- Allô, amigo ? Répond joyeusement Nacho. Comment va mon amigo Faustin ? Et ta princesa Sasha ? demande-t-il gaiement. Félicitations pour la finale ! Et encore désolée pour mon talent Amélina... Elle n'en fait qu'à sa tête... Mais... Faustin ? Tu vas bien ?

- Justement, Nacho... commence Faustin qui se dirigeait vers la sortie de l'hôpital, ayant appris que Sasha allait y être opéré des heures, il a préféré se rapprocher du poste de police en voiture. J'ai besoin de ton aide... C'est urgent. Nacho, j'ai besoin de ton aide... murmure Faustin en tenant Sasha dans ses bras, se dirigeant vers sa voiture. C'est urgent.

- Compte sur moi, Faustin. Déclare alors Nacho d'un ton sérieux et tout autant déterminé sans même savoir dans quoi il s'embarquait.

Cette détermination toucha Faustin du plus profond de son cœur et le motiva encore plus dans son périple pour sauver sa douce, lui qui venait d'apprendre le si triste mais brisant passé de sa douce.

Faustin esquisse un sourire à travers tous ses soucis, apercevant enfin la lueur fine de la lumière à la fin du tunnel.

- Merci infiniment...

- Mais je t'en prie, amigo ! Tu as tant fait pour moi! Sans toi et tes splendides compositions, je ne serai probablement pas coach et je n'aurais pas non plus cette splendide carrière à l'heure actuelle, Faustin ! Tu m'as donné l'assurance et le goût de composer, en plus ! Déclare alors Nacho, heureux d'enfin pouvoir rendre la pareille à son meilleur ami.

- Mais je t'en prie, Nacho, mais tu es bien plus doué que tu ne le crois ! Affirme alors Faustin en un faible sourire.

- Haha, ce sera une discussion pour une autre fois, amigo ! Maintenant dis-moi ce qui embête tant mon petit couple préféré.. décrète Nacho, déterminé.

Là, Faustin prend une grande inspiration et commence à lui compter l'histoire de Sasha et ce qui lui arrive.

Après avoir poussé des cris d'horreur, terrifié à l'idée que j'ai vécu tout cela sans jamais m'en plaindre ni rien dire et surtout réalisant que mon état était bel et bien alarmant quand il m'avait vu, Nacho déclare qu'il va de suite appeler son ami qui justement était en repos chez lui.

- Tu es sûr que ça ne le dérange pas ? Je me sens mal de... commence Faustin, inquiet.

- Oh non, ne t'inquiètes pas ! Il se plaignait justement d'avoir trop de temps pour lui, voilà qui le stimulera, haha ! Me rassure aussitôt Nacho avant de crier le nom de son ami qui arrive en deux temps trois mouvements au salon.

Ils discutent quelques instants en espagnol avant que Nacho ne lui passe le combiné et qu'une discussion précise démarre entre lui et Faustin.

D'abord impressionné, Faustin répond finalement méthodiquement à toutes les questions si bien qu'en cinq minutes, le médecin déclare venir à l'hôpital de Sasha sans plus tarder. Après avoir remercié mille fois le médecin, Faustin reprend son ami au téléphone :

- Merci encore, Nacho ! Vraiment !

- Mais je t'en prie, amigo ! Et ne t'inquiètes pas, on va la sauver, ta princesa ! Toi, concentre-toi sur ta finale avec elle ! J'ai bien l'intention de t'entendre briller avec elle sur scène et de vous voir gagner cette finale !

- Nacho... lâche Faustin entre deux sanglots. J-Je... Le châtain ne trouve plus ses mots.

- N'hésite pas à m'appeler chaque fois que tu voudras parler d'elle ; je serai là ! De toute manière, Amélina ne veut pas me voir alors je n'ai que ça à faire ! Le rassure Nacho. Allez, file, tu dois avoir mille et une choses à faire en l'absence de ta princesa ! Déclare Nacho tendrement.

- Haha, oui, merci ! Tu es un super ami, Nacho ! S'enquit Faustin, ému et heureux.

- Et toi de même, Faustin ! Lui répond gaiement Nacho.

Une dernière salutation et il raccroche, l'esprit enfin libéré de tout souci en partie.

Ensuite, il démarre sa voiture et file au poste, afin de participer à la recherche du frère de Sasha.

Il avait déjà sa petite idée : avec la tonne de médicaments dans le tiroir de Sasha, il était sûr que les policiers remonteraient forcément à leur groupe de dealers !

~

- C'est incroyable le nombre de divers médicaments contenus dans ce tiroir... Et dire que j'étais là il n'y a pas si longtemps, je suis passé sans rien remarquer. s'horrifie le détective, ahuri tandis que la police scientifique analysaient les données et que son équipe enquêtait sous sa direction.

- Vous ne pouviez pas savoir : c'était aussi en exposition pour cette raison, après tout. décrète Faustin, atterré lui aussi malgré tout.

- Comment va votre élève ? Relance alors le détective, inquiet.

- Mon élève ? Bien, je l'espère.. souffle le coach, les épaules affaissées de soucis. Je n'ai plus de nouvelles depuis que je l'ai quittée mais j'imagine que c'est naturel puisqu'elle se fait opérée et... Faustin repense à son cher ami Nacho qui a contacté l'un des professionnels médicaux les plus compétents et sourit faiblement malgré la douleur. Je sais qu'elle est entre de bonnes mains.. affirme-t-il plus sereinement.

- C'est bien. Déclare alors le détective qui regardait des données GPS ; il était également à la recherche de toute trace laissée par le véhicule emprunté par l'un des membres du cartel ; ils étaient si nombreux que tout le monde s'investit, même moi j'analyse des pages et des pages de GPS afin de tenter de retrouver les membres, ne serait-ce qu'un, et surtout son frère.

- Et... vous...la considérez comme..?

- Une complice ? Complète le détective en sentant ma difficulté. Non... Si elle est bien une chose, Sasha est une victime. Aucune poursuite ne sera réalisée contre elle. Affirme-t-il calmement.

L'envie de pousser un cri de joie prend Faustin mais il se contente finalement d'un soupir de soulagement, rassuré.

Il le remercie sans tarder mais le concerné répond avec assurance qu'il ne faisait que son métier.

L'attente est insoutenable ; les minutes défilent et les heures passent quand soudain..!

- Je crois que j'ai une piste ! M'écrié-je, n'en croyant moi-même pas mes yeux.

- Ah bon ?

- C'est vrai ?! Réagissent les autres policiers d'astreinte dans le salon de sa douce étoile filante, les autres étant soit sur le terrain à enquêter soit au poste à démarcher pleins d'endroits où le frère ou un membre du carter aurait été aperçu.

- Mais c'est bien vrai ! Déclare le détective qui siégeait à mes côtés et qui est le plus vif à repérer cela. Équipe B ! Dirigez-vous de suite avec des renforts vers cet endroit ! Prévenez toutes les autres unités de l'avancée, Équipe C !

- Oui, chef !

- Entendu ! Répondent ses collègues.

- Vous, vous allez retourner chez vous, vous serez escorté par un policier en civil afin de vous protéger et d'éviter toute représailles. Décrète le détective, irrévocable.

Faustin a envie de lutter, de rester dans la maison de sa douce afin de se rappeler de sa présence, de sa fragrance mais il sait aussi le danger encouru par sa présence engendrerait alors il n'insiste pas et fait ce qu'on lui demande, les remerciant et encourageant silencieusement. Ils font de même, reconnaissants, mais ne souhaitant être entendus en cas de possible écoute.

Une fois arrivé chez lui, Faustin est tenté de contacter Nacho, histoire de se sortir de la tête toutes ces histoires, se changer les idées et il sait parfaitement que son ami l'y aiderait...

Alors il le fit.

Il parla de tout sauf de l'enquête à Nacho. Mais il lui raconta son rendez-vous amoureux avec sa douce fleur d'été, il lui raconta son passage au ciné avec sa douce étoile filante...

Et Nacho, rit, sourit, l'écouta, l'encouragea...

Et lorsque ces doux instants furent finis mais que l'opération des policiers, elle, ne l'était pas, Faustin plutôt que de se morfondre décida d'être productif tout en se visant la tête.

Le policier à ses côtés n'avait pas quitté son poste et Faustin avait reçu pour ordre de ne pas quitter cette salle fermée et sécurisée mais il avait de la chance : divers instruments s'y trouvaient dans cette salle insonorisée et sans fenêtre, ce studio pro dans lequel il avait mis une fortune !

Aussi, Faustin écrivit...

Il écrivit avec tout son amour et toute sa passion pour sa fleur de cerisier des chansons...

Il pensa à son sourire, à son sourire, à ses tendres émeraudes se déposant sur lui avec amour et tendresse, à cette détermination quasi inhumaine mais si tendre...

Oui... car être humain c'est aimer, même quand c'est trop dur, c'est continuer d'aimer...

Les paroles et la mélodie lui viennent sans prévenir et il écrit, il chanta, il composa et, chose incroyable, lorsqu'il arriva à tout poser comme il le voulait, le talkie walkie du policier retentit et la nouvelle tomba :

Ils avaient retrouvé le frère de Sasha. . .

~

- Puis-je le voir ? M'enquis-je, ayant dix mille questions me venant à l'esprit en plus de celles qui me trottaient déjà dans l'esprit.

- Non, nous devons d'abord l'interroger et réaliser plusieurs tests sanguins afin de vérifier les drogues dans son sang. Déclare le policier en précipitation tandis que je pliais déjà bagage, malgré tout prêt à partir et lui aussi.

- Alors où m'emmenez-vous ? M'étonné-je en montant toutefois dans ma voiture qu'il conduit habilement.

- À l'hôpital ; l'opération de Sasha s'est terminée et les médecins estiment qu'elle se réveillera bientôt, j'imagine que vous voudrez voir ça. M'explique-t-il en roulant sans même nécessiter d'un GPS, se souvenant parfaitement de l'endroit où se trouve l'hôpital.

- M-Merci... soufflé-je, touché qu'il me prévienne et s'investisse autant, et si rassuré et soulagé que tout se soit déroulé visiblement sans trop d'embûches pour ma petite étoile. Vous me promettez de me prévenir une fois que nous pourrons voir le frère de Sasha ? insisté-je malgré tout.

- Bien sûr. Lâche-t-il. Mais vous êtes sûr de vouloir y aller avec votre douce ?

- Je souris et murmurai : Oui, je suis sûr que nous sommes prêts. Nous l'affronterons. Ensemble, cette fois. précisé-je, déterminé.

Le policier sourit en coin, impressionné avant d'ajouter :

- Prenez bien soin d'elle. Vous formez un joli couple.

Je pris des couleurs, ne m'attendant pas à recevoir un tel compliment dans cette situation quasi désespérée mais le remercie chaleureusement, si heureux d'être perçu comme tel.

- Nous y sommes. Bon courage. termine alors le policier, une fois la voiture garée ; je descends et lui aussi.

- Merci à vous, bon courage également ! terminé-je, heureux.

Un dernier sourire et nous nous séparons ; lui se dirige vers la voiture de police tandis que je cours jusqu'à l'entrée de l'hôpital, m'engouffrant vers le troisième étage dans la chambre de ma petite étoile.

Only, Lee Hi

- Ah, vous êtes là. déclare l'infirmière qui prenait la tension de sa douce Sasha.

- Oui! Comment va-t-elle ? m'enquis-je, inquiet.

- Héhé, ne vous en faîtes pas, l'opération a été un franc succès ! me répond-elle en un petit rire, amusé et touché de voir mon affection si grande pour ma rose.

- J-Je... suis si soulagé... murmuré-je, épuisé mais retenant encore mes larmes.

- Elle peut se réveiller d'un moment à l'autre. Appuyez sur le bouton si c'est le cas ; nous nous occuperons d'elle. explique l'infirmière, sur le départ.

- Merci..! m'enquis-je alors, plein de reconnaissance.

- Mais je vous en prie ; soyez heureux, ensemble. Nous nous occuperons de lui trouver un remède avec le grand médecin tout juste arrivé. termine l'infirmière. Grâce aux listes d'effets négatifs qu'elle a réalisé et les médicaments que Sasha a ingurgité et que nous avons trouvés dans son sang, nous avons une piste pour trouver un remède !

- Merci.. susurré-je, ému.

L'infirmière me sourit une dernière fois puis s'éclipsa, partant travailler sur le cas inédit qu'est Sasha.

Moi, je mets le genou à terre, déposant mes affaires à même le sol, tenant sa main droite dans les miennes, déposant mon front tout contre sa main, les yeux fermés, murmurant des supplications :

- Ma douce étoile filante, ma petite fleur rose, ma princesse... Je t'en prie, je t'en supplie, tiens bon... Reviens-nous... Éblouis-nous par ta lumière, ta gentillesse, ta tendresse...

Asha et la Bonne étoile, Moi je fais le voeu ; Le voeu parfait ; Ma promesse

Un silence s'installe tandis qu'il retient difficilement des sanglots.

- Tu..me manques tellement... susurré-je, dévasté. Ta lumière.. ta douceur... Je... t'aime tellement... J'aurais dû te protéger... J'aurais dû t'aimer plus... Sasha.. Tu es ma plus tendre rencontre... Mon plus grand soleil...

Un soupir épuisé m'échappe

- S'il te plaît... Reviens... Sasha... S'il te plaît... Je t'aime.. Je t'aime tellement.. Je..

La voix de Faustin se casse tandis qu'une grande inspiration s'échappe de ses lèvres sucrées.

- Sasha ! hurle Faustin aussitôt, choqué.

Le corps de la rose est convulsé tandis qu'elle ouvre brusquement les yeux.

- Oh ma Sasha ! S'enquit Faustin en se pressant vers elle, la pressant tout contre lui avec amour et tendresse tout en appuyant rapidement sur le bouton dont lui avait parlé l'infirmière.

La rose ouvre grand ses yeux dorés, choquée elle aussi tandis qu'elle observe les alentours, ahurie.

Raiponce, Je veux y croire

Les larmes de Faustin qu'il retenait depuis des heures déjà coulent à flot sans qu'il ne puisse s'arrêter.

Alors, réalisant elle aussi la situation, qu'elle était vivante, et avec sa moitié, Sasha éclata également en sanglots.

Tu es là..! susurre-t-elle, heureuse.

Tu es en vie..! s'enquit-il, heureux.

Ils s'enlacent chaleureusement, tendrement, gentiment, délicatement...

Leurs âmes, leurs cœurs sont en communion et battent d'un même rythme...

et ils s'embrassent tout aussi délicatement... Un long baiser, gentil, doux, et un instant, ils sont comme en apesanteur, ne respirant plus mais comme inspirant éternellement, dans un paradis perdu, sans nom et oublié, le temps s'arrête.. et reprend tendrement lorsque l'air leur échappe, et, là, vraiment, ils peuvent se dire qu'ils sont en vie !

- Elle est réveillée ! s'écrie alors une infirmière en se précipitant dans la salle. Prévenez le docteur ! s'enquit-elle ; en entendant des bruits de pas, je comprends qu'ils se dirigent au contraire vers l'endroit où se trouve.

- M-Merci.. ! susurre Sasha, encore émue.

- Mais je vous en prie, jeune fille! Tenez bon! Vous méritez de vivre ! se répète-t-elle énergiquement ; l'infirmière lui sourit et Sasha le lui rendit, émue, avant de verser à son tour des larmes, bouleversée, et se pencher vers moi pour m'embrasser le plus délicatement possible.

- Affrontons mon frère. murmure-t-elle, déterminée.

- Tu m'ôtes les mots de la bouche. ajouté-je en un sourire affirmé avant de déposer mes lèvres sur les siennes.

Elle sourit à travers notre baiser avant qu'on laisse le corps médical l'analyser.

Moi, je l'observe en me reculant, leur laissant suffisamment de place, sans toutefois quitter des yeux la douce Sasha, l'encourageant du regard, souriant malgré mes yeux brouillés par mes pleurs de joie.

~

Vaundy feat Cory Wong, op 2 (de la saison 2) de Spy x Family

- Son état est stable avec ce que nous lui avons donné ; sa prise est à prendre toutes les trois heures sauf la nuit. m'explique le médecin tandis que Sasha se change dans la toilette de la salle d'eau de sa chambre d'hôpital.

- Merci beaucoup. m'incliné-je, reconnaissant.

- Je vous en prie, voyons, amigo! s'enquit l'ami de Nacho en déposant sa main sur mon épaule. Nous l'analyserons pour la nuit alors sera-t-il possible de revenir ? m'interroge-t-il, craintif.

- Oui, ne vous inquiétez pas ! On sera de retour le plus tôt possible ! m'enquis-je, déterminé.

- On ? répète, étonné, le médecin.

- Oui. acquiescé-je, déterminé. Je vais la soutenir dans cette épreuve ; j'amènerai mes affaires et celles de Sasha comme ça, on sera comme chez nous. expliqué-je en prévoyant déjà le lieu où nous allions déjeuner avant de voir son frère ; même s'il est près de quinze heures, il fallait bien que ma petite étoile ait quelque chose dans le ventre après le lavage d'estomac qu'elle a subi.

- Je vois. déclare le médecin en un sourire en coin. Quel bel amour vous lie tous les deux. Votre lien est inébranlable. remarque-t-il, souriant.

Je lui souris en retour et prends par la main la douce Sasha, vêtue de la tenue que je lui ai acheté avant de venir la voir, afin qu'elle se mette autre chose que ma chemise lui servant de pyjama :

- Oui, acquiescé-je à nouveau. Sasha me sourit gaiement tandis que nous murmurons, tous les deux, heureux, apaisés, déterminés : Rien ne nous séparera.

- Rien ne nous séparera.

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La Nina de la Escuela de Lola Indigo, TINI, Belinda

- Mm..! Que c'est délicieux..! s'émerveille Sasha en ayant presque les larmes aux yeux de joie.

- Haha, ma petite étoile filante, tu devais mourir de faim, ma pauvre..! m'esclaffé-je, attendri, en essuyant sa larme dévalant sa joue. Je t'aime... Sasha...

- Je t'aime aussi, Faustin.. soufflé-je, touchée au plus haut point d'être en vie, d'être avec l'amour de ma vie, là, à manger dans un simple fast-food mais c'était comme la récompense la plus élevée de toute ma vie ! Et oui ! Je mourrais de faim, haha ! m'esclaffé-je tandis que lui aussi dégustait son hamburger. Et je ne suis visiblement pas la seule, mon prince haha !

- Oh, si tu savais, princesse ! s'esclaffe à son tour Faustin en riant à son tour. J'ai couru de partout, je ne me suis à peine posée quelques instants !

- Mon prince.. Il fallait te reposer, voyons..! le grondé-je presque.

- Je sais, je sais, ma princesse, mais je ne pouvais m'y résoudre alors que tu luttais.. avoue Faustin en demi-teinte.

- Ow, je t'aime, Faustin..! m'enquis-je en liant nos mains.

- Mais je t'aime aussi, ma Sasha..! m'assure-t-il tendrement. Et nous aurons tout le loisir de nous reposer dans ta chambre ! affirme-t-il, gaiement.

- Tu n'es pas obligé, tu sais.. commencé-je, inquiète à l'idée qu'il dorme sur une simple chaise à mes côtés à l'hôpital, cette nuit, sans couverture même s'il pouvait toujours emmener les siennes ou un lit gonflable.

- Je le sais, princesse, mais je le veux, me coupe-t-il gentiment mais si déterminé, je veux passer chaque instant à tes côtés, Sasha, tu es ma vie. m'assure-t-il tendrement.

- Ow.. fis-je en laissant couler quelques larmes de soulagement. Je suis si heureuse.. si heureuse de tout t'avoir raconté et que tu le prennes si bien.. soufflé-je en voulant essuyer mes larmes.

- Oh, mais moi aussi, princesse, je suis si heureux, princesse, que tu m'aies tout dit.. m'assure-t-il délicatement en se plaçant à mes côtés pour m'enlacer délicatement. Et je le prendrai toujours bien.. Je t'accepte comme tu es, ça ne changera jamais..! murmure-t-il dans un souffle avant de tendrement lier nos lèvres dans un tendre baiser.

- Mais je t'en prie... Et moi aussi, je t'accepterai toujours comme tu es, mon prince... lui assuré-je tendrement avant de l'embrasser à nouveau.

- Ow, merci, princesse.. susurre Faustin, touché en souriant gentiment. Mangeons et reprenons des forces, ce qui nous attend sera rude.. souffle-t-il ensuite avant que je n'acquiesce gaiement, déterminée.