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𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟏

Ceci est une histoire courte spéciale : 𝐒𝐚𝐢𝐧𝐭-𝐕𝐚𝐥𝐞𝐧𝐭𝐢𝐧.
Bonne lecture <3

★ 𝐌𝐮𝐬𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐫𝐞𝐜𝐨𝐦𝐦𝐚𝐧𝐝é𝐞 : Look After You ★

❝ Une suprise ? ❞

𝐕 𝐘 𝐊 𝐄   𝐌 𝐀 𝐍 𝐂 𝐈 𝐍 𝐈

Le 𝟏𝟒 février

Je suis réveillé avant le soleil. C'est rare, mais j'ai ce besoin de partir tôt aujourd'hui. Le temps d'être sur le terrain, de régler quelques affaires, et de revenir chez moi bien avant la nuit, pour avoir la soirée avec Chiara. Rien n'est plus précieux pour moi que ces moments avec elle, ces instants où le monde extérieur cesse d'exister.

Je tourne la tête vers l'autre côté du lit. Elle n'est pas là.

Je fronce les sourcils, un léger frisson parcourant mon dos. Elle ne s'est pas levée aussi tôt, pas depuis le jour de notre mariage. Elle dort toujours plus longtemps que moi, enroulée dans les draps, une véritable maîtresse des lieux. Mais là, le vide du matelas me fige. Pas un mouvement, pas un souffle. Le calme, seulement le calme. Je me redresse, les draps glissant sur mes épaules. Pas de Chiara dans la chambre. Merde.

L'angoisse monte, bien qu'elle soit infondée. Elle doit juste être dans une autre pièce, à s'occuper, ou peut-être s'est-elle levée discrètement pour me préparer quelque chose. Je l'imagine dans la cuisine, dos à moi, avec ses cheveux bruns qui glissent sur ses épaules.

Je pousse un soupir et me lève. L'air de la pièce me frappe comme une lame de glace alors que je suis encore en caleçon, les muscles tendus à cause de la surprise. Rien n'est allumé ici, aucune lumière pour bousculer l'obscurité du loft. Le silence est oppressant.

Je m'avance à tâtons, mes pieds nus glissant légèrement sur le parquet du salon. Le loft est vaste, ses murs de briques exposées et les fenêtres gigantesques qui offrent une vue dégagée sur la ville. Le canapé en cuir noir semble plus sombre que d'habitude, presque menaçant. Le loft respire l'espace, mais à cet instant, je me sens étriqué, envahi par un sentiment d'anxiété inexplicable.

Pas un bruit. Juste le battement de mon cœur qui me rappelle que quelque chose cloche. Ce n'est pas normal : il n'y a pas de Chiara. Je me fige à mi-chemin entre la chambre et le salon. Mon regard parcourt la pièce, cherchant des indices.

Soudain, un bruit léger. Le souffle d'une respiration, un frémissement d'air. Mes muscles se tendent immédiatement, un sursaut me parcourant. Je n'ai pas le temps de réagir que, dans l'obscurité, des bras se referment autour de moi.

— Bouh ! s'exclame-t-elle dans un rire étouffé, qui me déchire les tympans.

Je sursaute violemment, la panique instantanée. Mon cœur bat dans ma poitrine comme un tambour. Je veux hurler, frapper, mais tout ce que je réussis à faire est de râler avec agacement.

— Chiara... bordel !

Elle éclate de rire contre mon dos, ses bras serrés autour de ma taille. Je l'entends à peine, la panique me brouillant les sens. J'ai eu une putain de frayeur. Je lève une main pour tenter de la repousser, mais je n'ai même pas la force de le faire. Mon corps est figé, pris au piège de la surprise.

— Un peu peureux pour un mafieux non ?

Je prends une grande inspiration, tentant de me calmer, mais mon cœur continue de battre à tout rompre.

— Sérieusement, Chiara, tu m'as foutu les jetons !

Je respire plus fort, ma voix trahissant la tension de l'instant. Je la sens toujours contre moi, son rire se calmant lentement.

Dans l'obscurité, je devine à peine son sourire malicieux. Elle sait qu'elle m'a eu. Ça me rend dingue, mais je n'arrive pas à m'empêcher de sourire à mon tour.

— T'as pas honte ? je grogne en me tournant vers elle, tout en la repoussant gentiment.

Elle se laisse faire, mais son regard pétillant m'informe qu'elle n'a pas fini de jouer avec mes nerfs. Ses yeux de couleur noisette me charment instantanément.

— Tu m'as bien fait flipper.

Elle se recule enfin, me laissant respirer, mais je suis toujours tendu. Le foutu frisson de peur me hante encore. Quand elle me regarde de ses yeux brillants, je suis prêt à lui crier après, mais je m'arrête. Parce que Chiara, même dans l'obscurité, elle a cette lumière en elle, cette manière d'être là, de remplir l'espace, de tout rendre plus vivant.

Je l'attire à moi, la prenant dans mes bras avec un sourire plus sincère que jamais. Mais dans ma tête, je sais que l'inquiétude qui m'a traversé il y a quelques secondes ne partira pas. Ce n'était rien, juste une peur passagère... Ou peut-être est-ce quelque chose de plus. Je n'arrive jamais à tout comprendre avec elle.

Chiara se sépare de moi en douceur, et, avant qu'elle ne disparaisse dans la cuisine, je la regarde s'éloigner. Ses hanches, ses jambes, son allure... Je suis fou d'elle, comme au premier jour. Je la dévore du regard, et ce n'est pas la première fois. Je suis l'homme le plus chanceux du monde, et ce derrière, cet envoûtant mouvement de ses hanches quand elle marche, je pourrais passer des heures à le regarder. Elle le sait, bien sûr. Elle le sait parce qu'elle me fait toujours l'effet d'une bombe, toujours. Il n'y a qu'elle qui m'électrise ainsi.

Je ferme les yeux un instant, laissant les souvenirs me submerger. La manière dont elle me regarde, sa voix douce mais ferme, et cette présence qui me réchauffe malgré les ténèbres de la nuit. Je n'ai jamais ressenti ça avec aucune autre. Elle est la seule qui compte. Chiara, mon obsession.

Quelques minutes passent, et un bruit dans la cuisine me fait revenir à la réalité. Elle revient, un plateau en bois dans les mains, et une odeur délicieuse qui envahit instantanément l'air. Je fronce les sourcils, surpris. Elle m'a préparé... tout ce que j'aime.

Mon cœur se serre un peu dans ma poitrine. Omelette, café, pancakes à la myrtille, céréales Miel Pops – comme un enfant –, et un verre de jus d'orange frais. Elle connaît mes goûts mieux que moi, comme si elle avait su exactement ce dont j'avais besoin.

Je la regarde ébahi.

— Non mais, t'es sérieuse ? je m'étonne en souriant.

Je n'en reviens pas. Chiara, qui est toujours en train de jouer avec la situation, qui déteste la routine... et voilà, aujourd'hui, elle me sert tout ce que j'aime. Comme si elle savait que j'avais besoin de ce moment. J'attrape une fourchette et prends une bouchée de l'omelette, un petit sourire naïf sur les lèvres.

Elle se plante devant moi, les bras croisés, un sourire malicieux.

— T'es toujours aussi prévisible. Céréales pour un grand garçon, hein ?

Elle s'amuse, comme d'habitude. Ça me fait rire, bien sûr.

— C'est bon. Ça me rappelle les matins où j'étais enfant, avant que ce putain de boulot me bouffe tout le reste.

— Ouais, c'est ça, tu te régales avec tes céréales et ta bouffe de gamin, elle secoue la tête, faussement exaspérée. Tu veux que je te prépare aussi un sandwich à la pâte à tartiner pour que ça fasse encore plus enfantin ?

Je rigole et lui fais un clin d'œil, mes yeux toujours rivés sur le plateau.

— Si tu veux, mais t'es parfaite comme ça.

Je la remercie sincèrement, et ce n'est pas juste pour l'omelette. C'est parce qu'elle me connaît comme personne. Elle sait exactement ce dont j'ai besoin.

Je pose la fourchette, et sans réfléchir, je me lève pour la prendre dans mes bras, la serrant contre moi. Je dépose un baiser doux et long sur ses lèvres, m'arrêtant un instant pour lui sourire.

— Merci. T'es incroyable.

Chiara recule légèrement, son regard se fait plus sérieux, plus intense. Un petit éclair de malice brille dans ses yeux.

— Ce soir, c'est moi qui m'occupe de tout, elle fait une pause, juste pour me rendre fou. Quand tu rentreras, tu n'auras plus qu'à poser ton joli cul et profiter.

Je la fixe, un frisson d'excitation me parcourant tout le long de la colonne vertébrale. C'est exactement ce que je veux, exactement ce que je désire après une journée de travail et de stress. Rien que l'idée de rentrer à la maison et de me laisser aller, de me laisser choyer par elle, ça me fait littéralement bouillir de l'intérieur.

— Attends... Qu'est-ce que tu m'as dit là ? Dis-je en secouant la tête, feignant l'incompréhension. Qu'avez-vous fait de ma femme ?

Elle se laisse aller à un rire légèrement espiègle, mais il y a quelque chose de différent dans sa voix.

— Chéri, tu n'as aucune idée de ce que je t'ai réservé.

Elle se penche pour m'embrasser encore une fois, mais son regard ne trahit rien. Je sais que ça cache un plan. Et j'aime ça.

Je la regarde un instant, tout en pensant que peu importe ce qu'elle prépare. Je sais que tout ce qu'elle fait est pour moi. Mon cœur s'emballe juste à l'idée de ce qui pourrait venir. Chiara... Cette femme n'a rien de prévisible, et c'est pour ça que je l'aime plus que tout.

Elle se redresse, un léger sourire toujours accroché à ses lèvres.

— Bon, j'ai du sommeil à rattraper.

Elle se détourne de moi et commence à se déplacer vers la chambre, sa robe de nuit légère se balançant autour d'elle à chaque pas. Le tissu glisse sur ses hanches et ses jambes, traînant presque sur le sol. Un frisson me parcourt quand elle laisse tomber la robe sur le carrelage, l'ignorant comme si de rien n'était.

Je reste là, à la regarder, incapable de détacher mes yeux d'elle. Chaque mouvement est magnétique, chaque geste me capte. Ses cheveux bruns flottent autour de son visage. La manière dont elle s'éloigne de moi, dans toute sa beauté indomptée... Je la désire plus que tout, plus que je ne pourrais jamais l'exprimer.

Elle se retourne, mordillant sa lèvre inférieure avec un sourire mutin. Ses yeux, brillants de malice, croisent les miens et me lancent un regard provocateur.

— Je retourne dormir, moi.

Elle a cette façon de me dire les choses avec une légèreté désarmante, un mélange d'humour et de sensualité qui me fait perdre mes repères. Je me précipite, mes muscles tendus, bien décidé à ne pas la laisser s'échapper. Je bondis hors du canapé, une étincelle d'envie dans les yeux.

— Dans tes rêves, ma femme ! je lui lance, l'attrapant par la taille avant qu'elle ne puisse atteindre la porte de la chambre.

Elle rit, un rire léger mais empli de défi.

— Ah oui ? Tu crois vraiment que j'ai besoin de rêves quand je t'ai ici ?

Elle se retourne en me regardant, une étincelle dans ses yeux. J'ai l'impression que son regard me transperce, que chaque mouvement qu'elle fait est calculé pour me rendre fou. Et elle sait exactement à quel point ça fonctionne. Elle le fait exprès, bien sûr.

Je la serre contre moi, la rapprochant encore plus, jusqu'à ce que nos corps se frôlent. Je peux sentir la chaleur de sa peau contre la mienne, et c'est comme si le reste du monde disparaissait. Elle m'échappe un peu, recule légèrement, mais sans me quitter des yeux. La tension entre nous est palpable, électrique. 

Je m'approche d'elle, mais avant que je puisse poser mes lèvres sur les siennes, elle glisse sa main sur mon torse, me poussant doucement en arrière. Elle se mord de nouveau la lèvre, un sourire espiègle étirant ses lèvres.

— Tu sais, je n'aime pas quand tu me voles mes moments.

Elle souffle ces mots presque comme une promesse, un défi. Je la regarde, un sourire en coin se dessinant sur mes lèvres.

— Ne te fais pas trop désirer, Chiara.

Je la sens se tendre sous mes mains, et je sais que je n'ai pas besoin de plus. Elle me provoque, elle sait exactement comment m'attirer dans son jeu.

Nos lèvres se rencontrent dans un baiser fiévreux, tout le contrôle que j'avais pris en me levant ce matin s'effondre. La chambre devient notre terrain de jeu, un endroit où l'on oublie tout le reste, où il n'y a que nous deux. Le monde extérieur disparaît, et je n'ai plus qu'elle.

❀ ❀ ❀ ❀ ❀

Voici le premier chapitre de cette romance spéciale Saint-Valentin,

Rempli d'amour et de fausse frayeur ✨

N'hésitez pas à me dire ce que vous en avez pensé !

Je vous laisse découvrir le deuxième chapitre... 🤭👇🏼

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