PARIS.

PDV KEN SAMARAS.

Alors que mes yeux étaient prêt à se fermer pour me faire partir dans les bras de Morphée, la porte de mon appartement claqua tellement fort qu'elle en fis trembler les murs de mon petit appartement Parisien, et je savais que cela n'annoncer rien de bon.
J'étais habitué au excès de colère de ma fille, mais cette fois ci, c'était la fois de trop.
Je balaye d'un geste ma couette et me lève, bordel quel heure est-il ?
- Aglaée je t'ai dit mille fois de ne pas claqué cette putain de porte !

Elle avait les yeux noir de colère, habitué, je souffle et regarde l'horloge, elle affichait 3h43 du matin.
J'ai l'impression de me voir moi jeune, c'est dingue ce qu'elle me ressemble.

- La vie de ma mère que j'vais en buter un, un jour !

- Aglaée, un peu plus de respect ! Je t'ai pas élevé comme ça !

Elle souffle a son tour et en a peine quelque seconde elle était niché dans mes bras, elle avait beau avoir 16 ans, cette habitude la était rester.

- Ils me rendent folle. Je peux dormir avec toi ?

- Ah ca y est tu tes disputé avec lui tu reviens avec moi ?

- Laisse tomber je vais dormir dans mon lit.
Elle dit quelques peu vexé en se détachant de moi.

- Évidemment tu peux dormir avec moi.
Elle esquisse un sourire et se dirige vers la salle de bain.

PDV AGLAÉE.

Mes yeux a peine ouvert, j'attrape mon téléphone, bon sang combien de fois m'ont-ils appelaient ?

De : Enzo
T'es ou putain ? On t'attend pour le stud depeche toi

Je saute de mon lit, enfile un jean noir et un tee shirt vite fait, sans même regarder ma tête dans le miroir je passe la porte d'entrée, met mes écouteurs dans mes oreilles et marche d'un pas rapide vers les studios de mon père. Je fais un signe de tête à la secrétaire et monte les escaliers en courant.

- Wesh t'était ou ? Ca fait une heure qu'on t'attend Agla' t'abuse!

- Bonjour Enzo, oui Je vais très bien merci et toi ?
Je lui fais un bisou sur la joue.

- Je ne veux aucun commentaire, pour une fois que c'est moi qui est en retard et pas l'un de vous.
Continuais-je en entrant dans la pièce sous le regard de mes amis.

- Bien ou quoi ?

- Tranquille.
Répondis l'un de mes camarades.

- Bon on s'y met

- Mais comme le veux la tradition un petit juin s'impose.
Répond fièrement l'un de mes meilleurs amis. Je rigole doucement et met mon téléphone à charger.