Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Chapitre 48 - Part 1 - " Le seul fromage gratuit est dans la piège à souris "



Mouhamed Darius Niane.

Salima ( Khadija ) se débattait. Elle m'a infligé des coups. J'en comptait plus. J'essayais tant bien que mal, de la retenir par tous les moyens. L'enjeu était trop grand, il était hors de question de la laisser se tirer de cet appart .

Habib et Lisa n'allaient plus tarder , alors j'ai fais le nécessaire en nous enfermant à clé à double tour. Il n'y avait plus qu'un seul issu ; le balcon.

N'ayant plus la force de se débattre, ou d'essayer encore de s'échapper, elle s'est machinalement jetée sur le sofas. Elle semblait préoccupée. Elle fixait longuement un seul endroit sans même cligner des yeux , les deux doigts entre les dents et ses deux jambes qui n'arrêtaient de faire des mouvements similaires. Elle se sentait menacé. J'essayais de la calmer mais elle a pas voulu m'écouter. À la place, elle m'a giflé et menacé de s'en prendre à ma mère. Je la reconnaissait à peine. Elle m'en veux certainement mais de là à menacer de pousser ma mère par dessus le balcon.
J'étais dépassé et assez troublé. Qu'est ce qui a dû se passer?

J'ai entendu sonner à la porte. Je l'ai laissé sur place, les yeux grand ouverts.
Lisa et Habib, ont presque défoncé la porte que j'ouvrais à peine. Ils étaient si pressés.

En si peu Habib s'est montré très agressive envers Khadija qu'il venait tout juste de revoir après cinq ans. Il l'a secoué et l'a accusé de tout un tas de choses qui me laissait perplexe. Je n'ai absolument rien saisi à cette conversation qui tournait en dérive. Tout était déjà assez flou et ils en rajoutaient.

Contre toute attente, Habib fou de rage a sorti  une arme de sa poche arrière et l'a pointé sur Khadija. J'ai crû bon d'intervenir à cet instant. Seulement les choses n'ont fait qu'empirer. Il m'a fait signe de rester à l'écart.

Qu'est ce que je pouvais faire de plus ? Ma mère et ma fille étaient dans la pièce d'à côté. Khadija était terrifiée, elle me jetait des regards incessants et réclamait mon intervention. Mais il y'avait plus urgent. J'ai quitté la pièce sans me retourner. J'ai mis à l'abri Djamila et ma mère. Puis j'y suis retourné bien décidé à récupérer l'arme que tenait mon frère.

J'avançais pas à pas. Un peu plus près, Lisa m'a fait signe de rester sur place. Il me semblait clairement qu'elle savait que notre frère n'avait nullement l'intention de tirer sur elle. Ses motivations étaient autres.

Je suis restée, à écouter Khadija déballé la partie de l'histoire qu'on ignorait ; toutes ses manigances, ses plans tordus. J'étais pour le moins choqué.

Qui l'eut cru ?
Pour mane adina maffi geun diabar.
Désillusion totale !

Mais pourquoi ? Peut-on se permettre de détruire de la sorte, des vies et des vies.

Quand elle eût fini tout leur dire. Elle s'est retourné vers moi, m'a fixé longuement sans rien rajouter de plus. Elle se fichait royalement de ce que j'en pensais.

J'ai profité du moment que ma sœur s'est emparée d'elle sous le coup de la colère et j'ai quitté les lieux, c'en était de trop. J'étais à l'écart. Ils ne voyaient qu'elle. Le choc a dû les faire oublier ma présence. S'ils m'avaient vu, cela leur aurait certainement inspiré de la pitié à mon égard. Quand même Salima (...)
Purée, je ne m'habituerai jamais à ce changement. Khadija plutôt, a réussi à me duper des plus ridicule qu'il soit.

J'ai regagné ma Mercedes garé en bas de l'immeuble. Je m'y suis réfugié et j'ai  klaxonné si fort pour évacuer ma colère, cela suffisait peu.

Je voulais m'empêcher de pleurer et cela ne m'a pas réussi. J'ai fondu en larme, sans même me soucier de la réaction des résidents qui me jetaient des regards indiscrets . J'avais mal, si mal ! Je voulais que ça s'arrête. C'était trop dur !

À un certain moment, j'ai essuyé mes larmes d'une main. Et de l'autre j'ai fais remonter le vitre teinté.

Mais à quoi je m'attendais ? Espérer mieux serait trop juste. C'est la monnaie de ma pièce qui m'a été rendue !
Si au moins j'avais su qui elle était, je l'aurais laissé à la mercis de ceux qui la poursuivait. ais encore, ce serait pire.

Ça aurait été nettement mieux si elle était restés telle que je l'avais connu ; amnésique et trainant au lourd passé.

J'ai été manipulé. Elle s'est servi de moi. Ce malgré, je continue de croire qu'il y'a du bon en elle. J'ai besoin de savoir, j'ai besoin de comprendre.

Je me cognai la tête par dessus la barre de devant. J'avais mal, mais comparé à ce sentiment qui m'anime,ça n'avait d'une douleur .

J'ai jeté un regard sans intérêt à ma droite, c'est là que j'ai vu des journalistes se rapprocher de l'immeuble ; ils avaient l'air de savoir où ils allaient. Je les observais de loin. D'un coup j'ai vu débarquer Khadija, dans un piteux état. Elle a ameuté certains des résidents de l'immeuble. Je suppose que ses gémissements résonnaient. On aurait dit, qu'on s'était acharné physiquement sur elle. Dans l'euphorie, j'allais descendre mais ne comprenant pas ce qui se passe en vrai j'ai remis le pas que j'avais avancé.

Vu que je ne pouvais ni les entendre, ni me rapprocher de près, j'ai cru bon d'attendre!

Quand elle eût fini de s'entretenir avec la presse, une ambulance l'a escorté. Sans trop réfléchir, je l'ai suivi discrètement. Ils seront assez occupé pour me remarquer.

Pendant le trajet j'ai allumé la radio dans l'espoir de tomber au moins sur une chaîne qui devrait diffuser des infos sur la scène d'il y'a peu. En changeant de poste, je suis parvenue à en trouver une !

Rien qu'en écoutant, toutes les horreurs qu'elle avait raconté sur moi, mon sang s'est glacé. Même ma mère n'a pas été épargnée. Là il est clair que j'ai épousé un démon ! Khadija, mais qui est elle en vrai  ?

N'en pouvant plus de l'entendre nous tremper dans ce tissu de mensonge j'ai tout simplement éteint cette machine.

Après ça la suivre, ce serait donner raison à la police de m'arrêter mais tant pis !

Elle m'a taxé de psychopathe, d'obsédé ! C'est l'hôpital qui se fou de la charité. Elle devrait m'être reconnaissant, je l'ai pourtant sauvé, nourri, logé, de surcroît aimé ! Qu'est ce qui lui manquait de plus ? Il parait clair que la vie que je lui offert, en dépit de ma traîtrise c'est pourtant de celle qu'elle avait toujours rêvé en ayant eu recours à ce plan tordu.

Elle s'est jouée de moi, et je n'ai absolument rien vu venir. Quelle extrême ironie de la situation.

Je dois dire qu'elle était des plus désagréable ces 3 dernières années ou devrais je dire un petit peu moins qu'avant. Elle s'est montrée distante, elle s'est lassée de moi. J'ai tout mis sous le coup de la routine. Toutes ces âneries puériles et quelques turbulences qui nous secouaient par-ci  par-ça ne duraient jamais trop longtemps. Il m'est même arrivé de penser sans trop me prendre la tête qu'elle avait recouvré une partie de sa mémoire. Et Quand j'y pense, les derniers mois qui ont précédé ce voyage, elle n'arrêtait pas d'insister à ce qu'on revienne au Sénégal. Je me demande si elle ne s'est pas remis de son amnésie beaucoup plutôt. Si c'est avéré, Salima ( Khadija ) la belle garce m'a bien eu. Nul doute, la dispute n'a été qu'un prétexte pour se libérer de mon emprise et l'accident la goutte d'eau de plus qu'elle a su tirer à son avantage et prétendre ne recouvré  la mémoire qu'après.

J'étais tellement perdue dans mes pensées, que j'ai perdu de vue l'ambulance que j'avais pris en filature.
N'empêche je savais  à quel centre médical elle  appartenait . J'ai tout simplement voulu m'éviter d'avoir à faire le tour des couloirs, et de me faire remarquer.

Il m'en a fallu une quinzaine de minutes avant d'y être. J'ai garé le plus discrètement possible ma Mercedes à deux rues de ce centre près d'une boulangerie. Je me suis déplacé à pied pour m'y rendre. J'ai emprunté l'entrée de service. C'est une chance si j'ai réussi à y passer, sans croiser le personnel.

Je continuais mon chemin, quand j'ai aperçu la pièce où les médecins rangeaient leurs blouses  ainsi que leurs badges. Il m'est venu à l'idée d'en enfiler une et le badge avec. Ça m'évitera de chercher partout. Il suffirait de demander. Seulement à qui ? Ils devraient tous se connaître  par ici. J'allais pas prendre un tel  risque inutile.

J'ai attendu que les couloirs soient moi truffé de monde, et j'ai accédé sans grand difficulté l'intérieur de cette pièce un petit peu trop grand pour être vide. En plus de moi, il y'avait deux autres médecins.

— Vous êtes ? Se demandaient ils ?

— Le nouveau gynéco, j'ai été affecté il y'a peu. Veuillez m'excuser . ( je leur ai fait signe que j'étais un petit peu pressé )

— J'ai effectivement entendu parler de vous, mais en beaucoup plus âgé.. ( a ricaner l'un avec un sourire narquois )

— Il faut dire que les infirmières ont tendance à exagérer.
Vous avez sûrement à faire, excusez nous.

Ils ont pris congés. Le coup du nouveau gynéco, ça m'est venu sur un coup de tête. Une fois de plus c'en était une !
J'ai respiré un grand coup, et j'ai enfilé la blouse d'un gynéco vite fait . J'ai accroché le badge dessus.

J'allais regagner les couloirs. À cet instant, deux infirmières passaient. Je suis resté un petit plus, le temps qu'elles s'éloignent.

— Mais yaw guisgua patiente bign fi indi sankh. ( t'as vu la patience de tout à l'heure ? )

— Celle de la B02?

— Oui, yaw daal belle famiwamm nioko séquestré diko door ba dokh sakh meunouko amna niou bone. Meussouma guis louné ni. ( Il parait qu'elle a été séquestrée, torturé et battue à mort par sa belle famille. C'est à peine si elle arrive à se tenir debout. C'est horrible).

B02? Décidément les bruits de couloirs ça paie le plus . Je n'ai même pas eu à demander.

J'ai arpenté les escaliers si vite qu'on aurait cru que je partais sauver une vie. Là plutôt, c'est pas l'envie d'en prendre une qui me manque.

J'ai pris la peine de remarquer que Khadija n'avait bénéficié d'aucune protection policière. Je suis resté au moins cinq minutes à observer les couloirs, le temps de m'assurer qu'elle était restée seule. J'ai pris le risque de la rejoindre sans même me soucier de qui de plus j'allais retrouver . Et Dieu merci il n'y avait qu'elle.

— Toi ?

Elle s'est levée de son lit d'une facilité a en croire qu'elle que ses blessures lui faisait moins mal. 

— Oui moi ! Surprise.

— T'es venu me tuer ? Il n'y que ça. Pour yaw dina yombé nonou ( tu t'es donné autant de mal pour rien )
Tu vois, J'appuierai sur ce bouton et en quelques secondes tu verras venir le personnel , tu n'auras même pas le temps de finir ce pourquoi t'es venu faire jusqu'ici.

— C'est pas l'envie qui me manque. Dis moi, si toutefois l'envie t'en prenait, tu me tuerais sans hésiter ?

– Te tuer ? Voyons quel idée saugrenue !

Son visage s'est crispé. Elle a mit une de ses mains sur sa poitrine pour faire les choquées.

— Khadija, arrête ton cinéma,  tu en fais un petit peu trop.
Cela t'a plu de te payer ma tête. Diapéma doff !

Elle en a rit !

— Fait pas comme si t'étais un saint. Tu as bien su profité de la situation.

— Depuis quand ?

— ???

— Depuis combien de putain années tu t'es remis de ton amnésie ?

— deux, trois ans tout au plus.

— Trois ans ? Tu aurais très bien pu demander le divorce, me coller un procès, ou m'assassiner ? Plusieurs possibilités s'offraient à toi.

— Chéri, te tuer moi même serait si peu réjouissant. J'aurais très bien pû, t'électrocuter, bousiller  tes freins ou encore ajouter du poison  à tes infusions. Pareil mort, serait une délivrance. De loin je préfère te voir ainsi, brisé, au point de vouloir te donner la mort. Darius t'es tout sauf un tueur, tu es si faible, inutile,  trop coincé et si dramatique. Sincèrement, qui voudrait d'un tel homme. Si je suis resté à tes côtés, c'est uniquement par ce que je t'entendais le bon moment. Un retour ça se prépare.

Elle se rapprochait de moi, de plus près. Et moi je ressentais déjà l'envie de me jeter sur elle et l'étrangler de mes deux mains.

— Et Djamila ?

— J'en ai jamais voulu de cet enfant, m'a -t- elle . Des deux autres d'ailleurs, ils ont mit fin à ma carrière. Je les supporter peu.

Elle avait atteint le point de non retour. Ce fût une erreur de croire qu'il y'avait du bon en elle. Il y'en a peut-être eu! Cette chose qui se tenait à quelques centimètres, n'avait plus rien d'humain.

— Juste une dernière question ou peut-être deux. Bien que tu ne veuilles l'admettre, tu tiens à te fille. En cinq ans, je t'ai vu l'aimer,  en prendre soin comme s'il en valait de ta vie. Crois - tu que cet homme qui te manipule, en vaut vraiment la peine ?

Elle a appuyé sur le bouton qui servait à alerter le personnel en cas d'urgence.

— Je n'ai nullement l'intention de me donner la mort, Khadija. Je vivrai bien assez longtemps pour te voir crever. Et ma deuxième question est la suivante, crois tu au karma?

Je l'ai fixé d'un regard nouveau, elle en avait presque des frissons. Je l'ai vu reculé. C'est là que je me suis dis " elle a compris ". Ella a vu changer en mieux, juste le temps d'un instant l'homme qu'elle avait traité de faible, et d'inutile.

Au moment de quitter la pièce, j'ai senti un petit pincement. J'éprouvai le besoin de me retourner et d'essayer encore de la ramener mais il n'y avait plus rien à faire. Elle a fait son choix, et a prit en elle la part sombre qui l'a mènera certainement à sa perte.

À ma sortie j'ai vu de loin des agents de sécurité et un médecin m'interpeller.

– Éh vous là rester où vous êtes ?

J'ai couru à vive allure, j'ai réussi difficilement à les semer. Je me suis réfugiée quelques part où j'ai enlever la blouse. J'ai attendu quelques instants, le temps de m'assurer qu'ils étaient loins pour en ressortir. Encore j'avais moins de chance qu'ils parviennent à me reconnaître, ma coiffure allait sans doute me trahir.

Je fonçais tout droit vers la sortie. J'ai eu à constater que le vigile semblait être informé de mon intrusion. Je commençais à croire que j'étais fichu. J'allais faire demi tour quand m'est apparu une dame du 3 ème âge qui poussait difficilement un homme encore plus âgé sur un fauteuil roulant. J'ai sauté sur l'occasion, sans trop réfléchir.

— Je peux vous aider ?

Machinalement la dame m'a laissé sa place. Je sais que c'est mal ! Seulement il est hors que je me retrouve en prison, du moins pas pour l'instant.

— Oh merci charmant jeune homme. Un taxi, nous attend dehors.

En compagnie de ce vieux couple, personne n'ira se douter de quoi se soit. C'est avec angoisse, que j'ai regagné l'extérieur sans qu'on ne m'interpelle. J'ai aidé la dame à installer le vieux sur l'un des sièges du taxi et rangé le fauteuil roulant plié à l'arrière. Et une bonne action, en rattrape une de perdue. J'aurais très pu partir dès l'instant où j'ai mis les pieds dehors mais j'ai pris un très gros risque en restant un plus  à côté de ce centre. Dès que j'eu fini, je me suis éloigné le plus possible.

J'ai regagné ma Mercedes. Je l'ai déplacé en me rapprochant le plus près possible de l'hôpital. J'étais certainement pas si pressé au point de passer à côté d'une occasion en or qui pourrait se présenter si tout se passe comme prévu . Ce n'est pas pour rien si j'ai fais savoir à Khadija que je savais pour son complice.
Elle n'a pas entrepris seule ce pari risqué. Je le sais depuis un moment. Ça crève les yeux, elle est sacrément futé mais pas assez conne  pour oser vouloir entreprendre une telle course sans qu'il n'y ai quelqu'un pour lui tendre la main en cas de besoin. Et le pourquoi d'un homme? J'ai réfléchi à la question. Khadija n'avait aucune affinité, n'appréciait guère ou encore supportait peu ses amies de la haute société, et aucune d'elles ne prendraient le risque d'être associée à cette folie.
J'ai revu la question. Qu'est ce qui pourrait bien pousser une femme qui se plaisait bien dans sa vie , bien que perfide , à se détourner de ses objectifs. C'est nul doute un homme, qui devait lui offrir ce dont elle avait le plus besoin ; se sentir aimer.

J'ai attendu un long moment. Vers 18h, je l'ai vu sortir camouflée dans une tenue en cachemire ondulée extrêmement souple. Si elle voulait passer inaperçue elle n'avait qu'à mettre des lunettes, même avec je la reconnaîtrait ; sa démarche, ses gestes et j'en passe.

Le temps qu'elle arrête un taxi, je me suis positionné. J'avais l'intention de la suivre où qu'elle aille.

Elle a effectué un retrait dans un point de retrait tout près. Puis elle a arrêté un taxi.

Je l'ai suivi discrètement. Le trajet n'a duré que peu. Le taxi l'a déposé au milieu de nul part. Elle a continué à la marche, et j'en ai fait de même.

Elle s'est rendu dans un chantier en construction ; un des projets far de Glass Construction. Je l'ai lu sur un panneau.

De loin, je l'ai vu entrer dans une maison qui semblait être en phase prêt à être livré. À cet instant, j'ai cru bon de la prendre en photo.

J'ai cru bon de rester, le plus loin possible. Ce serait trop risquer. Identifier son complice c'est tout ce qui m'importe, à un moment ou un autre il allait se montrer.

Je suis resté un moment sur place puis j'ai entendu des coups de feu. Seulement après quelques minutes, j'ai vu Aziz en ressortir, je l'ai pris en photo.C'était donc lui ! Purée, pourquoi j'y ai pas pensé plutôt.

J'ai attendu qu'il parte pour aller voir et c'est là que j'ai trouvé Khadija dans un bain de sang. J'ai pris soin de vérifier et elle était morte à coup de balle, plusieurs balles reçues . Je pouvais à peine bougé. J'étais paralysé. Mes membres ne répondaient plus.

Il en a fallu que peu, pour reprendre tous mes esprits.
J'ai déverrouiller mon smartphone . C'est là que j'ai remarqué que j'avais plusieurs appels manqués. Lisa a essayait de me joindre à 30 reprises. C'est alors que je l'ai rappelé.

— Allô, t'étais passé où je t'ai cherché partout. ne va pas commettre une erreur.

— Elle est morte lui avais je dis.

— Qui ? Qu'as tu fais ?

— Khadija, Aziz l'a tué, à coup de balle. J'étais là et j'ai entendu les tires. C'est après que j'ai trouvé le corps. Qu'est ce que je suis sensé faire ?

— Ne bouge surtout pas, files moi l'adresse et n'en parle à personne.

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro