Chapitre 18
Le jeune garçon était sur son petit nuage. Il en avait tant rêvé ! Il sentait le souffle de Maylis sur sa poitrine. Newt posa ses lèvres sur son front. Elle se laissa bercer, dans les bras du blond.
- Newt, où es-tu... Oh désolé !
Thomas rougit, honteux. Newt rit doucement et lui fit signe de s'approcher. Thomas avança, hésitant, vers son ami. Il montra du doigt la jeune fille, puis Newt. Enfin, il mima un câlin. Newt acquiesça.
- J'ai loupé quelque chose ? demanda Thomas.
- Ben... J'ai embrassé Maylis. fit Newt triomphal.
- Et je l'ai embrassé juste après, continua Maylis.
- Donc vous êtes ensembles ?
- D'une certaine manière, oui. répondit le blondinet.
- Comment ça, d'une certaine manière ? s'écria Thomas.
- C'est pas officiellement officiel.
- Ah.
- Mais, dis-moi Lissy, dit Newt. Tu veux bien nous rendre public ?
- Lissy ? C'est qui Lissy ? murmura Maylis perdue.
- C'est comme ça que je t'appelle dans mes rêves.
- Ah. Mais alors, j'ai le droit de t'appeler Newti.
- Pas de problème.
Les deux se contemplèrent avec adoration.
- Je ne veux pas casser l'ambiance, mais on doit y aller. ricana Thomas.
- Où ? questionna Newt.
- Voir Gally se faire bannir.
En entendant cela, Maylis se crispa. Sa nuque se tendit, et elle serra les poings. Puis, elle fondit en larmes. Newt adressa un regard de reproche à Thomas. Il essuya du pouce les larmes sur le visage de sa bien-aimée.
- Qu'est-ce qui ne va pas, ma Lissy ?
- C'est juste que, sanglota la blonde, je ne veux pas le revoir ! Il m'a... Enfin il m'a touchée...
- Chut, la consola Newt. Je sais. Mais il ne pourra plus rien te faire, et je te jure que les autres n'ont pas intérêt.
- Mais à chaque fois, on les banni à cause de moi !
- Parce que c'est à toi qu'ils s'en prennent, ma Lissy. Je te promets que ce n'est pas ta faute.
- Newt a raison, Maylis. C'est pas de ta faute si ils te font souffrir.
- Viens Lissy, lui murmura doucement Newt. Tu n'as rien à craindre. Les blocards sont de ton côté.
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