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9 - Sasuke et la salopette

En me levant ce matin, je me suis dit la chose suivante : c'est notre dernière journée ici, on va juste faire le ménage et repartir, ça va passer vite... Je pensais qu'après les péripéties de la semaine, une journée banale et calme nous attendez... Je n'étais pas au bout de mes surprises ! J'allais rapidement comprendre que, jusqu'au bout, nous allions souffrir... Ma douleur commença dès le réveil, par un adorable Kyuubi qui ramène sa fraise dans mon esprit.

-Gamin... J'ai faim !!!

-Je m'en fou.

-Gamin... J'ai soif !!!!

-Je m'en fou.

-Gamin... Je veux aller aux toilettes !!!

-Tu ne peux pas y aller et je m'en fou.

-Gamin... Vision d'horreur !!!

Une image apparut dans ma tête et je me levais d'un bond en hurlant. Sasuke se réveilla en sursaut, alerté par mon cri. Je me frottais les yeux activement, gémissant à quel point se que j'avais vu était horrible. Je me roulais ensuite par terre, essayant en vain d'oublier. Sasuke m'arrêta au moment où je partais en quête d'un baril de Javel pour me rincer les yeux.

-Tu veux crever abruti, dit-il.

-Sasuke... J'ai vu la chose la plus immonde qui existe au monde !

-Quoi ?

Il regarda autour de lui, s'imaginant que le truc dont je parle se trouve encore dans la pièce. Je m'empresse de lui expliquer qu'il s'agissait simplement d'une image que ce stupide renard vivant dans mon ventre avait fait apparaître dans ma tête. Il me demande tout naturellement, de qui il s'agissait, et je répondis, la voix tremblante d'effroi.

-Gai...

-Et bah quoi Gai, tu le vois tous les jours.

-Ce n'est pas juste Gai !

-Tu l'as vu à poil ? Travesti ? En train d'embrasser Lee ?

Je secoue énergiquement la tête négativement à chacune de ses propositions. Il commença à paniquer quand je lui dis que c'était pire qu'un threesome entre Gai, Jiraya et Kakashi, lesquels seraient habillés en soubrette. Il demanda, hésitant.

-C'est quoi alors ?

-Gai... enculé par des vers-de-terre...

***

-Je peux savoir ce qui vous prend, nous réprimande Kakashi.

Face à lui, Sasuke et moi avions la tête baissée. Comment lui expliqué que, s'il nous a trouvé tous les deux nous roulants par terre en hurlant, c'est parce que Kyuubi était un cruel renard. En effet, Sasuke avait utilisé ses sharingan pour entrer dans ma tête, avec bien sûr l'intention de le sermonner. Au lieu de ça, ce stupide kitsune nous avait montrer à tous les deux la vision d'horreur.

-Ça te fait bien marrer, pensais-je.

-Oui, répondit nonchalamment Kyuubi.

En attendant, Kakashi, ça ne l'avait pas fait rire de rentrer dans la chambre pour nous voir agonisant. J'ai cru que mes yeux allez verser des larmes de sang. Nous descendîmes ensuite rejoindre les autres pour le petit déjeuner. Gai s'étonna de nous voir nous installer le plus loin possible de lui, lui jetant des regards de dégoût.

-J'ai fais quelque chose de mal, demande-t-il.

-Non, grognais-je. Mais rester quand même loin...

-Je ne le verrai plus jamais de la même façon, chuchota Sasuke.

Il tendit lentement la main, ne quittant pas Gai du regard, comme s'il avait peur qu'il lui saute dessus. Il attrapa un bol de ramen, qu'il me donna, puis se saisit tout aussi lentement d'une tasse de café. Nos amis nous fixaient, étonnés, ne comprenant pas la raison de ce comportement étrange. Tant mieux, qu'ils gardent leur esprit sain loin des pensées dégueulasses de mon démon intérieur.

-Bon, intervient Jiraya. Le programme de la journée est donc de faire un peu de ménage.

-Chacun va s'occuper de son étage, explique Kakashi. Naruto et Sasuke, vous vous occuperez aussi de dehors, puisque vous n'avez qu'une chambre et une salle-de-bain à faire.

Une fois notre déjeuner avaler, Jiraya nous donna des vêtements à enfiler pour faire le ménage. Cette fois, il ne s'agissait pas de tablier rose, mais de salopette bleue avec un tee-shirt blanc et une casquette. Une fois notre tenue enfilée, nous nous dirigeâmes, Sasuke et moi, vers notre étage. Je fus responsable de la salle-de-bain et lui de notre chambre. Je lui rappel de faire attention au trou dans le sol (vestige de l'invocation de Gama Bunta) et attrape un torchon avec du produit nettoyant.

-Au travail !

Je commence à frotter activement la baignoire, les murs, le sol, la fenêtre... J'étais très concentré, à quatre pattes sur le carrelage, quand soudain, un bruit d'objet qui tombe me fit me retourner. Sasuke se tenait derrière moi, le visage impassible mais les joues rouges. Une pile de livre se trouvait à ses pieds, étalés au sol. C'est ce qui a du tomber. Je m'essuie le front et me redresse.

-Qu'est-ce qu'il y a ?

-Tu sais que cette salopette moule bien ton petit cul.

-N... Nani ???!!!

Il poussa les livres avec son pied, entra dans la salle-de-bain et en claqua la porte. Il n'en sortit qu'une demi-heure plus tard, me laissant essoufflé, avec un mal de cul pas possible et une salle-de-bain à renettoyer. Je me remis donc à la tâche, pestant contre les hormones un peu trop actives de mon petit-ami. C'est alors que Kiba arriva.

-Hé Naruto !

-Quoi ?

-Tu sais que cette salopette moule tes fesses ? Il devrait être content Sasuke.

Un hurlement retentit lorsque je balançais le maître-chien par la fenêtre. Un peu plus tard, Sai connut le même sort parce qu'il n'avait rien trouver de mieux à faire que de prendre mon cul en photo pour la vendre à Sasuke. Ce dernier récupéra la photo gratuitement, pour son plus grand bonheur.

-Pas un pour rattraper les autres, grognais-je.

-Ce serait dommage de ne pas en garder un souvenir, proteste Sasuke.

-N'en rajoute pas, pervers d'Uchiwa !

Une fois que la salle-de-bain et la chambre furent propre, et nos affaires bien rangées, nous nous dirigeâmes vers le jardin. Enfin, ce n'est pas vraiment un jardin mais c'est quand même à nous de nous en occuper. Mine de rien, les différentes activités que nous avons faites ont pas mal endommagée les fleurs. J'entreprend donc de les arranger le plus possible, prenant garde à ne pas laisser mon cul à la vue de Sasuke.

-M'empêches-tu de profiter de la vue intentionnellement, demande-t-il.

-Oui !

Soudain, sans que je comprenne ce qui se passe, je me pris une serpillère dans la tête, suivit par un oreiller, une poêle à frire, un balai à chiotte, une assiette, un pot de fleur, une chaise et Shikamaru. Les hurlements de colère qui accompagne le tout me prouve que Sakura n'est pas étrangère à tout cela.

-Galère...

-Il se passe quoi ?

-Elle m'a surprise en train de dormir...

Mais oui, maintenant qu'il le dit, ça semble évident ! Pourquoi s'énervait sinon. Sasuke prit Shikamaru par la ceinture de son pantalon, le souleva, le jeta sans ménagement dans un buisson de rose (celui où j'ai atterri moi-même mardi matin) et me prit dans ses bras. Jalousie ou inquiétude ? Hum... Sûrement les deux... Mais qu'est-ce que ?!

-Sasuke...

-Oh, j'ai eu si peur pour toi ! T'aurais pu être blessé !

-Sasuke...

-Oui, bébé ?

-Tes mains sur mon cul.

Si ma remarque avait pour but qu'il retire ses mains de mon postérieur, il se contenta de le malaxer avec un sourire de pervers. Shikamaru nous rejoint, le corps parcourut d'égratignures. Il arracha une épine qui était restée plantée dans son bras.

-Je vais bien, ne vous en faites pas, pesta-t-il.

-Je n'étais pas inquiet, répond Sasuke.

Le Nara lui planta l'épine dans la main. Effet immédiat, il me lâcha et se lança à sa poursuite. On n'a jamais vu Shikamaru courir aussi vite. Les laissant s'amuser, je continue mon travail. Un quart d'heure plus tard, Sasuke me rejoint et commence à m'aider. Son sourire ne me rassure pas.

-Sasuke...

-Hn ?

-Qu'est-il arrivé à Shikamaru ?

-Disons qu'il ne pourra plus s'assoir avant un long, très long moment.

Traduction : j'ai rattrapé cet enculé de mes deux, et je l'ai fouetté tout nu sur son petit cul jusqu'à ce qu'il ait suffisamment mal pour regretter d'avoir abimé ma pauvre main. Au moins, comme Shikamaru ne peut plus s'assoir, Sakura ne va pas s'énerver de nouveau parce qu'il dort... Aurais-je dû être jaloux que le Nara se soit trouvé à poil devant Sasuke, à se faire fouetté ? Peut-être, mais sur le coup, j'en était plutôt horrifié... Dix minutes plus tard, trois ninjas arrivèrent.

-C'est ici chef, demanda l'un d'eux.

-Oui, mes amis. Nous y sommes !

-Où est-il alors chef ?

-Tient ! De sympathique jeunes hommes ! Ils vont pouvoir nous renseigner !

Ils s'approchèrent de Sasuke et moi, un grand sourire aux lèvres. Qui sont ces types ? Que nous veulent-ils ? Sont-ils perdus ? Ils cherchent quelqu'un je crois... Qui ? L'un d'entre nous ? Trop de question pour mon petit cerveau...

-Excuse-nous blondinet, dit le chef.

Toussotement de la part de Sasuke. Immédiatement, l'un des trois ninjas le pointa du doigt, sautant sur place comme un kangourou.

-Chef ! Chef ! Il s'étouffe chef !

-Mais non, grogne Sasuke. Je vous demande juste de ne pas appeler MON petit ami de cette façon !

-Autant pour moi chef, il va très bien !

Kami-sama, c'est qui encore ces dégénérés mentaux ?! Ça arrangerait tout le monde s'ils pouvaient se dépêcher de nous dire ce qu'ils veulent. J'avais vraiment envie de les envoyer paître mais je doute qu'ils m'obéissent, ils ont l'air d'être de forte tête.

-Nous cherchons deux hommes, déclare le chef.

-Mais encore ?

-Enfin, quand je les ai connus, ils étaient encore petits... L'un avait les cheveux bruns en bataille et ceux de l'autre étaient blancs.

-Ils sont mariés, ajoute son camarade.

-Le brun portait une robe la dernière fois qu'on les a vu.

Si jamais ce sont les brigands... Non, c'est impossible ! Ça ne peut pas être ce que je crois que c'est ! Je vous en prie, dîtes-moi que ces types ne sont pas ceux qui ont attaqué Kakashi et Obito lorsque ceux-ci étaient en mission ! Kakashi arriva alors, et se figea en voyant les trois ninjas.

-Vous, bredouille-t-il.

-Toi, s'exclamèrent-ils en cœur.

Et si... Ce sont bien les brigands de l'histoire que nous a racontés Kakashi sensei... Mais qu'est-ce qu'ils font ici, bordel de merde ? Ils sont venus se venger ? Pourquoi ont-ils pris autant de temps ? Ils sont nuls ou quoi, pour avoir mit des années avant de retrouver Kakashi ? Le chef se mit en position.

-Nous allons te faire payer le sale tour que vous nous avez jouer !

-Ouais, allez-y chef !

-Mais... Mais ça remonte à longtemps ! Vous m'en voulez encore ?!

Je me redresse, tapotant ma salopette pour en enlever toute la terre. Puis je frappe Kakashi sensei à l'arrière de la tête, histoire de bien lui faire comprendre que cette situation grotesque est entièrement de sa faute et qu'il avait plutôt intérêt à arranger les choses illico presto, avant que je m'énerve.

-Je vais te, commença le chef.

-Pourquoi tu m'as frappé Naruto ?

-Faites quelque chose, maintenant !

-Je vais te...

-Mais que veux-tu que je fasse ?

-Je ne sais pas, mais débarrassez-nous d'eux !

-C'est de votre faute, ajoute Sasuke.

-Je vais...

-Bah désolé, mais tout ça me dépasse !

-Je ne veux pas le savoir, c'est votre problème.

-Je vais te...

-Je ne suis pas faiseur de miracle !

-Ça n'a rien à voir...

-Te faire payer...

-Bougez-vous le cul et réglez-nous cette histoire !

-Mais je ne sais pas comment faire !

Un Kunai passa au ras de mon nez, rentra par une fenêtre du salon et se nicha dans un mur, surprenant le pauvre Shino qui nettoyer les vitres. D'un même geste, tous trois nous tournâmes la tête vers le chef, qui semblait bien énervé. Je me demande pourquoi...

-J'en ai marre d'avoir autant d'intérêt pour vous qu'un poil sur le cul d'un chien ! Qui est intéressait par le poil de cul d'un clebs ? Personne !!!

J'entendis très distinctement Sasuke répondre « Kiba » mais je l'ignorais. Tout à fait entre nous, ça ne vaut absolument pas la peine que je réplique. Le chef et ses acolytes se mordirent le pouce, faisant apparaître au sol un symbole. Immédiatement, trois adorables chiots apparurent.

-Vous ne faites pas le poids contre cette invocation, s'exclame l'un des ninjas.

-Ce sont des chiots, explique Sasuke.

-On sait, merci ! Mais ils sont puissants, faut pas croire !

Je me mords le pouce à mon tour, faisant apparaître Gama Bunta. Quelques secondes plus tard, les trois petites boules de poil n'étaient que des points dans l'immensité du ciel. Décidément, ces ninjas et moi ne jouons pas dans la même cour.

-On n'a pas dit notre dernier mot !

Ils tentèrent un lancer de Shuriken. Ils nous passèrent largement à côté. La meilleure excuse qu'ils ont trouvée pour justifier cette maladresse : c'était fait exprès, ce n'était que de l'intimidation. Bien sûr, et Kyuubi est l'incarnation même de la bonté.

-Ça suffit maintenant, soupire Kakashi.

-J'ai un justsu à utiliser !

Un des ninjas composa une série de mundra et une boule de chakra apparut dans sa main. Il la jeta dans ma direction. J'aurais pu l'éviter, ou la stopper, mais je n'en eu pas besoin. Elle passa entre mes jambes, il l'avait jeté trop bas. Un silence s'installa avant que le ninja se gratte l'arrière de la tête.

-Go... Gomen...

-Ils font pitié, grogne Sasuke.

Kakashi fit alors apparaître trois clones de lui, chacun derrière un ninja. D'un même mouvement, ils exécutèrent les fameux « mille ans de souffrance » qui envoyèrent les trois malfrats rejoindre leurs invocations. J'espère qu'ils n'auront pas idée de revenir nous faire chier...

-Voilà une bonne chose de faite, sourit Kakashi.

-Ne vous prenez pas pour un héros, l'interrompt Sasuke.

-Rappel-moi ce que tu as fait... Hum ?

-...

-C'est bien ce que je pensais...

Très content de son petit effet, Kakashi tourna les talons avec la ferme intention de s'en aller. Je m'apprêtais à me remettre au travail lorsque l'homme aux cheveux blancs revient vers moi et posa sa main sur mon épaule. Il a l'air gêné, quelque chose doit sûrement le tracassé...

-Naruto, tu sais...

-Quoi ?

-Cette salopette moule un peu trop tes fesses...

Je craque. M'armant d'un râteau, je lui courrais après autour de la maison, et même dans la maison. Ino nous stoppa, commençant à gueuler parce qu'on a « salit son parquet tout beau qu'elle a mit des heures à nettoyer ». Si c'est ça, je peux aussi me plaindre de la salle-de-bain, mais je préfère ne pas dire pourquoi j'ai dû la laver deux fois.

-C'est la faute de Kakashi, me plaignis-je.

-Pourquoi ?

-Il a dit que ma salopette moule mes fesses, et c'est le troisième qui me le fait remarquer !

D'un même mouvement, tous nos amis posèrent leurs yeux sur mon tendre fessier, le reluquant sans discrétion aucune. Plus rouge qu'une tomate, je plaque mes mains sur mes fesses, comme si ça allait les cachées. Avec son air le plus sérieux, Jiraya me dit la chose suivante.

-Bah il n'a pas tort...

-T'as un trop gros cul, déclare Lee.

Je m'empressais de lui faire regretter ses paroles à coups de poings. Shikamaru nous sépara et, à mon plus grand étonnement, ce mit à faire la morale au disciple de Gai, mais aussi à tous les autres. Serait-il en train de me défendre ?!

-Je vous interdis de dire toutes ces choses sur Naruto !

-Shikamaru, murmurais-je, reconnaissant.

-Non parce que sinon, Sasuke va péter un câble et croyais-moi, se faire fouetter par lui, ce n'est pas la joie.

-Je confirme, intervient Sai.

Ouais, j'aurais dû me douter qu'il n'avait pas du tout l'intention de me défendre. Néanmoins, ça part quand même d'une bonne attention : il a voulu éloigner le plus de personnes possibles du fouet de mon petit-ami. Ce dernier était d'ailleurs à la fenêtre, fixant mesquinement mes camarades, confirmant les dires de Shikamaru avec un rire sinistre et un regard noir. Même moi j'ai eu peur... Finalement, nous terminâmes le ménage et je montais dans ma chambre avec l'envie de prendre une bonne douche.

-Hé, Usuratonkachi !

-Quoi ?

-On prend une douche ensemble ?

Oh, mais bien sûr mon amour ! Nous allons tous les deux profiter d'un bon bain bien chaud, nous enlaçant tendrement, nous frottant le dos en riant et... Et t'as vraiment cru que j'allais te répondre ça en me regardait avec cette face d'obsédé ?! Sans un mot, je claque la porte de la salle-de-bain, prenant ma douche SEUL. Enfin, il était quand même de l'autre côté de la porte, grattant contre le bois.

-Laisse-moi entrer, gémit-il.

-Non !

-Promis, je serai sage !

-C'est faux, rappelle-toi ce qui est arrivé la dernière fois qu'on était tous les deux dans cette pièce.

-Steuplait, mon cœur !

Je l'ignore royalement. Non mais hé, j'ai le droit de vouloir prendre une douche sans m'envoyer en l'air avec un beau brun ténébreux au corps d'apollon et... faut que j'arrête de chercher à me justifier, sinon je vais aller ouvrir la porte. J'entends des pas depuis l'autre côté. Je pensais que Sasuke s'éloigné mais j'entendis bientôt la voix de Kiba.

-Tu dois être en manque pour te dénigrer ainsi, se moque le maitre-chien.

-Dégage ou j'utilise ta tête pour défoncer la porte.

Il repartit aussi sec. C'est à se demander pourquoi il est venu. Un peu plus tard, Neji monta à son tour et commença une engueulade avec Sasuke. J'en profite, me dépêchant de me sécher, de m'habiller et de filer au salon. J'entends bien Kyuubi se moquer de moi, mais j'ai l'habitude alors je ne dis plus rien. Une fois que tout le monde a prit sa douche, nous prenons nos valises.

-Les enfants, dit Jiraya, dîtes au revoir à cette maison.

-...

-Nous reviendrons l'année prochaine, inutile de pleurer.

-...

-Votre expression faciale me sidère.

Bon, OK, on est triste... Mais dire au revoir à une maison, c'est pousser le bouchon un peu loin. Blasé, Jiraya attrapa la poignée, appuya dessus et resta un moment sans bouger. Les secondes passèrent, avant que finalement, je me décide à demander.

-Quelque chose ne va pas ?

-Ne me dîtes pas que vous pleurez, s'exclame Kakashi.

-Ce n'est pas ça ! Je n'arrive pas à ouvrir la porte, voilà tout !

Gai s'approcha, bousculant un peu Jiraya au passage, et il attrapa à son tour la poignée de la porte. Il força de toutes ces forces, donnant des coups de poings, essayant par tous les moyens possibles de l'ouvrir. Finalement, il se tourna vers nous.

-C'est bien vrai, déclare-t-il. Elle ne veut point s'ouvrir !

-Cette maison est si vielle, elle a dû se bloquer, propose Neji.

-Ou alors, elle ne veut pas qu'on parte, chuchote Hinata.

Nous nous regardâmes entre nous avant d'exploser de rire. Comme si la maison pouvez être doter d'une volonté propre lui donnant les capacités d'un être vivant afin qu'elle puisse nous retenir en otage. Ce n'est tout simplement pas possible...

-Bon, si la porte est bloquée, on peut essayer la fenêtre, déclarais-je.

Je me dirige vers le salon et entreprend d'ouvrir la fenêtre. Celle-ci refusa catégoriquement de bouger. Bon, elle aussi est bloquée apparemment. Choji me tira en arrière, s'approcha et donna un gros coup de poing dans la vitre. Elle aurait dû se cassée mais au lieu de cela, le pauvre garçon se retrouva projeter à l'autre bout de la pièce par une force inconnue. Il atterrit sur le canapé et se retrouva avec un ressort planté dans les fesses.

-Aïe !

-Ça me rappelle quelque chose, pensais-je.

-Ce n'est pas normal que tout soit bloqué en même temps, pesta Kakashi.

Il fit le tour de la maison, essayant tour à tour chacune des fenêtres. Nous décidâmes de l'attendre en silence dans le salon. J'avais une mauvaise impression, comme si quelqu'un nous observait. Je sentis Kyuubi s'agiter dans mon ventre et je l'interrogeais sur son mal-être.

-Je ne sais pas, dit-il. Mais je sens une force qui nous entoure, un chakra puissant...

-Un chakra puissant ? Quelqu'un se cache dans la maison ?

Un hurlement retentit soudain, nous faisant tous sursauter. Ino sauta même dans les bras de Sai, lequel ne sembla pas s'en plaindre. Par contre, lorsque Choji sauta dans les bras de Shikamaru, ça n'eut pas le même effet. Cependant, nous étions tous trop effrayés pour envisager de nous moquer.

-C'était... C'était Kakashi sensei, bredouilla Sakura.

-Allons voir, ordonne Gai.

Il monta les escaliers quatre à quatre, nous sur les talons. Nous entrâmes dans la chambre où se tenait le pauvre Kakashi, assit par terre, nous tournant le dos. Est-il blessé ?! Je regarde vivement dans la pièce mais il n'y a personne. Neji se précipita vers lui et posa une main sur son épaule.

-Tout va bien ?!

-Oui... Je me suis juste...

Il gémit de douleur et nous montra sa main droite. Ses doigts étaient bloqués dans une tapette à souris. Quand ce n'est pas les animaux eux-mêmes qui nous font chier, c'est les pièges pour les éloigner. Sasuke s'approcha de l'homme aux cheveux blancs, attrapant sa main et écartant la barre de fer de ses doigts endoloris. Il agit lentement, essayant de ne pas lui faire trop mal. Soudain, Kiba agrippa mon bras.

-Naruto...

-Quoi ?

-La chaise... Elle a bougé...

Je regarde mon ami, les sourcils froncés. Une chaise ne peut pas bouger... Un clac retentit, suivit d'un cri de douleur : Sasuke venait de lâcher la barre de fer, emprisonnant de nouveau la main de notre sensei. L'Uchiwa gardait les yeux rivés sur la chaise dont m'a parlé Kiba, choqué.

-Je l'ai vu bouger aussi, murmure-t-il.

Nos regards convergèrent vers la chaise. Elle semblait tout à fait normale, mais sous nos yeux ébahis, elle se redressa en arrière, se mettant à basculer d'un pied sur l'autre. Mais personne ne la tient, comment c'est possible ???!!! Kakashi retira la tapette à souris de sa main et nous rejoint avec Sasuke, lequel me prit la main.

-Je ne sais pas ce qui se passe, grogne Jiraya, mais ce n'est pas bon.

-Comment cette chaise peut-elle bouger toute seule, s'exclame Lee.

-Elle n'est pas la seule, souffla Shino.

En effet, la couverture se trouvant sur le lit se mouva, tourbillonnant dans les airs. Elle vient dans notre direction. Terrifié, nous fîmes demi-tour, fuyant en hurlant dans le salon. La couverture nous suivait, comme si elle était en vie. La phrase d'Hinata nous revient alors en tête : « Ou alors, elle ne veut pas qu'on parte ».

-Hinata, criais-je. La maison est vivante !

Elle me regarda comme si je venais de lui avouer que j'étais en réalité hermaphrodite. Je tiens un préciser que le sexy jutsu ne compte pas ! Bref, j'ai compris ce qui nous arrive. La maison est devenue vivante, les objets aussi de toute évidence, et ils nous attaquent, probablement pour que l'on reste ici. Ou alors c'est une vengeance pour ce qui est arrivé avec Gama Bunta lundi... Le plus important pour l'instant, c'est de savoir comment elle peut vivre !

-Kyuubi ! Aide-moi !

-Mais je n'en sais rien moi ! Tu m'as pris pour un dico ou quoi ?!

-Tu sers à rien !

Quelque chose s'enroula autour de ma cheville. Bah oui, trop occupé à blablater avec ce renard inutile, j'ai arrêté de courir. La couverture m'a facilement rattrapée et maintenant elle me traîne sur le sol, m'emmenant je ne sais où. Peut-être prend-t-elle juste plaisir à me promener un peu partout.

-Tu vas me lâcher oui !!!

-Naruto !

Sasuke se dirigea vers moi, lançant une boule de feu sur la couverture. Celle-ci me lâcha et se roula par terre pour éteindre les flammes. C'est assez hilarant de voir un bout de tissu enflammé se tordre dans tous les sens comme un ivrogne sur qui on aurait jeter une cigarette allumée, mais sur le coup j'ai pas tellement ri.

-Naruto, ça va, m'interroge Sasuke en me relevant.

-Ouais, je ne suis pas blessé.

Des placards s'ouvrirent et une dizaine de balai en sortirent. Comment peut-il y avoir autant de balais dans une même maison ?! Ils éteignirent les flammes sur la pauvre couverture qui ne bougeait plus. L'un des balais se jeta sur elle, sûrement pour pleurer. Mais n'ayant pas de bras, ni de jambes, et encore moins un visage, on avait juste l'impression qu'il était tombé, ce qui rendait la situation un peu pathétique.

-T'as tué la couverture, bredouillais-je.

-Ce n'est pas censé être vivant...

Les bouts de bois se tournèrent vers nous et ils encerclèrent Sasuke, me poussant littéralement par terre. Même les balais m'ignorent, le respect est mort ! Je m'apprête à leur hurlait ma façon de pensée mais ce qui se déroula sous mes yeux me figea sur place. Ces instruments habituellement utilisés pour le ménage sont en train de victimiser mon petit-ami.

-Mais laissez-moi, s'emporte ce dernier.

-Ils vengent leur amie, m'exclamais-je.

-Aide-moi plutôt !

Avant que je puisse faire le moindre geste, un aboiement retentit. Akamaru arriva et brisa tous les balais un à un. Kiba l'encourageait de loin, ne voulant pas trop s'approcher pour ne pas se faire taper. J'aide Sasuke à se relever, soupirant de soulagement en constatant qu'il n'était pas blessé.

-La porte bloquée, les fenêtres condamnés, la couverture qui nous attaque, la chaise qui bouge et maintenant des balais, pesta-t-il. C'est pousser le bouchon un peu loin !

Tellement loin que le bouchon est rentré dans la bouteille... Nous rejoignîmes les autres dans la cuisine. Tous étaient en train de reprendre leur souffle. La situation est compliquée : nous devons trouver un moyen de sortir, d'arrêter tout cela, de comprendre surtout comment c'est arrivé, et nous devons aussi nous protéger des sales tours que cette barraque nous joue.

-Courage les amis, s'exclame Lee. Il ne peut rien nous arriver !

Un tiroir s'ouvrit et des fourchettes en sortirent, fonçant sur le jeune garçon. Elles se plantèrent dans le mur, redessinant les contours de sa silhouette. Il devient si pâle, j'ai cru qu'on allait le perdre ! D'un geste brusque, Neji claqua le tiroir et tout redevient silencieux. Tenten sortit quelques parchemins de sa poche.

-Je vais essayer de briser la porte !

Nous prîmes place sur les marches, regardant la jeune fille se démenait comme une tigresse. Kunai, shuriken, couteau, parchemin explosifs, haches ; tout y passe mais rien à faire, elle refusa de s'ouvrir. Finalement, elle tomba à genoux, épuisées. Elle avait usé trop de chakra, et Gai décida de la porter sur son dos en attendant qu'elle récupère un peu d'énergie.

-Ça ne peut plus durer comme ça, gémit Ino. On doit faire quelque chose !

-J'ai trouvé un livre qui pourrait nous servir, intervient Sai.

-Etudie le contexte au lieu de lire tes foutus livres, grognais-je. Comment veux-tu qu'il nous aide ?!

A ma connaissance, des livres sur « comment gérer une maison vivante un tantinet possessive qui vous attaque, pour les nuls », ça n'existe pas. Sai haussa les épaules et ouvrit son livre à la première page. Nous restâmes en silence quelques minutes avant que Shino ne pointe un coin de la pièce du doigt.

-Regardez !

Un étrange symbole était apparu sur le mur, petit mais bien présent. Kakashi s'avança et le détailla sous tous les angles, les sourcils froncés. Puis le verdict tomba : la maison est sous l'emprise d'une attaque de ninjutsu.

-Comment la maison peut être ensorcelée, demande Hinata.

-La boule de chakra du ninja de tout à l'heure, propose Sasuke.

-Celle qui m'est passée entre les jambes, l'interrogeais-je.

-Ouais. Elle a dû toucher la maison et voilà où nous en sommes !

Je n'ose même pas imaginer ce qui me serait arriver si j'avais été touché par cette attaque... C'est donc de ce sort que vient la grande quantité de chakra que Kyuubi a ressenti. L'ennui, c'est que l'on ne connait pas en quoi consiste le sort, on ne peut donc pas l'annuler.

-Cette maison est dotée d'une volonté qui lui est propre, déclare Jiraya. Ça a sûrement un rapport !

-Donnons à cette maison ce qu'elle veut, ajoute Kiba.

-C'est nous qu'elle veut, grognais-je.

Sai se mit à rire, avant de tourner une page de son livre.

-Elle veut peut-être de nouvelles toilettes, propose Choji.

-On fait comment pour en construire, soupire Sakura.

-Galère.

-Shikamaru, rend-toi un peu utile !

-J'ai trop mal au cul.

Je regarde Sasuke, lequel semble soudain très intéressé par... en faite il matte encore mon postérieur. Je tousse pour le rappeler à l'ordre et il se reconcentre sur la situation actuelle. Qu'est-ce qu'il a aujourd'hui ?! Les salopettes ont un très mauvais effet sur lui ! Sai se leva et partit dans la cuisine, disant avoir soif.

-On n'est pas près de pouvoir partir, soupire Jiraya.

-Qu'est-ce qui va nous arriver maintenant à votre avis, demande Kiba.

Si au moins je le savais... Un doux bruit parvient à mes oreilles. On aurait dit le souffle du vent sur les vagues agitées de l'océan. Les vagues de l'océan... De l'océan... L'océan... Merde... Je me lève d'un bond, ordonnant à tout le monde de s'éloigné. Trop tard hélas, une trombe d'eau nous tomba dessus, nous propulsant avec force contre le mur de l'entrée. J'en recrache, m'étouffant à moitié, sentant mes poumons me brûler.

-La prochaine fois tu te l'as ferme, hurla Sasuke.

-Hé, ce n'est pas de ma faute, se plaint Kiba.

-S'énerver ne sert à rien, soupire Kakashi.

Ça n'arrête pas la maison en tout cas. Une nouvelle vague nous percuta violement, suivit de plusieurs autres. Puis, au bout de plusieurs longues minutes, tout se stoppa. Assis au sol, nous tâchions de reprendre notre souffle. Je frissonne de froid, les vêtements trempés me collant à la peau. Sai arriva avec un plateau dans les mains.

-Qui veut de l'eau ?

Comme personne ne lui répondit, il haussa les épaules et repartit. Désolé Sai, mais de l'eau, on en a eu assez comme ça pour aujourd'hui. D'ailleurs, comment n'a-t-il pas pu entendre le raffuts que ça a fait ?! J'ai ensuite bêtement cru que notre cauchemar était fini, que rien ne pouvait être pire que ce qui nous est déjà arrivé. Mais Kyuubi me ramena bien vite à la réalité.

-Je le sens, dit-il. Le chakra s'agite...

-La maison va frapper une nouvelle fois... Qu'est-ce que se sera ?

Un craquement retentit et le canapé se souleva, les chaises sautillèrent dans notre direction, les vitres explosèrent, les balais revinrent à la charge, en bref, le chaos total. Une véritable armée s'est dressé face à nous, avec l'intention de nous en faire baver. Je tire sur la manche de Shikamaru, demandant d'une petite voix.

-Dit... tu n'aurais pas une idée ?

-Là, je crois que mon cerveau a explosé avec les vitres...

Que l'un d'entre nous, n'importe lequel, est un soudain éclair de lucidité, ou une brillante idée pour nous sortir de ce merdier ! Ma prière fut exhaussée lorsque Kakashi se frappa le front en grognant un « c'est bien sûr ». Nos regards le dévisagèrent avec espoir.

-Vous savez quoi faire, s'exclame Tenten.

-Oui ! Mais pour ça je dois sortir... Je peux annuler le sort là où il a été lancé, c'est-à-dire à l'extérieur de la maison.

Adieu espoir... Adieu ramens... Adieu Sasuke... J'aurais dû écrire mon testament avant, maintenant c'est trop tard. J'attrape la main de mon petit-ami, me préparant mentalement à être torturé. Les divers objets s'approchèrent de nous avec une lenteur horrible. La tension était palpable, et ce n'est pas à cause du fait qu'une prise électrique rampe vers moi. Alors que nous crûmes notre dernière heure arrivé, Sai sortit de la cuisine à nouveau.

-S'il-vous-plaît, arrêtez, ordonne-t-il.

-Qu'est-ce qu'il fait, bredouille Jiraya.

-Gentille maison, laisse-nous sortir mes amis et moi.

Comme par magie, les objets reprirent leur place en silence après une courbette polie. Puis la porte s'ouvrit, nous laissant apercevoir le ciel radieux, le soleil brillant, et d'autres belles choses. D'un bond, nous fûmes tous dehors, nous remettant lentement de notre frayeur.

-Bien jouer Sai, s'écria Ino et lui sautant au cou.

-Comment, demandent les autres d'une seule voix.

-C'était dit dans mon livre, explique-t-il.

Vous qui avez suivit nos aventures depuis le début, pouvez-vous devinez quel est le titre du livre ? Exactement, vous avez raison, c'est : « comment gérer une maison vivante un tantinet possessive qui vous attaque, pour les nuls ». Je soupire, m'allonge par terre, me roule en boule et m'endort. Là, j'ai atteint mes limites...

-Au revoir maison, murmurais-je.

***

J'ouvre les yeux, habituant lentement mes pupilles à la lumière du soleil. Je me redresse, constatant que je suis dans ma chambre. J'espère que ce n'était pas un rêve ! Non... Deux choses me prouvent que ce n'en était pas un : j'ai le nez bouché (un rhume sans doute) et Sasuke est en caleçon à côté de moi.

-Sasuke.

-Je sors de la douche, explique-t-il.

Il enfile un tee-shirt, m'embrasse et disparait de la pièce. Ouais, ce n'était pas un rêve. Je souris et me lève d'un bond, enfilant rapidement des vêtements. Je sors ensuite de ma porte et rejoint mon petit-ami dans la cuisine.

Après cette folle semaine, ma vie fut très différente d'avant. Nous continuâmes les missions par équipe, mais Sasuke était avec nous. Lui et moi filions le parfait amour, non sans quelques disputes de temps en temps. Nous faisons plus de sortit entre amis, ne voulant pas perdre ses précieux liens que nous avons tissés.

Tous les ans, nous sommes retournés dans cette maison, nous remémorant ce qui nous est arrivé, vivant de nombreuses autres aventures toutes plus folles les unes que les autres. Puis, un jour, je suis devenu Hokage, et je n'ai plus eu l'occasion d'y retourné. J'avais un autre rôle à jouer dans cette aventure...

-Sensei, qu'est-ce qu'on fait là ?

Appréciant le souffle du vent sur son visage, Shikamaru regarda un à un les adolescents. Il sourit en voyant leur air profondément dégoûté. Il se tourna vers Kiba et Lee, les deux ninjas qui l'accompagnent pour surveiller cette bande d'excité. Les mains enfonçaient dans les poches, il avança vers la porte de l'imposante maison.

-Voici où vous allez vivre pendant une semaine, explique-t-il.

-Croyez-nous les gosses, vous en sortirez changer, ajoute Kiba.

-La fougue de la jeunesse, s'exclame Lee.

Avec un soupire, les enfants suivirent leurs trois sensei dans la grande bâtisse. A Konoha, Naruto se trouvait dans son bureau, lisant avec ennui le rapport d'une mission de rang D. Il soupira lorsque Sasuke entra, tenant une enveloppe dans ses mains.

-Le rapport de Shikamaru...

-Super !

Le blond l'attrapa, pressé de pouvoir la lire. Il s'installa sur son fauteuil et il débuta sa lecture. Sasuke profita que son amour l'ignore pour fermer la porte à clé. Il vient se placer en face du bureau, attendant que Naruto ais terminé. Quelques minutes plus tard, le septième Hokage poussa un soupire lasse.

-Une catastrophe...

-On a commencé pareil, rappelle le brun.

Naruto voulut répliquer mais il ne put prononcer le moindre mot lorsqu'il vit le regard lubrique de son petit-ami. Il remarqua enfin ce que son compagnon avait en main : une salopette. Décidément, Sasuke Uchiwa a vraiment un souci avec ce genre de vêtement.

-Sasuke...

-J'ai fermé la porte !

-Je t'ai déjà dit : pas au bureau !

Mais comme pour cette fois-là, dans la salle-de-bain, Naruto ne put dire non. Il eut une petite pensée pour ses trois amis qui vont passer une semaine de folie avec des gamins têtu comme des mules, avant de succomber aux désirs pervers de son Sasuke.

Une chose est sûre, la petite maison dans la forêt continuera de voir passer des générations de ninjas.


Fin

Voilà, c'est la fin de ma toute première fiction sur l'œuvre de Naruto ! Je l'avoue, j'écris des trucs bizarres...

Normalement, il devrait y avoir une saison 2 sur la génération de Boruto, mais elle ne sortira pas tout de suite. Je pense la commencer une fois que j'aurais terminé "Les bannis ont droit d'amour".

Faudra que je commence une autre fic plus sombre pour compenser avec mes crack-fic...

A bientôt pour une autre histoire !

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