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Annonce (M/M)

Je me lève ce matin avec un mal de tête. Je me dirige dans la cuisine et prépare mon petit déjeuner en réfléchissant à ce que va être ma journée.

- Salut. T'as bien dormis?

Il vint m'embrasser le cou par l'arrière en m'enlaçant mais je me dégageais de son étreinte.

- Non. T'as pas été gentil avec moi hier soir.

- Tu es sérieux ?

Je le regardais les sourcils froncer et il en faisais de même.

- C'était juste une clim, Nolan.

Je roulais des yeux. C'était tout de même important. Il savait que j'avais peur du noir et pourtant il n'as pas voulu se déplacer pour moi.
Il avança vers moi et me fixait. Je détournait le regard.

- J'ai cru que c'était fini les crises comme ça. Qu'est ce qu'il se passe ?

Je soufflais. J'étais nerveux. Dans deux heures environ, ma mère que je n'ai pas vu depuis 5 ans voulais me rencontrer. Elle ne savais donc pas que j'étais en couple et je devais lui annoncé.

- Nolan qu'est ce qu'il y a?

- Rien. Oublie.

- Non. Je te connais suffisamment pour savoir que tu angoisse pour quelque chose. Dis moi.

Je soufflais et il prit mon visage en coupe pour le diriger vers lui.

- Je dois voir ma mère ce midi. On mange ensemble.

-... Tu veux que je vienne avec toi?

J'eus un léger sourire, et secoua négativement la tête. Puis redétournais le regard.

- Tu angoisse à ce point?...

Je rougis. Il souffla et me prit dans ses bras.

- Ça va aller. Si tu as besoin de moi, tu m'appelles et j'accoure.

Il m'embrassa la tempe, et me lâcha pour que nous puissions prendre notre petit déjeuner.

Je marchais dans la rue qui me menais à la brasserie du rendez vous, d'un pas incertain. J'avais déjà eu envie de faire demi tour au moin quatre fois. Je soufflais un grand coup et entrais. Je cherchais du regard ma mère. Lorsqu'elle me vit, elle sourit et me fit un petit signe de la main. J'avançais vers elle et m'installais sur la chaise d'en face.

- Bonjour. Nolan.

- Bonjours dis je mal à l'aise.

Elle me détailla en souriant.

- Tu es beau, et fort. Dans mon souvenir, t'était resté un ado frêle, c'est marrant.

Je rougis. Un serveur vint à notre rencontre et nous commandâmes. La salle étais bondée et les discussions en fond sonore me détendait légèrement. Je déglutis.

- Alors. Qu'est ce que tu as fait en cinq ans qui t'empêchait d'avoir un relation avec ton fils?

Elle rougis et baissa ses yeux sur ses doigt ou elle jouait avec le set de table.

- Ne m'en veux pas. J'avais besoin de temps pour me poser... J'ai trouvé l'amour.

- Content pour toi.

Elle leva les yeux vers moi pour voir si j'étais sincère, puis les baissa de nouveau.

- J'ai jamais su pourquoi t'était parti?

Elle releva de nouveau vivement le tête et me regarda surprise.

- Personne ne t'as rien dit? Je secouais la tête. C'était à cause de ton frère.

- Quoi?

- Il m'a chassé de votre vie. Il m'a dit que tant que je ne savais pas ce que je voulais , je ne devais pas compté sur ce toit pour m'héberger.

J'en revenais pas. Mon frère l'avais chassé ?!

- Sinon, toi mon chéri, qu'est ce que tu deviens. T'as un boulot? Un appartement ? Une copine?

Elle dit le dernier mon en louchant sur mon bracelet.

- Je me souviens que tu n'était pas très bijoux à l'époque.

Je rougis. Par où commencer ? Les plats nous furent apporter.

- Peu après ton départ, on a découvert que j'étais très sensible émotionnellement. J'ai fini mes étude à 18 ans. Et je n'ai pas de travail encore.

- Que fais tu pour vivre avec ton hypersensibilité ?

- Je consulte un psy.

- Et tu vis où sans travail? Chez ton frère ?

- Non. Enzo vit en lisière de la ville avec toute sa petite famille. Femme, deux enfants.

- Alors? Tu vis chez ta copine?

Je me pinçais les lèvres et elle prit cela pour une affirmation.

- Tu as des photos d'elle a me montrer? Dis elle impatiente.

Alors, maintenant, comment lui dire que ce n'est pas elle mais lui? Montrer une photo serai radicale. Mais si elle réagissait très mal?

Les plats vide nous furent retirer et nous commandâmes les desserts. Je sortit mon téléphone, hésita un instant, avant de trouver une photo et lui montrer. Elle fronça les sourcils.

- Je ne vois pas ta copine. C'est qui lui, ton meilleure ami?

- C'est lui. Maman, je...

Elle semblait avoir compris mais ne voulais pas y croire.

- C'est mon copain. Ça va faire deux ans que l'on est ensemble.

Elle ne dit rien. On nous apporta les dessert, et comme elle n'avait toujours pas réagis, je ne réagit pas.
Puis elle se mit à rigoler.

- C'était très drôle, j'ai failli te croire. Tu veux pas me montrer ta copine?

- Maman, je t'ai dit la vérité. Je suis gay.

- C'est impossible. Elle repris son sérieux. Je n'ai pas mit au monde un enfants qui aimes qu'on le prenne par derrière. Sinon j'aurais adopter un chien.

- Je suis gay maman.

Je sentais les larmes me monter aux yeux mais je ne voulais rien lui laisser voir. Elle tapa du poing sur le table, me faisant sursauter.

- Non Nolan. Tu ne l'es pas! Qui t'as mit un connerie pareil dans la tête ? Tu sais qu'il y a des hétéro, qui sont hypersensible aussi. Tu ne peux pas te baser sur cela pour te définir.

Les voix autour de nous se turent et je sentais leur attention porter sur nous. Mes larmes brouillaient ma vue et nouaient ma gorge.

- Je suis sur que c'est ton ''soit disant'' copain qui t'as dit ça. Il a profiter de ta faiblesse pour te mettre cette idée dans ta petite tête de pommé.

Des chuchotement me parvenait.

- Tu sais que j'ai raison! Tu l'as dit à ton frère ? Et il n'a pas jugé bon de t'ouvrir les yeux sur le faite qu'on abusait de toi à cause de ta maladie?

J'aurais jamais du lui dire. Elle l'utilise maintenant comme prétexte pour justifier mon orientation sexuelle. C'est dégueulasse. Je ne m'attendais pas à ça. Ma réspiration devenait difficile et personne autour ne jugeait bon de m'aider face à cette folle. Finalement, Enzo avait bien fait de la chassé de nos vies. Un serveur vint enfin demander ce qu'il n'allait pas et vit mon état de détresse.

- Vous avez besoin de quelque chose monsieur.

- Qu'est ce qu'il y a? Vous voulez vous aussi abuser de sa maladie? Il a besoin de rien.

Il regarda ma mère de travers puis moi. Il partit, puis revint avec de l'eau.

- Vous avez besoin que j'appelle une ambulance ?

Je secouais la tête. J'étais devenu momentanément incapable de parler. Je voulais Jérémy. Je voulais mon copain. Ma tête commençait à tourner. C'était une bonne idée de l'appeler?

- On a pas besoin de vous merci. Répondit ma mère d'un ton plus calme. Je m'occupe de lui. Je suis sa mère.

Le serveur me regarda attendant une confirmation que je ne lui donnait pas. Je fus prit d'un haut le coeur et couru au toilette. Cette rencontre est un désastre. Je me mis à pleurer, puis un fois un peu calmer mais tremblant, j'appelais Jérémy.

- Salut, comment se passe ton rendez vous.

-...

- Nolan?!

Je fermais les yeux et me concentra sur sa voix pour me donner le courage de parler.

- Où es tu?

- Je... Je suis encore à la brasserie.... Tu peux venir me chercher? Je me sens pas très bien.

- Ok j'arrive. Je suis là dans cinq minutes.

Et il raccrocha. Je me relevais du sol ou je m'était assis au moment ou l'on frappait à la porte.

- Vous allez bien monsieur? Vous avez besoin d'assistance?

Je déglutit et annonçait que tout allait bien. Je me rinçais le visage, me calmait et le fait de savoir qu'il arrivait, me donna le courage nécessaire pour regagner la salle de restaurant. Certains regards indiscrets étaient braqués sur moi. J'arrivai à la table ou se trouvait encore ma mère au moment ou mon copain franchi les porte. Elle semblait s'être calmer.

- Écoute Nolan. Je suis désolée d'avoir réagit comme ça. Tu ne te rends pas compte que vus de l'extérieur, ta ''relation'' ressemble à un abus. Je te propose de t'héberger un moment afin que tu te rende compte que ce ne sont que des histoires et des mensonges qu'on t'as mis en tête. Ton ''copain'' ne t'aime pas.

- Je peux vous assurer que si.

Elle le dévisagea, se demandant surement qui il devait être. Je me sentis flancher de soulagement et pris conscience qu'il m'avait rattraper par la taille. Ma mère se leva brusquement.

- Je ne vous permet pas de toucher mon fils. Vous avez profiter de sa faiblesse pour abuser de lui, mais je ne suis pas dupe. Je sais qu'il n'est pas gay. Si vous ne le laissez pas sur le champs, je vais appeller les autorités.

- Et bien faite! Je n'ai pas peur de vous.

Ma mère rougis de colère, et ma tête tournais toujours autant. Je peinait à suivre l'échange entre eux. Mais était rassurer sur le fait que Jérémy me protégeait. J'appuyais ma tête contre son épaule et fermais les yeux en calmant ma respiration que s'emballait de nouveau.

- On peux rentrer? Je gémit.

Il hocha la tête et annonça au serveur que c'était ma mère qui payait le repas. Il me soutint jusqu'à dehors, ou il s'arrêta face à moi pour noter les dégats. De sa main, il careessa mon visage et m'embrassa le nez. Je soufflais soulager.

Une fois rentré, j'étais aller directement me coucher et il m'avait rejoint.

- T'as besoin de quelques chose?

Je secouais la tête et me positionna face à lui. Il se mit à me caresser le visage. Soucieux. J'appuyais sur sa joue pour le dérider sans succès. Puis me mis sur le dos.

- A l'époque ou ma mère m'a quitter, elle était déchirer. C'est mon frère qui était mon parents, ma figure d'autorité.

Je me retournais vers lui.

- Je n'aurais pas du accepter de la revoir. C'était une grosse erreur.

- Il le fallait bien. Ça t'a libérer d'un poid, même si c'était difficile.

J'aussais le épaules et me blottit contre lui pour m'endormir une bonne sieste apaiserait surement ma fatigue mentale.

Je n'avais rien à faire de ce que pensait ma mère sur ma relation. Je savais moi, qu'elle était saine et sur pour moi. Je savais qu'il ne me trompais pas sur ses intension, que son amour pour moi était inconditionnel et sincère. En tout cas le mien l'était pour lui.

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