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Chapitre 13 : No Way !

"Un demi-milliard de connards ne t'égalerait même pas. "-Ali

C'était l'anniversaire de Thomas ce jour-là, le 26 août. Deux jours s'étaient passés, seulement, depuis sa dernière altercation avec Newt et pourtant le jeune brun ressentait un vide en lui. Il était probable qu'il ne le revoit jamais, il ne voulait pas le revoir de toute manière. C'était sa pénitence d'avoir laisser quelqu'un s'approcher de lui, il l'avait blessé, il l'avait rendu faible, meurtri par des mots trop durs, il lui avait brisé le cœur et aujourd'hui, il devait relever la tête et continuer d'avancer en laissant au passé ce qui appartient au passé. Les bons moments sont éphémères, alors que la peine reste et pèse sur les épaules. Thomas avait l'impression que son monde s'était écroulé, que sa vie ne reverrait jamais une once de bonheur, comme celui qu'il avait ressenti ce matin-là, se réveillant aux côtés du blond, qu'il l'avait regardé dormir en se disant que la chaleur humaine était un bonheur à part entière, que se réveiller aux côtés de quelqu'un qu'on aime est l'une des plus belles choses que la vie offre. Il descendait désormais les escaliers, las et fatigué de sans cesse devoir se battre avec ses démons. 

 Il avait l'impression de tout foirer, de tout détruire, il avait l'impression de ne pas être fait pour ça, pour les relations, pour vivre autour des autres, il n'arrivait pas à construire une quelconque relation sans que celle-ci ne revienne empoissonnée, qu'elle rende les gens nerveux autour de lui.... Il avait l'impression d'être rien, de n'être personne, qu'un cœur un peu trop brisé pour encaisser encore les coups...  

Son père buvait son café, les cheveux en bataille, des cernes sous ses yeux bruns, il posa sa tasse et détailla son fils un instant. Il lui souhaitait le bonjour et Cale lui souhaitait un bon anniversaire en même temps. Mais Thomas n'avait pas la tête à ça. Il remercia son père cependant et lui demandait quels étaient les projets du jour. Cale voyait bien que Thomas n'était pas en forme, il n'avait pas gueulé en voyant son père en train de décuver hier matin, il n'avait rien dit quand Joe lui avait dit de se trouver une femme pour le rendre aimable, parce que la main droite, ça fait les choses moins biens, il n'avait pas fui quand Madame Grence lui avait serré la main, il survivait, sans vivre, perdant ses habitudes de mec anti-social. La seule chose que savait Cale, c'était qu'en rentrant deux jours plus tôt du fournisseur en centre-ville, il avait vu son fils amoché. Charlie avait commencé à dire que c'était de la faute de Newt Spencer mais Thomas l'avait coupé en disant que son père n'avait pas besoin de savoir. Cale les avait entendu s'engueuler peu après puis Charlie était sortie excédée en le traitant de débile mental. Depuis Thomas n'adressait même plus la parole à Charlie. Lorsqu'elle lui parlait, il l'ignorait. Thomas faisait ça avec toutes les personnes qui l'emmerdaient, il les ignorait superbement, rendant l'autre complètement dingue du manque de réaction. Il s'était passé quelque chose mais Cale ne savait pas. Il restait là à faire des aller-retours entre son journal et le visage maussade de Thomas qui buvait son café les yeux dans le vide. 

- Je peux rester là aujourd'hui ? 

Cale ne pouvait pas lui dire non, il faut dire que l'état de Thomas l'inquiétait. Il hocha la tête, lui disant que de toute façon, lui-même restait là aujourd'hui. Il devait faire des papiers et aucune voiture n'était programmée. Thomas lui sourit puis termina d'une traite sa tasse de café. Thomas demanda à son père si Liam pouvait passer ce soir. Cale n'aimait pas trop Liam, c'était un garçon arrogant et un peu hypocrite sur les bords mais Thomas l'aimait bien, il avait trouvé en Liam le soutien d'un ami. Cale lui répondit favorablement et Thomas débarrassa le petit déjeuner. 

 Il voulait  juste se fondre dans la masse, disparaître entre la foule, vivre à demi-souffle sans que personne ne le remarque. Désormais. Mais il sentait ces regards braqués sur lui, ces messes basses, ses messages échangés entre deux êtres, il  voyait bien, il n'était pas dupe, il savait que même sa belle gueule ne pouvait pas effacer l'image du monstre qu'il était, que son ombre le suivait. Il voyait leurs têtes se tourner, leurs yeux se braquer, accusateurs et leur sourire complice, à peine méprisant, un brin horripilant. Il ne voulait pas être remarqué, il voulait  juste qu'on le plonge dans un décor surchargé, laissant son âme en peine au dehors, Il voulait  juste se perdre dans la masse, s'oublier dans une infinité de choses peu communes. Il  voulait disparaître aux yeux des autres, insignifiant et sans saveur, ne plus se faire remarquer, ni désirer de quiconque,  ne plus être original, décalé, marginal, hors contexte où autre. Il n'en pouvait plus de ces regards affligeants, dérangeants, proches du dégoût et de la pitié, parfois, de ces personnes qui le mettaient dans une boite étiquetée comme un paquet de jambon dans un rayon : monstre.  

Deux jours, deux jours à entendre qu'un biiiiip prolongé, comme un électrocardiogramme horizontal et totalement vide de toute palpitation cardiaque. C'était ce bruit longiligne et constant que le blond entendait depuis deux jours. Il errait dans la cuisine à la recherche du moindre truc à grignoter, incapable de cuisiner quoi que ce soit. Ca faisait deux jours qu'il ne dormait pas non plus, trop occupé à ressasser ses pensées. Il attrapa un paquet de céréales et s'assit dans le salon, étendant ses jambes pour se détendre. Il grignotait ses céréales dans l'espoir de trouver un remède à sa stupidité. Il fallait qu'il aille voir Thomas, c'était irrémédiable. Il devait s'excuser, il devait dire à Thomas ce qu'il ressentait. C'était une évidence. Il était paumé, au bord du gouffre, près à tomber mais il n'arrivait pas à s'avouer vaincu, à se dire que son cœur l'emportait sur sa raison, il avait aimé ce garçon tellement fort dès le premier instant que découvrir une facette de sa personnalité si terrifiante l'avait fait douter de tout, même de lui-même.  Il y avait cette alchimie entre eux-deux. Newt en était sûr. Une électricité mauvaise et grésillante. Celle qui fait sauter le disjoncteur du cœur. Celle qui fait passer cette décharge électrique de 4000 V dans sa colonne vertébrale juste au moment où leurs regards se croisent, que les yeux bruns de Thomas se figent dans les siens. Cette alchimie qui transforme n'importe quel plomb en or. Cette magie qui le rend complètement fou. Fou de lui. Dingue de Thomas, malade de ce garçon trop beau, trop anti-social, trop violent, trop emprunt à la colère. Il a l'air bête, Newt. Il le sait que ses sentiments sont factices maintenant, qu'il ne parviendra pas à le récupérer. A-t-il même essayé ? 

Il enfourga une nouvelle poignée de céréales dans sa bouche et décrocha son téléphone.

- Minho, qu'est-ce que tu dirais à la personne que tu aimes et avec qui tu aurais tout fait foiré ?

 - Putain Newt qu'est-ce que t'as foutu ? Newt se passa une main sur son visage, il détaillait ses mains un instant et remarqua qu'elles tremblaient vraiment. Le dit Minho semblait grogner à l'autre bout du fil.

- Je... Commença Newt mais il ne savait pas par où commencer.  

- Quoi que t'aies fait Newt Spencer, tu bouges ton cul et tu vas le voir ! Lui cria Minho. Non mais j'en reviens pas... 

- Mais Minho... Supplia le blond en se redressant en position assise, dodelinant de la tête pour tenter d'y voir clair. 
- Il n'y a pas de mais, Newt ! Tu te bouges le cul et tu vas le voir ! TOUT DE SUITE ! 
- Attends, je ne peux pas, il ne veut pas me voir, il me déteste ! 

- T'es con ! Répondit calmement l'asiatique. 
Newt se tapa la tête et essaya de lui dire quelque chose mais Minho le coupa. 

- Je ne t'ai jamais vu autant amoureux d'un mec, ni de personne Newt alors tu ne laisses pas ta chance partir comme ça ! Tu vas le voir !! TOUT DE SUITE ! Cria Minho au téléphone. Sinon je vais te sortir de chez toi en te tenant par la peau des fesses... 
- Je ne peux pas... Répondit-il tristement cachant son visage dans ses mains.
- T'as essayé au moins ? 
- Non. 
- Raconte-moi ce qu'il s'est passé... Demanda Minho avec gentillesse, voyant bien que son ami avait de la peine. 

Newt invita Minho a passé chez lui, ne voulant pas lui en parler par téléphone. Son ami arriva une vingtaine de minutes plus tard, entrant dans la maison de Newt sans frapper, découvrant son meilleur ami assis sur le canapé, la tête prise entre ses deux mains, il semblait tellement ailleurs, perdu et triste. 
- Hé, Newty ! Lui dit Minho en asseyant à côté de lui. 
- Je suis un con ! 

- Ca, j'étais au courant, ça doit faire environ milles fois que je te le dis, ironisa le coréen. 
Newt lui répondit pas un coup de coude dans les côtes, lui arrachant un petit rire, avant de se laisser tomber contre le dossier du canapé. 

- Bon ! Lui dit Minho en claquant un grand coup sa main sur la cuisse de Newt, arrachant à l'autre un grognement proche d'un ours en colère. Le blond le foudroya du regard. Minho se marrait. Raconte tout à Papi Minho ! 

Newt laissait son regard divaguer sur le mur blanc en face de lui. Il commença à raconter ce qu'il s'était passé entre son père et lui au restaurant, puis la révélation à propos de Tyler Lewis. 

- Je te rappelle que Lewis t'a toujours méprisé... Spencer. Le coupa Minho en jetant un regard septique à son collègue. Newt roula des yeux, soupirant et reprit son récit. Il lui expliqua ensuite l'altercation entre lui et Thomas, deux jours plus tôt. 

- Je vais me répéter, mais t'es vraiment con !
- Je m'en suis rendu compte, merci ! 

- Trop tard visiblement, renchérit Minho hilare. 
- Puis il m'a dit " La plus grosse connerie que j'ai fait, c'est d'être tombé amoureux de toi !" avant de partir... termina Newt, la tête baissée, le cœur battant la chamade. 

Minho resta un instant interdit, détaillant le visage de son ami, ses joues étaient rouges, comme s'il était encore chamboulé de la révélation de Thomas. Minho comprit que Newt était totalement éperdu de Thomas. Certes, il avait tout fait foiré, mais il pouvait se rattraper. Minho garda le silence, en pleine réflexion puis se pencha vers le blond et sans vouloir le vexer ni rien, juste en conseil avisé d'un ami, il lui dit. 
- Tu sais, si tu l'aimes vraiment, ce que je crois pertinemment, t'as eu le coup de foudre avec ce mec, j'en suis sûr, tu devrais aller le voir, sans crainte. Il va sans doute t'engueuler, te crier dessus ou même te foutre un poing dans la gueule. Chose que tu mérites, je te le dis. Si tu lui demandes juste qu'il te pardonne, il le fera. Peut-être pas à la minute, certes mais il le fera. Va lui prouver qu'il n'a pas fait de connerie en tombant amoureux de toi, va lui prouver que t'es qu'un con mais que tu l'aimes alors... Qu'est-ce que ça peut foutre...

Newt sentit une décharge le parcourir. Minho avait raison, jamais il n'était tombé amoureux de quelqu'un de cette manière, jamais il s'était senti si bien en compagnie de quelqu'un, jamais il ne s'était rendu compte que son existence n'avait plus de sens sans une personne. C'était ça, le son dans sa tête, c'était l'absence de l'être aimé. Il avait la chance de pouvoir se racheter, et s'il ne le faisait pas, il aurait des remords toute sa vie. Il le voulait lui, Thomas Rosenwood et personne d'autre. Il se leva d'un bond, soudain pris du désir fou de changer les choses. Il fila sous la douche en remerciant un milliard de fois Minho de lui avoir fait se bouger les fesses. Il alluma l'eau de sa douche et se lava en vitesse, ressassant dans sa tête une bride d'excuses pour que Thomas lui pardonne d'avoir été un sombre con. 

Il s'habilla en vitesse et descendait, manquant de tomber tellement il allait vite dans les escaliers. Minho se mit à l'applaudir en voyant qu'il pouvait être productif. 

- Je te dépose... Lui intima son ami. Newt hocha la tête sans penser une seule seconde que ce n'était peut-être pas la meilleure solution, mais au moins Minho serait là si Thomas refusait de le voir, s'il lui disait même d'aller se faire foutre. Il attrapa sa veste et pria Minho de se dépêcher. 
- Oh, ça va ! Il y a deux minutes, tu ne savais même pas quoi faire. 
- C'est pour ça que je te dois la vie ! Déclara Newt en posant un micro baiser sur les lèvres de Minho avant de sortir de la maison en riant, laissant son ami stoïc et surpris derrière lui. 

- Thomas va être jaloux... Dit Minho en démarrant la voiture. 

- Je pense qu'il s'en fout totalement ! Répondit Newt en intimant à Minho d'aller plus vite.

- Oh ! Il ne va pas s'envoler ton amoureux là ! 
Newt laissait tomber sa tête contre la vitre, il était soudain épuisé, il souffla un petit "un ange peut s'envoler à tout moment". Minho le regarda tristement et accéléra un peu. 

La sonnette de la maison des Rosenwood retentit dans la maison, sortant Thomas de sa transe, il éteignit sa musique, quittant sa chaise dans la cuisine où il était en train de surfer sur son ordinateur. Il se dirigea vers la porte, remettant un peu d'ordre dans ses cheveux, son père, Cale était dans sa chambre en train de faire une sieste en ce début d'après-midi. Thomas ouvrit la porte détailla la personne qui se tenait devant et la referma aussitôt. Tétanisé, il ne bougeait pas, la main toujours sur la poignée. Il venait littéralement de fermer la porte au nez de Newt. Il avait le souffle coupé, le sang lui battait dans les tempes, il avait peur. C'était la peur qui l'habitait en ce moment, il ne savait pas quoi dire, entre la rage et la tristesse, il était tétanisé et abasourdi. Il ne voulait pas de lui, il ne voulait plus le revoir mais pourtant, il était là, de l'autre côté de la porte. 
- Thomas, ouvre-moi, je t'en supplie. Lui souffla Newt au dehors. 

D'une main tremblante, Thomas actionna la poignée, la tête baissée dans un premier temps puis releva les yeux vers Newt Spencer, se tenant là, la mine fatiguée, sa chemise entrouverte en haut sur son torse blanc. Ses deux grands yeux noirs le contemplaient, lui, Tom, incendiaires et désireux. La porte parcourut son chemin, seule, dans un grincement atroce mais les deux garçons se toisaient en silence. Elle claqua contre le mur, faisant sursauter Thomas qui se repris un peu, laissant de côté sa peur pour affronter Newt Spencer. 
- Qu'est-ce que tu veux ? Lui demanda-t-il avec un ton glacial. 
C'était déjà un début se dit Newt en son fort-intérieur. Il le voyait là, si beau, si proche, si désirable, si inaccessible, séparé par l'embrasure de la porte, seulement comme une frontière à part entière. Newt entendit la voiture de Minho redémarrer. 

- Je... Commença le blond en baissant les yeux, détaillant la main de Thomas qui tremblait. Il fixa un instant cette marque de panique qui le trahissait et croisa le regard de Thomas, dur, assassin mais teinté d'une peur apparente. Je suis venu te présenter mes excuses. Je veux que tu me pardonnes... 
Thomas esquissa un sourire en coin, cynique, se ressaisissant un peu voyant qu'il avait l'avantage cette fois, sur la situation, tout dépendait de lui. 

-Je ne sais pas si tu te rends compte, lui répondit Thomas avec ce même regard, seule la peur avait disparu,  si tu te rends vraiment compte de l'effet que tu as sur les gens que tu croises, toi et ta belle gueule. Je voudrais pourtant que tu saches, que la vie , c'est pas tant de la rigolade mais qu'il y a un manque de maturité qui te fait défaut. Tu prends les gens pour des cons, tu les regardes avec mépris, tu souris cyniquement comme si ton monde était mieux que celui des autres. Mais merde Newt, tu vois pas que tu m'as fait du mal... T'as remué mon passé dans l'unique but de me blesser et tu crois que je peux te pardonner juste parce que t'es magnifique, que je rêve de toi et que j'ai fait la connerie de tomber amoureux de toi. Non ! Ca ne marche pas comme ça... 

- C'était pas une connerie, Tommy. C'était pas une connerie. 

Le cœur de Thomas fit un bond, à chaque fois que Newt employait ce surnom, il sentait cette sensation étrange dans son ventre, comme des plumes qui lui chatouillaient l'intérieur. 
Newt fit un pas, passant la frontière imaginaire qui les séparaient, il posa sa main doucement sur le visage de Thomas, ce dernier tressaillit et se recula, mais le contact de Newt le rendait avide. D'un coup de pied Newt referma la porte d'entrée, alors que Thomas se reculait encore. 

- Il s'est passé un truc la première fois que je t'ai vu, Tommy. Quelque chose d'inexplicable, j'ai le cerveau qui a complètement grillé et mon cœur qui s'est arrêté... 

- Arrête ! Lui dit Thomas avec autorité alors que son dos rencontrait un mur. Arrête, tais-toi, je ne veux pas t'entendre. 

Newt baissa les yeux, s'arrêtant dans son avancée. Il aura essayé au moins. Thomas se rapprocha se penchant dans la nuque de Newt pour sentir son parfum. Il fermait les yeux un instant pour délecter son odeur. Il devait le faire, pour la dernière fois, il allait mettre dehors Newt Spencer, c'était trop tard maintenant, même si son parfum était comme une drogue pour son odorat. Il sentit Newt bouger, puis ses doigts se mêler aux siens avant que Newt passe une main hésitante dans sa nuque. 

Il murmura un petit 
- Et puis merde ! 
Avant que ses lèvres ne s'échouent brutalement contre celles de Thomas, provoquant un mouvement de recul au brun qui s'avouait vaincu car la main dans sa nuque ne le laissait pas s'échapper. Il était fait comme un rat, il remonta ses mains contre le torse de Newt puis lui attrapa la taille, intensifiant leur baiser. Il se laissa tomber contre le mur, laissant sa langue jouer avec celle du blond, ce dernier ne le lâchait pas une seule seconde, trop heureux que leurs lèvres répondent si bien, que leurs cœurs battent à l'unisson. 

- Putain... Jura Thomas en quittant les lèvres de Newt. 

- Je t'aime Tommy, lui lâcha Newt en plongeant son regard noir dans les yeux brillants de Thomas. Je ne pourrais pas te l'expliquer, mais je suis amoureux de toi. 
Thomas l'embrassa fougueusement, échangeant leur position, coinçant le jeune blond contre le mur. 

Cale sortait de sa chambre, se frottant l'arrière de sa tête, tout juste réveillé et il passa dans le couloir, pour rentrer dans la cuisine, il jeta un coup d'œil à l'entrée, où stupéfait, il trouvait son fils en train d'emballer, si on pouvait résumer les choses comme ça, ça s'apparentait plus à quelque chose de sauvage, de sauvagement délectable, comme passionnel, le jeune blond si poli de l'autre fois. Il haussa un sourcil septique et rentra dans la cuisine. Il lâcha un petit rire, attrapant une canette de soda dans le frigo et partit la boire sur la terrasse. 
- Il était temps... Dit-t-il avec un petit sourire amusé. 



Voilà mes amours, j'espère que ça vous plait, j'ai galéré à l'écrire alors savourez et dites-moi ce que vous en pensez. love, Ali.

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