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3. La poudre d'escampette

Y'a qu'à moi à qui Wattpad me fait ça depuis la mise à jour sur ma tablette ? C'est trop chiant d'écrire dans ce petit carré mais je m'y suis faite... (j'aime bien regarder des films quand j'écris. De manière tout à fait légale par ailleurs)
(Allelujah la mise à jour à fait disparaitre cet horrible petit carré merdique)

Et pis j'aime beaucoup trop lire vos commentaires 😭
Ce chapitre est assez long, bonne chance ! Moi j'ai un contrôle d'anglais à finir...

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Après un petit déjeuner copieux, ils se retrouvèrent tous dans le salon, face à une cheminée noire de suie. Rose avait bien envie d'y passer un petit coup d'éponge.

- Vas-y Harry, tu y vas le premier, fit Mrs.Weasley avec enthousiasme.

Harry fixa sa sœur, désemparé.

- Harry n'a jamais utilisé la poudre de chemisette maman, le plaignit Ron, venant à son secours.

- Poudre de chemisette ?, répéta Harry, interloqué.

Rose aussi était interloquée. Elle se rendit compte qu'à part les balais et les trains, ainsi que les voitures magiques, mais elles ne semblaient pas très légales, Rose ne savait pas grand chose sur les moyens de transports sorciers.

- Oh... et bien viens lui montrer dans ce cas ! Tu verras comment on fait, fit Mrs. Weasley. Monte !

Ron s'exécuta, montant dans la cheminée. Il prit un peu de poudre dans le bol que lui tendit Molly.

- Vas-y, dit sa mère.

- Chemin de Traverse !, déclara haut et fort Ron en jetant la poudre à ses pieds.

D'immenses flammes vertes naquirent à ses pieds et l'engloutirent en un éclair. Elles s'éteignirent tout aussi rapidement, disparaissant avec Ron. Rose pinça les lèvres en avant, les yeux ronds. C'était plutôt cool. Ça l'aurait été encore plus si les flammes avaient pu réellement faire disparaître Ron.

- Tu vois, viens Harry, c'est très facile à faire, dit Mrs.Weasley, Harry montant dans la cheminée.

Harry lança un regard nerveux à sa sœur, qui lui fit un clin d'œil malicieux.

- Surtout, articule bien et pense très fort au Chemin de Traverse, lui conseilla Mrs.Weasley.

- CHEMINDETRAVERSALEKBAY !, fit Harry très fort.

Mais de manière parfaitement incompréhensible.

- Hein ?

- Qu'est-ce qu'il a dit ?, demanda Molly, perplexe.

- Chemin de Traverse, les éclaira Percy.

- C'est bien ce qu'il me semblait, dit Molly, dubitative, bon Rose, à ton tour.

Rose plissa le nez, pas vraiment ravie de monter dans la cheminée sale, mais s'exécuta de bonne grâce. Elle se demandait bien ce que ça faisait de se faire brûler vive par des flammes vertes. Elle prit un peu de poudre et songea distraitement qu'elle tomberait peut-être sur un de ses amis au Chemin de Traverse. Et puis Harry... Elle espérait qu'Harry était bien arrivé à destination, avec son articulation de goujat.

Ce fut donc en pensant profondément à son frère qu'elle lâcha la poudre, la jetant énergiquement au sol.

- CHEMIN DE TRAVERSEUH !

Les flammes l'engloutirent dans un halo vert. Rose atterrit sur une masse molle et bruyante. La masse poussa un cri alors que Rose roulait sur le côté pour la laisser respirer. Elle était atterrie sur son frère. Elle avait connu plus confortable.

- Harry !, s'exclama-t-elle, ravie de l'avoir retrouvé.

Harry la fixa en louchant. Il avait du perdre ses lunettes dans la chute. Rose les ramassa et les lui tendit en pouffant.

- Merci, kuff kuff . T'aurais pu éviter de m'écraser, c'était kuff kuff pas agréable.

Rose plaça une main devant sa bouche en O.

- Navré mon cher, mais vous n'aviez qu'à pas atterrir ici. En plus, vous avez cassé vos lunettes. Occulus Reparo !

- Je croyais que... Peu importe, je dois vraiment retenir ce sort.

Rose roula des yeux et se releva, époussetant son jean. Elle ne savait même pas où est-ce qu'ils étaient, mais ça ne semblait pas très fréquentable. L'endroit était sombre et disposait de nombreuses étagères qui offraient différents articles. Tous plus suspects les uns que les autres. Elle serait bien restée mais elle avait son frère avec elle, alors...

- Viens Harry, on y va.

- Mais attends, je veux savoir où on est !, contesta-t-il en furetant ici et là.

Rose leva les yeux au ciel.

- Ce n'est pas un lieu fréquentable. On y va et... NE TOUCHE SURTOUT PAS À ÇA !

Mais le mal était fait. L'étrange main disposée sur un oreiller qu'Harry venait de toucher l'empoigna et il se retrouva incapable de se libérer. Rose dut rajouter sa force à celle de son frère pour que le moignon dégage sa prise. Elle le fusilla du regard, furieuse, tandis qu'il fusillait la main du regard, humilié. Rose l'entraîna par le bras, le traînant hors de la boutique. Ils se retrouvèrent dans une étroite ruelle aux minuscules magasins. C'était sans doute des échoppes de magie noire, et ils sortaient du plus grand magasin. Rose jeta un œil à l'enseigne. « Barjow et Beurk » ? Barjow et Beurk ? Qu'est-ce que c'était nul comme nom. Rose esquissa une moue, décidant qu'elle reviendrait plus tard. Sans son frère. Et sans tous ces sorciers vêtus de noir qui les fixaient avec des airs de fanatiques. Rose eut soudainement envi de s'enfuir en courant. Elle voyait difficilement l'intérêt de s'enfuir en marchant, d'un autre côté. Rose accéléra le pas, mais un homme se posta devant eux. Elle préféra ne pas chercher l'affrontement, elle ne voulait pas du Ministère de la Magie sur son dos juste avant la rentrée, et se détourna avec empressement. Mais il y avait une femme. Elle agrippa son bras et les accula contre un mur.

- Seriez-vous perdus mes petits chéris ?, fit-elle mielleusement.

Rose la mitrailla du regard. Comment cette femme osait elle poser la main sur elle ?

- Ça va... je vous remercie on v-va s'en aller..., bégaya Harry.

- Venez avec nous ! Nous vous aiderons à retrouver votre chemin !, déclama-t-elle.

Les autres sorciers s'agglutinaient autour d'eux, provocant un pic d'angoisse chez Rose. Elle sentit le bout de ses doigts picoter. Une douce chaleur remontait dans sa nuque. Cette vieille mégère se permettait de la toucher, et maintenant elle leur donnait un ordre ?

Au diable le Ministère de la Magie et ses stupides restrictions.

- Reculez, articula froidement Rose en dégainant sa baguette, la posant sous le menton de la femme.

- Rose, chuchota Harry, en sueur.

La vielle mégère partit dans un rire hystérique. Rose manqua de grogner.

- Harry ? Rose ?, demanda une grande silhouette en avançant vers nous.

- Hagrid !, s'écria avec soulagement Harry.

Rose aussi l'était, mais elle n'abaissa pas pour autant sa baguette et confronta le regard de la sorcière jusqu'à ce qu'elle se détourne en un gazouillement hargneux.

- Mais qu'est-ce que vous faites ici ?

Harry fit les gros yeux et haussa les épaules. Rose essuya innocemment le bout de sa baguette avec sa manche, ignorant la question.

- Venez, soupira Hagrid.

Les jumeaux accourent vers le géant.

- Dans quel état êtes-vous ? Harry, Rose, se promener dans l'Allée des Embrumes. C'est un endroit mal famé, il faut pas qu'on vous voit là-bas, on penserait que vous préparez un mauvais coup...

- J'étais perdu, je..., balbutia Harry.

- Il ne sait pas articuler, c'est tout, le coupa Rose. Et moi non plus apparemment , marmonna-t-elle.

Elle était si douée, quand même.

- Mais... Hé ! Qu'est-ce que vous faisiez là-bas vous ?!, s'offusqua Harry.

- Moi ! Oh moi je... cherchais un produit contre les limaces, elles mangent toutes les choses de l'école.

Rose eut un haussement de sourcil avec un sourire en coin. Mais bien sûr... C'était lassant à force, qu'on essaye de se payer sa tête.

- Harry ! Hagrid ! Rose !, se précipita une autre folle vers eux.

Bon, elle ça allait, Rose pouvait gérer Granger.

- Bonjour Hermione !, fit Harry.

- Oh je suis contente de vous voir !, dit Hermione, tout sourire.

- Moi aussi je suis content, répondit Harry, l'air vraiment très joyeux.

- Tu es tout sale Harry. Et toi Rose tu as une tache (Hermione frotta son menton) juste-là.

- Ha, merci, grimaça Rose en frottant son menton à son tour.

- Ça va allez ? Bon... Je vous laisse..., déclara Hagrid, s'en allant.

Hermione prit le bras d'Harry, remplie d'énergie. Rose se demanda ce que les gens avaient à les agripper aujourd'hui.

- Venez ! On s'est fait beaucoup de souci...

Hermione les traîna chez Fleury & Bott, qui était étonnament bondé pour un simple magasin de livres. Hermione se faufila dans la foule, guidant les jumeaux. Rose vit enfin la raison de toute cette foule mais fut distraite par l'étreinte un peu trop forte que lui donna Molly.

- Oh, Harry ! Rose ! Heureusement que vous allez bien, on espérait que vous n'étiez pas atterris trop loin !

Molly s'évertua à épousseter leurs vêtements recouverts de suie, afin de les rendre présentables, mais elle s'arrêta net lorsqu'un homme annonça :

- Mesdames et Messieurs, voici Gilderoy Lockart !

Excitée, comme l'intégralité de la salle, Molly se mit à applaudir. Un homme, plutôt beau et charismatique, Rose devait l'admettre, entra, se nourrissant presque littéralement de tous ces applaudissements. Rose ne lui trouva rien d'exceptionnel. De plus, il semblait terriblement imbu de sa personne.

- Maman apprécie beaucoup Gilderoy Lockart, confia Ron avant de se faire réprimandé d'une tape.

- Oh voyons !

Un homme, petit, barbu et un peu crasseux les bouscula, appareil photo à la main.

- Excusez moi, petits, c'est pour la Gazette du Sorcier.

Il mitrailla de son appareil Gilderoy, qui prenait un plaisir manifeste à prendre la pose. Il aurait dû opter pour du mannequinat. Rose écarquilla le nez, dégoûtée. Le regard de Guilderoy Lockart s'était posé sur elle et son frère. Puis sur son frère et elle.

- Ce ne serez quand même pas Harry et Rose Potter ?, s'étonna-t-il à voix forte.

La foule s'écarta autour d'eux, comme si ils avaient la peste. Ou la côte. Allez savoir. Rose n'aurait jamais cru penser ça, mais pour la première fois de sa vie, elle se dit qu'il aurait été mieux qu'elle ne s'appelle pas Potter.

- Harry et Rose Potter !, s'écria le photographe en les empoignant par le col, les jetant dans les bras de Gilderoy. Par Merlin !

Merlin aimerait sans doute qu'on évite de l'invoquer auprès d'un sorcier aussi minable que ce Glideroy Locharte. Il les amena sèchement à lui, tandis que Rose se débattait, avec virulence, mais discrétion. Elle avait une image d'enfant adorable à tenir. Gilderoy les fit prendre la pose sans vergogne, le flash de l'appareil les éblouissant. Rose prétendit être assourdie et laissa lourdement son pied tomber sur les orteils de Gilderoy Lockart, qui grimaça. C'était sans doute la seule photo où elle souriait.

- Harry, Rose, nous allons faire la une !, déclara Gilderoy, théâtrale. Mesdames et messieurs voici un moment extraordinaire, quand les jeunes Potter sont entrés dans cette boutique ce matin pour acheter mon autobiographie (Rose secoua la tête, elle n'était pas venue pour acheter son "autobiographie") « Moi, le magicien », laquelle, entre parenthèse, fête actuellement...

Rose décrocha de la conversation, s'assignant la tâche de broyer les orteils de Gilderoy jusqu'à qu'ils les libèrent. L'écrasage d'orteils, c'était son dada. Cette saleté de Gliroy cachait plutôt bien sa douleur, mais Rose voyait bien qu'il souffrait.

- Ils ne se doutaient pas qu'en faite ils repartiraient avec... Lockart fit une pose, réfléchissant. Avec la collection complète de mes ouvrages, que je leur offre !, reprit-il, plus satisfait que jamais par son idée.

Gilderoy leur passa une énorme pile de livres, vraiment, vraiment, beaucoup trop lourde pour Rose. Elle les laissa tous glisser sur les pieds de Gilderoy, qui poussa un cri aigu et lui jeta un regard noir. Rose ouvrit innocemment les yeux. Gilderoy sourit instantanément et l'aida à ramasser les livres, se rappelant qu'il était photographié. Rose lui renvoya froidement son sourire. Elle rejoignit avec un sourire bien plus chaleureux la famille Weasley.

- Vite, donnez-moi tout vos livres, je vais les faire dédicacer, s'excita Molly en les chassant. Alleeez Ron !, le pressa-t-elle.

Les jumeaux Potter et Weasley, Percy, Ron, Hermione et Ginny, se dirigèrent vers la sortie du magasin lorsque Malefoy, descendant les escaliers du premier étage, leur barra le chemin. Il avait foncé sur eux tel un chien de chasse, avec son indécrochable air prétentieux. Rose garda un œil sur sa poche, là où il venait de ranger un papier déchiré. Leur regard se croisa un instant.

Rose eut une drôle de sensation, d'un coup.

- Tu dois être content, hein Potter ?, demanda-t-il en se postant devant nous. Le célèbre Harry Potter ! Il ne peut pas entrer chez le libraire sans faire la une des journaux !, cracha-t-il.

Rose toussota dans sa main et s'avança d'un pas, prête à rétorquée :

- Malefoy, à moins que ta mémoire soit aussi ridicule que ton égo est grand...

- Fiche-lui la paix, la coupa Ginny, l'air féroce.

La rousse dévisageait Malefoy avec bravoure. Même si Rose appréciait moyennement de se faire couper la parole, elle commençait à apprécier de plus en plus cette Ginny.

- Oh, regarde Potter, s'amusa Malefoy, tu t'es trouvé une petite amie ?

Rose jeta un coup d'œil à Ginny. Puis à Harry. Puis à Ginny... Et elle dut admettre qu'ils iraient plutôt bien ensemble. Une main s'abattit alors sèchement sur l'épaule de Malefoy et le fit reculer d'un pas, son visage déchantant. Rose eut presque pitié de lui. Lucius Malefoy les surplombait de toute sa hauteur et de ses grands airs, sa cane ridicule à la main.

- Allons Drago... Sois gentil.

Rose s'étonna de sa voix. Le même ton que Malefoy. Manipulateur. Prétentieux. Très... Malefoy quoi...

- Ah Monsieur et Miss Potter, fit-il en avançant vers eux, l'air glaciale.

Rose arqua un sourcil. Une pathétique teinture blonde n'allait pas l'intimider.

- Lucius Malefoy, se présenta-t-il, on se rencontre enfin.

Lucius approcha sa main du front d'Harry, qui ne réagit pas.

- Vous permettez ?

Lucius toucha la cicatrice d'Harry. Non, Rose ne permettait pas. On ne touchait pas à une chose qui lui appartenait sans lui demander. Il n'avait aucun droit. Aucun. Rose esquissa un pas vers Lucius, le sang bouillonnant. Elle entendit un grand BAM derrière elle. Une étagère était tombée.

- La seule chose que nous vous permettons, Lucius Malefoy, c'est de vous éloigner de nous.

Ou alors Rose boira son sang jusqu'à ce que sa carcasse desséchée ne tienne plus debout et qu'il en crève, alors elle lui brisera chacun de ses os. Lucius lâcha le front d'Harry, détournant son regard sur elle.

- Une cicatrice légendaire, tout comme le sorcier qui vous l'a fait.

- Voldemort a tué nos parents, osa enfin rétorquer Harry. Il n'était rien d'autre qu'un meurtrier.

- Un sorcier si légendaire qu'il a pris peut de deux bébés qui ne savaient même pas marcher. Oh, des bébés qui l'ont battu, s'étonna faussement Rose.

Le visage de Lucius s'empourpra. Comme son fils. Fascinant.

- Vous devez être très courageux pour prononcer son nom.

- Avoir peur d'un nom ne fait qu'accentuer la peur de la chose elle-même, déclara sagement Hermione.

Malefoy lui lança un regard oblique, comme blasé. Rose trouvait son intervention admirable. Lucius lui jeta un regard hautain :

- Et vous, vous devez être Miss Granger ?

Malefoy arbora immédiatement une tête dégoutée. Rose lui lança un regard noir.

- Oui, Drago m'a beaucoup parlé de vous... Et de vos parents, ajouta-t-il dédaigneusement en regardant les parents d'Hermione. Des moldus... C'est ça ?

Hermione baissa les yeux.

- Laissez-moi deviner, continua Lucius, à présent mitraillé par des yeux haineux de toutes parts. Les cheveux roux, le regard inexpressif, (Lucius prit un livre dans le chaudron que portait Ginny), un livre d'occasion, vous ne pouvez qu'être les Weasley.

Une peau digne d'un cadavre, des cheveux lavés à la javel, une tête à claque. Vous ne pouvez qu'être les Malefoy, le singea Rose dans sa tête.

- Les enfants c'est de la folie ici, on s'en va, déclara Mr.Weasley en arrivant derrière eux.

- Tien tien, Weasley Père.

- Tien tien, rétorqua Rose prenant une voix aiguë, Malefoy Père.

- Lucius, constata Mr.Weasley.

- Vous êtes très occupé au Ministère, Arthur, avec toutes ces perquisitions. On vous paît vos heures supplémentaires au moins ? En jugeant juste par l'état de ceci (Il brandit le livre), je dirais que non. À quoi bon déshonorer la fonction de sorcier sans qu'on ne vous paie même pas bien pour ça ?

- Nous n'avons pas la même conception de ce que doit être l'honneur d'un sorcier, Malefoy, répliqua Arthur calmement.

Mais ses oreilles étaient rouges vifs et Rose se sentit un peu mal pour lui.

- C'est certain. Fréquenter des moldus, se dégoûta-il en fixant Hermione.

- À vrai dire Mr.Weasley, je ne pense pas que Lucius Malefoy ait la moindre conception de l'honneur, fit Rose.

Lucius lui jeta un regard noir et déposa le livre de Ginny dans le chaudron d'un air dédaigneux.

- Et moi qui pensait que votre famille ne pouvait pas tomber plus bas. On se verra au Ministère.

Lucius se détourna théâtralement, faisant voler sa cape gracieusement.

- On se verra à l'école, dit d'un air menaçant Malefoy en imitant son père.

Rose éclata de rire.
Elle comprenait un peu mieux l'attitude de ce très cher et stupide Malefoy. Il était formaté comme son père.
Au moins, il avait l'air d'aller bien. Rose s'en serait voulu de glisser malencontreusement un ingrédient dans un shampoing s'il était en pleine phase de dépression. Enfin, elle s'en serait voulu un petit peu.

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