Reeeee tout le monde !^^ Je suis dans le retour dans le fandom Saint Seiya, enfin ! >///< Je reprend ce recueil avec un petit OS tout court écrit en 5 minutes mais j'espere qu'il vous plaira quand même ;3

...*vient de réaliser qu'elle a pas posté la suite d'Un monde bleu comme les larmes depuis au moins un mois* oups ._. Les lecteurs de cette histoire qui passent par là vous en faitent pas je vais corriger ça >3<

Breeeef, asssez parler, le voici : 

« Pourquoi tu pleures ? »

L'enfant ne répondit rien, se contentant de se recroqueviller un peu plus sur lui même. La peine lui nouait la gorge, lui déchirait les entrailles, l'aneantissait peu à peu. Il n'arrivait toujours pas à y croire.

« Tu ne regrettes quand même pas... Ton traître de frère ? »

Aiolia tresaillit devant le ton dégoûté employé par la voix. Il sentit les battements de son cœur s'accélérer, l'air lui manquer. Le regard fixé sur le sol, il avait l'impression d'étouffer.

« Laisse, c'est normal qu'il sois triste après tout. » Reprit une autre voix. « Aioros était sa seule famille. »

Et étrangement, ses mots ne firent que renforcer la peine grandissante du jeune lion. Oui, c'était sa seule famille. Il était seul, désormais. Perdu au milieu du lieu hostile qu'était le sanctuaire à ses yeux, un lieu où l'honneur primait sur les valeurs humaines.

« Ça ne change rien. Un traitre reste un traitre. Personne ne devrait le pleurer. Après tout... » Un court silence prit place, avant que l'homme ne reprenne avec un rejet profond : « Il partage son sang. On ne peux pas lui faire confiance. Le grand pope devrait au moins l'exiler, lui aussi. »

Le souffle d'Aiolia se coupa. Il retint sa respiration, comme si la moindre particule d'air l'anéantirait. Ce n'était pas sa faute. Il n'avait rien fait.

« C'est pas aussi simple, tout le monde ne peux pas prétendre à l'armure du lion. »

Il ne voulait plus. Il ne voulait plus rien entendre.

« ... Ouais. À la rigueur, je pense que ce serait toujours plus sûr de ne pas avoir de chevalier du lion que d'avoir un frère de renega. »

Brutalement, l'enfant se leva. Sa respiration était paniquée, ératique. Il n'était pas responsable des agissements d'Aioros. Pas le moins du monde.

Il n'adressa pas un retard aux deux hommes qui discuaient sur lui non loin, et se précipita le plus loin possible d'eux. Il ne savais pas où il allait. Il laissait ses jambes le guider, avec un seul désir ardent lui comprimant le cœur : il voulait fuir. Juste un instant, s'échapper de l'ambiance pesante du sanctuaire, qui régnait depuis la mort du traître.

Depuis la mort du héros.

ET VOILÀ ! :D C'était court hein ? X)

J'aime beaucoup écrire de l'historique, vous avez dû remarquer x) Mais je vais aussi faire autre chose hein ._. 

Re bref, j'espère que ça vous as plut et à bientôt ! ( j'espère... ಠ_ಠ )