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24- Voyage Entre Les Courbes De Tes Hanches

Un peu de 🍋 dans ce chapitre, comme promis 👀

Pdv Izuku

***
C'était difficile, dans ce grand lit aux draps blancs satins de garder une once de prestance.
J'étais devetu, Kacchan aussi, proche, le souffle chatouillant nos clavicules découvertes, nos lèvres entrebaillées comme pour chercher une aire plus respirable au creux de nos cous.

Dieu sait si j'avais envie de lui.

Mais visiblement, on ne savait plus comment s'y prendre, ni par où commencer...

***
Quelques heures plus tôt,

Il faisait chaud. Un peu trop chaud. Le printemps avait delaissé sa brise à l'été, et l'eau de nos corps prenait quelques degrés, à la limite de bouillir. Son chapeau de paille le protégeait tout juste assez du soleil goguenard, absorbant son énergie pour le combler de paresse.

-Deku kun ? Tu viens m'aider ?
-O-Oui ! Tout de suite !

Il était un peu trop rêveur le jour de l'emménagement d'Ochako et Tsuyu dans leur nouvelle maison.
Le grand carton allégé maintenant dans ses bras, facilement, il l'entreposa dans le couloir de l'entrée déjà bien rempli.
Avec l'alter d'Ochako et sa force, le déménagement n'avait pas besoin de plus de monde. Ainsi Katsuki et Tsuyu bossaient ce jour là, à quelques kilomètres d'ici.

C'était aussi l'occasion de passer du temps avec elle, comme au bon vieux temps.

-Il n'y a plus grand chose ! Promis, on fera une pause après ça !

Les quelques vapeurs de chaleur l'assomaient presque, mais les mots qu'elle savait chanter avec energie le motivaient.
Bravant de nouveau l'extérieur torride pour un dernier carton, Izuku pris un grand bol d'air pure à plein poumon.
Il aimait lui même l'odeur de la campagne, le vent de la nature se rabattant sur les tuiles rouges, le son des oiseaux enjoleurs. Il enviait son amie, de pouvoir y vivre avec son âme sœur, Katsuki était trop attaché à la ville et son ambiance bruyante pour la quitter subitement. Même la pollution, il aimait ça, disait il. C'était à remettre en question le monde entier...

Il déposa le dernier carton, l'embriquant sur les autres comme un tetris gigantesque, essuyant la sueur de son front suite à la libération de la besogne.

-Merci !! Dit elle, s'agripant à son épaule gentiment, visiblement épuisée. Il vint lui carresser la tête, c'est presque si elle pouvait ronronner.

L'idée qu'il ne reverra plus autant sa meilleur amie le peine un peu, maintenant qu'elle était si loin de la ville...

-Pfiouuuu enfin finiii ! Elle retira l'élastique qui retenait ses beau cheveux bruns, et il ne pouvait s'empêcher de sourire face à son bonheur. Elle avait réellement l'air heureuse, et ça le touchait.
-Tu voudras de l'aide pour tout aménager ?
-Non ça ira, je me débrouillerais avec Tsu !

Ochako montra joyeusement toutes ses dents, et l'intima à entrer dans la futur cuisine.
Elle lui servit un jus d'orange, quelques glaçons interdits à l'intérieur, et ils souflaient  de l'air chaud.

-Waaaaa si seulement j'avais de la pastèque ! Gint elle, buvant d'une traite son verre, il entendait les glaçons tout juste fondu croquer sous sa dent, imaginant ses gencives crier de douleur.

-Bon et alors toi,?
-Moi ?
-Oui... Avec Katsu ? Le mariage ? Ça va faire 1 mois maintenant je crois.
-Ah euh, on est pas pressé tu sais...

J'essayais de noyer ma gêne dans mon verre de jus, et devant la bouille bouffie de ma meilleur amie, je savais que c'était peine perdu pour avoir un quelconque répit.

-Vous l'avez fait ?

Il manqua de recracher le jus d'orange par le nez, il sauva les meubles en buvant de travers, toussotant comme un cancéreux, les yeux exorbités.

-P-Pardon ?
-Ohhhh c'est bon Deku tu peux me le dire !

Elle gonflait les joues. C'était adorable, mais à la fois meurtrier, elle était vexée visiblement, alors il décida tout de même de répondre à ses interrogations indiscrètes.

-Tu sais, c'est plutôt compliqué haha...

Ça ne l'était pas il y a quelques années, lorsque sa tente fut assez grande pour deux, et que dans la lumière tamisée de la lampe il dévorait ses yeux carmins amoureusement.

Il se souvient, que son cœur palpitait.

C'etait le dernier jour du voyage. Le dernier jour avant de rentrer, avant de ne plus se voir pour quelques saisons.

C'était déjà assez incroyable que Kacchan veuilles bien entrer dans cette maudite tente, plus encore qu'il veuille dormir avec lui.

J'avais choisi cette opportunité pour faire ma déclaration foireuse.

-Kacchan... Tu sais... Je devais te dire un truc...
-hah?!

Le cendré préparait son duvet consciemment, j'étais déjà embifourqué dans le mien, la tente peinait à nous contenir, nous étions bien proche, et cette proximité ancienne me faisait désormais remonter le rouge aux joues..

-Je...

Il se mit à me fixer. D'un regard presque meurtrier, intense, j'avais l'impression qu'il allait me dévorer tout cru. Il s'avança lentement, les paumes tendues comme pour me prendre le visage.

-Kacchan?
-Bouges pas Deku de mes deux.

Je fermai les yeux, inquiet, et à la fois impatient. J'imaginais déjà le goût de ses lèvres, son odeur toute proche. Puis je perçu le claquement de ses mains juste derrière ma tête.

-Y avait un putain de moustique. Jte jure ta tente c'est vraiment de la merde.

J'étais un peu honteux.
Comment j'avais pu croire un rêve à l'eau de rose dans ces conditions?
Piteux, je le poussais vers le fond opposé du reste de place, rouge de honte, bleue de tristesse.

-Tu abuses Kacchan!!! J'allais te dire quelques chose d'important !

Avais je crié. Ma force s'était un peu perdu, et il recula un peu trop.

-Putain Deku !

Pour se rattraper dans sa chute, il vint me prendre les poignets, se rapprocher même plus que précédemment.

-Bordel !!! Y a un putain de trou derrière ! Ça s'est parce que tu as choisi mal l'emplacement nerd de mes deux.
Merde. Il était trop près. Vraiment trop. Je voyais la finition de son nez, les fêlures de ses lèvres gercées se mouvoir. Il fallait que j'arrête de les fixer. Vraiment.

-Tu-Tu es trop prêt.
Je me maudissais, moi et les voix qui m'échappent parfois.

En y repensant, c'était la même position que dans sa chambre avant le voyage.
Et comme à ce jour, de nouveau il vit le pourpre atteindre le bord de ses yeux rubis, la pupille vibrante, sentant sa force se perdre sur ses liens, et il cru sentir la fumée de ses paumes.

Le souvenir de ses murs calcinés lui revenu distinctement à l'esprit, et en vue de leur situation, il ne valait surtout pas que ça se reproduise.

-Attend Kacchan !! Tout va bien, ne fais pas tout péter !
-MaIs Qu'EsT cE qUe Tu RaCoNtEs ?!

Les crépitements s'accentuèrent, à la hauteur de notre gène cumulée. Cette fois ci, je ne raterais pas cette occasion. Pas encore.
Je me détachais des étincelles, pour reprendre fermement tes mains, te rapprocher jusqu'à ce que nos nez se frôlent.

-Tu-Deku ?! TU FOUS QUOI ?
-Tais toi un peu...

Et je vins l'embrasser.

C'est drôle quand il y pense, d'avoir fait le premier pas. Lui qui tremblait comme une feuille à l'idée d'être proche de Kacchan...
C'était drôle aussi de se souvenir à quelle point il perdait le contrôle à l'époque, à quelle point il pouvait être gêné...

Puis, rompant le baiser... Il ne sait plus vraiment comment... Mais ils l'ont fait. Ils se sont fait plaisir mutuellement, ils ont jouit dans leurs mains respectives, sans penetration, mais c'était déjà bien, pour leur âge, pour leurs esprits perturbées.

***
-Oi Deku. Tu en veux ?
-Oh euh... Oui Kacchan !

Il était rentré, plutôt tardivement, et l'heure du repas avait sonné, pour le bien de leur trois estomacs.

-Mais euhhhh moi aussi j'en veux !!
Yuri s'impatientait, à la vue du riz désormais dans mon assiette.
-T'en aura sale mioche si tu vas te laver les mains.
-OK !!! Et ba même que ce sera le meilleurs brossage de main de tout les temps !
-Allez, file, avant que je dévore ta part !

Et elle devala, la mine sévère, vers la cuisine. Izuku profitais de sa courte disparition pour chuchoter à son amant une question complexe.

-Dis Kacchan je me disais...
Katsuki semblait terriblement concentré à la dégustation de son plat, il lisait sur son visage des réflexions silencieuses, "ça manque de curry" ou encore "ça manque de sel", et il avait hâte de voir sa réaction après la fin de sa phrase qui se faisait attendre, On fait l'amour après ?....

-J'ai finiiiiii !!!
Yuri revenu au grand galot, le timing parfait.
La pupille de Katsuki arrêta de fonctionner, comme prit d'un certain malaise, une crainte, ou juste de surprise.
On aurait dit un AvC, complet, tout son visage de tordait d'une expression à le faire mourir de rire, et sa peau avait prit quelque degrés fumant.

-Katsuuuu sert moi !!!

La petite tendait son assiette depuis quelques secondes, et les yeux de son amant ne l'avait pas quitté, les questions affluaient dans le miroir de ses iris, et Izuku riait doucement à cette réaction.

-Oui, sert là Kacchan qu'est ce que tu attends ?
Il le taquin ait, c'était si rare de le voir perdre ses moyens, il en profitait un peu.

-... O-Ouais.

La fin du repas se termina sans grabuge, ou presque. Yuri avait encore du mal à contenir sa joie et son énergie, quelque grain de riz fuyaient sur le sol, je savais qu'il allait falloir régler ce problème à moins de devoir passer l'aspirateur après chaque repas.

Puis, quand vint le moment de se mettre au lit, Kacchan avait soudainement une grande liste de choses à faire.
Nettoyer le four, soi disant parcequ'il ne le fera jamais sinon.
Jeter les poubelles à peine remplies,
Faire la vaisselle... Alors qu'ils avaient un lave vaisselle.

Il ne cachait même pas le ridicule de ses actions, les mains encore dans la plongeuse Izuku vins l'enlacer doucement par derrière, le câlinant un instant.

-Si tu n'as pas envie ce n'est pas grave... On le fera quand tu seras prêt, viens dormir avec moi s'il te plaît.

Izuku le senti se tendre un instant, se gonfler d'air et l'expirer lourdement. Puis Katsuki se retourna, la main ferme sur son épaule, une requête au bout des lèvres.

-On va faire l'amour, ce soir.
Sur ce coup là, il l'avait pris au dépourvu.
-Euh- je-oui! D'accord !

Et voilà.

Voilà comment nous nous nous étions rendu dans ce grand lit en satin.
Une ambiance mielleuse veloutés de nos désirs... Et la nostalgie du passé sur le coin de la bouche.

-Tu te souviens... De nos vacances.. Prononça t'il, même la sonalité était divine, j'avais envie qu'il prononce mon nom avec ce timbre suave...

-Oui...

Il dessina quelques cercles sur mon avant bras, le regard perdu dans les souvenirs, les sensations me remontaient jusqu'à la tête, oui, je perdais la tête de ses frissons doux qu' il savait étonnamment si bien faire.

-Je me souviens, dans le bus retour. J'étais perdu. Perdu comme je ne l'avais jamais été. Je me sentais bien, j'avais honte de l'avouer, mais je voulais rester dans ces montagnes, pour quelques semaines encore, avec toi...

Ton sourire s'effaça un peu, je revoyais les images distinctement rien qu'à t'entendre le raconter.

-C'est vrai que... C'est là que tout s'est un peu précipité... Quand on s'est dit au revoir, on ne savait même pas quoi se dire, ni quoi faire... On s'est juste regardé, jusqu'à ce que l'obscurité nous encombre, et j'ai détourné le regard le premier.

Tes doigts sveltes remontèrent mon bras, pour atteindre mon épaule et mes clavicules, je retenais quelques couinements de surprise lorsque tu depassas ma pomme d'Adam, maintenant le pouce au bords de mes lèvres, et ton regard intense dans le mien, je ne pouvais plus réprimer mes envies, et tu poursuivais le dialogue sans broncher :

-Je ne t'ai pas quitté des yeux, lorsque tu es partis. Je t'ai regardé rentrer. Je t'ai regardé sourire, et t'engouffrer dans la maison. Et mon cœur me faisait mal. Un peu.
Ta main volatile quitta ma peau brûlante, et j'aurais pu te hair pour ça. Tu me faisais languir, sans le vouloir, sans le voir. N'empêche que, dans cette tente tu m'as pris au dépourvu... C'était gênant... Putain.

-Ouais enfin, moi je me souviens de ce qu'il s'est passé après aussi~

-Oh, tais toi petite larve !

On se mit à rire, et j'aimais ça aussi. Ton rire. Je ne l'entendais pas souvent, je l'imprimais dans un coin de ma mémoire, un coin de mon cœur.

Puis lorsque la quinte de toux nous achevèrent, mon érection douloureuse me rappelais de ce que j'avais envie.

-Kacchan ?
-Oui?
-Embrasses moi.

Ton visage se rosi, juste un peu, et cette fois ci j'étais sûre que rien n'allait exploser. Tu avais mûri après tout, tu avais grandi... Toi et ton corps sur lequel je me perdais un peu trop depuis une heure...

Il souffla, esquintant un sourire, puis s'avança un peu plus près....

Je m'attendais à quelque chose d'un peu brute. Pourtant ce fut assez doux.
Tes lèvres humidifiaient les miennes, dans une danse, et ta langue timide me demandait la permission d'entrer.

J'acceptais.

Je goûtais ta salive, je la sublimais, j'avais déjà l'impression de me confondre avec le matelas, de fondre de bien être. Et j'aimais ça. Vraiment. Si bien que lorsque tu voulu te retirer je vins approfondir davantage le contact en agrippant ton visage dans mes mains impatiente, toujours plus, je voulais que l'on fasse qu'un, à jamais.

-Laisse...
Il voulut se détacher, et une fois encore je vins le reprendre prêt de force.

-... Moi...
Il me mordillât la lèvre, et je lachais prise...

-... Respirer !
Nous haletions.

Je n'avais même pas remarqué que dans mon élancé je me retrouvais sur lui.
La gêne avait quitté mon corps, et je me sentais bien. Mon instinct primaire guidait mes mains, carressant le bas de son ventre du grain de l'ongle.

La reflexion avait foutu le camps
Tout était animal, naturel, imperceptible.

Je vins toucher du bout des doigts son érections grisante, je le vis retrousser sa mâchoire, essayant de réprimer un certain plaisir.

Mais cette fois ci, Kacchan, tu ne me cacheras rien du tout.

Lorsque je vins aggriper sa verge, il se mit à laissait filer un grognement. Puis lorsque je commençai des mouvements particuliers, ton buste se releva un peu sous mes cuisses, et ta tête se pencha un peu en arrière, savourer les effluves de Dopamine que je te provoquais.

-Deku... Fais le.
Sa voix, désorienté, fragile et tremblante me happait un peu plus dans mon désir, que la traduction du sens d ela phrase fut un peu lent.
-Q-Quoi ?
-Rah... Mais t'es con ou quoi...

Il retira ma main, pour la prolonger un peu plus à l'arrière, et je comprenais un peu mieux subitement.

Une certaine pression me vint, tout à coup. Je n'avais réalisé pas encore la suite. Que c'était moi, et que j'allais devoir faire ça. Je m'étais perdu dans la température actuelle et maintenant que j'y réfléchissais, je stressais un peu.

-Oi Deku.

Je me reconcentrai subitement, la vision de mon homme sur le point de vaciller.

-No stress. Je me suis préparé, d'accord ?

Il sorti de sous l'oreiller, un préservatif.

Il avait tout prévu....

Délicatement, il vint me poser la protection, m'arrachant quelques plaintes, tant j'attendais une stimulation à cette endroit.
Son regard se fit plus doux une fois disposé, avec des élans de confiance tendre, il se repositionna pour me faciliter la pénétration, et c'était tellement... Mystique... Que j'étais à deux doigts de pleurer.

-Deku...

Ta douce main vint me ramener vers toi, lechant mon cou au passage, et ma verge touché le point culminant. Je le sentais.

Alors doucement, je vins m'avancer un peu. Je senti que l'entré se faisait facilement, tu t'étais préparé après tout, plus je m'avançais, plus la sensation était puissante.

Dans la précipitation du désir, j'étais allé un peu brusquement au fond, et tu me mordis l'épaule, en grognant.

-Je suis désolé ! Ça va ?!

Pour toute réponse, il s'attaqua à ma bouche, comme une bête affamé, et j'y répondit tout aussi violemment.

Je ne résistais plus. Je ne répondais plus de rien, et de lui même mon corps vint faire des va et viens continue.

Ça m'arranchais des gémissement, à Kacchan aussi. Et puis je l'entendais gémir et plus j'allais vite. Plus j'allais vite et plus il grognait.

Et j'adorais vraiment.

Je me demandais pourquoi on ne l'avait pas fait plus tôt. Pourquoi on avait attendu comme des abrutis.

Un voyage dans une forêt de sensations, quelques virages de malice au bords de nos lèvres salées, et le chant de nos plaisirs partagés...

...Rien qu'avec nous,
Rien que pour nous.

***

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