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Correction texte bac= Montaigne, Les Essais, '' Des coches ''


''Notre monde vient d'en trouver un autre'' écrit Michel de Montaigne, humaniste du 17e siècle, dans son œuvre majeure les Essais,

Dans cet extrait "des coches" chapitre issus de cette œuvre, Montaigne nous raconte comment les Espagnols ont conquis les terres du Brésil, lors de la colonisation par la violence. Il appuie notamment son récit sur la condamnation des rois indiens ici celui de Mexico et un de ses seigneurs.

Problématique= comment le récit de Montaigne offre t-il en point de vue sur la colonisation ?

mouvement 1er = 1 er paragraphe= la visiter et la cruauté des Espagnols

2e mouvement = premier et troisième paragraphe = le récit de scène de torture

3e mouvement = 4e 5e et 6e paragraphe = l'indignation de Montaigne

4 mouvement = 7e 8e paragraphe humaine ou divine un appel à la justice

Premier mouvement

passage de récit dans « des coches »

de nombreux passé simple = action de premier plan.

Nombreuses actions marquant la détermination des Espagnols + un récit vivant vivant a marqué les esprits

Récit qui confronte des personnages : Espagnol / amérindien // héros /anti-héros

manichéisme pour la simplicité du message ( représentation du monde divisé en deux pôles le bien contre le mal )

énonciation de l'avidité et de la duplicité des Européens.

La quantité : '' tout l'or qu'ils [les Espagnols ] s'étaient promis,''

'' s'étaient promis'' :objectif aveuglant.

L'obstination dans l'hyperbole et l'énumération : '' après avoir tout remué et tout fouillé ''

Dénonciation de la folie provoquée par l'appât du gain qui fait commettre aux européen des actes de torture :

superlatif : « les plus âpres les tortures qui purent inventer »

Verbe ''inventer'' qui montre la préméditation, l'usage d'une intelligence perverse qui cherche à provoquer la douleur.

'' ils ressentent une telle rage'' = vocabulaire de l'animalité, de la pulsion.

'' ils condamnèrent le Roi même et l'un des principaux seigneurs de sa cour à la torture en présence l'un de l'autre.'' = La torture consiste à exercer la souffrance à dessein pour obtenir des informations.

'' en présence de l'un de l'autre'' = perversion qui consiste à rendre de lui qui souffre spectateur de la souffrance d'un autre : pour l'impressionner, pour amplifier sa douleur.

2 Mouvement

''Ce seigneur, environné de brasier ardents'': torture consiste à brûler vif. Douleur extrême. mort lente. Cruauté d'une telle pratique.

Voyant que le roi résiste à la douleur du feu, les espagnols vont le faire sortir du brasier pour lui infliger de plus grandes souffrances encore:

'' Le roi, à demi-rôti '' animalisation

'' ils le pendirent'' :pratique douloureuse et cruelle.

« une autre fois » répétition de la torture comme une pratique courante.

« Le roi, à demi-rôti » fut emporté de là, non par pitié mais parce que sa constance faisait ressortir davantage la cruauté de ses bourreaux. » = Absurdité des actions espagnols guidée par la haine et le sadisme.

" ils [ Les Européens] firent brûlé vif ensemble, dans une barbarie inutile » : nom + adjectif dans lequel apparaît le point de vue du narrateur. Le mot "Barbarie " employer pour l'Européen, à rebours de son emploi habituel pour désigner les pratiques étrangères.

Registre pathétique employé par Montaigne pour rallier le lecteur à sa cause et lui faire ressentir l'ignominie de la torture : « sous l'effet de la douleur, tourna sur la fin pitoyablement sa vue vers son maître ». Adverbe pitoyablement + images de regard +la demande pardon de ne pouvoir résister = le pathétique mais servent aussi à montrer que l'humanité est du côté amérindien et non européen.

Les paroles du roi souffrant, rapporté par Montaigne au discours direct permet aussi de rendre la scène plus vivante et d'émouvoir le lecteur.

Face à des Européens méprisables, Montaigne construit en la figure du roi de Mexico:

Montel Salut le courage des victimes et rend d'autant plus abject le comportement européen.

«trouvant des courages plus forts que leurs tournant » =Comparatif de supériorité pour montrer que la force du roi est plus importante que la déception des Européens, pourtant déjà très forte.

2 adverbes pour décrire le courage dans l'épreuve « Le roi, plantant les fièrement et rigoureusement les yeux sur lui »

Le roi tente de garder sa grandeur et affirme encore son autorité au cœur du supplice « pour reproche de sa lâcheté et pusillanimité, il lui dit seulement ces mots, d'une voix rude et ferme : Et moi, suis-je dans un bain ? suis-je pas plus à mon aise que toi ?''

le roi trouve encore la force de se débattre et de combattre malgré l'épreuve du feu = '' Plus tard, celui ayant tenté de s'affranchir par les armes de la longue captivité et de la sujétion en lesquelles on le tenait''

'' et à sa fin , elle aussi fut digne d'un prince magnanime'': Montaigne rend hommage à ce roi massacré avec l'utilisation d'un terme mélioratif associé à la noblesse. Grandeur et force d'âme, clémence et indulgence

Après le récit de la torture du roi et de son Seigneur, le lecteur lit celui d'un massacre collectif dans le 3e paragraphe.

Choquer le lecteur par l'importance des chiffres : '' firent brûler quatre cent soixante personnes, quatre cents hommes du peuple et soixante autres » + véracité des faits.

'' Hommes du peuples'' = civils innocents.

Construit avec des structures de phrases parallèles qui donne le sentiment d'obstination des Européens : '' dans une barbarie inutile // dans un même brasier'' ; '' quatre cents soixante personnes /// quatre cents hommes du peuple ' '

Mouvement 3

Changement dénonciation passage à la 3e personne du pluriel '' nous tenons ces récits''

intervention du narrateur qui se montre et va juger le récit qu'il vient de faire depuis le début du texte.

'' C'est d'eux mêmes que nous tenons ces récits: car il ne se contentent pas de les avouer , ils s'en vantent , et les publient !'' Point d'exclamation montre l'incrédulité et l'indignation du narrateur devant l'aveuglement des Espagnols, même pas honteux d'avoir commis ces crimes.

Excès marqué par les 3 verbes qui s'enchaînent: « avouer, se vanter, publier »

narrateur va apparaître à travers l'utilisation de l'ironie.

'' Serait-ce donc pour témoigner de leur souci de justice, ou de leur zèle envers la religion ? '' Évidemment, cette antiphrase insiste sur l'écart entre la pratique de la torture et le sens de la justice et le respect de la religion.

ironie sur «Sainte fin " avec toujours antiphrase = '' Certes non. Ce sont des procédés trop contraires, trop opposé à une si sainte fin''

Montaigne avait posé des le premier paragraphe la torture comme contraire au message religieux '' contre leur foi ''

Il dénonce alors la duplicité des Espagnols, qui, sous prétexte de la religion (une des raisons de leur présence en Amérique du Sud est d' évangéliser les peuples autochtones ) , se livrent à des pratiques totalement contraires aux messages christique, Pacifique et altruiste.

Montaigne révèle le mensonge de l'évangélisation dans « s'ils avaient eu pour but de propager notre foi, ils auraient compris que cela ne se faisait pas par la possession de territoires, mais des hommes. » Or, Montaigne s'est employé à montrer précédemment que les conquistadors n'avaient aucun respect pour les hommes.

Dans le 6e paragraphe, Montaigne, moraliste, donne son jugement sur la colonisation comme il le fait dans d'autres passages ''des coches''. Il récuse pas totalement la violence mais fait la distinction entre ''les meurtres par nécessité'' et ''une boucherie'' provoquées par des ''bêtes sauvages''.

Il qualifie alors les conquistadors avec des motifs qui révèlent leurs pulsions meurtrières.

Il le fait souvent dans ''des cannibales'' ou ''des coches'', il invite qu'on par la comparaison à '' comme s'il s'agissait de bêtes sauvages'', à réfléchir à la notion de sauvagerie, si facilement employé par les Européens pour désigner l'autre, alors que ce sont eux qui sont sauvages au sens violent du terme.

4e mouvement

reconnaissance de justice des Hommes: Même les rois de Castille ont reconnu la gravité des faits commis par leurs serviteurs envoyés à la conquête du Nouveau Monde. La peine capitale montre que les rois de Castille ce sont désolidarisés de telles pratiques le mot « horreur'', qui est celui du narrateur, a pu être celui des rois '' au point que plusieurs de leurs chefs, d'ailleurs souvent déconsidérés et détestés ont été punis de mort sur les lieux de leurs conquêtes, par ordre des rois de Castille, offensés à juste titre par l'horreur de leur comportement » hyperbole qui marque la réprobarion

Reconnaissance d'une justice divine qui vient palier le manque de justice humaine: '' Dieu a fait justement permis que à ces grands pillages soient engloutit par la mer pendant leur transport, ou à la suite de guerre intestines pendant lesquels ils se sont entre tués, et la plupart de ces gens ont été enterré en ces lieux sans qu'ils aient pu retirer aucun fruit de leur victoire »

Insistance avec les deux adverbes « fort justement » sur la raison divine

destin préjudiciable au plus malfaisant. Inanité des biens matériels - memento mori 




conclusion



comment le récit de Montaigne offre t-il en point de vue sur la colonisation ?

- montre son indignation et celle des souverains

- met en place l'avidité et la cruauté ( critique ) 

ouverture : '' des cannibales'' = dans le quel il redéfinit le mot Barbarie 

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