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Chapitre 18 : Une nouvelle année.

Chapitre 18:

Cette année se terminait dans des conditions qu'il n'aurait jamais cru vivre. Il était venu au monde pour des raisons qui lui échappait encore. Toute sa vie il avait été rejeté et repoussé. On l'avait privé de tendresse en le battant pour des raisons jamais justifiés, et la moindre petite attention lui avait été refusée. Ce qui faisait que la simple gentillesse, il ne la connaissait que depuis peu. L'amour d'un papa et d'une maman, était des notions assez abstraite dans son esprit. Il savait que ça existait, il en avait bien conscience il n'était pas stupide. Pourtant si il avait dû expliquer ce que s'était réellement, il aurait été bien embêté pour trouver les bons mots décrivant cela.

Les souvenirs qu'il avait de sa mère n'était que des crie , des phrases blessantes humiliantes, sans parler des coups qu'elle lui donnait pour un oui ou pour un non. Le pire était cette terrible agression qu'elle avait commise à son égard alors qu'il n'était qu'un gamin de primaire, et qui lui avait coûté un oeil. Cette simple cicatrice sur son oeil, et qui le rendait borgne était l'un de ses nombreux complexes qui l'empêchait de se regarder dans un miroir. Il avait gardé en mémoire, le regard dénué de vie qu'elle pouvait arborer à certaine occasion.  Souvent durant son enfance il avait pu observer la folie s'emparer lentement d'elle, comme l'engloutissant lentement dans un nuage noir. Une fois, il l'avait surprises assise dans un fauteuil en cuire noir du salon.  Consciencieusement elle arrachait lentement les cheveux à une poupée de collection, qu'elle aimait pourtant beaucoup. Terrorisé par un tel spectacle, il l'avait entendu lui dire...

" Tu as été vilaine, c'est normal que je te punisse."

Elle n'avait pas hurlée, et n'avait pas été brusque dans ses actions. Mais c'était son horrible sourire plein de folie dont Zoro encore très jeune à l'époque avait eu peur. Et puis, sans doute parce qu'elle s'étaient rendue compte de son observations, elle avait tournée son visage pâle dans sa direction, de la même manière d'une poupée désarticulée. Là, elle avait soudainement hurlée.

" Zoro, vient là !!!! "

Résultat de toute cette tristes histoire, elle lui avait rasée le crâne avec tellement de brusquerie, qu'il s'était retrouvé avec plein de coupure sur le peau. A cause de cela, il avait dû affronter la honte d'être vu comme ça, le crâne à demi chauve et recouvert de pansement.

Son père comme toujours n'avait rien dit, car quand son épouse s'en prenait au gamin. Ainsi lui ne subissait pas ses colères et sa folie. Lâche jusqu'au bout des ongles, il voyait cet enfant qu'il avait pourtant voulu adopter, se faire martyriser sans que l'envie de l'aider lui vienne à l'esprit.

Non vraiment l'amour d'un parent, Zoro ne savait pas ce que s'était. Cependant ce dont il avait conscience c'est que s'était en grande partie à cause de sa mère, si il gardait une méfiance constante envers la gente féminine.  Un peu comme si il n'arrivait pas toujours à dissocier les femmes qu'il croisait, de son abominable mère d'adoption.

Lentement il cligna de l'oeil, assis sûr une chaise près de la fenêtre, il ne faisait pas attention à la petite fête qui continuait de battre son plein malgré l'heure tardive. Ou plutôt matinale au vu de l'heure qui était affichée à une large horloge moderne accrochée au mur d'un immense salon. Avec son compagnon, ils avaient tout deux travaillé très tard au Baratie en cette nuit de réveillon de la saint sylvestre.  Ce n'était que bien après minuit qu'ils avaient réussi à tenir leurs promesse auprès de Ace et Luffy, et qui était de venir faire un tour à leur petite fiesta.

Mais le monde pas possible qui envahissait le grande maison du grand père des deux garçons, l'avait forcé à se refermer sur lui même, sans qu'il ne réussisse à lutter contre ça. C'était beaucoup trop étouffant, pour lui qui n'aimait pas le contact. A chacun de ses pas, il avait eu l'horrible sensation de percuter tout ceux que le croisaient, et un désagréable sentiment d'étouffement s'était de se fait accentué.  Sans être dans l'eau, il avait l'impression de se noyer. Lentement son visage un peu fatigué, s'était parait de couleur de plus en plus pâle, tandis que son oeil semblait chercher un contact rassurant. Il n'était pas agoraphobe, mais n'en était pas loin tout de même.  Sans qu'il ne s'en rende compte ses mains s'étaient mise à trembler, alors que son front se nappait de nombreuses goutes de transpiration.

Immédiatement son petit ami, beaucoup plus habitué à ce genre de grosse fiesta était parvenu à fendre la foule, alors qu'il discutait avec ses deux amis. Là, après avoir pris sa mains dans la sienne, Sanji avait réussi à l'extirper de cette marée humain, qui au moins prouvée que les deux frangins étaient riche en ami. Sans jamais lui lâcher la main Sanji, l'avait emmené en répétant en boucle que ça allait bien se passer, avant de trouver un coin pas trop bondé, près d'une large baie vitrée. Si Zoro y réfléchissait bien, ils ne se connaissaient que depuis peu, quelques petits mois tout au plus. Et pourtant s'était comme si sa lumière arrivait à décrire et à comprendre la moindre de ses expressions corporelle. Un peu comme si il savait reconnaitre à présent, quand une crise d'angoisse allait l'assaillir. Comme si, sans mots dire, sans rien exprimer, il le comprenait et savait exactement comment agir et quoi faire, pour apporter à nouveau du calme dans son esprit.

Réellement Sanji était pour lui l'être le plus adorable qui soit. Pas un jour ne passait sans qu'il ne se sentent pour une fois bénis par la vie, d'avoir un homme pareil pour petit ami.

A présent Zoro était tranquillement assis un peu à l'écart de la foule trop compacte pour lui, et qui riait, plaisantait, chantait et criait parfois dans un état d'ivresse un peu second " bonne année." La musique était forte et donnait l'impression que les murs tremblaient. Il écoutait et voyait cela sans parvenir pourtant à se mêler à cette liesse populaire. Il était près d'eux assis sur sa chaise à côté de cette incroyable et large fenêtre. Mais au final il était loin d'eux, comme isolé par des murs invisible des autres. Il ne pouvait pas s'intégrer à eux, car il ne se sentait pas comme eux. Zoro n'avait pas l'esprit assez léger et sans soucis pour se permettre d'agir avec autant d'abandon. Toute fois il encouragea son compagnon beaucoup plus fêtard que lui à s'amuser,...dans un sourire qu'il ne réservait qu'à lui, il avait dû lourdement insister, en lui rappelant qu'il n'était pas un bébé, et que lui n'était pas sa nounou. Et que oui il pouvait rester seul.

Après tout, le voir heureux suffisait à son bonheur.

Son oeil unique s'était fixé sur Sanji, qu'il voyait sourire à pleine dents, rire fort et s'amuser comme un fou, comme le jeune homme qu'il était. Il dansait et se trémoussait en mouvent habilement ce corps magnifique et souple dont il avait toutes les faveurs. Ses cheveux d'or dans lequel il adorait plonger les doigts virevoltaient en tout sens, rendant leurs danses presque hypnotisante. Si lui n'était pas capable de s'amuser comme tout le monde, Sanji lui l'était et cela semblait suffire au vert pour le divertir. Le voir heureux, le voir souriant et s'amuser était pour lui amplement suffisant. Parfois Luffy s'arrachait de ses pitreries, pour essayer en vains de le faire décoller de son siège.

- Oh, allez Zoro ! Éclate toi bon sang ! Ris, chante,  danse,  vie !!!

Mais malgré ses blagues, malgré ses accolades qui étrangement ne le souciait jamais, c'était plus fort que lui. Ce soir là, ce soir de fêtes, ses angoisses avec tout ce monde présent, était plus forte que la raison. Alors le petit brun un peu boudeur abandonné la bataille, et foncé à nouveau dans le tas. Peu après l'une de ses nombreuses blagues faisaient rire tout les invités autour de lui. 

Mais si son corps n'était pas apte à s'amuse  " bêtement " , son oeil lui était toujours prêt à s'enivrer de la vision de son jolie compagnon. Parfois il le lâchait un instant, pour se poser à nouveau sur l'extérieur. Là, il avait réfléchi à cette fin d'année complètement dingue, entouré de plein de gens joyeux, même si il n'en connaissait pas la moitié. Le compte rendu de cette année pour une fois n'était pas si mal que ça. Il n'était plus dans la rue, il n'était plus seul, et ne mourrait plus de faim. Et enfin, ...enfin il avait récupérer grâce à cette être qu'il aimait déjà plus que tout, un semblant de respectabilité. A présent il gagnait sa vie honnêtement, en travaillant avec des gens et des collègues très sympas, même si certains pouvaient faire preuve d'une curiosité des plus impressionnantes. Oui, cette année se terminait on ne peu plus bien, et avec pour une fois, une agréable touche d'amour dans son coeur, trop souvent meurtrie.

Lentement un sourire s'étira sur son visage, tandis que son esprit semblait comme obnubilé par l'extérieur. A nouveau son oeil se posa sur la voute des cieux, toujours à demi obscurcie par d'épais nuages qui d'après la météo menaçaient de faire tomber la neige. Une frisson remonta le long de son échine et repensant à toutes ces fois, où il avait dû marcher durant des heures dans les rues de Paris pour ne pas mourir de froid. Mais tout ça à présent s'était fini, tout ça s'était derrière lui.

 Grâce à lui, à sa lumière.

Il était encore profondément plongé dans ses pensées quand une mains se posa sur son épaule le faisant ainsi légèrement sursauter. Tranquillement il se retourna un peu surpris quand même, mais soulagé de ne pas avoir eut le réflexe de chasser l'opportun qui avait ainsi touché son épaule. Un sourire à nouveau étira son visage trop souvent sérieux, lorsqu'il constata que s'était Sanji, qui à demi essoufflé et en sueur à s'agiter comme un beau diable, venait près de lui pour savoir si il ne s'ennuyait pas.

- Ne t'en fais pas pour moi, lui assura Zoro. Tu savais dès le départ, qu'il y avait de forte chance que je réagisse comme ça, sourit-il comme si ce n'était pas bien grave. Je préfère te voir t'amuser que te voir t'en priver.

- Mais tu dois t'ennuyer, se désola un peu le blondinet.

- Non, réfuta le vert dans un léger mouvement de tête négatif.  Sérieusement, je préfère observer que me contraindre à y participer ! Avoua t-il. Dans un mouvement qui lui parut un peu audacieux, il fit une petite tape aux fesses de son petit ami, puis dans un geste rapide de la tête l'encouragea à retourner s'amuser. Hop allez !

Retissant Sanji, hésita avant de se faire littéralement enlevé par un Luffy complètement déchainé. Il voyait le jeune homme brun, rire comme un fou à croire qu'il était constamment sous la pression d'une forte monté d'adrénaline, attraper les deux mains du cuisinier avant de l'agiter dans tout les sens, dans ce qui était censé être de la danse. Le blond sûr le coup eut l'impression d'être démantibulé. Mais très  vite il se laissa totalement aller, car après tout ce soir était un soir de fête, et il fallait bien se laisser un peu aller.

Zoro laissa passer un petit rire amusé, et à nouveau quelqu'un s'approcha de lui, dans l'angle mort que lui causait la perte de son oeil. Toute fois il arriva à reconnaitre l'individu, qui avait l'habitude d'être d'une tranquillité vraiment reposante . Dans un sourire discret et simple il accueilli Marco , qui s'installa sur une chaise non loin de lui, après lui avoir tendu une des deux bières qu'il avait en main. Selon toute vraisemblance l'homme à crête blonde n'était pas du genre à gigoter sur une piste de danse. Bien sûr pour faire plaisir à Ace il s'était forcé un peu, mais dès qu'il avait eu l'occasion de fuir il ne s'en était pas privé.

- Toi non plus tu n'aimes pas danser, supposa parfaitement l'homme d'une voix calme, en adressant un sourire confiant à Zoro.

- Non, reconnu ce dernier...et puis , c'est trop....comment dire .. plein de monde. Je n'aime pas être au milieux de la foule....ça me provoque des angoisses.

- C'est marrant, tu es tout l'inverse de ces deux-là ! Ria Marco, en désignant du doigts les deux frères qui beuglaient en levant les mains vers le ciel.

- Je suis un peu ennuyeux...

- Ce n'est pas ce que j'ai dis ! Réfuta Marco, dans un mouvement léger de la tête. Je dis juste que vous êtes différent. J'aime cette bonne humeur qui entour toujours Ace, mais j'aime aussi être au calme.

A nouveau l'oeil unique du jeune homme se porta sur sa lumière qui dansait encore. Ainsi Sanji démontrait qu'il pouvait  malgré la fatigue qui commençait à se faire sentir, être doté d'une terrible énergie. Ussop et Nami étaient là eux aussi, et bientôt la jeune femme se rapprocha d'eux en boitillant un peu. Avec nonchalance elle retira ses jolies chaussures à talon, et dans un profond soupir elle se laissa tomber dans une autre chaise non loin des deux hommes. Sa longue chevelure rousse qui avait été domptée en début de soirée dans une coiffure classe et élégante, avait finis par s'effondrer et dégringoler à présent à nouveau dans son dos.

- J'en peu plus .....avoua t-elle en tirant sur la jupe courte qu'elle portait et qui était un peu  trop remontée lorsqu'elle s'était laissée tomber sur sa chaise.  Alors les gars vous avez pris de bonne résolution ?

- C'est des bêtises, répliqua immédiatement Marco. C'est fait pour ne jamais être tenu ce genre de choses ! Et toi ?

- Moi ? Répéta Nami, avant de prendre un air pensif, Hmmm....me faire encore plus d'argent que l'année dernière. Affirma t-il le regard brillant.

- Il n'y a aucun challenge à ça, se moqua un peu Marco, quitte à prendre une résolution autant que se soit un peu contraignant. Non ?

- Hum....tu n'as peut-être pas tord,  reconnue la rousse dans un bref mouvement de tête. Bon alors euh....faire plus de sport...j'en ai pas fait depuis trois mois ! Et toi ? Demanda t-elle en tournant son jolie visage en direction de Zoro.

- Moi ? Fit ce dernier surprit. Je n'ai jamais pris de bonne résolution.....

- C'est l'occasion de commencer ! S'exclama joyeusement la jeune femme, une des rare avec qui le vert s'entendait.

- Et bien, murmura l'ancien SDF pensif en posant à nouveau son regard sur Sanji qui était entrain de rire, avec les deux frangins et Ussop...euh.....être digne de la confiance de ma lum... de Sanji. Le rendre tout ses bienfait..le rendre heureux...

- Comment ça, lui rendre ses bienfait ? S'étonnèrent un peu Marco et Nami d'une seules voix.

Surpris lui même par ce qu'il venait de dire, Zoro regarda tour à tour ses deux amis avant de prendre conscience que hors mit Ace et Luffy et bien entendu Sanji, aucun d'eux ne savaient d'où il sortait. Pour eux , il était juste apparu comme sa dans la vie du blondinet, et puis s'était tout. Il poussa un profond soupir, puis passa rapidement la main dans ses cheveux court avant de baisser un peu le visage. Allait-il commencer l'année en avouant une partie de son passé à ses nouveau amis ? Il hésita longtemps, avant de prendre son courage à deux mains et de se lancer, même si il ne comptait pas....leurs avouer absolument tout ce qu'il avait vécu.

Du bout des lèvres, alors que son oeil était rivé au sol, il raconta une partie de son histoire ainsi que de sa rencontre avec Sanji.  Son coeur qui était calme jusque là, se mit une fois de plus battre comme un fou, et ses oreilles semblèrent devenir sourde au bruit ambiant. Il leurs avoua que son père adoptif l'avait jeté à 16 ans à la rue, juste parce qu'il était gay, et que durant toutes ses années de galère, il avait failli mourir entre autre de froid ..de faim. Il raconta aussi qu'il avait dû se battre pour survivre, mais aussi que durant tout ce temps vécu à la rue, il avait perdu se dignité d'être humain.

 Pour ce qui concernait son traumatisme ainsi que certaine façon de gagner de l'argent. Il garda les lèvres serrés, car c'était hors de question pour lui d'avouer une fois de plus ce genre de chose. Ça avait été si difficile de tout dire à Sanji. Il avait eu tellement honte à chaque mots qu'il avait prononcé alors. Un peu comme si, chaque révélation l'avait souillée un peu plus que ce qu'il n'était déjà.

- Je n'ai jamais compris, s'exclama Nami en frappant du poing dans sa main. Pourquoi  des couples qui ne supportent pas les enfants cherchent quand même à en adopter ? Moi ça me dépasse ce genre de chose, gronda t-elle.  Résultat voila, ....une enfance brisée et triste.

-......

- Et bien, et bien, souffla Marco en secouant la tête. Ceci explique bien des choses. Comme par exemple, pourquoi tu es si mal à l'aise en société. Tu n'es pas habitué, n'est-ce pas ?

- Un peu ! Murmura le vert, qui comme toujours s'attendait à voir des mines dégoutée lui être jeté en pleine figure. Mais au finale c'était plutôt de la compréhension et de l'amitié qu'on lui offrait.

- Écoute, s'enflamma Nami. L'avenir appartient à ceux qui se lèves tôt , pas vrai ?

- Euh...j'imagine...

- Alors tu vas continuer à reprendre ta vie en main! Tu vas te sortir de ce gouffre dans lequel tu étais tombé, et un jour tu iras voir ton père adoptif, et tu lui diras. Là, la jeune femme se mit debout prit un air mauvais, puis fit un doigts d'honneur dans le vide et récita.

" T'as voulu pourrir ma vie c'est raté, je suis à présent un homme accomplie et bien plus heureux que tu ne le seras jamais toi et ton coeur de pierre ! "

La voyants faire les deux hommes éclatèrent de rire, alors que non loin d'eux Sanji dont le radar n'était jamais à l'arrêt lorsque ça concernait Zoro, était soulagé de le voir enfin s'amuser un peu.

Lentement le nombre d'invité diminua au fur et à mesure que le matin approchait. La musique était à présent éteinte et un calme agréable envahissait la pièce qu'ils avaient tous aidé à remettre en ordre. Le groupe d'ami était à présent entrain de discuter, tandis que des bâillements sonores se faisaient entendre ici et là. Un soleil pâlichon et timide montra à peine le bout de ses rayons, car  comme il avait été prévu, la neige se mit à tomber dans des petits flocon qui voletaient joliment avant d'atteindre le sol.

Il était plus de 8 h du matin, et c'était le premier jour de la nouvelle année. Après avoir souhaité un bonne anniversaire à Ace qui fêtait ses 22 ans, les deux amant prirent congé afin de rentrer dans le petit studio pour prendre un repos bien mérité. Les rues étaient désertes et un étrange silence habitait la capitale. Seul le murmure de la neige qui tombe se faisaient entendre à leurs oreilles. Ils marchèrent mains dans la mains jusqu'à un arrête de bus. Ils avançaient avec prudence sur les trottoirs devenu un peu trop glissant. De temps en temps, ils croisaient quelques rares courageux qui avaient mis le nez dehors, ou qui plutôt n'étaient pas encore rentré chez eux. Après avoir payé, pour prendre deux tickets de bus, c'est à demi somnolant, qu'ils se laissèrent mené à l'arrêt le plus proche du studio...

- Tu t'es quand même amusé ? Demanda Sanji en levant un sourcils interrogateur. Sa voix était enrouée d'avoir un peu trop fumé.

- Ouais, t'en fait pas. Je me suis bien amusé avec Nami et Marco. Je... je leurs ai dit , d'où..je venais....et ils m'ont quand même accepté.

- Je te l'avais dit qu'il n'y avait pas que des gens mauvais, sourit le blondinet en lui ébouriffant ses cheveux courts.

- C'est vrai ..Reconnu le vert dans un bref sourire.

Son regard peu après, fut interpellé par la monté d'un homme visiblement dans leurs âges, et qui semblait au vu de sa triste dégaine, venir de la rue. Il était vraisemblablement ivre, et un peu agressif au vu du ton qu'il prit lorsqu'il parvient à acheter un ticket de bus. Le peu de personnes présentes dans le transport en commun se tassèrent sur leurs places, tandis que Sanji ignorant l'individu continuait de discuter avec Zoro. De temps en temps, il glissait sa main dans celle de son amant, alors que de l'autre il se tenait à l'une des rambardes pour ne pas tomber lors d'un coup de frein un peu brusque. L'homme ivre, qui s'était vite mis à beugler des insultes contres cette" foutu société moderne", se retourna dans leurs directions. Le visage écarlate, le nez violacé signe qu'il devait être un alcoolique notoire, il jeta un regard aviné vers le couple.

- C'est pas ma faute moi !! Gueula t-il en chancelant un peu....si...hic...si..le monde devient de la merde !!!

L'homme donnait l'impression d'attendre une réponse de leurs part. Mais Zoro avait trop souvent vu et connu ces cas de figure quand il vivait à la rue, pour ne pas savoir agir face à se genre d'individu qui donne au SDF la triste réputation d'être tous des ivrognes agressifs. Il fallait rester calme et détendu, et surtout ne jamais répondre à leurs provocations , car c'était certain il beuglerait d'avantage et finirait même  par en venir aux mains.

- Partout...partout ....C'est la merde !!!! On accepte tout de n'importe qui ....hic....plus personne n'a de couilles ici !!!! Et toi là ...hic.....fit-il en désignant le jeune homme blond d'une main à demi tremblante...tu sais ce que s'est que d'avoir des baloches ....hein...?

Sanji le toisa d'un regard méprisant, mais sous la pression des doigts de Zoro dont il tenait la main, il vit ce dernier lui faire un léger non de la tête. Ainsi il lui faisait comprendre que ça ne servait à rien de répondre, que ça ne ferait qu'aggraver la situation. Alors le blondinet, serra les lèvres, même si il avait une furieuse envie de dire à l'individu de ne pas lui adresser la parole. Mais l'homme sembla s'obstiner....un peu comme si son attention à demi embrouillé par l'alcool, avait été attirée par Sanji, et qui était pour lui en quelque sorte une cible.

- Tu réponds pas ? Les gens sont comme ça ...hic....Stupides et sans avis ......il chancela une nouvelle fois, en essayant de mimer les gens obsédé par leurs portables. Voila...C'qui ...font....de son autre main sale il faisait à présent semblant d'utiliser un téléphone imaginaire...

- On descend au prochain arrêt, souffla rapidement le cuisinier à l'oreille du vert...on sera à 10 minutes de l'appart'....

- Ok ! Répondit simplement Zoro.

L'ivrogne continuait de beugler de plus en plus fort, jusqu'à ce que de sa poigne forte malgré l'état déplorable dans lequel il était,  agrippe le col du manteau noir du cuisinier. Surpris par ce geste soudaine, Sanji clignât de ses yeux bleue, alors que l'homme lui hurlait dessus avec son haleine infecte.

- Z'ETES DES SALES PD.....avant.....des gens comme vous, on les mettez en prison ...et couic ... à la guillotine !

- Putain ! Gronda le blond, lâche-moi tout de suite, ou je t'en mets une dans la gueule ! Ordonna t-il alors qu'une terrible odeur d'alcool et de saleté envahissait ses narines, lui faisant ainsi faire des grimaces de dégout.

L'homme s'apprêta à gueuler autre chose, quand il remarqua que enfin ses cris avaient attiré l'attention des autres voyageurs, qui eux n'avaient qu'une envie, foutre le camps de ce bus, le plus rapidement possible.

- Saloperie de PD...eut-il le temps de dire, avant que la terrible poigne de fer de Zoro ne se referme sur sa main et ne le force à lâcher prise. Lentement l'être pathétique releva son regard enivré en direction du vert. Là il vit qu'une véritable fureur brillait dans la prunelle émeraude. Rapidement, la pression se fit toujours plus forte sur sa main, jusqu'à ce que dans un gémissement douloureux ...le poivrot se décide enfin à lâcher prise...

- Je te casse en deux , si tu y retouches !! Comprit ? Menaça Zoro.

- Mais je te connais...hic...toi ?! Assura l'homme, en reculant de plusieurs pas....oui....hic...cette cicatrice sur l'oeil....c'est toi qui ......t'ai battu une fois pour de l'argent .....je ..hic ..m'en rappel !!!

Zoro ne disait rien et n'émettait aucun son, mais son regard semblait parler pour lui. Au fur et à mesure que les secondes défilaient, son visage devenait de plus en plus mauvais. Bientôt l'intimidation qu'il opérait ainsi sur l'ivrogne sembla marcher. L'homme bégaya deux trois mots pas très compréhensifs, puis se décida enfin à s'assoir sur un siège libre. Jusqu'à ce qu'ils atteignent l'arrêt de bus qui les intéressait, le vert ne lâcha pas un seul moment du regard, l'opportun qui avait eu l'audace de s'en prendre à sa lumière.

D'un pas rapide, les deux hommes descendirent du bus, où un vent glacial sembla leurs gifler les joues. Sur les trottoir une fine couche de neige avait commencée à tenir....

- Ce n'était qu'un poivrot ...souffla Sanji en direction de son petit ami. Je suis sûr que d'ici la fin de la journée, il ne se rappellera plus de ce qu'il a dit. Ne te bile pas pour ça.

- T'as sans doute raison, reconnu Zoro en plissant l'oeil alors qu'un souffle glacé faisait apparaitre des larmes au coin de ses yeux. Il n'y a pas si longtemps que cela, je ne valais pas mieux que lui, .murmura t-il. Mais à l'inverse de lui, j'ai eu la chance de rencontrer une personne qui croit en moi.

- Ah oui ? Je la connais cette personne ? Plaisanta Sanji en tirant la langue.

- Idiot, ria à son tour le vert.

Oui, c'est vrai ! Peut-être que la simple différence qu'il y avait entre lui et cet homme ivre, était la chance qu'il avait eu de rencontrer Sanji. Mais lui aussi, parfois dans des moments d'extrême ivresse, il s'était mis à râler et à jurer contre cette société qui ne prenait pas soin des plus faibles. Les gens qui l'avaient entendu dans ces cas là, lui avait jeté des regards de mépris comme si à gueuler comme ça, il était devenu absolument grotesque. Mais sans doute, ces gens bien pensant se disaient qu'il n'était pas en droit de l'ouvrir, ni de juger quoi que se soit comme tout ceux de son espèce. Car après tout, si ils étaient à la rue c'était parce qu'ils " le voulaient bien".

Lorsqu'ils entrèrent dans le petit studio, un " ah" de soulagement passa leurs lèvres. Fatigués et épuisés, ils n'avaient qu'une seules envie, se coucher et dormir enfin. Cela faisait près de 24 heures qu'ils n'avaient pas fermé l'oeil, et ça commençait à faire un peu long pour eux deux. Sans préambule, ils se débarrassèrent de leurs vêtements qui restèrent à demi éparpillés dans le salon, tandis que le vert surprit réalisait qu'une fois de plus il se dessapait devant son petit ami sans trop ressentir de gêne.

- Oh non de dieu ! Jura le cuistot dans un grognement de satisfaction...ça fait troop du bien.

Zoro eut à peine le temps de faire un " hmm" d'approbation que le sommeil sembla le prendre avant même qu'il n'ait eu le temps de dire quoi que se soit.

- Qu...quoi ? Déjà ? S'exclama Sanji presque choqué en se redressant un peu dans le lit afin de voir si il était vraiment entrain de dormir....ah bah merde...marmonna t-il...et les galipettes du nouvelle ans alors ?

****

Le lendemain midi, lorsqu'ils durent reprendre le travail, l'un comme l'autre eurent l'impression de ne pas s'être totalement remis de la fiesta du réveillon du premier janvier. D'un pas à demi flemmard, ils allèrent en direction du restaurant alors que Sanji un peu déçus mais compréhensif n'avait pas eu ses " galipettes" du premier de l'Ans. Il fallait dire que la veille, ils avaient tout les deux dormis jusqu'à 14h, avant de se vautrer dans le canapé, et de mettre l'intégral de Kaamelott que le blondinet avait offert à son petit ami. Le soir, toujours pas plus frai que le matin, ils s'étaient endormi dans un claquement de doigts.

Pour Zeff qu'importe l'état de fatigue et de gueule de bois que certains de ses employés avaient encore à digérer. Le plus important pour lui dès que les portes de son restaurant étaient ouvertes, s'était les clients. Dans un sourire amusé car décidément, il aimait enquiquiner son fils, il alla le voir et le taquina en boucle sur ses cernes qu'il avait sous les yeux. Toute fois ses plaisanteries d'un père faites à son fils - même adoptif- passèrent beaucoup moins lorsque se furent les collègues qui s'y mirent à leurs tours.

- Alors les tourtereaux ? Demanda l'éternel blagueur de la brigade, qui ne savait toujours pas tenir sa langue. On a fait craqué le bois du lit et on est fatigué à présent ?

- Oooh ! Gronda Zoro de sa plonge qui l'avait parfaitement bien entendu, et qui ne se privait plus pour lui râler dessus, t'arrête de dire des conneries.

- Et toi alors ? Râla le blondinet habitué à de telles échanges, pendant que ses autres collègues  aussi occupés qu'eux, trouvaient le moyen de les écouter malgré tout. C'est qui , qui à passait sa soirée bien seul avec sa télé et sa petit sou-soupe froide hein ? Pas trop mal au poignet au moins ? Bobonne à fait l'hôtel du cul tourné pas vrai ?

- Ah ah ah ah, ricana l'homme ...sacrée salopard va ! Répliqua t-il comme si il adorait ses échanges de vannes avec Sanji. 

- Hey ! Les gars, on se calme ! Ordonna Zeff.

Le reste du service fût plus calme, même si les échanges habituels entre Sanji et son collègue continuèrent à l'occasion malgré les disputes de leurs Boss.

- Hey Sanji ,ricana l'homme en le saluant d'un grand mouvement de main, à demain mon petit poulet ! A demain, Don Diego, taquina t-il à l'adresse de Zoro, qui émit malgré lui un rire amusé.

- C'est ça, à demain répliqua le blond, va voir si bobonne s'est pas sauvée de chez toi ! C'est une vrai sainte pour arriver à supporter ta tête et tes vannes.

L'homme ria fort puis sortit en enroulant autour de son cou une épaisse et large écharpe à carreau rouge et bleu.

- Dit donc fils, va falloir y aller mollo avec Jack ! S'exclama Zeff les poings sur les hanches. Plaisanter je veux bien, mais quand le volume de vos beuglements atteignent la salle du restaurant ça me plait beaucoup moins. Alors prochain service vous baissez le volume, ou mon pied se gare dans vos noix   !

- Ouais, ok désolé Pa'...bredouilla Sanji.

- Ouais, bon....pas grave, marmonna Zeff. Tiens au faite Zoro, faut que tu me donnes un RIB pour que la compta'  vire directement ton salaire sur ton compte. Expliqua le vieil homme, en tendant une enveloppe avec le nom du jeune homme écrit dessus...

- Oh, désolé, je vous apporte ça demain.

- Ok, ça marche ! Bon si vous avez finis les mômes, vous pouvez foutre le camp ! S'exclama le vieux cuistot de son habituel ton bourru, tout en leurs faisaient de grandes claques dans le dos.

Après avoir salué le chef cuistot dont le langage un peu brut était habituel, mais cachait surtout une profonde affection pour son fils adoptif, et pour ceux en qui il avait une grande confiance, les deux hommes sortirent par la porte de derrière. Comme toujours et peut-être parce que s'était là un réflex, Zoro jeta un bref coup d'oeil là même ou il avait rencontré Sanji. De son côté le blondinet s'était arrêté un instant, puis après avoir fouillé dans la poche interne de son manteau, il sortit une cigarette qu'il alluma avec le Zippo qu'il avait reçu à Noël. Avec un délice non simulé, il absorba une longue bouffée tandis que dans un " clac" sonore il refermait le briquet qu'il rangea dans son manteau...

- Ça c'est le pieds ! Souffla t-il en rejetant la fumée par ses narines. Alors ?? fit-il en direction de Zoro qui ouvrait l'enveloppe contenant son chèque de payes.

- Et bien , fit le vert dans un long sifflement, j'ai jamais eu autant d'argent entre mes mains....

Un long sourire illuminait son visage. Gagner ainsi son propre argent était tellement gratifiant pour lui, surtout après ce que la rudesse de la rue l'avait contraint à faire. Mais pour lui ce chèque qu'il tenait entre ses mains, faisait parti de toutes ces petites choses qu'il le ramenait un peu plus dans le monde des gens respectables. Avec prudence, il rangea l'enveloppe dans la poche interne de son manteau. Sanji pendant ce temps, s'amusait à nouveau à faire des cercles avec sa fumée de cigarette.

- La banque est sur le chemin, proposa Sanji quand ils prirent le chemin du retour en direction du studio. Si tu veux on le dépose, comme ça se sera fait.

- Ouais, faisons ça ! Accepta Zoro, avant de glisser timidement ses doigts dans la main libre du blondinet. Je vais enfin pouvoir m'acheter des chaussures digne de ce nom ! S'enthousiasma t-il en baissant le nez, pour voir l'état déplorable de ses godasses...L'eau rentre dedans...j'ai horreur de ça !

  Sans rien dire, le jeune homme à la chevelure dorée observa son petit ami s'enthousiasmer pour quelques choses qui paraissait pour une bonne partie de la population, absolument banal. Lorsqu'on est pas dans le besoin, et qu'on ne mord pas la poussière tout les jours. Lorsqu'on ne touche pas le fond, on ne se rend jamais compte de la vraie valeur des choses.  Même lui, avait déjà agit avec légèreté avec son argent, et parfois il en avait gâché bêtement en se disant  stupidement.." pas grave ..mon compte est encore plein.." Et pourtant voir Zoro, être aussi heureux à l'idée d'avoir une simple paire de chaussure neuve, lui fit comme une sorte de petite piqure d'humilité.

- C'est les fameuses grosses chaussures noir que tu veux ? Questionna Sanji, alors qu'ils marchaient tout les deux sur les trottoirs toujours aussi glissant.

- Ouais, ...et puis, il va me falloir mes propres fringues parce que je crois que j'ai élargie assez de tes vêtements comme ça !

- Écoute, proposa Sanji, on a qu'à faire ça demain après le boulot ?

- Ça serait top ! Je pourrai enfin me débarrasser de ces choses ! S'exclama Zoro en levant le pied un bref instant.  Tu sais elles ont méritée le repos éternel, ces pauvres groles...

Ils marchèrent quelques minutes encore avant d'atteindre la banque, où comme la dernière fois, Zoro eut beaucoup de mal à confier son chèque de payes.  Puis une fois que cela fût fait, ils reprirent le chemin, alors que le blondinet s'amusait de sa surprise lors d'un baiser volé en pleine rue.  A nouveau la neige se remit à tomber..

- Dit, marmonna Sanji en se penchant comme pour lui révéler un secret. Quand on sera rentré, reprit t-il l'oeil brillant, ça te dirait qu'on se réchauffe de manière un peu plus.....agréable ? Hmm ?

Ne  s'étant pas du tout attendu à entendre une telle chose, le jeune homme à la chevelure verte, resta un moment bouche bée tandis que son compagnon s'amusait un peu de sa surprise.  Lentement son visage prit une couleurs cramoisie,  et le souvenir de leurs premiers ébats lui remontaient en mémoire.

- Les premières cochonneries de cette nouvelle année tu comprends, c'est très important ! Plaisanta Sanji qui crut un instant que la totalité du sang de Zoro s'était réfugiés dans son visage...mais si  tu ne veux p..

- Non, c'est bon , je .....ne suis pas...balbutia le vert...je ne suis pas contre.  Ah merde j'ai l'air idiot à bégayer comme ça !

- Je trouve ça plutôt mignon moi, assura Sanji dans un charmant sourire.

Étonnement leurs  pas parurent plus pressés et rapide. Un peu comme si ils avaient hâte de se retrouver enfin seul dans leurs petit nid douillé, pour pouvoir profiter pleinement l'un de l'autre. La neige à présent tombait avec force sur leurs épaules, ainsi que sur leurs tête où des flocons de neige tentaient de s'accumuler. Ils n'était plus qu'à quelques petits mètres à peine de l'immeuble si bien connue, quand  ils perçurent la silhouette de deux hommes dont l'un avait les cheveux rouges, et l'autre les cheveux bleue...

Lentement, Zoro sentit la main de Sanji quitter la sienne, surprit il tourna la tête en direction de son petit ami. Là , le visage habituellement souriant de son compagnon se mua soudainement en une expression parfaitement refermée. A présent il avait les sourcils froncés, le regard remplie de colère, et sa bouche arqué vers le bas, lui donnait un air franchement pas aimable.

- Merde, gronda sombrement Sanji...Qu'est-ce qu'ils font là ces deux-là ? Je leurs ai pourtant interdit de venir ici !

- C'est qui ? Demanda Zoro, pourquoi t'es aussi tendu d'un coup ?

- Ce sont mes frères.....

- Ceux qui mettaient plein d'arai....de ces sales bêtes, se corrigea t-il afin de ne pas prononcer le mot tabou..... dans l'armoire où ton père t'enfermait ?  Questionna le vert.

- Eux même ! Autant te dire, la conversation qui va suivre ne vas très certainement pas être agréable. Et encore moins aimable.

- Si ils te touchent je leurs casses les bras !!! Grommela Zoro le regard mauvais, l'esprit encore envahi des trouilles mémorable que pouvait avoir sa lumière à la simple vision d'une simple araignée.

- Oh mais qui voila ? Se moqua l'homme au cheveux rouge, dont l'ancien SDF ignorait le prénom.

- Le retour du bébé à sa maman  ? Taquina le bleu dont le sourire méchant n'avait rien d'agréable à regarder. Alors on dit pas bonjour à ses frères ?

Le silence à présent était affreusement lourd et palpable, le sourire de Sanji à leurs simple vision semblait avoir disparu pour toujours. Jamais Zoro ne l'avait vu avec une telle attitude. Eux qui étaient encore bien il y a de cela quelques secondes, sentait comme un profond changement dans l'air, un peu comme ci le soleil avait été soudainement masqué par de gros nuages menaçant.  Cette confrontation n'annonçait rien de bon.

****

Voici enfin le chapitre 18, j'ai enfin réussi à l'écrire, et je m'excuse de l'affreuse attente dans laquelle je vous ai mise. Je vais pas vous mentir j'en ai bavé pour l'écrire, et j'espère qu'il ne sera pas trop désagréable à lire.



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