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|3. Say something|

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CHAPITRE 3

SAY SOMETHING

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— Putain de merde de bordel de merde ! jura le chauffeur. Ô Seigneur ! Dis-moi que c’est un putain de cauchemar et que je n’ai renversé personne. Faîtes que ce soit qu’une hallucination due à une trop grande consommation d’alcool.

Il ferma les yeux et pria quelques secondes dans son cœur, suppliant les dieux que ce ne soit qu’un cauchemar. Il attendit encore une à deux minutes avant de rouvrir ses paupières et son regard tomba sur l’homme étalé sur le goudron, baignant dans une mare de sang.

— Bordel de merde ! Il saigne ! Il saigne ! paniqua-t-il. Ô Dieu, il saigne !

L’homme s’arracha les cheveux, perdant ses moyens.

— Qu’est-ce que je fais ? Tony, bordel, réfléchis ! Y a un homme qui crève sous tes yeux et… Quoi ? Minute… Il… merde…merde…merde… il crève. Il est en train de crever et moi je suis bourré. Il meurt et moi je suis ivre. Ô Dieu, je suis vraiment dans la merde !

Tony s’approcha de l’homme inconscient et repoussa la panique qui était en train de le submerger. Ce n’était pas le moment de perdre ses moyens. Il y avait un homme gravement blessé qui avait besoin de son aide et ivre ou pas, il allait lui porter secours et tout irait bien. Du moins, il l’espérait.

Il s’accroupit et évalua rapidement les dégâts qu’il avait causé. Ce n’était pas bon du tout. Il n’était pas médecin mais savait que l’homme avait besoin d’être transféré aux urgences le plus rapidement possible. Il saignait trop et risquait de mourir à cause d’une hémorragie.

Il transporta l’homme avec la plus grande délicatesse dont il pouvait faire preuve et marcha en direction de sa voiture.

— Tu devrais certainement manger un peu plus, mec, dit-il. T’es bien trop léger pour un homme de ton âge. D’ailleurs, t’as quel âge ?

Il plaça l’inconscient sur le siège passager et sauta rapidement au volant de sa voiture. Il savait que l’homme ne voulait pas aller à l’hôpital mais il n’avait guère de choix. Pendant qu’il conduisait, il sortit son téléphone portable et composa un numéro bien familier.

— Manoir Stark, Jarvis à l’appareil, que puis-je…

— Jarv’, c’est Tony.

— Monsieur ? fit le majordome, intrigué. Que puis-je pour vous ?

— Je suis dans la merde, Jarv’ ! Je viens de renverser un type et il est inconscient, pratiquement en train de crever dans ma bagnole. Que dois-je faire, J’ ?

— Vous devriez vous rendre à l’hôpital le plus proche, monsieur, répondit le majordome.

— Ouais, mais le gars était contre cette idée avant de tomber dans les pommes. Je suis complètement paumé, Jarvis, et sans l’alcool qui parcourt mes veines, je crois bien que j’aurais fait une crise de panique. Suis dans la merde, J’. Les paparazzis vont me tomber dessus dès qu’ils vont l’apprendre. Si le mec crève, j’irais peut-être en taule au pire et au mieux, Pepper et Obie vont me tuer pour avoir coulé la boîte ! Je suis même sûr que mon vieux reviendra d’entre les morts juste pour me faire savoir à quel point j’ai été un fils décevant.

— Prenez une longue inspiration, monsieur, conseilla le majordome. Ensuite, conduisez jusqu’à la clinique Stark. Je vous y rejoins dans les plus brefs délais.

— Très bien, acquiesça Tony. Merci, Jarvis. T’es un super pote.

— Contentez-vous de conduire prudemment jusqu’à la clinique, monsieur. Je me chargerai du reste.

Jarvis raccrocha après cela et Tony se concentra sur la route, prenant une longue et profonde inspiration. Il se dirigea vers la clinique Stark. Une clinique privée qui avait été créée par Maria Carbonell Stark, sa mère. Il fut heureux d’apercevoir l’institution au bout de quelques minutes de route et sans surprise, une équipe d’urgentistes était à l’entrée de la clinique avec un brancard et tout le matériel adéquat pour venir en aide à un accidenté de la route.

Il se gara près des marches de la clinique et aussitôt, les urgentistes se ruèrent sur sa voiture et l’un d’entre eux ouvrit la portière du côté passager pour en extirper le blessé qu’il posa avec douceur sur le brancard.

— Vite ! Vite ! En salle d’urgence ! lança le médecin.

Ils se précipitèrent à l’intérieur du bâtiment, le médecin en chef aboyant des ordres à son équipe. Tony les suivit jusque dans un couloir et ne put aller plus loin car l’homme qu’il avait renversé était mené en soins d’urgences.

Il se glissa le long du mur du couloir et se prit la tête entre les mains tandis qu’il s’asseyait au sol. Il était tout tremblant et doutait qu’il se remettrait d’un tel épisode si l’homme venait à décéder. À cause de son insouciance, il venait de tamponner un homme et ce dernier se trouvait entre la vie et la mort par sa faute. En plus de cela, les actions de Stark Industries en prendraient un sacré coup car il était sûr que la presse s’en donnerait à cœur joie pour le lyncher sur la place publique. Il ferait effectivement une fois de plus la une des journaux mais cette fois-ci pas parce qu’il avait couché avec un célèbre mannequin ou qu’il avait été vu à une fête ultra branchée mais parce qu’il avait renversé un homme au volant de son Audi.

Il était sûr et certain que Pepper le tuerait et qu’Obadiah le regarderait avec déception. Jarvis, il ne savait trop quoi en penser, et était certain que la réaction de l’homme serait encore pire que celle des deux autres.

Il ne sut combien de temps il attendit dans ce long couloir vide et immaculé mais une main posée sur son épaule le sortit de ses pensées maussades. Il leva la tête et croisa le regard insondable de son majordome.

— Venez.

Il se releva et suivit Jarvis jusqu’à la salle d’attente où l’homme lui désigna des sièges. Il s’assit et prit le gobelet que lui tendit le majordome. Il prit une gorgée du café chaud et amer et sentit son esprit s’apaiser quelques secondes avant que le vieil homme ne puisse prendre la parole.

— J’ai contacté, miss Potts, après votre coup de fil. Elle sera là dans une demi-heure, l’informa Jarvis.

— Comment l’a-t-elle pris ? demanda Tony, devenu pâle tout à coup.

— Elle était inquiète pour vous mais aussi très en colère après vous, répondit Jarvis.

Il n’était pas surpris. Il savait bien qu’il méritait la colère de la jeune femme et que les réprimandes qui s'en suivraient seraient méritées car il avait sérieusement merdé.

— Et Obie ?

— J’ai cru bon de ne pas en informer monsieur Stane pour l’instant.

Tony n’en avait réellement aucune idée mais il était à peu près sûr et certain que son majordome détestait Obadiah, l’homme qui était chargé de s’occuper des entreprises de Stark Industries tandis que lui s’amusait à jouer au play-boy milliardaire à des soirées organisées par la jet set américaine. Il préféra ne pas discuter sur ce point avec Jarvis et poussa un soupir de soulagement en sachant qu’il n’aurait que Pepper à gérer ce soir. Il ferait face à Obadiah, un peu plus tard.

Il venait de terminer son café lorsqu’une jeune femme aux cheveux roux tirés en queue de cheval et aux yeux verts fit son apparition dans un tailleur noir, claquant ses talons sur le sol des couloirs de la clinique.

— Hey, Pep…

Il reçut une gifle avant de pouvoir finir sa phrase. Il regarda la rousse d’un air abasourdi.

— Quand allez-vous enfin vous décider à grandir ? l’interrogea Pepper, furieuse. Vous avez renversé un homme, monsieur Stark ! Cette personne pourrait mourir à cause de vous ! Avez-vous pensé aux conséquences de vos actes ? Aux gens que vous auriez pu blesser ? À la famille de ce dernier ?

Il reçut comme une douche froide et le peu d’alcool qui courrait encore dans son organisme sembla s’évanouir à la suite des paroles de son assistante personnelle. Il était vrai qu’il n’avait pas pensé aux réelles conséquences de ses actes et s’était plus inquiété de son avenir que de celui de l’homme qui était aux urgences ou encore aux proches de ce dernier. Une fois encore, il n’avait pensé qu’à lui et pas aux autres. Il avait été plus qu’égoïste sur ce coup.

Pepper était en larmes et Tony s’en voulut de la faire pleurer. Il voulait s’excuser et implorer son pardon mais ce n’était pas dans ses habitudes. Il ne savait jamais s’excuser et c’était peut-être à cause de son attitude désinvolte qu’il gâchait ses plus belles relations.

— Si cet homme meurt, je présenterai ma démission, prévint-elle avant de tourner les talons.

Il aurait dû courir après elle mais puisqu’il était un imbécile, il ne le fit pas. Il la laissa s’en aller comme toujours et ne saurait peut-être jamais ce qu’il ratait à chaque fois qu’il la laissait partir sans jamais essayer de la retenir.

— Je vais discuter avec Miss Potts, dit Jarvis avant de l’abandonner dans la salle d’attente à son tour.

Il se prit à nouveau la tête entre les mains et se maudit pour sa stupidité et son inconscience. Il sentait sa vie ne tenir qu’à un fil à partir de maintenant. Tout ne dépendrait plus que de la survie de cet homme.

Il attendit patiemment de longues heures en salle d’attente et tourna en rond dans la pièce lorsqu’il ne reçut aucune nouvelle des médecins. Il se trouvait en compagnie de Pepper et de Jarvis qui étaient revenus peu de temps après la claque justifiée qu’il avait reçu de la rousse. Pepper l’avait ignoré tout au long de l’attente et même si cela faisait mal, il comprenait l’attitude de la jeune femme. Il avait été trop loin cette fois-ci et peut-être qu’il avait réussi à détruire la relation bancale qu’il entretenait avec elle.

— Monsieur Stark, l’interpella un médecin.

Il se tourna à la hâte vers le médecin, tous les muscles de son corps extrêmement tendus.

— Comment va-t-il ? demanda-t-il, impatient.

— Nous avons pu le sauver à temps et avons pu stabiliser son état. Nous le garderons encore quarante-huit heures aux urgences pour voir comment il réagit aux soins que nous lui avons administré, répondit le docteur.

— Merci Seigneur, soupira Tony, soulagé.

— Cela veut-il dire qu’il ira mieux ? Il est sauvé, n’est-ce pas ? demanda Pepper.

Le médecin dériva son regard entre le jeune héritier des industries Stark et l’assistante personnelle de ce dernier. L’homme dégagea sa gorge et plaça son bloc-notes sous son bras droit.

— Je ne sais comment vous le dire mais mes collègues et moi avons fait une découverte assez perturbante et anormale.

— Pourquoi ai-je l’impression que ce que vous allez nous dire ne sera pas joyeux du tout ? lança Tony.

— En effet, confirma le médecin. Nous avons découvert que le patient portait en lui un enfant.

— Portait ? releva Pepper, alarmée. Est-ce que cela veut dire que… le bébé est…

— Non, dit le médecin à la hâte. L’enfant est toujours vivant mais son état est assez critique tout comme celui du patient d’ailleurs. Nous avons pu stabiliser leur état de santé et arrêter l’hémorragie mais leurs vies sont toujours en danger. Pour une raison qui nous échappe, le patient se meurt et cela a des conséquences sur l’enfant qu’il porte.

— Faisons un replay, les gars, dit Tony. Êtes-vous sérieusement en train de nous dire que le mec que j’ai failli tuer est enceinte ?

— C’est ce que j’ai dit, monsieur Stark, confirma le docteur.

— Attendez ! Je pensais que c’était, moi, le mec bourré ici, lança Tony, incrédule. Vous ne pouvez pas dire qu’un mec est enceinte, docteur. Vous êtes parfaitement sobre et ne puez pas l’alcool.

— C’est une découverte qui nous surprend, toute mon équipe et moi-même, mais les faits sont là, monsieur Stark. Ce patient porte la vie en lui. D’après les examens que nous avons effectué sur lui, il en serait à son quatrième mois de grossesse. La conception daterait du mois d’octobre.

— Êtes-vous sûrs que ce soit un homme ? questionna Pepper.

— Absolument, miss Potts.

— Non ! Ça doit être une blague. Vous ne pouvez pas être sérieux, les mecs. Aucun homme sur cette terre ne peut tomber enceinte !

— Et pourtant nous ne pouvons nier que cet homme le soit bel et bien, répliqua le médecin. C’est un phénomène nouveau pour nous, certainement inédit et incompréhensible car le corps de cet homme semble s’être parfaitement adapté à la vie qui croît en lui. Un peu comme le corps d’une femme.

— Vous êtes en train de dire quoi là ? Qu’il fallut tout simplement d’une formule magique, Abracadabra, et cet homme est devenu enceinte ? Nous ne sommes pas dans un livre de Tolkien, docteur. Les elfes n’existent pas, encore moins les magiciens et certainement pas les HOMMES ENCEINTES ! Avez-vous compris ?

— Monsieur Stark, nous avons effectué tous les examens nécessaires et ils sont tous sans appels. Le patient est enceinte.

— Merde alors, lâcha Tony, ahuri.

Il prit un moment avant d’encaisser le choc de la nouvelle et puis, il repensa à l’homme, à quelques minutes avant qu’il ne perde connaissance.

— Merde ! jura-t-il à nouveau. Le putain de bâtard !

— Tony ! le réprimanda Pepper.

— C’est certainement pour cela qu’il ne voulait pas aller à l’hôpital. Je ne comprenais pas sa réaction excessive à l’idée d’être conduit dans un établissement hospitalier. L’enfoiré ! Il savait qu’il était enceinte et ne voulait pas que ça se sache.

Tous les regards étaient fixés sur le jeune milliardaire qui se mettait à injurier copieusement le patient qui était dans un état critique aux urgences.

— Non mais quel gars avec un certain bon sens tomberait enceinte ? se demanda-t-il, dubitatif. Il a usé de magie ou quoi ? Même Tolkien qui a inventé le langage elfique n’aurait pas été jusqu’à faire féconder des mâles ! C’est quoi le délire ? Vous imaginez Bilbon porter l’enfant de Thorin ? C’est juste pas possible parce que ce sont des putains de mecs ! Des mecs, bon sang !

— Monsieur Stark.

— Ça doit sûrement être un gag ou peut-être suis-je encore trop ivre ou mieux, nous sommes tous drogués. Ça doit être ça car je suis un putain de scientifique et je sais qu’il est impossible pour un homme tout à fait NORMAL de tomber enceinte ! Ça n’existe pas à moins que le type vienne d’une autre planète mais là encore, je doute de l’existence d’extraterrestres.

— Monsieur Stark.

— Un alien ? Peu probable mais dans une telle situation, nous ne pouvons en écarter la possibilité. Mais comment ça se fait qu’un mâle puisse être fécondé ?

— Tony ! lança Pepper d’une voix un peu plus forte.

— Quoi ? Ouais… qu’est-ce qui se passe ?

— Tu devrais penser à te calmer. Nous sommes dans une clinique, Tony, pas dans un théâtre ! Alors si tu veux jouer à ta Drama Queen, tu ferais mieux de quitter cette institution et de prendre un vol pour Broadway, dit Pepper d’un ton sarcastique.

— Je… désolé… c’est juste que… bredouilla Tony, passant une main dans ses cheveux bruns, l’air complètement perdu.

Pepper s’adoucit légèrement mais gardait une expression sévère sur son visage. Elle comprenait que la situation puisse être intrigante voire même stressante pour son jeune patron mais ce n’était pas le moment de flancher. Ils se retrouvaient tous ici dans cette merde à cause des actions inconsidérées du jeune milliardaire. S’il n’avait pas été ivre cette nuit-là, ils auraient certainement pu éviter un drame.

— Edwin, que faisons-nous ? demanda-t-elle au majordome.

Edwin Jarvis était le majordome de la famille Stark mais aussi un ancien pilote de la Royal Air Force du Royaume-Uni. Il avait pris sa retraite et s’était installé aux États-Unis où il fut embauché par Howard et Maria Stark. Il servait les intérêts de la famille depuis de nombreuses années et avait toujours été un excellent conseiller.

— Docteur Grant, activation du protocole Collins, ordonna Jarvis.

— Vous n’y pensez tout de même pas ! Cet homme pourrait permettre à la médecine d’évoluer. Si nous…

— Activation du protocole Collins, répéta sèchement Jarvis.

Le médecin se tourna vers Tony dans l’espoir qu’il protesterait contre l’activation d’un tel protocole mais le milliardaire ne dit rien, restant silencieux dans le coin de la salle d’attente. Le docteur Grant baissa les épaules, la mine défaite et hocha la tête.

— Bien.

— Faîtes évacuer le patient jusqu’au manoir Stark, poursuivit Jarvis.

— Très bien.

Le docteur quitta la salle d’attente pour aller exécuter les ordres données par le majordome.

— Qu’est-ce que c’est le protocole Collins ? questionna Pepper, curieuse.

— Ce protocole a été mis en place par Madame Stark peu de temps après l’ouverture de la clinique. Il permet d’assurer le secret de la famille Stark en effaçant toutes données compromettantes qui pourraient atteindre Stark Industries. Ce protocole permet d’effacer tous fichiers se rapprochant de près ou de loin aux membres de la famille et les médecins qui ont été soumis au secret disparaîtront avant que le jour ne se lève, expliqua Jarvis.

— Vous… vous… voulez dire qu’ils vont être tués ? fit Pepper, choquée.

— Ils savaient tous ce qu’ils encouraient à travailler dans cette clinique, miss Potts.

— Ce sont des êtres humains, bon sang ! Comment pouvez-vous être aussi insensibles ? se révolta la rousse.

Jarvis posa un regard dur sur la jeune femme.

— Ils ont été prévenus dès le départ et savaient qu’un jour ou l’autre, le protocole Collins serait activé. Ils en avaient tous conscience. Tous les médecins qui travaillent pour la clinique Stark savent qu’ils risquent leur vie à tout moment mais ils ont tout de même décidé de travailler ici. C’était un sacrifice qu’ils étaient tous prêts à faire pour la famille Stark car toutes ces personnes sont dévouées au bien-être et à la sécurité des membres de la famille. C’est une loyauté que vous n’êtes, certes, pas en mesure de comprendre mais une nécessité pour tous.

— C’est ignoble, cracha Pepper.

— Certainement, oui, concéda Jarvis.

— Il est hors de question que je reste une seconde de plus dans cet endroit, lança Pepper.

Elle tourna les talons sans un regard vers Tony et quitta précipitamment la clinique.

— Étais-tu obligé de lui faire croire qu’ils allaient vraiment mourir ? grogna Tony.

— J’ai confiance en miss Potts mais pour son propre bien, il ne vaut mieux pas qu’elle sache les réelles spécificités du protocole Collins, argua Jarvis. De telles informations pourraient mettre sa vie en danger.

— Je sais mais je n’aime pas lui mentir.

— Vous n’avez pas menti, monsieur. Je suis celui qui a menti.

— Pour me protéger.

— Pour vous protéger.

— Nous avons activé le protocole, monsieur. Toutes preuves que nous détenions à la clinique ont été détruites. Un avion nous attend à l’aéroport pour nous conduire à Collins. Le docteur Xavier est en route et sera à Malibu dans moins de six heures, informa Grant.

— Et le patient ?

— En route pour le manoir Stark, répondit le médecin.

— Merci beaucoup, Docteur Grant. J’espère que vous vous y plairez à Collins, dit Jarvis.

— Adieu.

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