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Runaway With You ?

TW: [abus domestique]

Je viens de finir une longue heure de colle, toujours aussi longue et ennuyante que les précédentes, mais chaque jour je me rapproche un peu plus de la fin de ma punition. J'ai fini par rattraper mes heures de sommeil que je ratais à force de sortir avec les Keiyaku, j'ai même eu le temps de plancher sur les possibilités d'avenir qui pouvaient s'offrir à moi.

Et je sais pertinemment que je ne veux pas finir comme mon père ou ma mère, obligée à faire un travail que je vais détester, rien que pour payer un loyer et des factures. J'ai les capacités pour réussir, si je continue en étant régulière dans mon travail et en arrêtant de sécher les cours, j'arriverais peut-être à décrocher une bourse pour l'université.

Ce serait bien pour commencer, ensuite un petit job en complément pour espérer payer un studio et y emménager, espérant me trouver un espace personnel où je serais tranquille. C'est un bon programme. Par contre, je sais que je ne suis pas prête à léguer les Keiyaku à une autre, seulement pour l'instant je vais continuer avec elles et m'amuser. Si je fais des efforts pour les cours, il faudra bien que je me détende en contrepartie, et elles sont ma seule échappatoire.

Je laisse échapper un long soupir, je suis en train de me promener en ville. J'ai eu le temps de passer chez moi pour changer mon uniforme scolaire contre celui de délinquante, troquant la longue jupe et le chemisier marin pour celui des travailleurs du bâtiment. Après ma retenue, j'avais réuni le gang pour qu'on règle les quelques problèmes internes qu'on avait, à chaque nouvelle fusion après une victoire, je suis obligée de jouer les médiateurs pour trouver des compromis entre chacun des groupes.

Le soleil commence à décliner doucement, teintant le ciel de nuance rose et orangé, un gargouillement s'échappe de mon estomac, j'ai faim et je ne connais pas la suite de ma soirée. Je pense faire comme d'habitude, passer chez Kansi pour l'emmerder, repartir après et me promener dans Tokyo de nuit et je finirais par rentrer chez moi.

Je me dirige vers un des restaurant où j'ai l'habitude d'aller que je sois accompagnée ou seule. C'est pas le plus proche d'où je me situe mais le résultat en vaut le chemin, en plus ce n'est pas trop loin de chez Kansi.

Je me promène dans les rues de ma ville natale, les néons illuminent les magasins. C'est sûrement la raison pour laquelle je passe mes nuits dehors. Je presse le pas, j'ai vraiment envie de manger.

Je réprime un sursaut, en sentant une main s'enrouler autour de mon bras. Je me retourne brusquement pour l'envoyer se faire foutre, mais rapidement mon expression froide se décompose pour laisser place à la panique et l'incompréhension. Je me retrouve face à mon père que je n'avais pas vu depuis plusieurs jours. Il affiche sa tête des mauvais jours, la même que le jour où il m'a blessé. Je suis incapable de réagir, ma respiration se bloque totalement et ma vision se brouille.

Je suis naïve d'avoir cru que ce jour-là avait été un incident isolé, les autres fois il était passif et morose, dormant sur le canapé, je n'avais pas en m'en préoccuper c'était son problème, j'ai essayé de l'aider mais il m'a bien fait comprendre.

Cela ne peut pas recommencer, pas une nouvelle fois. Mon corps ne répond pas, je suis incapable de bouger, de me débattre ou de me défendre. Il ne va pas oser faire ça en pleine rue, enfin on est pas dans une rue animée, mais une ruelle qui coupe deux grandes avec quelques bars miteux pour la meubler.

— Qui vois-je, ma salope de fille dans un uniforme de gang, cracha-t-il avec dédain.

Chacun de mes muscles est paralysé, chaque seconde s'écoule comme une heure interminable. Je suis à bout de souffle, ma respiration devient trop difficile pour que je rétorque quelque chose. De toute façon pour faire cela, il faudrait que je retrouve du courage ou ma fierté mais les deux se sont terrés au fond de mon être.

— Tu devrais être reconnaissante de tout ce que je fais pour toi, continua-t-il, me crachant tout son venin, ses doigts serrant toujours plus fermement la peau de mon bras.

Maintenant je commence à trembler, avec ma chance ou karma, la probabilité que quelqu'un vienne en aide est proche de zéro. Je ne pensais pas qu'un jour je ressentirais de nouveau cette peur, celle qui me prend les tripes à vouloir me faire vomir, et qui me fait paniquer à m'en provoquer des crises.

— T'es vraiment comme ta pute de mère, une bonne à rien ingrate, qui mériterait de finir sur le trottoir, comment il ose dire ça à sa propre fille, je fais tout me faire oublier auprès de lui et c'est comme ça qu'il me voit sincèrement.

Sa main se lève, fendant l'air pour s'abattre sur mon visage, mais quelque chose retient sa course, bloquant son poignet.

— Je sais pas qui t'es, mais t'as l'air beaucoup trop vieux que pour te battre sans aucune arrière pensée avec elle, fait une voix que je connaissais trop bien depuis ces dernières semaines.

Même lui, cet enculé, je suis soulagée qu'il me sorte de là. Ma poitrine commence à retrouver le rythme auquel elle se soulevait avant, néanmoins mon cœur bat toujours aussi fort. La prise sur mon bras se détendit quand un bruit de craquement me parvint aux oreilles me ramenant à la réalité.

Je profite de cet instant pour me reculer, voulant retrouver à tout prix mon calme. J'inspire et expire lourdement, essuyant mes yeux humides. C'est bon je profite de ce moment de calme pour retrouver mes esprits.

Une nouvelle fois, une main se pose sur mes épaules, je lève les yeux vers lui. C'est bel et bien Madarame, je n'avais pas halluciné. Il m'attrape par cet endroit et me pousse dans une direction opposée. Toujours sous le choc malgré le fait que je retrouve peu à peu mes esprits, je ne réagis pas.

Ça va Leiko ? demanda-t-il en s'arrêtant dans une rue plus loin.

Je souffle et hoche la tête, je me laisse tomber contre un mur, fuyant son regard interrogateur sur moi. Je me sens obligée de faire un truc envers lui après ce qu'il vient de faire.

Merci, soufflais-je. Et sincèrement, Shion, mes yeux s'écarquillent en me rendant compte que je venais de prononcer son prénom, ça m'apprendra à vouloir le remercier.

— Il hausse un sourcil et me sert un sourire amusé. Ça change de ton habituel connard, ça sonne bien dans ta bouche.

Mon corps réprime un frisson, à l'entendre me dire ça.

Ne t'y habitue pas trop, trou du cul, finissais-je en devenant plus froide. D'ailleurs, pourquoi t'étais là ?

— J'étais de passage et j'ai reconnu ta veste, à la base je n'allais pas intervenir, mais quand j'ai vu que tu ne bougeais pas je suis venue voir, m'informa-t-il.

Sympa de m'apprendre ça, ralais-je.

— Il hausse un sourcil et hausse les épaules. Je suis honnête au moins, j'ai rien d'un enfant de cœur, c'était une autre elle se démerdait seule.

Je lève les yeux au ciel, désespéré, c'est toujours sur que je tombe dès qu'il se passe un truc. Il se rapproche de moi et soulève les mèches de ma franche qui me tombe sur les yeux.

Je suppose que c'est lui qui t'as fait ça, dit-il doucement en passant son pouce sur l'une des fines cicatrices qui le raye.

Ce simple contact me fait frissonner, et mon cœur rate un battement. Putain il me met dans un état inimmaginable, et je sens que je suis sur le point de faire un truc que je pourrais regretter.

Tu supposes bien, répondais-je provocante.

Je sais, souria-t-il, arrogant.

Son souffle chaud s'abat contre ma peau, m'électrisant totalement. Putain je suis en train de devenir dingue. C'est la première fois que je réagis comme ça dans sa présence.

— Tu viens, je comptais aller manger avant de te croiser, dit-il en se reculant.

Non, j'ai plus très faim, avouais-je.

Purée, sa présence proche de moi me manque déjà. En réalité, j'ai faim mais pas de la façon dont il pense.

Prise d'impulsion, j'attrape ses joues et pose mes lèvres sur les siennes, j'attends qu'il me repousse. Mais il ne le fait pas. Sa main se pose sur mes fesses et me fait reculer jusqu'à me coller de nouveau contre le mur. Il me sépare de lui quand on commence à manquer d'air.

— C'est seulement maintenant que tu succombe à mon charme, déclara-t-il avec sarcasme.

Ta gueule, connard, si tu veux qu'on aille plus loin t'arrête de jouer au con, soufflais-je.

— Parce que t'envisage d'en avoir plus, souria-t-il satisfait.

— Oui, ralais-je. Alors t'as envie de m'aider à me détendre ? demandais-je continuant de râler.

C'est une décision prise sur un coup de tête que je risque de regretter plus tard, mais c'est ce dont j'ai besoin maintenant. Je le tolère plus qu'avant, il a réussi à me faire rire, j'ai pas besoin d'avoir plus que ça pour aller plus loin. En plus je pourrais dire que je me suis faite le chef des Black Dragons.

— Avec plaisir, Leiko, murmura-t-il, prononçant sensuellement mon prénom, mes jambes défaillent en l'entendant. J'te ramène chez moi ?

— Si t'as pas peur que je débarque après pour tuer, je suis d'accord, affirmais-je avec ironie.

— C'est un risque que je veux prendre. Il passe un bras autour de mes épaules et me colle à lui, au cas où je reviendrais sur ma décision.

♦♦♦
TW:[ lemon avec Madarame]

On s'arrête au premier étage d'un immeuble pas trop loin du lieu de notre rencontre. Je m'appuie contre l'appuie de la porte, pendant qu'il fait jouer sa clé dans la serrures essayant d'ouvrir la porte de son appartement. Le clic se fait entendre, signe qu'on pouvait enfin entrer.

Il m'attrape par l'arrière du cou avant de plaquer sa bouche à la mienne, mordillant ma lèvre inférieure avec envie. Il me pousse, me forçant à entrer chez lui à reculons. Ses mains se posent sur mes cuisses et à mon tour je commence à lui enlever sa veste, la laissant tomber au sol. Il me soulève avec une facilité étonnante et me pose sur une surface dure.

Il descend dans mon cou embrassant la fine peau qui a le don de me rendre folle. La faible chaleur que je sentais dans mon bas ventre s'intensifie avec ses simples caresses. Il retire rapidement la veste de mon uniforme. Mes mains glissent sous le t-shirt, s'aventurant à toucher sa peau. Ce bâtard est vraiment pas mal lotit niveau muscle là-dessous, j'ai n'ai plus qu'une seule envie lui retirer le sien pour admirer ses abdominaux qui semblent bien tracés. Je lâche ce morceau de peau pour retirer rapidement mes chaussures.

Je me détache de lui quelques secondes et retire son t-shirt, pouvant admirer la vue, qui est vraiment plaisante, je me mords la lèvre inférieure pour éviter de lui sourire niaisement. Il profite de ce moment de répit pour à son tour enlever ses chaussures.

— La vue te plait ? demanda-t-il s'amusant de ma situation.

— Je reprends une bonne inspiration avant de lui répondre. Comment un enculé comme toi peut être aussi bien gaulé, ralais-je.

Faut bien que je m'entretienne, dit-il avec son arrogance habituelle.

J'étouffe un petit rire, ne souhaitant pas lui donner satisfaction à ses propos.

Ses lèvres se posent sur les miennes et rapidement sa langue vient titiller la mienne. Ses doigts viennent se perdre dans mes cheveux, il les tire doucement en arrière, faisant basculer ma tête en arrière pour s'offrir ma gorge et la couvrir de baisers, la suçant et la mordillant au passage. Ma respiration se fait difficile, et de petits frissons se font plus réguliers. Il revient dans mon cou et commence à faire passer sa main sous mon t-shirt.

Il le fait passer au-dessus de ma tête, commençant à en avoir marre de se priver de mater mon corps. De mon côté, je commence à défaire les boutons de son pantalon.

Je l'entends lâcher un grognement.

Putain comment on enlève ce machin, gromela-t-il en parlant de mon soutient-gorge.

Besoin d'aide ? continuais-je amusée par la situation, lui qui se vantait, finalement il n'arrive pas à le dégrafer.

Non, ce truc va bien céder à un moment, s'énerva-t-il.

T'es sur ? insistais-je en haussant un sourcil. Si tu me l'abîme, tu seras obligé de m'en racheter un nouveau.

— Ouais, pas grave, râla-t-il. Il ajoute sa deuxième main pour y arriver, visiblement c'est moins compliqué de cette manière.

C'était pas si dur, déclarais-je.

C'est à son tour de se reculer pour apprécier la vue. Je prends appuie sur la pierre du plan de travail de la cuisine, où il m'a installé en arrivant. Je cambre légèrement le dos.

Alors Shion, on se tait devant une paire de seins ? le taquinais-je en sentant les secondes s'écouler sans qu'il réagisse. Le regard figé sur ces deux morceaux de chair.

— Il relève ses yeux, assombris par le désir vers les miens, il passe sa langue sur ses lèvres s'attardant légèrement sur le début de sa cicatrice qui descend jusqu'à son menton. Pour ces deux merveilles, je crois que ça en vaut le coup, déclara-t-il avec un sourire satisfait.

Il passe doucement la pulpe de ses doigts sur l'un deux, réagissant immédiatement ils se durcissent à son contact.

Intéressant, soupira-t-il avant de changer son sourire pour un sadique.

Il l'attrape en main et dépose sa bouche dessus pour y goûter, sa langue traçant des cercles autour. La deuxième descend sur mon flanc jusqu'à mon pantalon, jouant avec le tissu de ma culotte. Il fait sauter le bouton et fait descendre la fermeture éclaire, sa bouche lâche mon sein et il se concentre sur mon pantalon, le faisant glisser jusqu'à l'enlever. Ensuite il laisse tomber le sien. Maintenant il ne reste qu'un vêtement qui nous sépare l'un et l'autre.

J'enroule mes jambes autour de son bassin et le rapproche de moi, je prends possession de sa bouche, cherchant sa langue pour une danse sensuelle, une main dessine les traits fins de sa musculature.

Je me rapproche dangereusement du rebord, pressant nos deux intimités l'une contre l'autre, laissant sortir un gémissement de ma gorge en sentant la bosse dans son boxer se frotter doucement contre mon clitoris.

Il se sépare de ma bouche et part chercher un truc dans ses tiroirs, je suppose que c'est la capote. Il revient et se place de nouveau entre mes jambes. Ses lèvres se posent dans ma nuque et descendent dans mon cou pendant que ses doigts jouent avec l'élastique de ma culotte qui descend peu à peu. Il me la retire, la laissant tomber à ses pieds, elle est rapidement suivie par son boxer. Il s'occupe de mettre son préservatif pendant que mes lèvres viennent dessiner son tatouage sur le côté du crâne.

Il pénètre mon intimité brutalement, m'arrachant un cri de surprise et un grognement de douleur.

Putain, la douceur et la délicatesse tu connais ? râlais-je.

On en discutera plus tard, dit-il en se renfrognant, mais son attention se détourne en direction de ma mâchoire, l'embrassant, la suçant avant de s'attaquer à mon lobe d'oreille.

Ses mains se posent sur mes fesses et commence à me pilonner intensément. Plusieurs frissons parcourent mon corps en sentant ses coups de reins. Ma respiration se saccade et les soupirs se font plus réguliers. Trouvant peu à peu le réconfort dont j'avais besoin.

De faibles spasmes commencent à parcourir mon être, il est sur la bonne voie pour réussir, cependant ses gémissements se font plus proches que les miens et les muscles de son corps commencent à tressaillir. Putain, c'est lui qui va venir en premier.

Ses muscles se contractent et il souffle une dernière fois se déversant dans sa protection. Et moi je me retrouve comme une conne, à être frustrée de ne pas avoir eu ce que je voulais. Il se retire dans un dernier soupir, reprenant tous les deux nos respirations respectives.

— T'as pas joui, râla-t-il.

Désolée pour toi, tu peux pas être doué dans tout, soufflais-je en levant les yeux au ciel, avant de dégager ma frange qui couvre une partie de ma vue.

Le clitoris, c'est ça qu'il faut que je trouve ? demanda-t-il un sourire sadique.

Bonne chance, soupirais-je.

Il repose ses mains sur mes fesses et me soulève encore une fois, avant de me balancer sur son lit.

Connard, crachais-je. T'es censé me donner un orgasme pas me traiter comme un sac à patate.

Il ne répond pas et m'allonge, d'un geste vif il écarte mes jambes. Ses doigts tâtent et s'aventurent sur mon anatomie, cherchant ce morceau de chair gorgé de sang.

Je souffle en le sentant se promener de cette manière. Un faible gémissement s'échappe quand il l'a sous les doigts.

— Et ensuite ? demanda-t-il.

Démerde-toi, je vais quand même pas me branler devant toi, continuais-je de râler.

Ça ne me dérangerait pas, avoua-t-il.

Il le presse doucement avec son pouce et commence à malaxer doucement, cherchant à voir ma réaction. Mon corps réagit immédiatement, mon estomac se serrant et mon cœur s'affole quand il intensifie son jeu de doigts qui explore les autres plis. Je laisse mon dos se cambrer et mes doigts agripper les draps.

Je laisse un dernier gémissement s'évader de ma gorge pendant qu'une vague de chaleur parcourt entièrement mon corps. Mes jambes tremblent doucement et je récupère mon souffle.

— Bravo, terminais-je en passant une main dans mes cheveux.

Maintenant on est quoi ? demanda-t-il en me lançant mon t-shirt, que je récupère en plein vol.

Coup d'un soir ? Plan-cul ? Personnes qui se supportent à peine avec des bénéfices ? énonçais-je aléatoirement.

J'aime bien la dernière option, tu m'appelle quand t'en as besoin et inversement, et on arrête quand on se fait chier.

— Ouaip, bon plan, affirmais-je en récupérant mes vêtements. Au fait ton truc avec les gamins ça se passe bien.

— Ton truc a l'air de marcher, j'pense que la baston ne va pas tarder.

Je termine de nouer mes lacets et remets correctement ma veste, prête à partir. Cool. A plus, trou du cul, déclarais-je avant de sortir.

Eh Leiko, t'as pas l'impression d'oublier un truc, cria-t-il à mon attention.

Je fouille rapidement mes poches et tâte mon corps, j'ai tout. Je le regarde avec interrogation.

Ton numéro, peut-être.

— Non. Tu sais déjà où j'étudie, dans quel gang je suis donc tu peux te débrouiller, affirmais-je en haussant les épaules. Adieu, enculé, fis-je avant de sortir.

Est-ce que je viens d'écrire un lemon avec l'autre trou du cul ?
Sinon avant-dernier chapitre.

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