Petit bonus pour lovecalumhoodxx how_to5Sos et je sais pas qui d'autres, j'ai repris beaucoup de vos idées 😏

Gabriel reprit conscience dans une salle très sombre, simplement éclairée par une fenêtre située en haut, sous les toits. Ses mains et ses pieds étaient accrochés à une chaise par une corde qui lui iritait les membres. Il entendit des pas.

"Bonjour, Gabriel"

"Qui, qui êtes vous ?"

Il sentit la personne se pencher et son souffle percuta son cou. Il chuchota à son oreille.

"Je suis ton nouveau bourreau."

Glissant un foulard devant son visage, il noua celui ci à l'arrière de sa tête. Dépourvu de sa vue, l'ange commença à paniquer.

"Vous êtes malade ! Un psychopathe ! Un attardé ! Un-"

"Tu veux qu'on parle de ce que tu as fait subir au protégé ?" Répondit la voix, devenue froide.

Gabriel se tu immédiatement. Il entendit un claquement métallique, puis le silence. Puis une violente douleur dans la fesse. Il hurla. Il en reçut un deuxième. Puis plus rien.

Sa respiration était bruyante. Elle s'accéléra sous la peur. Où était il ? Qui l'avait enlevé ? Comme si elle avait lu dans ses pensées, la personne répondit :

"Tu es au purgatoire. Ta sanction est déjà attribuée, mais les juges m'ont accordé le droit de te mmmh... 'torturer' ?"

Gabriel frissonna.

"Continuons donc."

Le bourreau caresse doucement les ailes de l'anges, ternes et sales. Voila longtemps qu'elles n'avaient pas brillées. Arrivant au bout de l'os, l'homme prit l'aile à deux mains et la rompit en deux. L'aile se brisa dans un craquement froid et sinistre. Gabriel hurla de douleur. Les larmes dévalaient ses joues. Les ailes étaient une des parties des plus douloureuses chez un ange.

Il recommença cette action tant de fois que l'aile était désormais déformée. Gabriel nagait dans un délire. La douleur le rendait à moitié conscient.

La température de la pièce augmenta subitement. Gabriel parvint à sentir de la chaleur au niveau de ses cuisses, les pas se déplaçant devant lui. Alors il se rendit compte qu'il était nu. Il prit peur et hurla à s'en déchirer les poumons lorsque le fer bouillant entra en contact avec ses testicules.

"Ca, c'est pour être certain que tu ne violes plus personne."

Lorsqu'il ne sentit plus son sexe, il gémit de douleur alors que le bourreau retirait le fer. Il le posa sur une table, puis revient à son prisonnier.

Gabriel sentit le boit du fouet claquer contre son dos une première fois. Il gémit faiblement, délirant de douleur. Quand son dos fut zébré de lignes rouges et couvert de sang, il entendit le bourreau se rapprocher de lui.

"Ceci n'est que le début de ta longue punition."

Gabriel hurla.