21. Medication

-Point de vue de Élodie-

J'ai fini mon bol de céréales en silence, j'ai laver et ranger mes choses, et j'ai pris ma médication, ou mes médications, je ne sais pas si je devrais dire mes ou ma, parce que en fais, je prend plus qu'une sorte de médicament, mais ce sont tous des médicaments, alors... Élo, arrête de trop penser. Facile à dire, pas a a faire. Je sais, mais... 

"Élo?" a dit quelqu'un devant moi, et je me suis rendu compte que Laurence se tenait devant moi, et je la fixait sans vraiment la regarder. 

"Ouais, désolé" ai-je dis en souriant. 

"J'ai croiser les gars dehors, ils allaient courir et Logan voulait que je te rapelle de prendre...." a t'elle dit

"Ma médication, je sais" ai-je dis bêtement, et je me suis retourner pour fermer les pots et les ranger dans un cabinet. 

"Je fesais juste passer le message" a t'elle dit, et je me suis sentis super mal. 

"Je suis désolé, c'ets juste que, je suis une grande fille, je peut m'arranger avec mes choses, pas besoin d'aide." ai-je dis sans me retourner vers elle. 

"Même quand on est grand, on a toujours besoin d'aide, tu sais." a t'elle dit, je n'ai rien dit, elle est seulement partit sans rien ajouter. 

Les Samedi sont les plus dur, normalement, il n'y a rien de prévus, sauf pour le soir, ce qui voulait dire aucune distraction pour ma tête. Avant, j'aimais les Samedi, être relax et reprendre mon souffle. Sauf que, plus le temps a passé, plus j'avais besoin d'oublier. Le stresse, le niveau de stresse en moi était si haut que je craquais souvent. Le nombre de fois ou je voulait mourir étaient plus fréquent. Le nombre de fois où je me suis rendu folle à penser à des choses banale et à les tourner en des monstre dans ma tête était impressionant. Le nombre de fois ou j'avais repousser les gens en surprendrais certains. 

Bien sur que mes amis on remarquer que j'allais mal. Logan aussi. Mon frère. Ryan. Mais, je les avait repousser, même Laurianne. Et je me sentais si mal pour cela. Mais, je ne veux pas d'aide, je peut m'en sortir seule, la seule personne que j'ai besoin est moi même. J'ai été voir des spécialiste, des dianostique sont tombés. TDA -déficite d'attention a niveau élevé- anxiété, dépression chronique, et estime de moi même si faible.

On m'a prescrit des médicaments, je les prend. Sauf que, le plus gros probleme qui est venut avec les dianistique est le "c'est ma faute". Mes problèmes viennent de ma tête. Je controle ma tête. C'est ma faute, non? Il me semble que ça fais du sense. 

Pour le camp, le temps filait, il ne reste plus que 3 semaines avant la fin du camp. Ed est partit. Et pour l'instant, personne n'était plané pour cette semaine, mais la semaine prochaine, mes cousines Camille et Émilie que je n'avais pas vue depuis hyperlongtemps venaient. Ensuite, après le camp, après l'été. Je ne sais pas. 

Les offres de nouveau CD, de tournée pour Dreamers avaient été proposez, mais nous n'avions accepter aucune d'entre elles. Je savais que Laurianne mourait d'envis d'aller essayer une carrière dans la danse, et jamais je ne la retiendrais derrière si elle voulait le faire, je serais même celle a la pousser pour qu'elle le fasse. Mais, moi, je ne suis rien sans Laurianne. Le concert que j'avait du faire seule en Australie m'avait montrer à quel point c'était dur d'être seule sur scène et tout faire, mentalement en physiquement. 

J'ai marcher jusqu'a la maisonette de Ryan, et j'ai pogné, aucune réponses, je me suis laisser à l'intérieur, et j'ai été a la porte de son bureau et j'ai cogné, cette fois-ci il me dit d'entrer. 

"Hey" ai-je dis en s'assoyant sur une des chaises devant son bureau. 

"Attend un peut, je finit ça et je suis tout à toi" a t'il dit en cliquait sur plusieur boutons sur son ordi, après un instant il tassa son ordi de coté et me regarda. "bon, maintenant, explique" a t'il dit. 

"Expliquer quoi?" ai-je demandé 

"Ce que tu veux, peut importe c'est quoi, mais ta face me dit qu'il y a des choses que tu veux dire.Alors vas y."  a t'il dit. 

je n'ai rien dit pendant un instant, et j'ai regarder mes doigts avec les quels je jouais. 

"J'ai peur" ai-je dis en parlant très bassement. 

"De quoi?" a t'il demandé 

"Tout, de moi même, de ce que je fais, de ce que les autres peuvent me faire, du futur. Tout, même être entourer de gens me fait fliper." ai-je dis. "Tu sais, au souper des producteurs et tout ça, je parais peut être bien, mais les voix dans ma tête me cris de partir" ai-je rajouter en sentant une larmes sur mes joues.

"As-tu essayer d'en parler avec quelqu'un?" a t'il dit. 

"Ouais, le docteur m'a prescrit des choses, mais on dirais plus que ça ne fais rien." ai-je dis. 

"Non, pas quelqu'un comme ça, mais comme tu l'a fais avec moi, juste dire ça a quelqu'un." a t'il dit

"J'ai essayer avec ma tante, et elle m'a dit que ce c'était normale, que les adoslecents font tous sa, mais parce que mon adolecence avait été bousculer par ma carrière sa avait surement été retarder" ai-je dis en me souvenant de ce qu'elle m'avait dit. 

"Je t'assure, ce n'est pas normale." a t'il dit. 

"Merci, ça me rassure" ai-je dis sarcastiquement.

"Ce n'est pas normal, mais ce n'est pas un sentiments qui vas rester, ça vien, ça part. Tu fais partit des gens qui on de l'anxiété sociale, oui c'est dla marde, mais c'est la vie." a t'il dit. 

"Anxiété Sociale?" ai-je demandé, waw une autre chose a rajouter à la liste. Il hocha la tête. 

"Tu vas mal en ce moment, et c'est une chose que tu dois accepter." a t'il dit. "Et les gens  vont penser que tu vas bien, que ta vie est parfaite. Et parfois tu vas leur dire que tu vas mal, et til vont te dire: Pourquoi? tu as une belle vie. Et tu leur dira: C'est comme dire à une personne qui fais de l'asme qu'elle ne devrais pas faire de l'asme parce qu'il y a plein d'air." A t'il dit en me souriant. "Et la plus part des chose que tu as peur, sont des choses du futur, parce que tu ne sais pas ce qui vas arrivé. Et c'est des peur rationelles que tout le monde as, il faut juste que tu prenne le temps d'apprendre a accepter que tu ne peux pas tout savoir." a t'il dit. Les larmes coulait sur mes joues. j'ai hocher la tête et je suis rester là un instant, sans rien dire, sans bouger. 

"merci" ai-je dis à Ryan, il me souria. 

"Derien, toujours là." a t'il dit. "Bon, il faut que je me remette au travail, sort d'ici et laisse moi travailler la jeune!" a t'il dit en souriant. 

"D'accor d'accord" ai-je dis en lui souriant et en sortant. 

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En gros: ma vie :')

#Élo