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Replay

Les derniers rayons du soleil se reflètent sur la vitre.

Je ne regarde que ton visage face à moi.

Ton léger bronzage qui semble devenir d'or sous le crépuscule. Tes mèches finement lissées.

Ton regard qui reflète les cieux. Et ton maigre sourire.

Il en est bête de ma part de t'observer, mais c'était comme ci mes yeux ne voulait voir que toi.

Portant mon verre vers mes lèvres, je ne cesse de mirer ta silhouette à travers ce vin rouge, qui cache le sourire que je t'adresse.

Lorsque le repas avait touché à sa fin. Et que ta main, c'était posé sur le haut de mon épaule.

Je l'avais ressenti de nouveau. Cette étrange sensation, qui envahit mon corps d'une douce chaleur et qui semble glacial la seconde même que tu avais retiré ta main.

Je suis resté hébété assis sur ma chaise. Mais je ne pouvais enlever ton visage, ton rire innocent, et tes fines lèvres de mes pensées.
Et je me ressasse sans cesse, ta main sur mon épaule, tes doigts éraflant ma nuque dénudée, ton doux murmure au creux de mon oreille.

La nuit est tombée, la lune éclairait le liquide encore présent dans mon verre. Et sous les étoiles, tu es ma seule pensé de ce soir.

Pourquoi donc me fais tu tant d'effet ?

Pourquoi donc, obnibules-tu la moindre de mes songes ?

Et je ne cesse de réfléchir, sans connaître la réponse.

Pourquoi traques-tu mes rêves ? Pourquoi mon cœur s'empoigne à chaque fois que je te toise ?

Et c'est lorsque je viens à divaguer sur tes tendres lèvres, que tous dérapent, et que je cherche à noyé mes pensées obscènes, sous le goût raffiné d'un vin rouge.

Me questionnant sur cette étrange chose que tu fais naître en moi ? cherchant à résoudre ce mystère.

Par la capacité de mon stand, pour observer une vulgaire illusion, une simple copie de ton corps.

Mais les traits de ton visage sont toujours aussi fins et ton regard toujours si perçant.

Je m'approche de ta forme immobile. Cherchant pourquoi je me sens si troublé lorsque je te vois ? Pourquoi ai-je le goût aigre de mon cœur qui frémis ?
Et la sensation soudaine de vouloir te voler un baiser ?

À quelques centimètres de tes lèvres, je me rends compte que ce n'est que Moody Blues face à moi.

Ne regardant qu'avec frustration ton sourire, qui n'est que faux, une simple représentation de mon stand.

Avant de relancer avec fustigation le replay, observant ton corps déambuler face à moi, tandis que je bois la bouteille à attendre que ta main se pose sur mon épaule.

Et ce n'est que lorsque tu me tiens l'épaule de ton toucher si suave, que ma peau frissonne de nouveau.

Et que je comprends enfin.

Ce n'est que lorsque je viens à sentir les battements affolent de mon cœur.

Que je le réalise.

Et que j'admets, que je t'aime.

Que ceci est de l'amour.

Je fronce mon nez de dégoût à tout ceci, à cette supercherie que peut être mon esprit, à vouloir t'aimer.

Comment suis-je censé être maintenant ?

Maudit sois tu avec ta perfection.

Et par la crainte de ce sentiment, je me noie de nouveau sous l'alcool.
J'irais jusqu'à pichet, pour oublier cette sensation qui fait crépiter mon corps.

Pour essayer d'oublier l'envie de t'embrasser.

Pour échapper à l'envi de te couvrir de baiser.

Omettre le besoin souffrant de t'aimer.
Sous le goût terne de l'alcool pour une vie fade sans amour.

Parce que je ne suis que ce genre de gars sans valeur qui ne peut rien voir jusqu'à la fin. Je le vis toujours à mi-chemin.

Et je ne vivrai notre amour qu'à moitié, je serais celui qui viendra tout gâcher.

Je te ferai souffrir autant que moi, alors laisse moi juste tenté de t'oublier sous l'aigre parfum de l'alcool.

Je ne te serais que ce gars inutile, qui est ni bon en combat, ni bon en relation, et encore moins en amour.

Et tu mérites mieux, Buccellati, pas d'un déchet comme moi.

Alors que le replay de ta personne joue toujours dans la pièce. Je bois pour immerger la sensation douloureuse de l'amour dans un verre de vin.

De manière pitoyable, je te tends un verre et te murmure ivrement des mots doux qui ne seront que scellé par le silence de plomb de la lune.

De mes lèvres saoules, je cherche à embrasser ton image.

Et à toucher ton corps de mes gestes maladroit.

Alors c'est sous ce replay intensive, que je te dépose un chaste baiser, entre deux gorgées piquantes de vin.

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768 mots
Réécrit

J'espère avoir pût corriger le plus possible .

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