ne pouvait pas arranger la situation alors Wilfried pris les rênes :
- calmez-vous, ce n'est pas ainsi que l'on va résoudre la situation. Écoutez moi sans répondre ! Il y a bien certains d'entre nous qui ont leurs téléphones avec eux! Alors allumés vos torches.
- mais bien-sûr ! Attendez que je regarde mon téléphone... dit-elle essayant d'allumer se dernier qui était apparemment éteint. Mais il y deux secondes il était à 40%.
- et les autres ? demanda Wilfried.
- moi aussi mon téléphone est éteint. répondit Harold.
- et toi Jean ?
Ce dernier dit non, ceux qui dès le départ n'avaient pas de téléphone sur eux, ne pouvait même pas se poser de question car leur téléphone était éteint depuis longtemps. Dans cette obscurité Zalia se rappela de la première nuit qu'elle avait passé dans le lac. Cette nuit là Rob avait tout simplement une lampe torche.
- Hey, tu n'as pas par hasard une torche? demanda t-elle.
- oui, mais... Depuis un certain moment j'ai la trouille d'y aller tout seul la chercher. Je te rappelle qu'elle est à l'étage.
- tu sais que si je pouvais te voir je te donnerai une claque ! Montre moi que tu est un homme et bouges toi merde! s'écria t-elle.
Les chambres n'étaient pas nombreuses. Il n'y en avait que sept, trois en bas et quartre à l'étage. Ce qui faisait en sorte que la chambre dans laquelle se rendait Rob était aussi celle de Wilfried.
Rob avançait timidement en partie à cause de l'obscurité qui était totale. Il entendait le plancher gindre à chacun de ces pas, une goutte de sueur décorant son front. Comment pouvait-il être serin sachant qu'il était perdu en plein milieu de la forêt, enfermé dans une maison inconnue et sinistre.
Ils entendit un son assez étrange venant de la chambre et il hésitait à entrer, quand Tyler lui dit de se dépêcher. Sa gorge fit le fameux mouvement signe qu'il venait d'avaler de la salive.
Ensuite il entra dans la pièce, quand soudain surgit un oiseau qui lui frôla l'oreille en sortant par la fenêtre. Cela le fit sursauter. Et il lâcha un merde très long.
- un problème Rob? s'écria Wilfried.
- non! C'était juste un oiseau. Je trouve la lampe torche et je descends toute de suite. répliqua t-il. Mais j'ai vraiment peur de tout moi! Je vais finir comme se paranoïaque de Ben. Allez on trouve la torche vite fait bien fait. se dit-il intérieurement.
Il avança dans l'ombre puis bouscula un objet assez gros.
- mais putain qui à mit un vase aussi gros ici!
Il avança vers l'endroit où se trouvait son sac et pour l'atteindre il se mit à tapoter comme un aveugle. Dès qu'il l'eut ouvert, il commença à chercher sa torche et il la trouva en quelques secondes. L'adolescent se redirigea ensuite vers la sortie et se percuta encore une fois sur le fameux objet.
Au même moment au rez de chaussée Johnson avait disparu. Et le autre se demandaient où il avait bien pu passer dans ce trouble. Pendant que certains se disaient qu'ils n'allaient pas sortir de là vivant lui il disparaissait, quoi de mieux pour rassurer des personnes effrayées ayant peur de mourir, que disparaître.
À l'étage Rob était déjà devant la porte qu'il venait de passer puis il entendit un bruit de pas qui se rapprochait de plus en plus de lui.
- quel est donc ce bruit de pas? Ils sont...
Au rez de chaussée aussi ils entendaient un bruit de pas qui se faisait de plus en plus proche. Le son était formelle, ils s'agissait de quelque chose de lourd qui provenait de la cuisine. Le tonnerre gronda et illumina un instant le manoir. Tous le monde au rez de chaussée pu voir l'ombre sortant de la cuisine de quelque chose de très imposant, se tenant debout avec un énorme couteau.
Affolés ils s'enfuirent tous vers la porte centrale qui était à l'opposé. Nul ne pouvait emprunter les escaliers, car ils étaient commençant juste avant la porte de la cuisine. Le tonnerre gronda une seconde fois et ils virent tous la silhouette se mettre à avancer lentement puis courir vers eux. Zalia, Laura et Ben poussèrent un cri si fort qu'on aurais pu le comparer au son de la foudre. Sauf que celui là était extrêmement aigu.
Dans le noir seul le son des pas de leur assaillant leur confirmait qu'il courait vers eux. Puis quand celui-ci arriva à hauteur d'eux il s'exprima.
- mais que faites-vous ici? Vous avez entendu le tonnerre? Ça m'a fait flipper et j'ai courut vers ici! Vous avez vu quelque chose ? articula Johnson.
Laura s'écroula au sol et fondit en larmes.
- je veux rentrer chez moi ! Je veux... Rentrer chez moi! J'en peux plus de cet endroit ! murmura t-elle à chaudes larmes.
- calme toi! C'est pas le moment de se laisser aller! Ressaisi toi, on va s'en sortir! affirma t-il en la serrant contre lui... Mais tu es complètement malade de faire peur au gens ainsi ? T'as fumée ou quoi!? hurla t-il.
Les autres avaient perdu leurs voix car ils étaient encore en état de choc. Johnson lui, répondit à Will.
- bah, j'avais une petite faim et je suis allé prendre de quoi manger! En quoi est-ce que c'est mal.
- tu trouve normal d'avoir faim dans une situation pareille ! On est en plein milieu d'une forêt, enfermé dans la maison la plus sinistre du monde, qui en plus pourrait être hantée ! Pour couronner le tout on a deux encadreurs qui se sont barrés au Mexique ! Et toi.. t'as faim... Hurla Tyler en tenant Johnson par le col.
- j'aurais dû m'enfuir quand ces salopards sont venus me chercher à 18h! regretta jean au bord de la dépression nerveuse.
- qu'as tu dis? questionna will.
- que je regrette tous mes choix jusqu'à maintenant ! répondit-il en se mettant les mains sur la tête.
- non! Après !
- que ces salopards sont venus me chercher à 18h!
- attend ! C'est Jenifer et Albert qui sont venus te chercher!?
- oui! Tu as vu d'autres encadreurs dans ces lieux ?
- c'est impossible ! À 18h ils étaient avec moi!
- je suis désolé mais à 18h j'étais avec eux. affirma Zalia.
- nous étions tous avec deux même personne à des endroits différents en même temps. Ça n'a pas de sens, vu qu'il y a dix voitures dehors! Une pour chacun d'entre nous, ce qui veut dire qu'ils ne pouvaient pas être avec nous au même moment. signifia Harold.
- mais comment ont-ils fait pour conduire 10 voitures ? Ce que je veux dire c'est qu'il devrait avoir qu'une seule voiture si ils avaient conduis tout le monde. affirma Wilfried.
19h01. À l'étage, Rob était lui confronté à d'autres problèmes plus urgents.
- mais qu'est-ce qui vient de me tomber dessus. dit-il en mettant la substance dans sa bouche.
Du sang! Alors le liquide dans lequel je patauge depuis est du...
Le reste du groupe était arrivé à la conclusion que neuf d'entre eux avaient été conduit par autre chose que des humains. Et peut-être que tous étaient dans ce cas. Ils étaient tous entrain de donner leur avis. Quand le tonnerre frappa et fut suivi par des hurlements de Rob qui se faisait entraîné dans la pièce par quelque chose qui lui agrippa les jambes. Wilfried et les autres s'empressèrent d'aller aider leur camarade en détresse et Zalia fut la première à arriver en haut, mais la porte était fermée.
- mais la porte est bloquée ! Tient bon Rob on arrive. hurla t-elle scotchée à la porte.
De l'autre côté on n'entend que les hurlements de plus en plus fort de Rob! Un certain son se mêlait à ces hurlements. Celui du couteau qui entre à même la chaire, encore et encore. De toute évidence il était entrain de se faire poignarder à plusieurs reprises par quelque chose ou quelqu'un.
- pousse toi on va enfoncer la porte! ordonna will et Franck à Zalia.
Tous les garçons donnèrent en même temps des coups de pieds pour enfoncer la porte sans succès. Pendant que les cris de Rob devenaient de plus en plus fort. Et la fréquence du son des couteaux devînt plus grande, signe qu'on le poignardait de plus en plus vite.
Les garçons essayèrent ensuite de donner des coups d'épaules sans succès. Pendant que Zalia hurlait de désespoir.
- je suis désolé ! Je suis désolé ! Tout ça est de ma faute. Si je n'avais pas blaisé ton égo tu ne serais sûrement pas là! Tu es sûrement la seule personne au monde qui est aussi proche de moi! Je n'aurai pas cru si on m'avait dit qu'en deux semaines on pouvait se rapprocher autant de quelqu'un ! dit-elle en souriant. Je t'aime Rob, je voulais que tu le saches ; alors sort de là pour te moquer de moi qui disait que je n'aimerais jamais personne ! Sort de là Rob! Hurla t-elle.
Les hurlements s'arrêtèrent soudainement après ces paroles de Zalia. La porte s'ouvrit alors d'elle même. Les garçons empêcha Zalia d'entrée car il y avait sûrement le meurtrier à l'intérieur. Il utilisèrent la lampe torche qui était tombée des mains de Rob et ils virent le triste et macabre spectacle.
Rob était allongé sur le plancher baignant dans son sang. Il avait au moins reçu 300 coups de couteaux. Il était méconnaissable, on aurait dit qu'il avait été attaqué par une meute de loups. Même ses parents n'auraient pas pu le reconnaître. Les yeux crevés, les muscles déchiquetés, les organes abdominaux presque qu'à l'air, à savoir les intestins, le pancréas et autres.
Zalia s'écroula pleurant à chaudes larmes.
Le tonnerre gronda violemment on pouvait croire qu'il venait de s'effondrer sur le toi. Et il se mit à pleuvoir averses. Et dans l'esprit de tout le monde revînt une phrase.
" ils commençèrent par lui mutiler le visage, puis les plantes des pieds, ensuite les pommes et le reste du corps."
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