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Chapitre 21

- Je suis désolée ! Me precipité-je pour attraper un mouchoir sur le meuble du lavabo.

Je le tends aussitôt à Louis qui l'attrape et le presse contre sa narine.

- Ça nique ... Souffle-t-il entre deux ralements.

Je le regarde et après quelques minutes il retire le mouchoir imbibé de sang pour constater que c'est fini.

Je souffle de soulagement.
Je ne pensais pas provoquer cette situation.

- Je pensais que tu aurais eu le réflexe de rattraper la porte ... Mais apparemment t'es pire qu'un vieux, rigolé-je légèrement.

Louis relève sa tête automatiquement des que j'ai fini ma phrase en haussant les sourcils. Il s'approche de moi me faisant reculer pour que nous sortions de la pièce.

- Tu as dit quoi là ?

Je ferme ma bouche.

- J'ai dit que-

Je n'ai pas le temps de continuer ma phrase que par surprise, Louis attrape mes jambes et me fait basculer sans ménage sur son épaule. Je lâche un cri avant de me retenir au bas de son t-shirt.

Bordel j'ai eu peur.

- Louis lâche-moi ! Repose moi par terre plutôt !

Il marche dans le couloir et s'arrête.

- Ok. Mais arrête de m'étendre le t-shirt.

- Oui oui allez ! L'empresse-je en m'appuyant contre son dos pour me relever.

Mais au lieu de ça, Louis me fais glisser un peu plus derrière lui me faisant crier une nouvelle fois.

J'entoure rapidement mes bras autour de son ventre. J'ai du mal à respirer, mon sang glisse et tape dans ma tête.

- Louis me lâche pas ! Eclaté-je de rire en l'entendant rigoler.

- Pardon tu as dit quoi ?

- Me lâche pas !

- Hein ? Attend ? J'entends rien, je suis vieux, dit-il en me glissant encore.

Je me serre fort à lui et sens ses abdos se contracter sous mes bras.

- T'es pas vieux ! Je rigole, maintenant repose moi par terre.

- Pas de soucis.

Aussitôt, il me fais glisser encore alors que je cris son prénom.

Je m'accroche maintenant à ses jambes alors que ma tête puis mon dos commence à toucher le sol suivis de mes jambes, pour finalement terminer allongée au sol.

Je souffle un grand coup avant de le frapper au mollet.

Il descend les escaliers en rigolant et je le retrouve en train de raconter la scène d'il y a quelques minutes, dans la cuisine avec mon frère.

Je lui passe devant sans lui adresser un regard. Ça m'a pas plu ce qu'il m'a fait ! J'avais peur de me faire mal s'il me lâchait.

Je veux essayer de bouder mais je n'y arrive pas en dépasant Louis.

Je sens sa main attraper mon poignet.

- Eh viens là, siffle-t-il.

Il me tire vers lui en me faisant tribucher.

Je pose mes avants-bras sur son torse en guise de séparation et sourit, incapable de bouder.

À notre droite, Paul quitte la table son bol à la main et monte les escaliers en soufflant, nous laissant seul.

Je le suis du regard mais la main de Louis me bloque et m'empêche de regarder mon frere parti à l'étage.

Il appuie sur mes joues et me rapproche de lui pour m'embrasser.

- Y'a quelque chose qui nous attend dehors, elle est impatiente, me dit Louis en me poussant pour partir de la cuisine.

Je le suis mais avant de partir dehors, j'attrape mon blouson.

- Paul ! J'y vais !

Je ferme la porte derrière moi et découvre Louis, assis sur sa moto, équipé full cuir de a à z.

Et bordel qu'est-ce qu'il est beau.

Je file au garage prendre mon casque ainsi que mes gants lorsque j'entends Louis crier.

- Quoi ?

- Prend ta combi !

Je souris en l'entendant dire ça. Il veut que je mette ma combinaison de moto. On sera assorti comme ça ...

Je l'observe, accrochée au mur par un ceintre, emballée dans du plastique.

La dernière fois que je l'avais mis c'était quand j'étais aller sur circuit.

Je souffle un bout coup avant de la décroche et de dérouler le bloque de plastique autour.

J'enfile à la va vite mon cuir et rejoins Louis.
Dès que je sors du garage, ses yeux se fige sur moi et un sourire s'étire sur ses lèvres.

Il ouvre sa visière lorsque j'arrive à ses côtés.

-  Pourquoi tu ne l'as pas mis bien avant que je te rencontre ? Bave-t-il.

J'éclate de rire et fixe sa moto.

- Qu'est-ce qu'il y a ? Demande-t-il en me prenant mes mains qui tremblent légèrement.

- Rien

En vrai, je suis en plein stress. Et je dois l'avouer que pour une fois, a moto, j'ai peur.

Ouais j'ai peur d'être passagère. J'ai aucun contrôle à l'arrière et je dois dire que la confiance n'est pas totalement là.

- Allez, monte au lieu de réfléchir. Sourit-il en me tirant.

Une fois assis derrière lui, je soupire et m'accroche à ses côtes.

- Je te taperais la cuisse quand je ferais des accélérations, histoire que tu sois prévenue.

J'acquiesce et Louis quitte le trottoir sous un bruit à en couper le souffle. Carrément.

Wow, je .. Je pensais pas qu'elle faisait ce son là, a coup sûr il l'a déchicané pour faire le crameur !

Nous sortons rapidement de la ville et atteignons les cotes ou de plus en plus de lignes droites et de virages se créés sur le trajet.

J'ai chaud, la boule au ventre, mes mains glissent dans mes gants et pour combler le tout, j'ai oublié d'aller aux toilettes avant de partir.

Au premier vrai virage qu'entame Louis, je me crispe lorsqu'il penche sa sv. Je me rends compte que j'ai fermé les yeux et que je le serre comme une baleine.

- Ça va ! Hurle-t-il à travers le bruit.

- Ouais, ouais ça va très bien, reponds-je pas sûr de moi.

- T'es sur ? Si t'as un problème tu me le dis !

- Ouais enfaite je-

Je me raccroche aussitôt à lui lorsqu'un seconde virage beaucoup plus long arrive.
Je sens mon coeur battre fortement dans ma poitrine et malgré moi, ça me plait.

- J'ai l'impression que je vais tomber à chaque virage ! Ça fait flipper quand même !

- Ah ouais ?

- Bah oui ! M'écris-je quand on atteint le 3eme virage beaucoup plus serré que le précédent.

La circulation pour un lundi est très attractive et un défaut sur la route pourrait nous coûter chère. C'est ça que j'ai peur lors des virages à l'instant.

- C'est quoi ça ?! Paniqué-je quand un bruit de frottement résonne et que des étincelles sortent de dessous nos pieds.

Louis ralenti légèrement et regarde aux niveaux de ses pieds. J'essaye de regarder aussi mais ses cuisses me bloquent la vue.

Il tourne sa tête vers moi.

- J'AI FROTTER LES CALES PIEDS ! Explose-t-il de rire.

Je rigole face à sa bonne humeur et rigole à mon tour.

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