chapitre 5
Mère d'Élona quand elle se cache le bas visage.
Et VLAN !la porte s'ouvrit violemment sur Thoma.
Thoma:Tu sais j'ai réfléchi et...j'interromps une réunion de famille?
Moi:non.J'allais les mettre dehors.
Thoma:Oh c'est pas gentil! anolé sois plus sympa.
Moi|Maman: Anolé?
Moi:oui,Élona à l'envers!
Les Martin opinèrent.
Moi:bon faite connaissance ailleurs!
PDV extérieur à l'histoire
Non loin de la chambre de la cancéreuse, le neveu du médecin habituel des Martin ne comprenais pas en quoi Élona pouvait les détester.
Thoma:Donc, vous êtes les parents de cette teigne?
Mère d'Élona: oui, enfin. Et donc vous jeune homme êtes le neveu du docteur Hubert?
Thoma:Exactement! Mais même si ma question risque de vous paraître extrêmement indiscrète, mais j'ai crû comprendre qu'elle ne vous portez pas vraiment dans son cœur. Pourquoi?
Alors que les Martin font connaissance avec celui qui semble être la personne la plus proche de leur fille, plusieurs médecins se dirigent en courrant vers la chambre de celle-ci.
Mère d'Elona: Mais enfin qu'est ce qui ce passe?!
Ils en ressortent en poussant un brancard où s'y trouve une jeune fille reliée à une bonne dizaine de fils.
Père d'Élona:Élona! Ça arrive souvent ça?!
Thoma:ben depuis qu'j'chui ici, un peu.
Le docteur Hubert ,d'un pas pressé, se dirige soucieux vers les Martin un bloc note entre les mains.
Arrivé à leur hauteur, il fait, d'un signe de tête, suivre les deux adultes ici présent vers ce qui semble être le bureau de ce docteur.
Hé bien maintenant le jeune homme se retrouve donc seul. Alors que les Martin ressortent en pleurant, l'oncle de celui-ci se dirige presque en courant vers un couloir sombre au reflet vert.
Thoma,comme un gentil petit garçon et évidemment resté assis dans l'accueil à feuilleter un magazine H&M. Non mais vraiment, dès que son oncle n'eu plus la possibilité de le voir,l'adolescent se mit à courir à sa suite dans ce couloir aux apparences sinistre.
Arrivé au fond de ce couloir, Mr Hubert prit la dernière porte à droite. Son neveu se cacha donc derrière celle-ci et par la vitre de la porte il observa attentivement le déroulement de la situation derrière.
Rapidement il reconnu Élona sur une table d'opérations et son oncle avec un défibrillateur en main près de la jeune mourrante.
Une bonne vingtaine de minutes après, c'est Cindy qui arrive dans cette pièce et en ressort presque immédiatement avec donc la malade et et son brancard. Une seule question restait en tête du lycéen, que s'était-il passé?
PDV.Élona
Un peu après que j'eue virée les Martin et Thoma de ma chambre, ma vision se fit trouble une fois de plus. Et alors que je me redressais pour atteindre le bippeur, mes forces m'abandonnèrent et je tomba violemment au sol. Et malgré le fait que ma chute n'eût fait énormément de bruits, les fils me reliant à diverses machines se décrochèrent et je ne sais comment, mon lit tangua dangereusement . Les yeux rivés sur l'horloge j'attendis que les médecins viennent me chercher,ce qui arriva enfin.
De retour dans ma chambre, on m'expliqua que mon système s'était habitué à recevoir certains produits, et le fait de ne plus en être dépendante m'a causé une chute de tension ou autre chose.
Après la sortie de Cindy, Thoma entra dans la pièce tout sourire. Il commence à faire sombre dehors, du coup une petite lampe au plafond nous éclaire la pièce. Je ne sais absolument pas pourquoi, mais j'ai vraiment l'impression que cette conversation ne va pas me plaire.
Thoma:J'ai quelque peu discuté avec tes parents, et ce sont des personnes charmantes!
Je le savais.
Moi:Ah et donc? Où tu veux en venir?
Thoma: Qu'est ce qu'ils ont pûs te faire? Enfin pour que tu les déteste autant.
Moi:J'ai eu une vie en dehors de l'hôpital, j'ai un passé figure toi! Et il n'est pas forcément tout rose.
Ses yeux brun de chiot fasse à mon regard fixe et froid ne tiennent pas et finissent par regarder le sol.
Sans un mot il sort et la porte claque.
PDV Thoma
C'est pas possible d'être aussi stupide! On s'entendait bien et voilà qu'elle redevient cette rose parsemé d'épines, hors d'atteinte.
Je ne suis que moi,et elle...Elle n'est pas seulement Élona,elle est tellement plus..
Je marche dans les longs couloirs de cet hôpital quand par pur inadvertance je le jure! Je percute malencontreusement une personne, enfin un dos.
Moi:Oh excusez moi!J'vous avez pas vue.
Mes yeux rencontrent ceux de Carla.
Carla : toujours là toi?
Moi:comme tu peux le voir!
Elle me souris tendrement, comme à son habitude et l'heure passe pendant que nous discutons de tout et de rien. Surtout de rien. Carla est une amie du lycée, on s'est rencontrés en heure de colle. Enfin j'étais collé et elle apportée de la paperasse au pion.
Quelle magnifique rencontre!
Son bippeur vibre et nous interrompt dans notre débat sur le caramel. Cette brune ose dire que ce n'est qu'un mélange inutile, et moi je défend cette mixture magique.
Carla : Ah Thoma je dois te laisser,il est tard. À dans deux jours!
Moi:ouais! A plus!
Et comme il y a quelques minutes,je me retrouve seul dans les couloirs. Inconsciemment je retourne à la chambre de mon élève provisoire. En ce moment elle fait souvent des évanouissements, ça m'inquiète faut le dire. Parce que résister contre un cancer pendant autant de temps! Chapeau bas.
Arrivé devant sa porte je la vois,.allongée, regardant la fenêtre au mur opposé de la porte. Je ne me suis jamais posé la question, mais qu'est ce qu'elle a laissée derrière elle en venant ici? Une école, une famille, des amis...Un copain? Toutes sortes de questions surgissent de mon fort intérieur. En la regardant,une idée me vient, une idée qu'elle jugerait plutôt stupide. Voire même comme plan foireux. Mais bon. Ça ne me fera pas changé de position.
PDV Élona
Les yeux clos, et tourné vers la fenêtre comme à mon habitude, j'entends la porte qui s'ouvre légèrement en un grincement. Étrange vus qu'en temps normal elle est totalement silencieuse. Trop fatiguée pour regarder la personne venant de pénétrer dans la pièce, cette même personne lâche un juron. Il n'y a plus aucun doute sur l'identité de ce personnage: Thoma.
Plusieurs bruits suivent, choc métallique, bois qui tombe.. j'aurais aimé voir ce qu'il fabriquait, mais les médicaments prit précédemment pompe mon énergie, me forçant à me reposer.
À la fin de cette cacophonie,il n'y a plus que le bruit de ses pas qui résonnent sur le sol.Plus il se rapproche de mon lit,plus je resserre mon emprise sur la barre métallique du lit.
L'individu s'assoie à côté de moi,une main caressa ma joue puis il déposa un baiser sur ma tempe. Après ça il ressorti de la pièce me laissant pantoise.
Ce mec est vraiment étrange
Bip bip bip
J'ouvre lentement les yeux et découvre une vaste étendue de verdure .Je sais que je rêve, mais l'air frais dans mon cou et là fraîcheur de l'herbe sous mes pieds...ces sensation qui semblent si ordinaire et qui pourtant me sont devenues étrangères me font tellement de bien.
Pas à pas je découvre cet environnement si fabuleux à mes yeux. Et comme toujours, ce bonheur est de courte durée...
Thoma: Élona? Aller, s'il-te-plaît ouvre les yeux.
Alors mes paupières se soulèvent d'elles même et je me tourne pour pouvoir lui faire face.
Moi:Tu veux ton coup de poing dans la face ?
Thoma: tu va voire, ça va vraiment te plaire!
Je ne l'avais pas remarquée avant,mais il n'est qu'à quelques centimètre de mon visage et cache le reste de la chambre.
D'un coup il se relève et je peux enfin voir la chambre.
Moi:mais qu' est ce que..
Thoma: alors? Ça te plais?
Murée dans mon silence les yeux ronds la bouche entrouverte j'admire incrédule ce décor qui me fait face.
La chambre blanche et sans âme qui était jusqu'à présent ici à laisser place à des plantes,des fleurs, des pommiers et les murs sont entièrement recouvert d'autocollant de feuilles. Mes yeux s'humidifient tandis que Thoma continue de parler.
Thoma: alors? Ça te plaît hein! J'ai toujours eu un don pour faire des surprises!
Je me redresse d'un coup et le sert dans mes bras.
Moi:Merci. Mais comment?
Thoma: j'ai mes contacts.
Je reste là, assise sur mon lit quand le jeune brun retiré doucement le drap qui recouvrait mes jambes jusque là. Toujours avec la même douceur,il déplace mes jambe de façon à ce que mes orteils touche le sol.Le sol dont je n'avait prêtée guère attention est maintenant recouvert d'une fausse pelouse.
Debout grâce à des béquilles un peu spécial, je marche dans la pièce en suivant Thoma qui comme moi rigole tel un idiot.
La porte s'ouvre mais je n'y prête pas attention.Même la voix grave du docteur Hubert ne nuit pas à mon sourire et ma bonne humeur.
Docteur Hubert:Hé bien ! Tu t'en es bien sorti avec ce que je t'ai laissé.
Moi:des contacts?
La porte se referme, et nous reprenons notre rigolade.
Un bon quart d'heure après avoir chahuté, nous nous sommes posés au pied du petit pommier en pot, après avoir parler de tout ce que l'on peut parler, j'ai finis par m'assoupire sur son épaule. Encore.
PDV Thoma
Vers midi,j'ai eu l'autorisation des médecins pour garder un peu Élona avec moi,juste avant qu' elle ne s'endorme nous avons dégustés à deux le magnifique plateau repas que j'ai moi même confectionné!
Quand je me suis réveillé, première chose que je remarquis fut cette fille aux apparences si innocentes.
Moi:Élona...aller debout.
Aucune réponse.
Moi:Élona? Aller réveille toi.
Vu son manque total de réactions, je la secoue de plus en plus fort.
Moi: Élona! Élona!
Je me perd dans mes cris et mes appels jusqu'à ce que mon oncle et une poignée de médecins entre dans la chambre et me sépare d'elle.
Même si je la connais résistante, je ne peux m'empêcher d'éprouver cette peur qu'elle ne se réveille pas.
J'ai peur pour elle,je me suis trop attaché à cette fille pour quelle me laisse.
Je l' aime trop.
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