étranges (encore)
sourire outrancier de la vendeuse
tu ne porteras plus jamais cette veste.
ce monde friand de carnivores
laisse place à une utopie amère.
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Croche noi-âre croche noi-âre !
ânonnent en chœur les enfants
La terre sulfureuse se craquèle sous leurs pieds et fait mourir les notes
la partition se fend, les jeunes angéliques disparaissent
Balayés les souvenirs, le sol les a engloutis.
S'il suffisait de lui donner des corps !
Mais pas de libre-arbitre ni de conscience.
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