Boum
Alors les calendriers de l'avent ? Qui en a pas ? XDDDD
Plus que 17 JOURS
J'AI PAS FAIT LES CADEAUX ÇA VA ÊTRE BRÛLANT
J'aime violemment cette chanson
En rangeant mon bureau bordélique j'ai fait une trouvaille ! Et pis ça tombe bien vu que demain j'ai bac blanc de français xD
MA RÉDACTION DU BREVET
Ça date
J'ai décidé de vous la partager MDRRR
///J'AI RIEN CORRIGÉ C'EST TEL QUE JE L'AI LAISSÉ AU BREVET///
"Je revoyais les grandes armoires solennelles de la maison. Elles s'entrouvraient des piles de draps blancs comme neige."
Une vague d'espoir déferla en moi : rien ne pouvait m'empêcher de retrouver ma maison ! Je me mis à tourner autour de l'avion, pour cerner le problème. Tout y passa : ailes, queue, hélices... Je finis enfin à trouver la panne : les fils amenant l'électricité au moteur étaient sectionnés ! En fouillant, je découvris une boîte d'outils : elle était vide. Je me dis alors que si moi, je m'étais trouve en panne dans le désert, tel Saint Exupéry dans Le Petit Prince, quelqu'un d'autre l'a fait avant moi ! Regardant vers l'horizon, je crut apercevoir un campement désert. Mirage ? Autant aller vérifier.
La chaleur montait et le soleil tapait sur sur mon frêle corps, le sable brûlant s'infiltrait dans mes bottes d'aviateur, mais je marchait toujours, sans m'arrêter. CE n'était pas une illusion, il y avait bien un campement abandonné ! Toutes les tantes furent examinées, je réussis à trouver de la bande adhésive, des lampes torches et même des biscuits (très secs).
En quittant cet endroit, un vent s'est levé, fort, et une bourrasque, comme dit ma grand-mère, me fit tanguer. Je reçus du sable sur ma figure, j'avançais à l'aveuglette. Au bout d'un moment, je me heurta à une surface dure et rigide. Comme elle me protégeait un peu des rafales ensablées, je me colla à elle. J'attendis 1 heure ou deux ? Je ne sais pas. Mais je suis sûr qu'à un moment la tempête s'est arrêtée. Je me rendis comte que j'étais adossé à mon propre avion ! À l'aide de ma lampe, mon scotch et mon cutter, je réussis à faire démarrer mon engin. Je fis le plein et rentra dans la cabine. Je décolais et entendant des bruits derrière, me retournais et vis un petit chaton qui était fourré dans les biscuits ! Sa fourrure était sèche. Nous avons fait le voyage ensemble, qui dura trois ou quatre jours.
À la fin, nous aperçûmes un village et nous atterissâmes dans la place principale. Au moins cent personnes nous accueillirent, moi et mon chat. Ce dernier reçut une belle ovation. Le soir, après m'être repus, le chef du village arriva dans ma tente personnelle. Il me parle pendant une demi-heure, et de derrière lui surgit soudain un jeune enfant qui me traduit ce que son chef me disait : en gros, c'était du chantage. Si je voulais rester un peu plus ici, il fallait que je donne mon avion. J'acceptait immédiatement, car je souhaitais me reposer quelque temps de plus, et mon avion ne marchait plus.
À bout d'une semaine je me sentis fin prêt et demanda au chef l'autorisation de quitter le village. J'eus droit à une moto, car il ne savait pas s'en servir. Armé donc de ma machine et du panier avec le chat, je partis. Le chemin fût laborieux, car tenir la route et regarder la carte, c'est un peu compliqué.
Six jours plus tard, j'arrivais à Tunis, où réussissant à m'infiltrer dans une valise contre une liasse de billets, je me trouvais dans la soute d'un bel avion, me ramenant à la maison. Une secousse plutôt violente me sortit de ma rêverie : on déchargeant les bagages. Je dus attendre longtemps avant de pouvoir m'extirper de ma cachette.
Je fus accueillis par un ciel d'un bleu limpide et un soleil éclatant. La fraîcheur me piquait les pores, le soleil avec sa chaleur me caressait. France ! Oh ma France ! Enfin de retour dans mon pays natal ! Sans plus attendre, je me tais vers la route et hêlais un taxi. Direction Perpignan ! La douce musique qui sortait de la radio me mettait sur un petit nuage : je m'envolais de bonheur.
Arrivé au centre-ville, j'ordonnais au chauffeur de s'arrêter. Je pris mon panier et descendis de voiture. Pendant un instant, je regardait le taxi partir au loin, transportant sous le siège mes lunettes d'aviateur. Je ne ferais plus jamais d'avion : un tel périple ne peut s'accomplir qu'une fois. Je constata que je me trouvais devant une maison blanche, au toit rouge et aux colombages bleu ciel. Cette habitation était la mienne.
J'inserait ma clef dans la serrure, poussait la porte.
"- Mamie, je suis rentré ! m'exclamais-je.
- Dépêche-toi, le cassoulet va refroidir.
- Tiens, mamie, c'est pour toi." dis-je en lui tendant mon panier. Une tête en sortit, comme appelée.
"- Oh mon dieu ! Un chat ! Il y a cela a l'épicerie ? m'interrogea-t-elle.
- Oui, si l'on veut..."
J'étais bien rentré à la maison...
J'avoue c'était légèrement chelou XDD J'avais 14 ans pardonnez-moi :')
J'ai encore des trucs à vous dire !
À cause de mes problèmes de santé (TOUT VA MIEUX) j'ai interdiction de grossir parce-que :
- Avec ma peau de merde j'ai des vergetures des que je mange trois biscuits limite
- Ça favorise ce pourquoi je me suis faite opérée
DONC VIOLETTE À EU UNE IDÉE RÉVOLUTIONNAIRE
Un bracelet
MAIS PAS N'IMPORTE LEQUEL !
(En vrai j'ai des doigts mais ils steackaché) (mdrr j'suis bonne)
La ficelle violette a 3 noeuds : pas plus de 3 repas par jour
La verte a elle 2 noeuds : on oublie les goûters
L'ensemble du bracelet : arrête de bouffer n'importe quoi et fais du sport stp
DU COUP ÇA FAIT 1 MOIS QUE JE COURS HUHUHUHUU
Bref
Demain j'ai bac blanc et j'ai pas commencé à réviser
On verra si je possède le talent :')
Vi
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro