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31 - Hilda Imbach


Maison des Dumont, jeudi 11 juillet 1940, 14h00.

Assise sur le rebord de la fenêtre avant de ma grande demeure, je lis paisiblement sous le soleil, accompagnée du jolie chapeau de paille qui appartenait à ma défunte mère. Il est encore légèrement trop grand pour moi mais ce n'est qu'un détail sur lequel je ne m'attarde aucunement.

Au loin, j'entends les pneus d'un véhicule crisser, une porte claquée, ainsi que deux voix discutant durant quelques secondes. Néanmoins, je relève la tête uniquement après avoir finit ma page et par dessus tout, en voyant l'homme s'approcher dangereusement de la porte, prêt à l'ouvrir.

-STOP ! Le major Boehmitz s'arrête net en posant sa main sur sa poitrine, surprit.

-Mademoiselle Rose ! Bonjour à vous aussi. Rit-il dans un souffle en s'approchant vers moi.

-Euh oui, excusez moi, décidément nous sommes destinés à nous croiser en nous faisant peur. Ricane-je en relevant mon chapeau pour pouvoir mieux l'observer.

-Effectivement, puis-je connaître la raison de votre ordre ?

-C'est juste que je viens de laver le sol et, ce n'est pas encore sec. Me justifie-je en me levant pour faire un geste de la main en direction de la porte.

-Je vois, aucun soucis, je vais aller manger à la Kommandantur alors. Avant qu'il ne reparte en direction de l'automobile où se trouve son chauffeur.

-Non pas du tout ! Nous allons passer par derrière, j'ai commencé par la cuisine alors le sol devrait avoir seché dans la partie de la maison. Dis-je en le guidant vers l'arrière de chez moi, il me suit avec joie.

-Le général n'est pas avec vous ? Questionne-je de façon innocente.

-Non, il a été retenu pour une affaire urgente. Nous pénétrons dans la cuisine puis je prends une assiette et fait chauffer le gaz.

-D'accord.. Murmure-je en sortant des couverts et un verre.

-Quelque chose vous tracasse Rose ? Je relève les yeux vers lui et hausse longuement les épaules avant de me gratter la nuque.

-Et bien, vous allez trouver ça étrange ou, je ne sais pas. Mais savez-vous qui est Hilda Imbach ? Suite à ma question, l'allemand se pince les lèvres puis détourne le regard un instant vers l'extérieur.

-Si c'était indiscret vous n'êtes pas obligé de répond..

-Je pense, fraülein Rose, que vous devriez en parler directement avec lui, Engel est mon ami et, vous êtes une jolie jeune femme pleine de force et de conviction. Alors je ne peux causer du tord ni à lui, ni à vous. M'explique-t-il gentillement, je hoche la tête et feins un petit sourire.

-Oui, pas de problème Karl, je comprends tout à fait.

C'est faux. Je ne comprends toujours pas qui est cette fichue femme.

[...]

Maison des Bernart, jeudi 11 juillet 1940, 16h00.

Confortablement installée sur le canapé, le bras sur l'accoudoir et ma joue écrasée contre ma main, j'écoute ce que Paul nous dit tout en observant tout le monde. Henri, George - le communiste - et l'aviateur Jonathan fument à trois au fond de la pièce, Madelaine Martin fait tourner un couteau qu'elle a l'air d'affectionner entre ses mains, Louis et Paul, eux, sont assis sur le même canapé que moi. Et le docteur Daniel, lui, est debout, derrière la table ronde au centre de la pièce comme toujours.

-Moi j'ai une question. J'interviens en me redressant convenablement, toute l'attention est désormais portée sur moi.

-Qu'est-ce que vous comptez faire pour l'anglais qui est enfermé à la Gestapo, et qui est torturé sans relâche ?

-Nous y avons déjà pensé Rose. Les trois autres aviateurs anglais arrivent bientôt sur le sol Français, à Reims. Nous lancerons alors une opération de sauvetage, mais il nous faudrait les plans des sous-sols. Déclare le docteur en posant ses mains sur la table.

-Je vois, je peux essayer de..

-Madelaine et Henri se chargent de ça, en attendant, il faudrait que tu récupère un document important qui est dans le bureau du général Rintenlberg. Comment avance votre relation ? Demande-t-il en me prenant de court. Notre relation. Comment dire ?

Le nazi est un homme plein de surprises, impitoyable et monstrueux lorsqu'il a décidé de l'être, et parfois doux et de très agréable compagnie lorsqu'il est détendu. Tout dépend de mon comportement même si je sais qu'au fond de moi, si il a envie de me punir pour son bon plaisir, il ne se gênera guère pour inventer je ne sais qu'elle erreur que j'ai commise. Qu'est-ce que j'ai oublié ? Ah oui, malgré le fait qu'il m'est fait subir d'atroces choses, l'allemand est très protecteur envers moi car je lui appartiens corps et âme. Et surtout, j'aime étrangement toutes ces parties de lui, sombre ou jolie. Malgré moi, car il peut me faire passer de toutes les émotions possibles et inimaginables en un claquement de doigt, ou autre chose.

-Et bien, ça avance, il n'a pas encore totalement confiance en moi mais, je vais faire en sorte de passer le plus de temps possible avec lui, pour que je gagne la partie. Annonce-je sûre de moi, enfin je fais croire que je le suis, car au fond de moi, je suis terrorisée.

Oui, mais par lui, ou par moi-même ?

[...]

Terres des Dumont, dimanche 14 juillet 1940, 22h00.

Voilà maintenant quatre jours. Quatre jours que je ne cesse de me demander qui est cette Hilda Imbach. Quatre jours que j'ai vu Daniel pour parler du réseau et de l'avenir de la France, qui est désormais entre les mains du maréchal Pétain qui a ordonné que toutes les luttes, militaires ou civils, soient arrêtées. Quatre jours, que je me rapproche de plus en plus du général Rintenlberg. Quand je dis rapprochement, je parle de quelques discutions sur moi principalement, mais également sur lui. J'ai pu apprendre qu'il savait jouer du piano, par exemple, tout comme moi, enfin je savais en jouer.

Et surtout, quatre jours que Engel ne m'a pas touché, juste quelques sourires. Je vais devenir folle, surtout depuis ce soir là, où il m'avait presque donné un orgasme.

En ce moment, je suis installée, ou plutôt allongée, sur l'herbe fraîche prêt du petit lac derrière nos terres. Et je réfléchis tout en observant le coucher du soleil tapant sur ma peau, la rendant dorée. Derrière moi, j'entends des pas s'approcher silencieusement. C'est lui, je ferme les yeux et tends les bras sur les côtés pour les allonges à leurs tours.

-Bonsoir général.

-Bonsoir, fraülein, que fais-tu ici ?

-Je profites de la chaleur de ce soir, il doit faire au moins 35 degrés. Vous n'avez pas chaud dans votre uniforme ? Questionne-je en ouvrant les yeux pour l'observer, il sourit. Il est beau.

-Si tu voulais que je me déshabille il suffisait de le demander. Je me redresse et me lève.

-Non ce n'est pas.. ce que je voulais dire. Souffle-je tout bas en le regardant se dévêtir, une fois en pantalon, il réduit l'espace entre nous.

-As-tu vraiment chaud ? Sussure-t-il en soulevant ma robe pour me l'enlever.

-Assez, oui.. Chuchote-je en ne quittant pas ses yeux clairs.

-Je vais y remédier. Ne cherchant pas à expliquer ce qu'il me dit, je fixe désormais ses mains qui s'affairent à la tâche en enlevant sa ceinture, son pantalon puis son sous-vêtement, c'est à ce moment que je détourne le regard pour observer les arbres qui nous entourent, les joues roses.

-Ne sois pas gêner. Sourit-il en faisant de même avec mon sous-vêtement. L'allemand pose son bras dans mon dos puis un autre sous mes genoux pour me soulever, cependant, je n'ai pas le temps de crier de surprise que ma tête est déjà sous l'eau.

Il vient de me jetter à l'eau.

Cherchant à remonter à tout prix, je m'accroche à n'importe quoi, son bras dans ce cas présent. Je tire sur ce dernier pour me ramener contre lui et je serre son cou de mes bras, toute tremblante de panique. Depuis l'épisode du bain, l'envie de nager ou d'être dans l'eau me révulse.

-Rose ? Qu'est-ce que tu as ? Il ne le sait pas, alors qu'il est la cause de ce problème.

-Je.. je ne veux pas être dans l'eau s'il vous plaît. Mes jambes entourent par sécurité sa taille et ma poitrine s'écrasent contre ses muscles volumineux.

-Pardon ? Lorsque c'est Romain qui te jette à l'eau c'est amusant mais lorsque c'est moi ça ne l'est pas, bien au contraire ? S'indigne-t-il en essayant de se séparer de moi, c'est bien la première fois qu'il tente de me rejeter.

-Non ! Ce n'est pas ça général ! Le contre-je en serrant un peu plus fort dans le but de me coller un peu plus à lui.

-Ah oui ? Et c'est quoi alors !

-J'ai.. peur. Avoue-je en sentant mon estomac se retourner.

-Peur ? Expliques toi.

-Depuis, que vous avez tenté de me noyer.. dans la baignoire. Je ne veux plus nager. M'explique-je en sentant ses muscles se contracter.

-Tu avais besoin d'être punie Rose, cependant, maintenant c'est finit. Tu es obéissante alors tu n'as plus rien à craindre.

-Je sais mais.. je veux quand même, ah ! Vous n'avez pas le droit de vous servir de mon corps pour me faire changer d'avis géné.. seigneur. Je gémis sous sa main, ou plutôt ses doigts qui se trouvent sur mon intimité.

Le salopard.

-Bien au contraire, j'en ai parfaitement le droit. Murmure le nazi pendant que son pouce joue avec ma chaire et son index avec mon, entrée.

-Général.. pas ici. Tente-je une seconde fois en retenant un cri, mes ongles rentre dans ses omoplates lorsque son index entre subitement en moi et que ma boule de nerfs tressaute sous son pouce.

-Et pourquoi pas ?

-Des gens pourraient nous entendre, ou pire, nous voir. Réplique-je durement en fermant les yeux tout en agitant mon bassin.

-Ne dis plus rien. Ordonne-t-il sévèrement toujours en titillant et en explorant mon sexe, je passe une main dans sa chevelure brillante sous le soleil, seul témoin de notre étreinte.

-Géné..

-Je pourrai très bien décider de te refuser encore une fois l'orgasme si tu desobéis, meine hertz. Ses paroles m'arrivent directement au cerveau et ce dernier me renvoit les souvenirs de ma frustration, je décide alors de me taire, ne voulant pas revivre cela.

-Quoique, si j'ai envie de te refuser ça, c'est mon droit puisque tu m'appartiens. Jouant cette fois-ci avec ma patience, je tire sur ses cheveux pour lui montrer mon désaccord et il rit.

L'homme s'active un peu plus à la tâche et je gémis silencieusement, sentant une vive chaleur me monter et des tremblements incontrôlables me submerger. Sa deuxième main entoure brusquement ma gorge, néanmoins, cela ne reste qu'un détail parmit tant d'autres face au bien-être que je sens au fond de mon coeur.

-Dit le moi Rose, dit moi à qui tu appartiens. Rugit-il en appuyant sur un point de non-retour, alors je lui réponds avec joie sous mes spasmes incessants au même moment ou sa main quitte mon cou.

-À vous général ! À vou.. Il pose durement sa paume sur ma bouche, se rendant compte que j'ai hurlé relativement trop fort.

C'est dans ses bras, que nous remontons dans ma chambre, il pose nos vêtements sur ma chaise située devant la coiffeuse après m'avoir déposé sur mon lit, encore toute trempée, dans tous les sens du terme. J'ai l'impression d'être dans un autre monde.

-Tu sais que tu es très sexy comme ça. Dit-il au creu de mon oreille en me rejoignant.

Mes iris se déposent sur son corps humide et puissant, et surtout, sur sa verge dressée, qui est très grosse, ou longue, je ne saurai dire ce qu'il me surprend le plus. Mais je n'ai pas le temps de réfléchir plus que ça car ses lèvres chaudes se déposent avec empressement sur les miennes et j'accepte son baiser.

Mon corps est alors couvert de caresses agréable, de baisers humides, tandis que le sien est parsemé de quelques unes de mes griffures ou de mes touchers légèrement audacieux qui ont l'air de lui plaire. Lorsque son ses doigts appuie sur ma chaire encore gonflée et sensible, je gémis dans sa nuque.

À l'instant où il se place au dessus de moi pour écarter de son genou mes cuisses, je comprends que c'est le moment. Ça va être douloureux, d'après Hélèna, alors inconsciemment, je me contracte en sentant son sexe dure contre mon entrée si étroite. Est-ce de la crainte ? Plutôt de l'appréhension, qui augmente lorsqu'il pose sa main sur la bouche encore une fois.

-Tu risques de crier, détends toi meine Rose, et tout ce passera bien. Une douleur lancinante et brûlante me brise en deux quand il entre en moi d'un coup de rein violent. Comme si un couteau chauffé préalablement dans une cheminée venait de m'être rentrée de force. Mon hurlement est étouffé dans sa main que j'agrippe pour lui faire comprendre ma douleur.

-Détends toi chérie, tu es trop serrée c'est pour ça. Je m'agite, c'est beaucoup trop douloureux et insupportable pour moi, une larme coule le long de ma tempe mais je ne peux ni crier, ni parler.

-Rose, détends toi ça va passer. Me promet l'allemand en retirant la moitié de son membre pour mieux le rentrer une seconde fois, je ne tiens plus, malgré que mon sexe soit humide, ça ne passe pas, la brûlure est même pire, alors je tente pour le tout et le repousse pour lui faire comprendre. Il grogne et cesse tout mouvement pour retirer sa main, je m'empresse de lui dire :

-Général je vous en prie retirez-vous ! C'est insupportable.. Soupire-je en posant mes mains sur ses épaules.

-C'est normal, tu étais vierge. Mais maintenant ça ira mieux, détends tes muscles meine hertz. Pour m'aider, le nazi caresse lentement ma taille, puis mon ventre pour finir sur mes seins tandis que sa bouche s'active sur mon cou. Mon clitoris est très vite pincé entre deux de ses doigts ce qui m'envoit une décharge de plaisir dans tout mon être.

Profitant de mon moment de détente, Engel entre en moi une seconde fois, lentement, mais sûrement. Mes doigts se referment sur les draps et je pousse un gémissement de douleur. Moins présente que la première fois, certes, mais tout de même présente et gênante. Il m'embrasse tendrement et je lui rend son baiser si passionné.

-Tu es si douce, si chaude. Sussure-t-il entre deux baisers tout en se mouvant en moi, lentement, j'y prend alors une certaine habitude qu'il remarque très vite car il accélère un peu plus la cadence.

Mon entre-jambe me fait toujours souffrir cependant, j'éprouve également l'extase que me procurent ses caresses expertes et douces. Il murmure également quelques mots dans sa langue germanique que je ne comprends pas, mais qui me font tout de même plaisir car sa voix sensuel et son regard de emplit de désir pour moi me comble de bonheur.

Audacieuse, je survole à mon tour son corps de mes mains petites mains, tout d'abord son dos que j'effleure longuement - comme pour m'excuser des griffures que je lui ai administré. Puis je frôle ses épaules, ses bras ainsi que son torse qui sont si musclés et contractés. Je plonge maintenant mes doigts entre sa chevelure soyeuse et je termine par caresser sa joue en fermant les yeux. Un court cri de surprise sort de ma bouche lorsqu'il se retire pour me retourner, dos à lui à présent, le général relève mes hanches pour me mettre sur mes genoux, j'obtempère et pose maintenant mes coudes sur mon coussin.

-J'espère que tu n'as pas sommeil, petit coeur, car je n'en ai pas finit avec toi. Avoue l'homme en entrant vivement en moi.

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OK OK OK. J'avoue que je n'ai annoncé à aucun moment dans le titre que notre chère Rose allait se faire très joliment CULBUTER par notre cher Engel. Mais je suis comme ça moi, j'aime l'effet de surprise ;)

(sans mauvais jeu de mot)

-Elisa, avec joie :)

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