poeme 22
Le bruit des passants, assourdissant autour de moi,
Un brusque mélange flous, trop inquiétant, je m'y noie .
Les trains passent et repassent, s'arrêtent et repartent.
J'en prendrais bien un, mais je n'ai plus ma carte.
Il fait froid sur les bords du quais, comme le jour d'adieu.
Il paraît que je t'ai laissé mais je n'étais plus rien à tes yeux.
Tu m'en veux encore, même si tu ne le dis pas.
D'avoir changé de décor, d'avoir changé de bras.
Les siens étaient grands ouvert, il m'a rassuré
Les tiens etaient ignorant, toujours dérangés.
Il est bien plus sage, plus aimant, plus câlin.
J'ai tourner la page, en espérant demain.
Car avec lui j'ai l'espoir d'une histoire, d'un futur.
Avec toi, c'était désespoir, et la vie était trop dur.
Je t'ai fait confiance, pensant ne pas souffrir.
Tu l'avais promis, t'aurais mieux fait de dormir
Les crises, les cicatrices, le chagrin et la mort
Récitait ces paroles comme une incantation, un sort.
C'était pas de l'amour, cetait du désir.
Tu ne voulait que mon corps, le reste t'en faisait rire.
Mais ne t'inquiète pas, tu 'es pas le seule comme ça.
J'ai connu beaucoup de garçon, qui nesperait que cela.
Lui, il préfère mon amour, il préfère m'aider.
A redire toujours, à réparer mes ailes blessées.
C'est lui que sur le qu'ait froid et noir.
J'attend en me remémorant, ses bras, nos soirs.
Le train arrive, je fais signe d'un au revoir.
Je monte dans le wagon, impatiente de le revoir.
Il est la il m'attends, souriant, et amoureux.
Avec lui j'oublie le temps, mon amour, mon sang, mon dieu.
Le jour se lève, la nuit se couchant en or pâle.
Car il est mon soleil, qui efface le mal.
Malgré tout, il reste ce nuage qui demeure.
Tu es toujours présent, ta présence n'est pas un leurre.
Tes mots m'affectent encore, t'es humiliations aussi.
Je doute sur la mort, mais comment le dire à lui.
Je t'ai aimé avant, j'ai changé à présent.
Futurement je serai, bie' plus forte que maintenant. ,
Le passé s'efface pas à pas, l'espoir fait vivre.
Au revoir mon ami, j'ai une route à suivre.
Le grondement du train reprend, les paysages sont beau
Mais je m'en fout complètement, je repense à mes maux.
Qui s'effacent à sa vue, qui s'effacent chaque jours.
Puis résonne sa voix douce qui rendrait fou un sourd.
Il me propose une danse aux notes romantiques et folles.
Et le temps d'une valse, tout s'efface et s'immole.
Toi mon amour toi ma joie.
Ce poème il est pour toi.
Toi mon ex tortionnaires, mon amour ancien.
Ce poème, de mon coeur il vient.
Et chaque jours, seule, à chanter les yeux fermés,
Mon coeur se réchauffe à mes rêves qui lui sont adressés.
Être avec. Toi.
Toi et moi.
Être a deux, être heureux.
C'est tout ce que je veux.
Ne pas quitter tes bras.
Mourir entre tes draps.
Comme je fond à chacun de tes regards.
Et que tu m'accompagne au même moment, pour qu'on n'aie aucun retard.
Je t'aime. ..
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