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Chapitre 25 : Maudit soit le semeur de discorde.

Luff courrait devant Thomas, la langue pendante , le train rapide, les promenades en forêt avec son maître se faisaient plus régulières et il adorait ça. Le pied pour ce gros chien noir. Le garçon accéléra sa foulée, il sentait cette impression de fatigue lui mordre tous les muscles, mais le plus cabossé était son cœur. Quoi qu'il en soit, il ne s'énerverait pas. Il avait passé ses six dernières nuits à ressasser inlassablement les paroles de Newt, ça l'obsédait, ça l'empêchait de dormir, ça le rendait nerveux. Mais il avait décidé de ne pas faire état de sa colère, de ne pas hurler au monde entier que Newt avait trouvé la meilleure façon de l'assassiner. Il avait mis de côté ses sentiments, bien déterminé à garder sa rage enfouie dans ses entrailles. Ses pieds frôlaient à peine le sol, la mousse était humide, due à la pluie de la nuit dernière mais le jeune brun s'en foutait. Il ne rêvait que d'une chose, s'oublier. 

Il rattrapa son chien qui mordillait un vieux bois sec dans une petite clairière, couché sur la mousse, la queue battante, traduisant son enthousiasme. Thomas se laissait glisser à ses côtés, lui caressant la tête, assis en tailleur. Il jeta sa tête en arrière et distingua le ciel bleuté. Dire qu'il avait de la peine serait amoindrir sa douleur. Il se sentait trahi, totalement détruit. Mais il avait décidé de garder la tête haute, de ne pas se laisser abattre par les sentiments destructeurs qui l'assaillaient depuis environ une semaine. Une semaine que Newt lui avait fait son discours injuste, remplit de rage et de stupidité. Il avait pris chaque mot comme un poignard affûté en plein cœur. Comment le garçon pour lequel battait son cœur pouvait-il être aussi injuste envers lui, aussi destructeur ? 

Il se laissait tomber dans la mousse humide, se fichant assez que ça trempe son tee-shirt et ferma les yeux. Il sentit Luff poser sa tête sur son ventre et se mit à le caresser doucement. Tout revenait au point de départ, sa solitude, cette façon de fuir les humains, cette antipathie, cette rage contre les humains. Il avait donné son cœur à une personne qui n'avait pas pris conscience que c'était le seul cadeau qu'il pouvait faire, donner son amour, mais encore une fois, on l'avait détruit.  Mais Thomas s'en foutait désormais. Plus rien ne le retenait ici, parmi ces gens trop concentrés sur leur petite personne pour voir qu'ils font souffrir tout le monde autour. Il fuyait chaque personne susceptible de l'approcher, il se renfermait comme un coquillage menacé, dressant des remparts plus hautes encore, fortifiant sa carapace, blindant sa bulle. Il avait éteint son téléphone et l'avait laissé sur son bureau, chez lui, loin...

Thomas se releva, reprenant sa course, Luff sur ses talons, il fila jusqu'au garage de son père. Il détaillait Cale, ou plutôt ses pieds dépassant sous une voiture, il se passa un coup d'eau sur le visage et se mit au boulot sans rien dire, ne relevant pas la vanne que venait de lui faire Joe. Il posa sa casquette sur sa tête, à l'envers, enfilant sa salopette noire et siffla son chien qui Luff arrivait en courant vers son maître. Il lui mit une gamelle d'eau et plongea sous une voiture blanche drôlement cabossée. Cale jeta un coup d'œil à son fils. Son silence, cette façon d'agir, il la connaissait trop bien. Il soupira. Visiblement, Thomas avait encore encaissé un coup dur. 

Liam s'était assis sur le muret sur la place, au bord de la fontaine, il tira une cigarette du paquet avant de le remettre dans sa poche, faisant crisper la pierre de son briquet, une flamme apparaissait et il la portait devant son visage, allumant sa clope, coincée entre ses fines lèvres. Il avait fini son service, le soleil brillait pour une journée de début octobre. Il attendait Teresa. Il était devenu dingue de cette nana, ne pouvant pas s'empêcher à un seul moment de la regarder. Elle ne venait qu'avec Minho ces temps-ci, peut-être que Newt était encore à l'hôpital, mais il lui semblait que non, Teresa lui avait dit qu'il était sorti. Peut-être qu'il ne pouvait pas sortir de chez lui où alors qu'il avait remis le nez dans ses études et qu'il n'en sortait plus. Minho venait souvent au Café accompagné d'une belle blonde, mais que Liam trouvait moins canon que sa copine. Enfin non, officiellement, ils n'étaient pas encore ensemble, Tess voulait prendre son temps mais Liam avait de l'espoir. Il remonta la fermeture de sa veste, l'air était frais. Il parcourait la place des yeux, certains faisaient du shopping, d'autres se baladaient en amoureux, certains riaient sur les terrasses des cafés, d'autres marchaient vite, trop pressés pour s'attarder sur la beauté des bâtiments. 

Ses yeux se posèrent sur le blond en béquilles qui s'échoua à côté de lui. Newt soupira avant de se tourner vers Liam. Le bouclé lui fit un petit sourire, détaillant son visage quelques instants, encore sujet à des blessures dues à son accident. Il avait la jambe gauche bandée et attachée dans une attelle qui allait du haut de la cuisse à la cheville. Il le salua, voyant bien que son regard gênait le blond.
- Ca faisait longtemps... 

- Il faut que tu m'aides, Liam. 
Sa voix, c'était un appel de détresse. Il vit Newt baisser la tête, il entoura ses épaules d'un bras protecteur et le cala contre lui. 
- Qu'est-ce que t'as fait encore ? Souffla Liam en jetant son mégot au loin. Newt ferma les yeux, se dégageant de l'étreinte du bouclé et inspira. 
- J'ai détruit l'homme que j'aime, je l'ai perdu et j'ai perdu mon meilleur ami. 
Liam fixa Newt un long moment, dans un silence pesant, puis tourna les yeux vers la place qui s'étendait devant lui, il tira une nouvelle cigarette. 

- Tu veux que je t'aide alors que tu m'apprends que t'as détruit mon meilleur pote ?! Demanda-t-il sèchement. Il tourna la tête vers Newt qui s'affaissait. Newt se mit à lui raconter ce qui s'était passé six jours plus tôt, entre les quatre murs blancs de sa chambre d'hôpital, sa colère, ses insultes, cette injustice qu'il avait fait subir à Thomas. Liam reprit. Qu'est-ce que t'as foutu, bordel ? Newt ! Ce mec-là, il a vécu les mêmes galères que moi, toutes, et des pires que moi, aussi. T'es au courant ? T'es au courant qu'il a déjà perdu le garçon qui aimait ? Lui dit Liam excédé. Il penchait du côté de Minho, qui l'avait sans doute engueulé assez pour le faire réagir. 

Les pupilles de Newt se braquèrent sur le visage dur qu'abordait Liam. 
- Il était amoureux de Loki, au cas où t'étais pas au courant. Il est amoureux de toi maintenant. Il a failli te perdre dans ce foutu accident et toi tu lui balances que c'est de sa faute... Tu veux qu'il se flingue ou quoi ?

Newt se plia en deux et fondit en larmes, il en pouvait plus, il était rongé par des remords atroces de la culpabilité, il ne faisait que ça : pleurer, se bouffer les doigts d'avoir été aussi con, chaque personne avec qui il en parlait lui refoutait ça dans la gueule, et écouter la voix de Thomas sur son répondeur... 

- Je suis désolé... Gémit Newt. 

- C'est ça ! Rétorqua Liam assez exaspéré. Maintenant tu vas bouger ton beau p'tit cul et tu vas aller t'excuser, même si tu dois lui supplier, j'en ai rien à foutre, je ne te lâcherais pas d'une semelle tant que tu ne l'auras pas fait ! 

- Je ne peux pas !

Liam soupira. 

- Ceux qui échouent trouvent des excuses, ceux qui réussissent trouvent des solutions.

 Il se leva, jetant un dernier regard à Newt et disparut entre les rues. Laissant pour seule réponse, cette phrase énigmatique. Le blond releva la tête et regarda autour de lui où était parti Liam. Il soupira en voyant que le bouclé avait disparu. Il décrocha son téléphone et tenta une nouvelle fois de joindre Thomas mais il tombait sur son répondeur. Il se remit debout difficilement et empoigna ses béquilles, remontant cahin-caha la rue pour remonter dans la berline qui l'attendait en haut.

Burton lui ouvrit la porte et constata le triste visage du fils de son patron. Il claqua la porte une fois qu'il s'était assuré que Newt s'était correctement installé. Il se mit au volant et prit la route du retour, voyant que le jeune blond n'avait pas d'autres destinations. Mais alors qu'ils allaient quitté la ville pour retourner sur la colline où était leur maison, Newt se tourna vers lui. 

- Allez au garage des Rosenwood, Burton. S'il vous plait ! Il faut que je vois Thomas. 

Burton freina, s'arrêtant sur le bord de la route et se tourna vers Newt. 

- Vous êtes sûr que c'est une bonne idée ? Lui demanda-t-il. 

- Toujours mieux que d'envoyer un carton de condoléances à son père parce que j'ai perpétué le suicide de son fils. Répondit Newt d'un ton lasse. 

Thomas s'étira après avoir quitter sa planche à roulettes inconfortable et parcourait du regard l'espace du garage. Charlie était en train de monter un roulement à billes, Joe réparait un scooter, son fidèle cure-dent entre les dents et Cale chantonnait cette vieille chanson country sous la voiture de Mme Greyer, Luff ronflait à ses pieds. Son chien devait ressentir sa tristesse car depuis son engueulade avec Newt, il ne le quittait pas d'une semelle. Il démarra la voiture sur laquelle il travaillait quelques minutes plus tôt et elle pétaradait, signe que tout n'était pas encore en ordre dans le moteur, il jura et ouvrit le capot, il se mit à bidouiller dedans. 

Cale s'attarda sur cette vis qui ne voulait pas se remettre en place et se poussa hors du dessous de cette voiture, il se releva dans un grognement sourd, il eu un pincement au cœur et s'arrêta un instant, reprenant son souffle. Luff se leva en même temps, se frottant à la jambe de Thomas pour lui arracher une caresse et partit voir son maître à barbe, histoire de voir si ce n'était pas l'heure de jouer à la baballe ou de manger. Cale se lavait les mains dans l'évier et attrapa la balle du labrador avant de la lancer à l'extérieur, déchaînant un Luff heureux, courant après. Il allait proposer à ses compères de boire un coup, sachant que la journée allait toucher à sa fin quand il entendit une voiture s'arrêter devant le garage. Il grognait, comme si c'était l'heure de venir maintenant. Il vit un jeune homme en béquilles arriver. Il reconnut Newt Spencer quand celui-ci passa les portes du garage, maladroit sur ses cannes, une jambe immobilisée et la gueule amochée. Le blond lui fit un sourire triste mais Cale fronça les sourcils, s'avançant vers lui. 

Cale Rosenwood était loin d'être bête. Le comportement de Thomas depuis environ une semaine se résumait à une nouvelle blessure et Cale savait que la seule personne qui pouvait le blesser, c'était Newt. Dire qu'il avait passé ses nuits à son chevet, il s'était presque arrêté de vivre pour lui, il ne méritait pas ça, son gamin. Il aperçut Burton, derrière qui lançait la balle à Luff. Il fixait le visage triste du blond et l'intima à lui dire sa raison de sa visite, d'un geste du menton.
- Est-ce que Thomas est là ? Demanda Newt d'une voix à peine audible, comme si ses cordes vocales étaient nouées. En réalité, Newt était tétanisé par le peur, il ne voulait pas subir une nouvelle dispute avec Thomas, mais il lui devait des excuses, Minho avait raison, il avait été injuste, même pire qu'injuste, ignoble. Il détailla le visage de Cale qui se déformait dans une grimace. Pourtant dans les yeux du père Rosenwood, il n'y avait qu'une glace translucide. 
- Va-t-en, Newt ! Lui répondit simplement Cale. 

Le blond baissa la tête, fatigué de lutter contre ses émotions contradictoires et s'appretait à faire demi-tour, penaud.
- Laisse, papa ! Dit une voix dans le fond. Cale se détourna et vit son fils arriver vers eux. Newt releva les yeux et distingua Thomas qui venait, son cœur se mit à battre plus fort dans sa poitrine. Cale fronça les sourcils et vit à l'expression de son fils que ça allait. 
- Tommy, soufflait Newt. 

- Toi ! Lui dit Thomas en le désignant du doigt. Tu te la fermes ! Je gère. Il dit à son père et Cale tournait les talons, retournant dans son bureau. 

Thomas détaillait Newt de haut en bas, le visage fermé, sans expression apparente. Il vit la peine qui résidait dans les pupilles de jais de celui qu'il appelait 6 jours plus tôt son "petit-ami". Il s'arrêta à une certaine distance de Newt. 

- Qu'est-ce que tu veux ? Lui demanda-t-il en faisant un petit mouvement de menton. 

- M'excuser.

- Encore ? Demanda Thomas, penchant sa tête sur le côté. Newt ferma les yeux, baissant la tête, courbant l'échine. T'en as pas marre de t'excuser ? Tu t'énerves, tu engueules tout le monde et après tu t'excuses. Mais merde, Newt, s'empourpra Thomas. Tu te rends compte que tu m'as détruit. J'en ai marre moi, de m'en prendre plein la gueule à chaque fois ! 

- Tommy... 

- M'appelle pas comme ça ! Tu vas m'écouter, c'est ton tour. S'énerva Thomas en s'approchant un peu plus près de Newt qui ne le quittait pas des yeux, voyant cette flamme de colère qui se dessinant dans ses orbites ambrées. Newt frissonnait, c'était son tour de s'en prendre plein la gueule, il le savait, c'était le prix à payer. Tu te rends compte cinq minutes de la peur que j'ai eu, des remords que j'ai eu, de la peine que je ressentis, de tous ces sentiments qui m'ont assailli, à te voir là, sur ce foutu lit d'hôpital ! Mais tu te rends compte du mal que tu m'as fait ? Non, même pas. J'ai cru que j'allais crever, Newt. Je ne pouvais pas te perdre, pas une seule seconde... Alors, j'ai envie de te foutre mon poing dans la gueule parce que tu m'énerves à m'engueuler puis à venir t'excuser après... J'en peux plus de ça, moi...
Newt se mordit la lèvre, il avait les tripes en miettes, la gorge nouée et s'en voulait encore plus qu'en venant. Il détaillait Thomas, ce petit pli qu'il lui barrait le front à cause de la colère qui s'était emparé de lui. 
- Ecoute Thomas, je... 

Le brun réduisit la distance entre leur deux corps en une fraction de seconde, attrapant Newt par la taille, fermement, et écrasa ses lèvres contre celles de Newt, juste un baiser, brusque, volé, puis il souffla
- Tais-toi, tu parles trop ! Avant d'embrasser à nouveau Newt avec fougue. Il emprisonnait les lèvres du blond contre les siennes, mais à aucun moment Newt ne se dérobait, il avait les yeux clos, ses lèvres contre celles de celui qu'il aimait sans vouloir à aucun moment se détacher de lui. Il lâcha ses béquilles dans un fracas et entoura les épaules de Thomas de ses bras alors que le brun intensifiait sa prise sur ses hanches, que sa langue jouait avec celle de Tom. 

Cale regardait son fils par la fenêtre de son bureau et soupira. Incorrigible. Il était incapable d'en vouloir plus de deux minutes à Newt lorsqu'il l'avait en face de lui. 

Thomas sépara les lèvres, collant son front à celui de Newt, les yeux fermés, il reprenait son souffle avant que les mains de Newt capture son visage. Newt embrassa encore une fois Tom, ne pouvant plus se passer de ce contact, oh, non depuis trop longtemps maintenant, il n'avait pas senti ses lèvres contre celles de Thomas. Son baiser avait un goût d'excuses, il voulait le faire ressentir à Thomas mais le brun s'en foutait délibérément. Il était accro aux lèvres du blond, il s'en fichait totalement de ce que pouvait penser son père. 

Tom fit entrer Newt chez lui. Le blond riait dans les bras du brun, mais celui-ci ne se laissait pas déconcentré. Porter son petit-ami dans les escaliers lui était une tâche plus ardue. Il finit par y parvenir, sans heurter la jambe du blond. Newt s'asseyait sur le lit de Thomas lui souriant, il savait que rien n'était comme avant et se demandait comme Thomas faisait pour encaisser la droite et lui pardonner de cette façon. peut-être que c'était ça l'amour, le vrai, le grand, le fait de pardonner à celui qu'on aime même s'il raconte de la merde parce qu'il est en colère. 

- Est-ce que t'as douté une seule seconde de mon amour pour toi ? Lui demanda Thomas en appuyant sur les épaules de Newt pour qu'il s'allonge. Le blond ferma les yeux en sentant Thomas s'asseoir à califourchon sur lui, ses doigts glissant le long de son torse, tout doucement. 

- J'ai douté de moi. J'ai douté du monde entier mais jamais je n'aurai du dire ce que je t'ai dit... Je m'en veux tellement, Tommy. 

Ses mains trouvèrent les cheveux de Thomas, qui écrasait ses lèvres dans la nuque de Newt. Il déboutonnait doucement sa chemise, conscient que les côtes de Newt n'étaient sans doute pas au meilleur de leur forme. Mais Newt se cambra sous les baisers chauds et désireux de Thomas dans son cou, il gémit, les yeux toujours clos, se mordant la lèvre. Thomas se redressa et contemplait le blond un instant, alors qu'il ouvrait les yeux se demandant pourquoi il s'était arrêté. Il fondit sur ses lèvres une nouvelle fois et sentit les mains fines de Newt se glisser sous son tee-shirt avant que le blond lui vole un autre baiser, déposant ensuite ses lèvres sur le lobe d'oreille de Thomas, arrachant un grognement au brun avant de lui murmurer au creux de l'oreille. 

- Fais-moi l'amour, Thomas...
Le brun se figea, remontant son visage en face de celui de Newt qui le regardait sans comprendre.

- Mais si je te fais mal... 

Le blond esquissa un sourire coquin et lui répondit. 
- Tu crois que je vais laisser ce foutu accident me bousiller tous les plaisirs de ma vie ? 
Le cœur de Thomas tambourinait dans sa poitrine. A aucune seconde, il avait cessé d'aimer Newt, à aucun moment, il avait juré de se venger. En réalité, il s'en foutait totalement, ce qu'il voulait, c'est être avec lui. Newt le regardait, les yeux brillants et déposa ses lèvres contre celles de Thomas avant de lui retirer son tee-shirt d'un geste expert, avant que leur baiser endiablé reprenne, coupant leurs souffles respectifs, faisant battre leurs cœurs à l'unisson. Il y avait du désir qui brûlait dans le ventre de Thomas, de l'envie mêlée à un amour inconditionnel dans les tripes de Newt. 

- Merci, chuchota le blond. Merci de m'avoir ramener parmi les vivants Tommy...

Voilà pour aujourd'hui. Les vacances c'est productif ! Newtmas forever ahah, Love, Ali

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