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𝟦𝟦 | 𝖡𝗅𝗈𝗈𝖽𝗒 𝗋𝖺𝗂𝗇.

╔═════ ✸ 𝐖𝐀𝐑𝐍𝐈𝐍𝐆 ✸ ═════╗
Ce chapitre contient des scènes de violence et évoque le s*icide.






🎵 Spɑce Song - Beɑch House





ೃ⁀➷ 𝔏e son explosa mes tympans. Je baissai la tête vers le béton. Mes oreilles sifflaient.

Lorsque je relevai les yeux, j'aperçus Garcia à quelques mètres de moi. Debout. Une expression horrifiée sur le visage. Sa main passa au niveau de son cœur. Et il s'écroula lourdement sur le sol.

J'avais le souffle coupé. Je ne pouvais pas croire ce qu'il venait de se passer. Les hommes qui me tenaient restèrent en état de choc le temps d'une seconde. Ce qui me suffit pour leur donner un énorme coup de genou et m'extirper.

J'accourus vers le corps de Garcia qui gisait sur le sol. J'attrapai ses épaules et le secouai.

— Non, non, non, non, non, Garcia... Réveille-toi... Tu ne peux pas... Pas maintenant... Garcia...

Un sanglot s'échappa de mes lèvres. Je posai deux doigts sur ses paupières et les refermai sur ses yeux.

La pluie commença à tomber. Quelques-uns des projecteurs s'éteignirent. Nous étions presque dans le noir. Et c'était mieux comme ça. Parce que je voulais pleurer. Ce que je fis. Je laissai ma colère se vider. Ma tristesse aussi. Parce que Garcia m'avait protégée jusqu'au bout. Il ne méritait pas de mourir comme ça. Je n'avais plus personne. Plus rien. J'hésitais à prendre mon arme et me tirer une balle dans la tête. Ou bien à tuer tous ceux qui se trouvaient autour de moi. Je voulais que mon existence s'arrête. Que tout soit enfin fini.

Au bout de quelques minutes, Miller vint s'accroupir près de moi. Je ne voyais pas son visage. Il retira son blouson et le déposa sur le corps de Garcia. Pour le couvrir. Pour qu'il n'ait pas froid. Même s'il ne pouvait plus rien ressentir.

Je me relevais difficilement, mais je ne bougeais pas pour autant. Chaque personne ici était en fait mon ennemi. A ma gauche, Jayden qui m'avait tiré dessus. A droite, mon père qui avait menti à ma mère et moi. J'avais été trahie de tous les côtés.

Seuls les sanglots de Lindsay résonnaient dans le parking. Mon père avait fait signe à ses hommes de reculer. Jayden n'avait pas réagi. Il était tétanisé.

— Elizabeth. Viens avec moi.

Et il osait me dire ça alors que l'un de ses larbins venait de tuer mon ami.

— T'es qu'un monstre, crachai-je en reculant.

— Je ne pensais pas que ça se passerait comme ça. Je ne savais pas qu'il...

— Alors tue-le.

— Quoi ? hoqueta mon père.

— Tue celui qui a fait ça.

Je n'avais jamais voulu causer la mort de qui que ce soit. Mais j'en avais plus que rien à foutre maintenant. Qu'ils crèvent tous, qu'est-ce que ça peut bien faire ?

— Si je le tue, viendras-tu avec moi ?

Je hochais lentement la tête. En vérité, je ne savais pas quoi faire. Il restait mon père. Je l'avais cherché pendant des semaines, puis j'avais cru qu'il était mort. Tout cela n'avait aucun sens.

— Liz, par pitié, ne le suis pas ! cria Jayden toujours maintenu par Elio.

— Je sais que tu m'en veux, Elizabeth. Ça ne devait pas se passer comme ça, je te le promets, intervint à son tour mon père.

— Il te manipule Liz, ne l'écoute pas !

— Je suis ton père, tu dois me faire confiance.

Je tournais la tête. A droite. A gauche. Devais-je faire confiance à mon père ? Ou à Jayden ? Ils m'avaient pourtant trahie. Tous les deux.

— Il savait que tu étais là !

Quoi ?

— Il savait que tu te cachais, reprit Jayden complètement essoufflé. C'est pour ça qu'il m'a provoqué, il savait que j'allais tirer et que tu allais t'interposer !

Je ne pouvais pas le croire. Non, non. Il n'aurait jamais fait ça. Pas lui. Pas mon père.

Ce dernier poussa un long soupir avant de secouer la tête.

— C'est vrai ? Tu savais que j'étais là ?

Encore une fois, il me répondit par un silence. Et je compris.

— Je ne serai pas de ton côté, Papa, murmurai-je en secouant la tête.

— Malheureusement, tu fais erreur, Elizabeth, souffla-t-il en faisant un pas en avant.

— Ne t'approche pas de moi.

Il s'arrêta net puis se tourna vers Jayden.

— Jayden, Jayden. Si je ne peux pas l'avoir, alors tu ne l'auras pas non plus. Si elle doit savoir la vérité, autant qu'elle l'ait entièrement, non ?

Jayden poussa un cri de rage et se laissa tomber sur le béton trempé. Quoi qu'il fasse, il savait qu'il n'allait pas y échapper.

— Tu dois te demander qui a tué ta mère. Je suppose que c'est pour cette raison que tu as rejoint ce misérable gang. Et bien la réponse se tient juste devant toi.

Il pointa son doigt en direction Jayden qui continuait de fixer le sol.

— Je ne comprends pas, m'affolai-je. Je... Non, tu te trompes...

— Demande-lui. Je suis sûr qu'il te dira tout.

J'avançais lentement en direction de Jayden. Il ne me regarderait pas. Je m'accroupis à sa hauteur. Les larmes ne cessaient de couler sur mon visage.

— Jayden... Tu... Tu n'as rien avoir avec ça, hein ? sanglotai-je en lui prenant la main.

Plusieurs secondes s'écoulèrent. Avant qu'il ne secoue négativement la tête.

— Il dit la vérité, Liz...

Tout s'effondra. En un instant. Les parois de mon esprit. Tout ce que j'avais construit jusqu'à présent.

Puis, les souvenirs revinrent à la surface.

Lorsque j'étais arrivé à la villa de Jayden quelques mois auparavant, il m'avait enfermée chez lui en pensant que j'étais un espion. Il était allé vérifier mon identité. A son retour, il m'avait autorisé à repartir. Et lorsqu'il m'avait annoncé cela, j'avais aperçu des tâches rouges sur son jean.

Du sang.

Puis quand j'avais découvert le corps de ma mère en rentrant à Allentown, Jayden était venu jeter un coup d'œil à la scène.

« Il manque un cadre photo ». C'était ce qu'il avait dit en constatant les dégâts. Comment pouvait-il savoir cela s'il n'y était jamais venu avant ? Comment pouvait-il savoir qu'il manquait un cadre photo ? Tout simplement parce qu'il y était déjà entré.

Puis, ce qui l'avait interpellé, c'était le désordre fait dans la maison. Il ne s'était même pas préoccupé du corps de ma mère. Tout cela pour une raison très simple. Il l'avait tuée. Il l'avait tuée lorsqu'il était arrivé à mon adresse pour vérifier mon identité.

Ensuite, j'étais revenue à Philadelphie et j'avais surpris une conversation entre lui et Lindsay. Il ne voulait pas me garder chez lui.

« C'est toi qui a causé tout ça, donc c'est toi qui va t'occuper d'elle. »

Causé tout ça. Lindsay. Elle savait aussi. C'était pour cela qu'elle avait essayé de m'éloigner de Jayden. Parce qu'elle savait.

« Eli, tu crois le connaître mais tu n'as pas la moindre idée de qui il est réellement. Ne développe jamais de sentiments pour lui ! »

La rage bouillonnait en moi. Une envie meurtrière emplit tout mon corps. Je voulais leur enfoncer ma lame dans la gorge. Entendre leurs cris d'agonie.

Alors malgré la douleur atroce qui me parcourait le bras, je sortis la lame qui avait servi à mon Baptême et je la pointai sous la gorge de Jayden.

— S'il y a autre chose que je dois savoir, vous ferez mieux de le dire maintenant ! Sinon je le tue ! m'écriai-je en tremblant. Toi d'abord Lindsay, tu savais ?

Elle jeta un coup d'œil à ses amis, comme pour s'excuser.

— Je... Oui... avoua-t-elle le visage baigné de larmes.

— Qui d'autre ? Josh !

Celui-ci secoua la tête.

— Non... Je... Je viens de le découvrir en même temps que toi.

Il disait la vérité. Je pouvais le voir car il fixait Lindsay avec un regard rempli de dégoût.

— Mais il y a autre chose. Vous ne me dites pas tout. Allez !

J'appuyai un peu plus ma lame contre la gorge de Jayden qui gardait ses yeux fermés. Un filet de sang s'écoula depuis sa pomme d'Adam.

Ce fut Lindsay qui s'avança en ma direction.

— Josh et moi savions que ton père était vivant, avoua-t-elle dans un sanglot. C'est pour ça qu'on partait tout le temps en mission au retour de New-York. Et c'est pour ça que je t'ai empêchée de le retrouver. Il n'a jamais été question de le sauver, mais de le tuer.

— Josh, elle dit la vérité ?

Celui-ci hocha lentement la tête, les yeux rivés vers le sol.

Quelle honte. Comment avais-je pu faire confiance à des êtres aussi désastreux ? Je me le demandais.

— Alors quand on a attaqué les Rebels, ça n'était pas pour le sauver ?

— Non... On voulait le récupérer pour le tuer nous-mêmes...

Je passais une main sur ma bouche. Et j'explosai de rire.

Tellement de choses s'expliquaient. Comment avais-je fait pour ne pas les voir ? Suis-je aveugle à ce point ? Ou mon accident m'avait-il rendue complètement débile ?

Ils étaient si choqués lorsqu'on avait appris à qui appartenait ce bras qui avait été déposé au Rusty Rye. Parce qu'ils savaient que mon père était vivant et qu'il était impossible que ce bras lui appartienne. Pourtant, c'était bien le cas. Mon père avait un bras en moins.

Qu'est-ce que ça signifie, encore ?

— Pourquoi as-tu fait ça ? crachai-je à Jayden, ma lame toujours sur sa gorge. Pourquoi as-tu tué ma mère ? Et pourquoi as-tu voulu faire la même chose à mon père ? Réponds !

— Je... Ne... Peux pas te dire... Pour ta mère..., souffla-t-il difficilement.

— Tu veux crever ?

— Mais ton père... C'est lui qui a envoyé cette lettre qui parlait du Châtiment. Il voulait que les Rebels et les Hells Angels s'entre-tuent... pour ne pas avoir à le faire lui-même... Alors il massacré la moitié des Rebels en faisant croire que c'étaient les Hell's qui avaient fait ça. Puis il nous a envoyé la fameuse lettre du Châtiment, disant que les Rebels voulaient se venger alors que ce n'était pas vrai. Elio savait dès le départ que nous n'étions pas à l'origine de ce massacre. Et dire que j'ai fait la connerie de l'embaucher pour les espionner.

Un silence de plomb s'éternisa après les dernières paroles de Jayden. Tout s'écroulait d'un coup.

— Voilà pourquoi je voulais le tuer, reprit-il à bout de souffle. Mais il a raté son coup, parce que Elio et moi avons rapidement compris que c'était un leurre. Ça l'a énervé. Alors il s'est coupé un bras et s'est arrangé pour nous faire accuser et au passage, faire croire qu'il était mort. Comme ça, personne ne pouvait l'accuser des récents vols à Genovese. Son but était seulement de se venger du fait que je l'avais dénoncé. Mais c'est qu'un lâche. Et tu sais pourquoi ?

Il attendit que je lui réponde, mais je n'en fis rien.

— Lorsqu'il a disparu, je croyais que les Rebels l'avaient attrapé en découvrant qu'il était mon espion alors qu'en fait ça n'avait rien à voir. La vérité, c'est que quand il a vu que sa femme avait été tuée, il n'a pas cherché à te protéger. Il a d'abord fouillé ta maison pour vérifier que personne n'avait découvert de preuve concernant ses vols. Puis il s'est enfui sans penser à ce qu'il pouvait t'arriver.

Trop d'informations. Il y avait trop d'informations.

Mon père n'avait jamais été détective privé. En fait, c'était un voleur qui avait travaillé pour la mafia. Jayden s'en était aperçu et l'avait dénoncé. Mon père avait voulu se venger et avait déclenché une guerre chez les Hells dans l'espoir qu'ils s'entre-tuent. Et cela n'ayant pas fonctionné, il s'était arrangé pour les faire accuser de meurtre ?

Ça n'avait aucun sens. Pourquoi se couper un bras pour une vengeance aussi ridicule ? Il y avait forcément une autre raison.

La vérité était bien pire que ce que je pensais.

Je voulais pleurer. Crier. Et j'avais soif. Soif de sang.

Je me relevai pour faire face à mon père. J'aurais dû me douter qu'il était lié à Genovese. Il passait sa vie devant la télé, à l'affût de n'importe quelle information sur cette famille de mafieux. Il disait les détester. Il ne parlait que d'eux.

J'avais les réponses sous mon nez depuis le début. Le tout début. On s'amusait à me mentir dans les yeux. Et ce soir, j'apprenais toute la vérité. L'entièreté.

Je croyais que j'allais me sentir soulagée, mais c'était tout le contraire. Mon cœur pesait lourd, il me faisait si mal. Tous ceux que j'aimais m'avaient menti. Je les détestais tellement... Je ne savais plus quoi faire. Je venais de perdre tous mes moyens.

Jayden se releva à son tour. Elio ne le retenait plus alors il dégaina son arme et la pointa sur mon père. Je n'osais plus croiser son regard. Ça n'était plus mon père. Il me dégoûtait terriblement.

— Range ça, Clark, intervint Elio d'un ton calme. Parce que si tu le tues, on sera définitivement accusé de son meurtre.

Ah. Voilà pourquoi il avait coupé son bras. Voilà pourquoi il nous avait faits accuser de son faux meurtre. Parce que nous ne pourrions jamais le tuer, sinon Palmer finirait en prison. Et nous aussi. Nous étions pris en otage. Pour l'instant, nous pouvions toujours prouver que George était vivant et que Palmer ne l'avait pas tué. Mais si Jayden tirait, alors il serait réellement coupable de son meurtre.

— Ton ami est très intelligent, ricana George.

Je haïssais cet homme qui se disait être mon père. Je haïssais Lindsay et Josh qui se disaient être mes amis. Et plus que tout, je haïssais Jayden et le fait que j'éprouvais des sentiments pour lui. Alors qu'il avait fait de ma vie un cauchemar.

Mais je ne haïssais pas les Hells Angels. Parce que parmi eux, j'avais de vrais amis qui ne m'avaient jamais menti. Petit Gil, Greene, Owens, Palmer...

Garcia.

Il n'allait plus me prendre dans ses bras et m'étrangler avec sa force sans le faire exprès. Je ne sentirais plus ses bagues frotter durement le haut de mon crâne.

Et celui qui l'avait tué, c'était George. C'était sa faute.

La rage prit le contrôle de mon corps et je me précipitai dans sa direction. Je tenais toujours ma lame entre mes doigts. Ses hommes tentèrent de me barrer la route, mais je les évitai de justesse. J'arrivai rapidement au niveau de George, qui essayait de s'enfuir. Je parvins tout de même à le rattraper. Alors je brandis ma lame, et l'enfonçait dans son abdomen. Il hurla de douleur et ses hommes m'attrapèrent. Je l'avais touché au ventre, mais la blessure n'était pas assez profonde pour le tuer.

— Aidez-moi au lieu de vous préoccuper de cette petite peste ! Emmenez-moi à l'hôpital, vite !

Ses hommes me lâchèrent et regagnèrent la berline.

— On se retrouvera, Clark, cracha George avant de détaler.

La berline noire démarra en trombe et nous laissa seuls sur le parking dans un silence pesant.

Le corps de Garcia était étendu dans ce froid glacial. Les derniers projecteurs s'éteignirent. Je ne voulais parler à personne. J'étais sonnée. Je ne parvenais plus à réfléchir. À penser.

Nous nous faisions tous face, sans prononcer un mot. Lindsay pleurait à chaudes larmes. Josh ne lui adressait pas le moindre regard. Miller se tenait toujours près du corps de Garcia. Et Elio tenait Jayden dans ses bras, qui avait fini par s'effondrer.

Je fus la première à bouger et à sortir de la décharge. Je rejoignis Medusa d'un pas de course. Je la pris dans mes bras et m'effondrai.

Je suis tellement perdue. Pourquoi ça doit m'arriver ? Pourquoi à moi ? Je n'en peux plus. Je suis fatiguée.

— Qu'est-ce que j'ai fait... sanglotai-je en serrant Medusa contre moi, comme si elle seule pouvait me comprendre, alors que ce n'était qu'une moto.

Finalement, elle était ma seule amie.

Je suis désolée Garcia. Tout ça c'est à cause de moi. Je n'aurais jamais dû venir ici ce soir. J'aurais mieux fait de croire à tous les mensonges qu'on me raconte. Je t'en supplie, pardonne-moi...

Je me mis à pleurer durant plusieurs minutes. Il fallait que j'évacue, j'avais besoin de me vider. Même si je me sentais déjà vide.

Puis, je ramassai Medusa et enfilai mon casque. Je ne savais pas où aller. Il était hors de question que je retourne vivre chez Jayden. Pourtant, une idée apparut dans un coin de mon esprit.





J'étais revenue à la villa depuis quinze minutes. Il n'y avait personne, pour mon grand soulagement. Je fourrai négligemment des affaires dans un énorme sac. Mon collier de perles blanches se balançait contre ma poitrine, ce même collier de perles qui me rattachait à mon passé. Désormais, il n'avait plus aucune signification pour moi.

Alors je l'arrachai à mon cou et le jetai violemment sur le sol. Les perles se dispersèrent aux quatre coins de la chambres et je suivis leurs mouvements du regard. Puis, je pris mon journal intime ainsi que mes livres et descendis les escaliers. Je devais partir avant que Jayden et les autres n'arrivent.

Je jetai mon sac à l'arrière de Medusa puis entrepris de recharger à nouveau mon arme. J'activai le GPS sur mon téléphone et entrai l'adresse. Je n'avais pas beaucoup de route et c'était une bonne chose parce que j'étais épuisée. Il était plus de quatre heures du matin. En plus de ça, il fallait que l'on soigne mon bras. J'avais perdu beaucoup de sang alors je ne pouvais pas me permettre d'attendre plus longtemps.

Je montai sur Medusa et une fois que j'eus vérifié tous mes préparatifs, je démarrai rapidement. Je n'osais pas regarder la villa, j'avais peur de regretter ma décision.

Mais je n'avais plus le choix. Je devais partir. Plus rien ne me retenait ici, si ce n'était le visage joyeux de Petit Gil. Les blagues de Palmer. Les soirées film d'horreur avec Greene. Mes conversations avec Owens.

Je ne devais plus revenir. Pas après ce que j'avais fait.

Garcia était mort par ma faute.

Et j'avais poignardé mon père






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Hello LES LOUSTICS !!!!!!

Last chapter !!! Enfin, il reste l'épilogue MAIS LAST CHAPTER QUAND MÊME !

Révélations, informations, ça faisait beaucoup de choses ! (N'hésitez pas à me dire si c'était assez clair)

Bon, Eli a fini par s'enfuir de la villa et franchement, j'aurais fait pareil. Elle n'a plus confiance en personne (même en Lindsay oh lala la cata).

Tue-moi s'il te plaît.

Non mais attends un peu Eli, l'histoire n'est pas finie.


Et Jayden... ON TUE PAS LES MAMANS DES GENS COMME ÇA IMBECILE,SURTOUT QUAND ON A PAS D'EXCUSE A DONNER NAN MAIS OH

Maintenant que j'ai déchargé ma colère sur Jayden, je m'en vais rejoindre Eli pour pleurer la mort de Garcia et je reviens demain pour l'épilogue.

Gros bisous les loustics !

Instagram & Tiktok : @lilygreybooks

Lily♡

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