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1. Le lutin

- Harry Potter ! Rose Potter ! C'est un si grand honneur !, se stoppa immédiatement le lutin en se tournant vers eux, les yeux écarquillés.

Rose eut une petite mou approbatrice. Essayer de l'avoir par la flatterie, c'était être intelligent ! Elle s'inclina face à la créature, et crut bien que celle-ci allait pleurer, les mains portées à sa poitrine. Mais Harry intervint à temps, méfiant :

- Qui êtes-vous ?

- Dobby, Monsieur, Dobby. L'elfe de maison !

- Je ne veux pas paraître grossier Dobby, mais ce n'est pas le moment idéal pour recevoir un elfe de maison dans ma chambre !, lui expliqua Harry, anxieux.

Évidemment, il avait dû écouter les règles ennuyantes de Vernon pour ne pas gâcher la grande affaire qu'il allait conclure ce soir, alors que sa sœur avait pu s'enfuir. Tellement mesquine.

- Oh, oh oui Monsieur. Dobby le sait bien... Dobby est venu vous dire que... Oh c'est difficile...

Rose se mordit la lèvre pour ne pas rire. C'était terriblement comique de voir les oreilles de Dobby suivre ses humeurs. Il semblait abattu, alors en prenant un air plus sérieux, elle s'agenouilla au sol, les bras posés sur le lit, la tête dessus , et fixa Dobby dans ses gros yeux bleus globuleux. Elle trouvait le petit lutin mignon. Mignon et moche. Mais mignon. Et moche.

- Tu peux nous le dire, Dobby, tu n'as rien à craindre.

- Dobby ne sait pas par où commencer...

- Vous ne voulez pas vous assoir ?, proposa poliment Harry en suivant l'exemple de sa sœur.

Et Dobby sauta du lit, agité de sanglots bruyants. Rose fit les gros yeux à son frère. Bravo ! Il l'avait fait pleurer ! Pour quelle raison, elle n'en savait rien, mais... Il l'avait fait pleurer ! L'adorable et laid elfe de maison pleurait !

- Oh non non non ! Dobby chut ! Pardon je ne voulais pas vous offenser, je vous assure !, s'affola Harry, qui craignait que le bruit attire l'attention des Dursley.

Les pleures de Dobby se stoppèrent immédiatement et il se tourna vers nous :

- Offenser Dobby ?, répéta-t-il, incrédule. Oh ! Dobby connaît votre grandeur monsieur, mais jamais encore un sorcier ne lui avait demandé de s'assoir... comme s'il était son égal.

- Oh, vous ne connaissez pas beaucoup de sorciers aimables alors, voulut plaisanter Harry en me lançant un appel à l'aide de ses yeux.

- Non, en effet, gloussa Dobby.

Mais à l'instant où il prononça ces mots, son visage s'assombrit. Il se mit à répéter :

- Méchant Dobby !

Tout en se frappant la tête contre la commode. Rose se leva avec précipitation pour l'éloigner de la commode, Harry l'imitant le plus silencieusement possible. Les invités étaient déjà là ! Si jamais ils faisaient du bruit ça allait très mal se passer pour eux. Rose s'en moquait un peu. Mais pas Harry. Elle le prit contre sa poitrine et le souleva. C'était vachement léger. Plus léger que Dudley à sa naissance en tout cas.

- Ça va Dobby ? Pourquoi tu as fait ça ?, s'inquiéta Rose.

Dobby était peut-être chou, mais il était un peu teubeuleu à se frapper comme ça.

- Il fallait que Dobby se punisse, mademoiselle. Dobby a faillit dire du mal de sa famille, mademoiselle.

- Votre famille ?, l'interrogea Harry alors que Rose reposait Dobby sur la chaise, de plus en plus intriguée.

- La famille que Dobby sert. Dobby doit servir à tout jamais la même famille. Si jamais ils apprenaient que Dobby est venu ici ... (Dobby frissonna et la perplexité de Rose se refléta sur son visage) Il fallait que Dobby vienne. Dobby doit protéger Harry et Rose Potter... Dobby est venu mettre en garde Harry et Rose Potter... Ils ne doivent surtout pas retourner cette année à Poudlard, l'école des sorciers. Il y a un complot ! Un complot qui prévoit des événements terrifiants...

Le cœur de Rose rata un battement.
Voldemort.

- Quels éléments terrifiants ? Et qui fait partit du complot ?, demanda Harry avec avidité.

Dobby se crispa, l'air de lutter contre lui même. Rose eut pitié de lui, malgré son impatience.

- Dobby ... peut ... pas ... dire !

Il commença à crier et Rose plaqua une main désespérée sur mon visage. L'elfe se frappait le crâne, avec leur lampe de bureau. Un elfe dépressif et masochiste, son frère qui l'incitait à se pendre et elle ... elle dans tout ça, elle endurait ! Une petite voix lui disait d'agir. Une autre, celle qui l'emporta pour un instant, lui disait de laisser la catastrophe arriver.

- J-Je comprends Dobby, s'affola Harry. Vous ne pouvez rien dire !

- Ne me forcez p-pas !

- Dobby ! Dobby !, s'affola de plus en plus Harry.

Rose avait l'impression qu'à chaque mot que prononçait son frère, la situation empirait. Face à son affolement, elle décida qu'il fallait agir. Après tout, la vie, ça n'était pas que de la réflexion. Rose arracha la lampe des mains de Dobby et la tint hors de portée de la créature avec précaution. Harry l'éloigna par le col et à peine l'avait-il traîner dans le placard que la porte s'ouvrit sur un Vernon furibond. Elle reposa discrètement la lampe et s'adossa innocemment contre la porte du placard.

- Mais enfin qu'est-ce que vous fabriquiez ?, aboya Vernon.

Un aboiement discret, tout de même.

- J-J'etais entrain de..., bégaya Harry en cherchant un mensonge.

- Tu as gâché la chute de ma blague sur le golfeur japonais !

Oh... Cette blague nulle...

- C'est Hedwidge ! Pas Harry, Hedwidge qui a gâchée ta blague nulle ! Si on la laissait sortir, elle ne ferait pas autant de boucan !, mentit Rose sans difficulté.

Le mensonge, elle connaissait. Elle en usait sans vergogne pour attirer des ennuis aux autres quand elle devait se dépêtrer d'une situation délicate. Ou quand elle voulait obtenir quelque chose. Hedwidge poussa un hululement indigné, et Rose la désigna de la main, l'air de dire « Tu vois ? Je l'avais bien dit ! ».

- Peut importe ! Encore un bruit et vous subirez une punition sévère !, déclara Vernon en s'en allant. Il claqua la porte silencieusement, contrairement à son habitude, laissant seulement le temps à Harry de bégayer un pitoyable :

- O-Oui monsieur !

- Oui monsieur ! Oui monsieur ?! Harry , tu es tellement facile à intimider !, se moqua Rose en laissant Dobby sortir du placard. Tu vois Dobby , on doit aller à Poudlard pour qu'Harry apprenne à se respecter lui même avant de respecter ceux qui ne le mérite pas, enfonça le clou Rose alors que son frère la fusillait du regard, les joues rouges.

- C'est le seul endroit où j'ai des amis !, protesta Harry.

- Harry Potter a des amis qui n'écrivent jamais !, dit d'un air triomphant et malicieux Dobby.

Rose haussa subtilement les sourcils, intriguée. Une petite chose comme ça... Ça ne sera pas aussi vicieux... Si ?

- Oh , je suppose que..., commença naïvement Harry avant de réaliser à son tour. Eh ! Attendez ! Comment savez-vous que mes amis ne m'ont pas écrit ?

L'expression furtive de culpabilité dénonça Dobby bien avant qu'il ne parle.

- Harry Potter, commença Dobby en se triturant les doigts, ne doit pas être en colère contre Dobby. Dobby espérait que si Harry Potter pensait que ses amis l'avaient oublié (Dobby sortit un paquet de lettre de sa poche), Harry Potter ne voudrait plus retourner à l'école...

Rose papillonna des paupières et rejeta sa tête en arrière, s'esclaffant. Si, la petite chose adorable pouvait se montrer aussi vicieuse. Et elle était peut-être un peu impressionnée. Sûrement le choc. Harry n'y trouva rien de drôle, son expression changeant du tout au tout. Furieux, il ordonna à Dobby en tendant la main :

- Dobby, donnez-moi ça, tout de suite !

- Non !, protesta Dobby

Rose décida alors qu'elle n'ira pas a Poudlard. Du moins, que ce serait ce que pensera Dobby. Elle n'allait pas continuer un débat inutile. Dobby était trop obstiné. Il fallait savoir se plier à son ennemi... Ou plutôt, prétendre que l'on se pliait.

- C'est bon Dobby, on n'ira pas à Poudlard !, s'exclama Rose

- Quoi ?! Non, j'irais à Poudlard !, s'écria Harry, révolté.

Son frère n'était pas aussi rusé qu'elle, malheureusement. Rose lui lança un regard lourd de sens mais il s'était déjà jeté sur Dobby. L'elfe de maison prit la fuite et quitta la chmabre. Rose plaqua une main sur sa bouche, qui glissa le long de son menton dans un geste penseur et choqué. Dans quoi s'étaient-ils encore empêtrés ?

Rose se précipita dans les escaliers, suivant Harry et Dobby dans le hall. Elle observa Dobby ouvrir la porte de la cuisine avec zèle malgré sa petite taille. L'ambiance se figea un instant lorsqu'ils se retrouvèrent tous les trois, alignés les un derrière les autres, face à l'énorme gâteau qu'avait préparé Pétunia.

Un horrible pressentiment s'empara de Rose.

- Dobby, non !, le supplia Harry.

- Ok, Dobby, on peut en parler si tu veux !, chuchota Rose.

Elle avait une fâcheuse tendance à raconter n'importe quoi, quand elle était stressée.

- Harry Potter doit promettre de ne pas aller à l'école...

Rose donna un coup de pied à Harry en espérant qu'il comprenne enfin, mais on parlait d'Harry...

- C'est impossible ! Poudlard c'est chez moi !

- Dans ce cas, Dobby doit le faire monsieur, pour le bien de Harry Potter !

Pour le bien de Harry Potter mon cul oui !, songea Rose, en observant la scène du coin de la cuisine. Dobby claqua des doigts, le gâteau se mettant à flotter, dérivant doucement vers la tête de Mrs.Madson. Harry le suivait sur le bout des pieds, les bras tendus pour le rattraper. Vernon, Pétunia et Dudley fixaient le gâteau avec cet air horrifié qui rajoutait du comique à la situation. Il était trop tard.

Dobby claqua une deuxième fois des doigts.
Et le gâteau s'écrasa sur la tête de Mrs.Madson.

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