
63. We were (partie 2)
We were (Partie 2)
-Vendredi 19:49, suite-
-Point de vue de Laurianne-
"Depuis neuf jours?" ai-je demandé à mon amie quand je la prenais dans mes bras et je la sérrais fort. Elle hocha la tête en pleurant, secouée par des sanglots.
"Ça va aller, peut-être pas maintenant, demain ou dans un mois, mais un jour oui" lui ai-je dis et je suis restée un long moment à tenir ma meilleure amie, ayant l'impression que si je la lâchait, non seulement elle allait tomber, mais moi aussi j'allais tomber en ruine. Avec elle et rien ne pouraient nous arrêter de pleurer.
"Il m'a trompé" a dit Élo en chuchotant.
"Le petit tabarnak" ai-je dis en la lâchant et en le regardant dans les yeux et J'ai réalisé.
J'étais fâché, mais elle ne l'était pas.
Elle était brisée.
"Je suis désolé" ai-je rajouté et je l'ai tirée vers mon lit, nous nous sommes assises. Il n'y avais pas grand chose à dire d'autre.
"Pourquoi est-ce que tu ne me l'as pas dit? Je serais venue te rejouindre en Amérique et je lui aurait fraper les couilles aussi fort que je peux avec mon genoux même si il me ferait mal après" ai-je dis en espérant voir un petit sourire sur le visage de mon amie, ce qui fut accordé, mais pas longtemps. Surement par pitié. Elle savait que j'éssayait, mais elle autant que moi savait que rien ne pouvais rendre les choses meilleure.
"J'avais peur que si je te le disais, ça allait tout rendre réel. Et je ne pouvais pas me permettre de tomber. Je, je ne voulais pas y croire." m'a dit ma meilleure amie et mon coeur se brisa un peu plus.
"Mais, la presse vous a photografier en pleine date, le soir et dans les tapis-rouges de la finale de X-Factor" ai-je dis sans comprendre.
"C'était tout, tout faux" a t'elle dit et je ne savais pas si elle disait cela des 9 dernier jours ou de sa relation avec Logan. Et ça me brisait le coeur encore plus.
"Et l'accident de Logan?" ai-je demandé, curieuse.
"C'était vrai. Et c'était un vrai cauchemard. Je me suis rendue compte à quel point je l'aimais, à quel point la situation me brisait et me tirait dans toute slea direction. Mon coeur me disait se lui pardonner et ma tête me disait de partir. " a dit Élodie.
-(Throwback) Jeudi, 10:40-
-Point de vue d'Élodie-
Nous étions en route pour revenir à l'hôtel après un meeting pour le nouveau camps que nous étions en train d'essayer d'ouvrir en Amérique, nous avions eu une recontre avec des potentiels investisseurs et commanditaires. La voiture nous déposa de l'autre coté de la rue de l'hotel, j'ai mis mes lunettes de soleil sur mon nez et j'ai pris mon sac dans ma main. J'ai soupiré et j'ai souris et ouvert ma porte. Logan sortit de son coté et au moment ou je fait le tour de la voiture pour le rejouindre, une voiture passe trop rapidement à coté de moi et Logan se place devant moi, je tombe par terre sur le coté et Logan lui tombe à coté de moi, mais n'ouvre pas les yeux. La panique m'envahit. La voiture qui nous a percutée fait un délit de fuite et part a toute vitesse, les gens autour de nous se rassemblent et me pose des question, c'est seulement à ce moment que mon cerveau commence à marcher. Je me rend rapidement aux coté de Logan et place mes doigts sur son cou et je cherche son poul, avec soulagement je le trouve.
"Logan! Logan" ai-je dis en le regardant, son visage sans expression. Je ne bouge pas sa tête, je ne le bouge pas et j'essais d'empèecher les gens de le toucher ou de trop s'approcher. Au bout d'un moment la polive arrive suivit de l'embulance.
***
Le corps humain est très intéligent. En cas de tromatisme, il se met en mode "off" et la personne tombe sans connaissance, la personne respire plus lentement, sa digestion arrête et les antis-corps sont envoyer à l'endroit du troma pour aider.
Logan était inconsient, mais instacte depuis au moins une heure et demie quand on m'a laisser rentrer dans sa chambre même si je n'étais pas de la famille directe. Je me suis assise à coté de lui et je l'ai regarder, sa poitine montant et descendant à un rythme régulier. J'ai regarder sa main longuement, je me suis rapeller la première fois ou il m'a pris la main. Je n'étais pas certaine que c'était ce qu'il voulait faire, j'avais glisser mon regard vers lui et je l'ai vue regarder devant lui, le sourire aux lèvres et je m'étais mise a rougir.
J'ai essayer de retenir ces larmes et j'ai pris sa main dans la mienne. Si il mourait en ce moment même, la dernière chose vrai que je lui aurait dit était qu'il m'avait brisé et que je le détestait. Ce qui n'est pas vrai du tout. Je l'amait. Je l'aime tellement. C'Est ce qui me fait mal. C'est que j'aime la personne qui elle me blesse.
"Élodie" a dit la voix rouillée de Logan et je lève la tête.
"Logan" ai-je dis en perdant mon souffle.
"Tu es restée" a t'il dit en serrant ma main et je sais ce que je dois faire. Je le sais. Mais, je ne veux pas. Mais, je le fais. Je retire ma main de la sienne.
"Oui" ai-je dis en me reculant de son lit. "Je devais m'assurer que tu allais bien" ai-je dis entre deux sanglots.
"Pourquoi" m'a t'il dit, mais je pense que c'était une question.
"Parce que je t'aime encore" ai-je dis en chuchotant.
"On peux s'en sortir" a t'il dit en s'éclairsissant la gorge.
"Non, Logan, sa ne change rien." ai-je dis en pesant sur le bouton de son lit pour apeller l'infirmière. Je suis restée assise à coté, à le regarder, lui me fixant, sans rien dire. J'ai sentis des larmes tomber plus rapidement sur mes joues. Quand l'infirmière arriva, j'ai briser le eye contact et je me suis levé en prenant mon sac.
"Il s'est réveiller" ai-je dis simplement à l'infirmièere avant de partir.
-Samedi, 9:03-
-Point de vue d'Élodie-
"Tu veux faire quoi aujourd'hui?" m'a demandé Laurianne.
"Je pense que je vais aller à l'appartement" ai-je dis.
"Je suis pas retourner au mien depuis... ouais" m'a dit Laurianne en mettant un morceau de crèpe dans sa bouche.
" Logan ne revient pas avant une semaine" ai-je dis en soupirant. "Juste assez de temps pour sortir les choses que j'ai de l'appart et déménager" ai-je rajouté en buvant mon lait.
"Je vais venir avec toi" m'a dit Laurianne.
"Tu es certaine?" ai-je demandé
"Oui, je dois y retourner un jour ou un autre." m'a t'elle dit en finissant son déjeuner.
"Je vais aller voir ma famille et ensuite, je reviens et on partira" ai-je dis en rinceant mon assièete et en la rangeant.
***
J'ai soupirer et j'ai tourner ma clée dans la cérrure de l'entrée. Nous sommes montés dans l'immeuble et j'ai laisser Laurianne aller a son appartement et j'ai été au mien. J'ai ouvert la porte et j'ai refermée celle-ci lentement derrièere mois. J'ai essuyer les quelques larmes de mon visage, j'en avait plus qu'assez de pleurer.
J'ai été dans la mésaline et j'ai pris un gros sac de gym et j'ai fourer plein de mes vêtements dans le sac avant de prendre certaines de mes choses comme mon anciens toutou, du shampooing, du savon, de la crème, mes films préféré et ma lampe de poche en forme de licorne. J'ai fermé le sac et je suis descendu en bas dans la cuisine. J'ai enlever du frigidaire les photos et je les ai mises dans la piles de papier a détruire avec tout les états de compte. J'ai pris quelques petites choses dans le garde manger et j'ai re-fermé mon sac. J'ai pris une grande respiration saccadée par des wannabe sanglots et j'ai fait mon chemin vers la porte. je l'ai barrée derrièere moi et j'ai été vers l'appartement de Laurianne, la porte était ouverte. Je suis rentrer et jai été voir dans la cuisine si elle était là et à ce moment là, j'entend un grand bruit juste a coté de moi. Je regarde par terre et je vois la balançoire sur le sol et quand je remonte mon regard, je vois Laurianne assise sur le rabord. À regarder devant elle. Elle venait de décrocher la balançoire que Alex et Logan avaient installés. J'ai monter les marches et j'ai déposer mon sac sur le lit et j'ai sortit deux bouteille de smirnoff. J'ai sortit mon ouvre bouteille et j'ai été m'assoir à coté de Laurianne, je lui ai passer une bouteille et elle la prit sans rien dire. Je lui ai ouverte et l'ai ouvert la mienne aussi. Nous avons bue notre boissons en silence, jusqu'à temps que Laurianne dépose sa bouteille vide à coté d'elle.
"Il est partit. Plus aucune de ces choses sont dans l'appartement." a t'elle dit.
"Les gars font chier"
"Ouais"
"He's not the sun, I am" avons-nous dites ensemble en référence à Grey's Anatomy. J'ai sortit deux autre bouteille et nous avons continué a boire en silence.
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