Une nuit pourpre
Je n'ai jamais pensé à prévenir auparavant mais je le fais ici, ce chapitre contient un lemon, voilà, merci de votre attention
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Le tambourinement horrible de sa voix, fracassé mon crâne au milieu de mes songes, m'offrant une de ces affreuse migraine.
Ou bien es ce seulement l'effet de le voir à tes coté ? le fais que je vois tous simplement, Giorno Giovanna. J'ai bien peur que j'en fasse une allergie à ce foutu gosse.
Mes muscles se crispe, mes yeux picote, mes lèvres se serre, par la simple contrariété de ne pas lui envoyer mon poing sur le centre de sa maudite petite tête blonde.
Violence sur mineur ?
Non, juste un remède radical pour mon allergie.
Mais j'ai bien plus à faire que de m'occuper de cet idiot plus longtemps.
Comme observer la maigre ouverture qui mes offert sur le torse de notre cher Capo, sous la fine lueur du crépuscule, qui offrait une douce et agréable couleur danser sur sa peau.
Je pourrai même dire que je le dévores littéralement des yeux, bien que cela m'écœure moi même d'avoir de telle pensés.
Et il en devient bien plus difficile de les effacer ou de ne point le démontrer.
J'en suis fort obliger de l'admettre que j'ai envie de ta personne de jours en jours.
Que chaque soir, ses ton corps qui me hante.
Que chaque nuit se son tes hanches qui me berce.
Que chaque jour ses tes lèvres qui me tient éveillé.
Que chaque clin d'œil que tu m'offres, chaque touche discrète et murmure qui enivre mon corps.
Me maintiens debout.
Et il m'en vient difficile de ne pas t'avoir encore dévoré, mais j'ai bien trop de respect pour toi pour que je le fasse.
Et chaque seconde je ne mire que ton corps de mon regard avide.
Vide de chose saine.
Qui obscure mes pensées, qui obnubile mon esprit sans cesse.
Sans que je ne puisse les enfouir, honteux d'avoir de telle chose en tête.
Honte que j'en viens à penser de toi ainsi.
Honte de souiller ta douce image.
Alors que je ne regardais que tes yeux à mes côtés, ta tendre main se posait sur ma cuisse.
Troublé, des douce pressions que tu frictionnes, qui frissonnes ma peau.
Ton souffle se déposes sur le coin de mon cou, alors que tu remontes lentement ta main le haut de ma cuisse.
Je ne cherche qu'à chasser sauvagement mes abominables pensés.
Alors que tes lèvres embrasse fébrilement la peau de ma nuque.
Je ne veux pas te faire vivre un telle chose Buccellati, tu n'es pas digne de moi, je ne suis pas digne d'un telle chose, je ne le suis pas.... Je ne le pourrais pas...
Et pourrions nous partir dans une chambre tous aussi, n'importe qui pourrait nous surprendre, et je doute que je veuilles ou qu'ils veuillent nous voir ainsi.
Dont tes baiser en deviens morsure sur ma peau, alors que je ne me mords que brutalement la lèvre pour ne pas être tenté de ton corps envoûtant, de ne pas succombé de ton touché qui trace le long de mon torse, tirant sur les liaisons de mon haut, de la sensation frissonnante de tes maigre traces sur le haut de ma poitrine dénudé.
Je prend subitement ta main, pour te jeter un regard emplis de confusion , où je fond sur tes lèvres brutalement, lorsque je croise ton regard envieux d'amour me toiser de désir .
Cherchant à te porter jusqu'à une chambre pour une plus grande intimité, sous la sensation de tes lèvres.
Nous enfermons avec soin, derrière cette porte, je ne le voulais point, mais tu es à un stade où la tentation mais bien trop forte.
Sur lequel je peux t'observer me dévisager avec envie mon corps que je te dévoile sous la tombé de ma tenue .
Où je mets à nue ton corp, pour raffaller ta nuque de baiser, tâcher ta clavicule de pourpre sous la dernière lumière du jour qui frappait nos deux corps.
Alors que tu gemissais lentement au creux de mon oreille de mes lèvres sur le long de ton corps.
Où chacune de tes tendres réaction me fesais effet le long de mon corps.
Éparpillent avec papillonnement les traces de mes lèvres à la surface de ta peau exposé à ma porté, jusqu'à mettre à nue la couleur de mes lèvres.
Sous une remarque obscène envers ta personne, à la réponse tentatrice de ton sourire.
Que je scelle des miennes, alors que la finesse de tes doigts tapisser mon corp de ta chaleur.
Pour y plonger au millieu de ma blanche chevelure, pour que je ne reste que près de toi ainsi.
Où tu tirais maladroitement sur quelque noeuds, pour que j'y camoufle un léger sursaut à chaque mèche qui se coince sur tes ongles.
Alors que mon corp ne se réchauffer qu'auprès de ton touché qui cascadais les lignes demarqué de ma poitrine, qui semble te plaire.
Par la sensation désireux de tes lèvres le long de ma nuque traçant de nouveau le chemin que tu avais tracé tout à l'heure.
Pour y basculer ton corp par dessus le miens, où le spectacle de ta chevelure saccagé et de ton corps emplis de baiser pourpre, m'est satisfaisant.
Avant que mon sourire satisfait que je te porte ne soit remplacé par une expressions gêné et crispante par la tenue soudain, du seul morceau de chair que tu n'avais pas encore touché.
Sur lequelle tu te moques de cette expression que je t'offre, sous le désir qui venait monter le long de mes veines.
De quelque gémissement m'échappes lorsque ce sont tes lèvres qui couve le coeur de mes plaisirs.
Cherchant une respiration stable sous tout le remu-méninges que tu provoque le long de mon corps. Ne pouvant retenir quelque grognement.
Où je mène la direction de tes lèvres de mes doigts sous tes cheveux.
Bordel, Buccellati, le sais tu que te voir aussi souillant te rend terriblement sexy.
Et ce n'est que lorsque tu ouvres le tiroir au côté du lit que je te vois en possession du matériels adéquate pour la suite, que je me demande si tu avais déjà prévue tous cela ?
Alors que tu es si confiant lorsque tu prépare ton propre corp pour la suite alors que je suis immobilisé sous ton touché.
Où je pouvais voir ta fine silhouette onduler sur la mienne, sous les première étoiles du ciel.
Pour que tu me serre de tes murs, pour que ton corps ne se glisse contre le miens pour que je frappe ton coeur où tu frappe le miens à chaque instant.
Sous le son mélodieuse des légers cris que tu m'offres et que je t'offres.
Cherchant tes mains pour reprendre la partie, de ton corp qui se balançais sous le miens, de ta peau croulante de sueur.
Cherchant appui de mes gestes sur le bord de ton fessier, échangeant encore une fois un baiser sur tes lèvres.
Sous tes gémissements étouffé où je ne te libère uniquement pour entendre le doux crie de ton point culminant.
Pour mirer avec soin le tableau que tu m'offre.
Avant qu'à ton tour je ne t'offres la même chose sous un dernier crie rauque de ma part.
Pour qu'on observe le plafond à notre dessus, tous deux à bout de souffle de cet effort, un sourire béant sur nos lèvres.
"N'est ce pas la chambre de Giorno ?" Fus tes seul mots avant que je n'observe moi même les alentours de la pièce.
Une décoration si pénible à voir ne pouvait qu'être sa chambre.
Où en prenant soin de se s'habiller et de sortir sans bruits de la chambre, on descend où les autres semblaient attendre pour le souper.
Les cinq paires de yeux fixait avec attention nos deux silhouettes, avant de détourné le regards sous des raclement de gorge forcé.
"Ton lit est fort confortable, Giovanna" énoncés je simplement avant de m'asseoir.
"Tu nous excusera de cela Giorno, je te passerai de nouveau drap" fini Bruno.
Sous les débuts de rires de Mista, face au visage pâle qu'offrait le blond fixant les deux amants.
Alors c'est suite à ce diner que je toise ton amour sous cette nuit pourpre.
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Je ne suis pas spécialement convaincu que ce chapitre sois forcément bien écrit.
Je n'en suis pas très satisfaite mais je n'arrive pas à mieux.
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