poeme 29
Maladie
Une nuit, à une certaine heure.
Elle me hante, comme toujours.
L'insomnie, suivi de ses pleurs.
Encore une fente, et ce sentiment lourd.
Aucune douleur, sinon mon coeur.
Qui brûle intensément, terrible agonie.
Porter cette peur, et les erreurs.
Qui rient sadiquement, froissant notre vie.
Esprit errant, en quête de liberté
Qui scie les barreaux de cette prison.
S'évader il en a trop rêver.
Il en a perdu sa raison.
Trouble compulsif
Seconde personnalité
Chaque instant et nocif.
Et chaque minutes un danger.
Ma tête est brouhaha de pensées incessantes
Comme l'ouragan sur la mer tremblante.
Cet objet posé sur ma table, est pour ma raison.
La terminus final, la seule et unique solution.
Le poids des mots lourds de sens
Plient le papier d'un blanc innocent.
Des gouttes d'eau salée, diluent le papier
Débordants de l'océan intérieur et troué
J'ai voulu être aveugle, ne plus rien voir
Pour arrêter de lire ces messages noirs
J'ai voulu être sourde, ne plus rien entendre
Pour ne plus écouter vos reproches pas tres tendres
J'ai brûler les beaux souvenirs
Pensant que j'allais moins souffrir
Mais ils restent ancrés dans mon organe vital
Et alimentent mes pensées sales
Assise, dans ce lit qui sera peut être celui de la fin
Les larmes aux yeux je regarde mes mains
D'un bleu si profond, d'un rouge si intense
J'aimerais tans retourner en enfance
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